Actualisation mensuelle, du nouveau
Actualisation mensuelle, du nouveau
Dès l’été 2011, l’actualisation mensuelle des demandeurs d’emploi se fera sur mon.service-public.fr.
L’actualisation mensuelle des demandeurs d’emploi passera de pole-emploi.fr à mon.service-public.fr dès l’été 2011, selon le communiqué du ministre François Baroin. «Les Français pourront effectuer leur déclaration de revenus sur mon.service-public.fr dès le début de l’année 2011. Pôle Emploi deviendra partenaire du dispositif à l’été 2011.»
Avec le même login/mot de passe, il sera ainsi possible de faire aussi bien sa déclaration de revenus que de faire son actualisation mensuelle Assedic ou peut-être même correspondre avec son conseiller Pôle Emploi.
http://www.evous.fr/Des-l-ete-2011-l-ac ... 35058.html
L’actualisation mensuelle des demandeurs d’emploi passera de pole-emploi.fr à mon.service-public.fr dès l’été 2011, selon le communiqué du ministre François Baroin. «Les Français pourront effectuer leur déclaration de revenus sur mon.service-public.fr dès le début de l’année 2011. Pôle Emploi deviendra partenaire du dispositif à l’été 2011.»
Avec le même login/mot de passe, il sera ainsi possible de faire aussi bien sa déclaration de revenus que de faire son actualisation mensuelle Assedic ou peut-être même correspondre avec son conseiller Pôle Emploi.
http://www.evous.fr/Des-l-ete-2011-l-ac ... 35058.html
Re: Actualisation mensuelle, du nouveau
La charge répartie sur plusieurs sites va se retrouver sur un autre. Après France.fr, le feuilleton de l'été 2010, ne manquez pas Service Public, à l'été 2011...
de l'incompétence de notre gouvernement
Comment l'incompétence du gouvernement a provoqué le fiasco de France.fr
"Sur les douze personnes de la commission, un seul compétent web"
C'est l'un des plus beaux ratés de la communication gouvernementale sur le web. Le projet France.fr était pourtant très ambitieux sur le papier : "Faire de la promotion de la France une grande cause nationale", selon la brochure de présentation. Las, moins de vingt-quatre heures après sa mise en ligne, le site était indisponible, officiellement en raison d'un trop grand nombre de connexions. Comment expliquer un pareil fiasco alors que le Service d'Information du Gouvernement (SIG) qui a piloté le projet a déjà dépensé 862.000 euros ? Officiellement, il s'agit d'un simple problème d'hébergement. Mais certaines sources nous ont livré une toute autre version.
France.fr indisponible jusqu'à la fin août : les premières explications ne sont pas convaincantes
Le symbole était beau : le 14 juillet, jour de la fête nationale, le Service d'information du gouvernement mettait en ligne le portail internet France.fr. Mais celui-ci n'a pas tenu vingt-quatre heures. Après avoir constaté de nombreux dysfonctionnements, le SIG a décidé de fermer le site à 15h30. Au JDD, le directeur du SIG, Thierry Saussez, a expliqué dès le lendemain qu'il y avait eu un trop grand nombre de connexions : dès le matin, "le cap des 25.000 était franchi, provoquant la paralysie du serveur". L'hébergeur, la société Cyberscope, est aussitôt mis en cause par Bruno Denoyelle, l'un des responsables du projet au SIG : "Nous sommes confrontés à un problème technique. (...) Il y a un problème dans la configuration des serveurs qui vient de notre hébergeur Cyberscope, la société qui a conçu le site et qui est installée à Poitiers", a-t-il déclaré à l'AFP.
En réalité, ces explications soulèvent plus de questions qu'elles n'apportent de réponses. Le site France.fr utilise le CMS Drupal, un système de gestion de site très connu, utilisé entre autres par Rue89 et Mediapart. Interrogé par Lemonde.fr, un développeur spécialiste de Drupal s'étonne des raisons avancées par le SIG : "Un site de cette nature qui 'tombe' avec seulement 25.000 connexions, c'est très peu. Même avec le double de visites, cela n'expliquerait pas une telle panne". En effet, il y a une solution relativement simple pour éviter ce type de déconvenue : "Les sites Internet à fort trafic utilisent un système appelé le "cache" : ils enregistrent une version "statique" des pages du site, pour épargner au serveur la nécessité de recalculer son contenu. C'est en utilisant une page de ce type que Mediapart a pu rendre son site à nouveau accessible lors des forts pics de connexion", explique Damien Leloup, journaliste en charge des nouvelles technologies au Monde.fr.
Pourquoi ce même système n'a-t-il pas été mis en place pour France.fr ? Comment se fait-il que le site ait été bloqué avec un tel trafic alors qu'il disposait de 11 serveurs, quand Mediapart a pu tenir face à des pics d'audience équivalents avec seulement 4 serveurs ? Ce ne serait pas qu'une simple question d'hébergement...
A Cyberscope l'hébergement, à Modedemploi toute la conception du site
Dans les communiqués du SIG, seul l'hébergeur, c'est-à-dire la société Cyberscope, est cité. Pourtant, comme le confirme la brochure de présentation du projet, ce n'est pas elle qui a décroché l'appel d'offres mais la société Modedemploi. Cette boite de communication a été choisie pour piloter le projet France.fr de A à Z : conception du site, production de contenus, choix de l'hébergeur. La société, basée à Levallois-Perret (92), était donc l'unique interlocuteur du SIG.
Selon la version officielle, le fiasco serait lié à un double problème technique : "Un problème dans la configuration des serveurs" de Cyberscope, selon SIG, et à un défaut de la base de données qui "a été construite d'une manière qui ne correspond pas à l'usage", d'après un responsable de Cyberscope cité dans la même dépêche AFP. Traduction : le SIG accuse l'hébergeur, l'hébergeur remet en cause la conception du site. La nuance est de taille puisque ce n'est pas Cyberscope qui a conçu le site sous Drupal, comme l'indiquait par erreur un responsable du SIG à l'AFP, mais la société Modedemploi, Cyberscope n'étant dans ce projet que simple hébergeur.
Or, d'après une source proche du dossier, contrairement à ce qui est écrit un peu partout dans la presse, ce ne serait pas un problème d'hébergement mais plutôt de conception du site qui expliquerait le plantage et surtout le délai important (on parle maintenant de fin août) avant sa réouverture. En effet, techniquement, le changement d'hébergeur n'est pas une opération très complexe, comme l’ont relevé plusieurs webmasters sur différents blogs et forums. Même si le SIG doit respecter des procédures administratives plus ou moins lourdes (en passant notamment par l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information), le délai de six semaines, voire plus, ne peut se comprendre que si toute l'architecture technique du site est en train d'être refaite. Selon nos informations, l'hébergeur aurait bien respecté le cahier des charges et avait les capacités techniques, c'est-à-dire le nombre de serveurs suffisants, pour assumer la charge de connexions du site. En revanche, dans l'élaboration de la base de données Drupal, tout n'aurait pas été optimisé au maximum par Modedemploi, plus connu pour la production de contenus que pour la réalisation de sites web.
Ce fiasco pose bien évidemment la question du choix des prestataires, et notamment de Modedemploi, sélectionné après appel d'offres, par le SIG. Pourquoi, avec un tel budget - 862.000 euros ont déjà été dépensés -, le SIG ne s'est-il pas assuré de la solidité technique de ses prestataires ?
Appel d'offres du SIG : "Aucun n'avait une compétence technique internet" pour juger les dossiers
Contacté par @si, l'un des postulants à l'appel d'offres nous a raconté les coulisses de la procédure. A l’origine, la difficulté de ce projet ne résidait pas dans la conception du site, puisqu'il s'agissait d'un simple site de contenus, mais dans la production de ces contenus (articles, notices, annuaire), qui était colossale. Sur les 862.000 euros annoncés pour le lancement de France.fr, la partie technique ne représenterait qu'environ 200.000 euros. Lors des auditions des différents candidats à l'appel d'offres, la commission du SIG, composée de douze personnes, n'aurait d'ailleurs fait aucune remarque sur l'aspect technique des dossiers pour une raison très précise : parmi les décisionnaires, "aucun n'avait une compétence internet", nous confie l'un des postulants. "On l'a senti, sur les douze personnes en face de nous, une seule avait vaguement des compétences web", mais sans nécessairement avoir le bagage technique suffisant pour évaluer toute l'architecture d'un projet de cette taille.
C'est donc l'aspect rédactionnel qui aurait été privilégié dans le choix du prestataire, et non l'aspect technique, "qui est un pré-requis puisque chacun des candidats s'est bien évidemment engagé à ce que le site fonctionne", explique ce candidat à l’appel d’offres. Voilà pourquoi l'agence Modedemploi, plutôt réputée avant cette mésaventure France.fr, a été choisie. Créée il y a dix ans, l'entreprise était spécialisée jusqu'à présent dans la production de contenus pédagogiques avant d'entamer un virage vers la communication.
En revanche, la société n’avait jamais géré un projet web de cette ampleur, avec toutes les connaissances techniques nécessaires pour mener à bien le projet. "Quand on fait de petits sites web, on peut bidouiller du code", nous explique un webmaster, mais sur ce type de projet, il faut être accompagné d’une équipe technique extérieure. Alertée sur quelques bizarreries de programmation, Modedemploi n’aurait pas tenu compte de certaines remarques de la part de ses prestataires. Ce raté était-il prévisible ? Contacté par @si, la société Modedemploi n'a pas souhaité répondre à nos questions, nous renvoyant vers le SIG.
"Le SIG a une capacité de nuisance contre lequel une petite société ne peut pas aller"
Du côté du SIG, on se refuse à mettre en cause Modedemploi. Contacté par @si, le directeur du SIG, Thierry Saussez, assure que la société a fait "du bon boulot" même s'il reconnaît que ses services "se sont trop concentrés sur le contenu et pas assez sur la technique". "On l'a négligé, nous n'avons pas été assez vigilants", nous a-t-il expliqué. Aujourd'hui, le SIG cherche un nouvel hébergeur et travaille avec "le ban et l'arrière ban de la communauté Drupal pour régler les problèmes", a-t-il ajouté, sans se rendre compte qu’il venait de reconnaître implicitement qu’il y avait bien des problèmes dans la programmation du site élaborée par Modedemploi.
Seule mise en cause, la société Cyberscope qui hébergeait le site n'a pourtant pas souhaité réagir. Un observateur qui connaît bien le dossier assure que le "SIG a une capacité de nuisance contre lequel une petite société ne peut pas aller". Jamais citée dans un communiqué, Modedemploi a quant à elle réussi à passer entre les gouttes de la polémique. Sans doute est-ce une manière pour le SIG de se dédouaner de toute erreur de casting en rejetant la faute sur un prestataire extérieur, l'hébergeur, tout en ménageant la société ayant remporté l'appel d'offres et qui a produit tout le contenu d'un site qui devrait réouvrir... prochainement ?!
http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=3218
"Sur les douze personnes de la commission, un seul compétent web"
C'est l'un des plus beaux ratés de la communication gouvernementale sur le web. Le projet France.fr était pourtant très ambitieux sur le papier : "Faire de la promotion de la France une grande cause nationale", selon la brochure de présentation. Las, moins de vingt-quatre heures après sa mise en ligne, le site était indisponible, officiellement en raison d'un trop grand nombre de connexions. Comment expliquer un pareil fiasco alors que le Service d'Information du Gouvernement (SIG) qui a piloté le projet a déjà dépensé 862.000 euros ? Officiellement, il s'agit d'un simple problème d'hébergement. Mais certaines sources nous ont livré une toute autre version.
France.fr indisponible jusqu'à la fin août : les premières explications ne sont pas convaincantes
Le symbole était beau : le 14 juillet, jour de la fête nationale, le Service d'information du gouvernement mettait en ligne le portail internet France.fr. Mais celui-ci n'a pas tenu vingt-quatre heures. Après avoir constaté de nombreux dysfonctionnements, le SIG a décidé de fermer le site à 15h30. Au JDD, le directeur du SIG, Thierry Saussez, a expliqué dès le lendemain qu'il y avait eu un trop grand nombre de connexions : dès le matin, "le cap des 25.000 était franchi, provoquant la paralysie du serveur". L'hébergeur, la société Cyberscope, est aussitôt mis en cause par Bruno Denoyelle, l'un des responsables du projet au SIG : "Nous sommes confrontés à un problème technique. (...) Il y a un problème dans la configuration des serveurs qui vient de notre hébergeur Cyberscope, la société qui a conçu le site et qui est installée à Poitiers", a-t-il déclaré à l'AFP.
En réalité, ces explications soulèvent plus de questions qu'elles n'apportent de réponses. Le site France.fr utilise le CMS Drupal, un système de gestion de site très connu, utilisé entre autres par Rue89 et Mediapart. Interrogé par Lemonde.fr, un développeur spécialiste de Drupal s'étonne des raisons avancées par le SIG : "Un site de cette nature qui 'tombe' avec seulement 25.000 connexions, c'est très peu. Même avec le double de visites, cela n'expliquerait pas une telle panne". En effet, il y a une solution relativement simple pour éviter ce type de déconvenue : "Les sites Internet à fort trafic utilisent un système appelé le "cache" : ils enregistrent une version "statique" des pages du site, pour épargner au serveur la nécessité de recalculer son contenu. C'est en utilisant une page de ce type que Mediapart a pu rendre son site à nouveau accessible lors des forts pics de connexion", explique Damien Leloup, journaliste en charge des nouvelles technologies au Monde.fr.
Pourquoi ce même système n'a-t-il pas été mis en place pour France.fr ? Comment se fait-il que le site ait été bloqué avec un tel trafic alors qu'il disposait de 11 serveurs, quand Mediapart a pu tenir face à des pics d'audience équivalents avec seulement 4 serveurs ? Ce ne serait pas qu'une simple question d'hébergement...
A Cyberscope l'hébergement, à Modedemploi toute la conception du site
Dans les communiqués du SIG, seul l'hébergeur, c'est-à-dire la société Cyberscope, est cité. Pourtant, comme le confirme la brochure de présentation du projet, ce n'est pas elle qui a décroché l'appel d'offres mais la société Modedemploi. Cette boite de communication a été choisie pour piloter le projet France.fr de A à Z : conception du site, production de contenus, choix de l'hébergeur. La société, basée à Levallois-Perret (92), était donc l'unique interlocuteur du SIG.
Selon la version officielle, le fiasco serait lié à un double problème technique : "Un problème dans la configuration des serveurs" de Cyberscope, selon SIG, et à un défaut de la base de données qui "a été construite d'une manière qui ne correspond pas à l'usage", d'après un responsable de Cyberscope cité dans la même dépêche AFP. Traduction : le SIG accuse l'hébergeur, l'hébergeur remet en cause la conception du site. La nuance est de taille puisque ce n'est pas Cyberscope qui a conçu le site sous Drupal, comme l'indiquait par erreur un responsable du SIG à l'AFP, mais la société Modedemploi, Cyberscope n'étant dans ce projet que simple hébergeur.
Or, d'après une source proche du dossier, contrairement à ce qui est écrit un peu partout dans la presse, ce ne serait pas un problème d'hébergement mais plutôt de conception du site qui expliquerait le plantage et surtout le délai important (on parle maintenant de fin août) avant sa réouverture. En effet, techniquement, le changement d'hébergeur n'est pas une opération très complexe, comme l’ont relevé plusieurs webmasters sur différents blogs et forums. Même si le SIG doit respecter des procédures administratives plus ou moins lourdes (en passant notamment par l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information), le délai de six semaines, voire plus, ne peut se comprendre que si toute l'architecture technique du site est en train d'être refaite. Selon nos informations, l'hébergeur aurait bien respecté le cahier des charges et avait les capacités techniques, c'est-à-dire le nombre de serveurs suffisants, pour assumer la charge de connexions du site. En revanche, dans l'élaboration de la base de données Drupal, tout n'aurait pas été optimisé au maximum par Modedemploi, plus connu pour la production de contenus que pour la réalisation de sites web.
Ce fiasco pose bien évidemment la question du choix des prestataires, et notamment de Modedemploi, sélectionné après appel d'offres, par le SIG. Pourquoi, avec un tel budget - 862.000 euros ont déjà été dépensés -, le SIG ne s'est-il pas assuré de la solidité technique de ses prestataires ?
Appel d'offres du SIG : "Aucun n'avait une compétence technique internet" pour juger les dossiers
Contacté par @si, l'un des postulants à l'appel d'offres nous a raconté les coulisses de la procédure. A l’origine, la difficulté de ce projet ne résidait pas dans la conception du site, puisqu'il s'agissait d'un simple site de contenus, mais dans la production de ces contenus (articles, notices, annuaire), qui était colossale. Sur les 862.000 euros annoncés pour le lancement de France.fr, la partie technique ne représenterait qu'environ 200.000 euros. Lors des auditions des différents candidats à l'appel d'offres, la commission du SIG, composée de douze personnes, n'aurait d'ailleurs fait aucune remarque sur l'aspect technique des dossiers pour une raison très précise : parmi les décisionnaires, "aucun n'avait une compétence internet", nous confie l'un des postulants. "On l'a senti, sur les douze personnes en face de nous, une seule avait vaguement des compétences web", mais sans nécessairement avoir le bagage technique suffisant pour évaluer toute l'architecture d'un projet de cette taille.
C'est donc l'aspect rédactionnel qui aurait été privilégié dans le choix du prestataire, et non l'aspect technique, "qui est un pré-requis puisque chacun des candidats s'est bien évidemment engagé à ce que le site fonctionne", explique ce candidat à l’appel d’offres. Voilà pourquoi l'agence Modedemploi, plutôt réputée avant cette mésaventure France.fr, a été choisie. Créée il y a dix ans, l'entreprise était spécialisée jusqu'à présent dans la production de contenus pédagogiques avant d'entamer un virage vers la communication.
En revanche, la société n’avait jamais géré un projet web de cette ampleur, avec toutes les connaissances techniques nécessaires pour mener à bien le projet. "Quand on fait de petits sites web, on peut bidouiller du code", nous explique un webmaster, mais sur ce type de projet, il faut être accompagné d’une équipe technique extérieure. Alertée sur quelques bizarreries de programmation, Modedemploi n’aurait pas tenu compte de certaines remarques de la part de ses prestataires. Ce raté était-il prévisible ? Contacté par @si, la société Modedemploi n'a pas souhaité répondre à nos questions, nous renvoyant vers le SIG.
"Le SIG a une capacité de nuisance contre lequel une petite société ne peut pas aller"
Du côté du SIG, on se refuse à mettre en cause Modedemploi. Contacté par @si, le directeur du SIG, Thierry Saussez, assure que la société a fait "du bon boulot" même s'il reconnaît que ses services "se sont trop concentrés sur le contenu et pas assez sur la technique". "On l'a négligé, nous n'avons pas été assez vigilants", nous a-t-il expliqué. Aujourd'hui, le SIG cherche un nouvel hébergeur et travaille avec "le ban et l'arrière ban de la communauté Drupal pour régler les problèmes", a-t-il ajouté, sans se rendre compte qu’il venait de reconnaître implicitement qu’il y avait bien des problèmes dans la programmation du site élaborée par Modedemploi.
Seule mise en cause, la société Cyberscope qui hébergeait le site n'a pourtant pas souhaité réagir. Un observateur qui connaît bien le dossier assure que le "SIG a une capacité de nuisance contre lequel une petite société ne peut pas aller". Jamais citée dans un communiqué, Modedemploi a quant à elle réussi à passer entre les gouttes de la polémique. Sans doute est-ce une manière pour le SIG de se dédouaner de toute erreur de casting en rejetant la faute sur un prestataire extérieur, l'hébergeur, tout en ménageant la société ayant remporté l'appel d'offres et qui a produit tout le contenu d'un site qui devrait réouvrir... prochainement ?!
http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=3218
Re: Actualisation mensuelle, du nouveau
Ce raté correspont parfaitement à ce gouvernement je trouve : ça se bouscule pour la com' mais il n'y a personne pour que ça suive derrière. Grandes gueules et incompétence. Le bling bling du président a été déplacé vers un bling bling de propagande appelé "pédagogie" ou "service d'information". Plouf plouf.
Re: Actualisation mensuelle, du nouveau
"Grand diseux, petit faiseux" comme on dit en LIMOUSIN.surtout petit et diseux dans ce cas précisdiety a écrit :Ce raté correspont parfaitement à ce gouvernement je trouve : ça se bouscule pour la com' mais il n'y a personne pour que ça suive derrière. Grandes gueules et incompétence. Le bling bling du président a été déplacé vers un bling bling de propagande appelé "pédagogie" ou "service d'information". Plouf plouf.

Re: Actualisation mensuelle, du nouveau
Idem dans le NordGrand diseux, petit faiseux" comme on dit en LIMOUSIN

Re: Actualisation mensuelle, du nouveau
Merci pour cette information ..
Je l'apprécie tellement .. Merci encore

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