partir à l'étranger
partir à l'étranger
bonjour,
actuellement en CDI , je souhaite partir à l'étranger pour y suivre une formation longue ( 1 an ) et mon patron s'y oppose.
j'envisage eventuellement de quitter mon employeur ( comment ? ) et de financer moi même cette formation
à priori il n'est pas possible de toucher les allocations chomage dans ce cas.
merci par avance pour vos conseils .
actuellement en CDI , je souhaite partir à l'étranger pour y suivre une formation longue ( 1 an ) et mon patron s'y oppose.
j'envisage eventuellement de quitter mon employeur ( comment ? ) et de financer moi même cette formation
à priori il n'est pas possible de toucher les allocations chomage dans ce cas.
merci par avance pour vos conseils .
Re: formation longue à l'étranger
Bonjour,
Si vous démissionnez, pas d'allocation pendant 4 mois, mieux vaut réfléchir suivant votre situation. Il faut l'accord de pôle emploi pour une formation à l'étranger et qu'elle soit agréée, sinon par définition vous n'êtes pas disponible pour chercher un emploi en France.
Nous avons des agents qui passent ici et pourront vous répondre plus précisément.
Si vous démissionnez, pas d'allocation pendant 4 mois, mieux vaut réfléchir suivant votre situation. Il faut l'accord de pôle emploi pour une formation à l'étranger et qu'elle soit agréée, sinon par définition vous n'êtes pas disponible pour chercher un emploi en France.
Nous avons des agents qui passent ici et pourront vous répondre plus précisément.
Re: formation longue à l'étranger
Bonjour,actuellement en CDI , je souhaite partir à l'étranger pour y suivre une formation longue ( 1 an ) et mon patron s'y oppose.
j'envisage eventuellement de quitter mon employeur ( comment ? ) et de financer moi même cette formation
à priori il n'est pas possible de toucher les allocations chomage dans ce cas.
merci par avance pour vos conseils
Avez vous fait officiellement une demande de congé sabatique?
voir lien info ci dessous
http://www.travail-solidarite.gouv.fr/i ... sommaire_4
Re: formation longue à l'étranger
Bien vu Hubert ! Congé sabbatique, ça fait un peu congrès de sorcières 

Re: formation longue à l'étranger
Bonjourmaguy a écrit :Bonjour,
Si vous démissionnez, pas d'allocation pendant 4 mois, mieux vaut réfléchir suivant votre situation. Il faut l'accord de pôle emploi pour une formation à l'étranger et qu'elle soit agréée, sinon par définition vous n'êtes pas disponible pour chercher un emploi en France.
Nous avons des agents qui passent ici et pourront vous répondre plus précisément.
POLE EMPLOI ne conventionne ni ne valide aucune formation à l'étranger. Sachant qu'il faut aussi rester sur son territoire de résidence pour rester inscrit, il n'y a pas non plus de passage en commission à 4 mois.
Seule solution à long terme : faire une rupture conventionnelle, auto financer son séjour et sa formation à l'étranger et s'inscrire à PE dans les 12 mois de la fin du contrat de travail pour faire ouvrir des droits à ce moment là.
Re: formation longue à l'étranger
merci pour vos réponses et commentaires
il faut être trés motivé et avoir de l'argent de côté si l'on veut se former à l'étranger et maitriser ainsi une seconde langue
il faut être trés motivé et avoir de l'argent de côté si l'on veut se former à l'étranger et maitriser ainsi une seconde langue
partir a l etranger quand on est au chomage
bonjour
voila ma situation , a la fin du mois je suis au chomage et je compte partir a l '
étranger pour un long moments , comment dois je faire si il m appel pour un entretien , car je ne serai pas en France ?!
MERCI
voila ma situation , a la fin du mois je suis au chomage et je compte partir a l '
étranger pour un long moments , comment dois je faire si il m appel pour un entretien , car je ne serai pas en France ?!
MERCI
Re: partir a l etranger quand on est au chomage
On en parlait ici pas plus tard que samedi :
http://www.actuchomage.org/forum/index. ... =viewtopic
(Pour plus de clarté, je vais fusionner vos topics d'ici un jour ou deux.)
Pôle Emploi verse ses allocations aux chômeurs qui résident en France et sont disponibles pour se présenter aux convocations.
Si tu ne pars pas tout de suite, inscris-toi : tes droits seront ouverts et commenceront à courir.
Puis, quand tu partiras, tes allocations seront suspendues et tu retrouveras tes droits en rentrant.
http://www.actuchomage.org/forum/index. ... =viewtopic
(Pour plus de clarté, je vais fusionner vos topics d'ici un jour ou deux.)
Pôle Emploi verse ses allocations aux chômeurs qui résident en France et sont disponibles pour se présenter aux convocations.
Si tu ne pars pas tout de suite, inscris-toi : tes droits seront ouverts et commenceront à courir.
Puis, quand tu partiras, tes allocations seront suspendues et tu retrouveras tes droits en rentrant.
Re: partir a l etranger quand on est au chomage
Bonjour,
Attention de ne pas dépasser certains délais article 7 §1( ouverture des droits) et 9 §2 (reprise des droits)
Art. 7 - du règlement général
§ 1er - La fin du contrat de travail prise en considération pour l’ouverture des droits doit se situer dans un délai de 12 mois dont le terme est l’inscription comme demandeur d’emploi.
§ 2 - La période de 12 mois est allongée :
a) des journées d’interruption de travail ayant donné lieu au service des prestations en espèces de l’assurance maladie, des indemnités journalières de repos de l’assurance maternité au titre des assurances sociales, des indemnités journalières au titre d’un congé de paternité, des indemnités journalières au titre d’un accident de travail ou d’une maladie professionnelle ;
b) des périodes durant lesquelles une pension d’invalidité de 2e ou 3e catégorie au sens de l’article L. 341-4 du code de la sécurité sociale, ou au sens de toute autre disposition prévue par les régimes spéciaux ou autonomes de sécurité sociale, ou d'une pension d’invalidité acquise à l’étranger a été servie ;
c) des périodes durant lesquelles ont été accomplies des obligations contractées à l’occasion du service national, en application de l’article L. 111-2, 1er et 2e alinéas, du code du service national ;
d) des périodes de stage de formation professionnelle continue visée aux Livres Troisième et Quatrième de la Sixième Partie du code du travail ;
e) des périodes durant lesquelles l’intéressé a fait l’objet d’une mesure d’incarcération qui s’est prolongée au plus 3 ans après la rupture du contrat de travail survenue pendant la période de privation de liberté ;
f) des périodes suivant la rupture du contrat de travail intervenue dans les conditions définies aux articles L. 1225-66 et L. 1225-67 du code du travail lorsque l’intéressé n’a pu être réembauché dans les conditions prévues par cet article ;
g) des périodes de congé parental d’éducation obtenu dans les conditions fixées par les articles L. 1225-47 à L. 1225-51 du code du travail, lorsque l’intéressé a perdu son emploi au cours de ce congé ;
h) des périodes de congé pour la création d’entreprise ou de congé sabbatique obtenu dans les conditions fixées par les articles L. 3142-78 à L. 3142-83, L. 3142-91 à L. 3142-94 et L. 3142-96 du code du travail ;
i) de la durée des missions confiées par suffrage au titre d’un mandat électif, politique ou syndical exclusif d’un contrat de travail ;
j) des périodes de versement de l'allocation parentale d'éducation ou du complément de libre choix d'activité de la prestation d'accueil du jeune enfant, suite à une fin de contrat de travail ;
k) des périodes de congés d’enseignement ou de recherche obtenu dans les conditions fixées par les articles L. 6322-53 à L. 6322-58 du code du travail, lorsque l’intéressé a perdu son emploi au cours de ce congé ;
l) de la durée des missions accomplies dans le cadre d’un ou plusieurs contrats de volontariat de solidarité internationale, ou de volontariat associatif ;
m) des périodes de versement de l’allocation de présence parentale visée à l’article L. 544-1 du code de la sécurité sociale suite à une fin de contrat de travail ;
n) des périodes de congé de présence parentale obtenu dans les conditions fixées par les articles L. 1225-62 et L. 1225-63 du code du travail, lorsque l’intéressé a perdu son emploi au cours de ce congé.
§ 3 - La période de 12 mois est en outre allongée des périodes durant lesquelles l’intéressé :
a) a assisté un handicapé
- dont l’incapacité permanente était telle qu’il percevait - ou aurait pu percevoir, s’il ne recevait pas déjà à ce titre un avantage de vieillesse ou d’invalidité - l’allocation aux adultes handicapés visée par l’article L. 821-1 du code de la sécurité sociale ;
- et dont l’état nécessitait l’aide effective d’une tierce personne justifiant l’attribution de l’allocation compensatrice ou de la prestation de compensation visée à l’article L. 245-1 du code de l’action sociale et des familles ;
b) a été conduit à démissionner pour accompagner son conjoint qui s’était expatrié pour occuper un emploi salarié ou une activité professionnelle non salariée hors du champ d’application visé à l’article 4 de la convention.
L’allongement prévu dans les cas visés au présent paragraphe est limité à 3 ans.
§ 4 - La période de 12 mois est en outre allongée :
a) des périodes de congé obtenu pour élever un enfant en application de dispositions contractuelles ;
b) des périodes durant lesquelles l’intéressé a créé ou repris une entreprise.
L’allongement prévu dans les cas visés au présent paragraphe est limité à 2 ans.
http://www.unedic.org/Textes/reglement- ... vrier-2009
Art. 9 -
§ 1er - L’ouverture d’une nouvelle période d’indemnisation ou réadmission est subordonnée à la condition que le salarié satisfasse aux conditions précisées aux articles 3 et 4 au titre d’une ou plusieurs activités exercées postérieurement à la fin du contrat de travail précédemment prise en considération pour l’ouverture des droits.
Seules sont prises en considération les activités qui ont été déclarées chaque mois à terme échu dans les conditions définies par un accord d’application.
§ 2 - Le salarié privé d’emploi qui a cessé de bénéficier du service des allocations, alors que la période d’indemnisation précédemment ouverte n’était pas épuisée, et qui n’a pas acquis de nouveaux droits en application du § 1er ci-dessus, bénéficie d’une reprise de ses droits, c’est-à-dire du reliquat de cette période d’indemnisation, après application, le cas échéant, de l’article 12 dès lors que :
a) le temps écoulé depuis la date d’admission à la période d’indemnisation considérée n’est pas supérieur à la durée de cette période augmentée de 3 ans de date à date ;
b) il n’a pas renoncé volontairement à la dernière activité professionnelle salariée éventuellement exercée, sauf cas prévus par un accord d’application. Cette condition n’est toutefois pas opposable aux salariés privés d’emploi qui peuvent recevoir le reliquat d’une période d’indemnisation leur donnant droit au service des allocations jusqu’à l’âge où ils ont droit à la retraite et au plus tard jusqu’à 65 ans.
je compte partir a l 'étranger pour un long moments
Attention de ne pas dépasser certains délais article 7 §1( ouverture des droits) et 9 §2 (reprise des droits)
Art. 7 - du règlement général
§ 1er - La fin du contrat de travail prise en considération pour l’ouverture des droits doit se situer dans un délai de 12 mois dont le terme est l’inscription comme demandeur d’emploi.
§ 2 - La période de 12 mois est allongée :
a) des journées d’interruption de travail ayant donné lieu au service des prestations en espèces de l’assurance maladie, des indemnités journalières de repos de l’assurance maternité au titre des assurances sociales, des indemnités journalières au titre d’un congé de paternité, des indemnités journalières au titre d’un accident de travail ou d’une maladie professionnelle ;
b) des périodes durant lesquelles une pension d’invalidité de 2e ou 3e catégorie au sens de l’article L. 341-4 du code de la sécurité sociale, ou au sens de toute autre disposition prévue par les régimes spéciaux ou autonomes de sécurité sociale, ou d'une pension d’invalidité acquise à l’étranger a été servie ;
c) des périodes durant lesquelles ont été accomplies des obligations contractées à l’occasion du service national, en application de l’article L. 111-2, 1er et 2e alinéas, du code du service national ;
d) des périodes de stage de formation professionnelle continue visée aux Livres Troisième et Quatrième de la Sixième Partie du code du travail ;
e) des périodes durant lesquelles l’intéressé a fait l’objet d’une mesure d’incarcération qui s’est prolongée au plus 3 ans après la rupture du contrat de travail survenue pendant la période de privation de liberté ;
f) des périodes suivant la rupture du contrat de travail intervenue dans les conditions définies aux articles L. 1225-66 et L. 1225-67 du code du travail lorsque l’intéressé n’a pu être réembauché dans les conditions prévues par cet article ;
g) des périodes de congé parental d’éducation obtenu dans les conditions fixées par les articles L. 1225-47 à L. 1225-51 du code du travail, lorsque l’intéressé a perdu son emploi au cours de ce congé ;
h) des périodes de congé pour la création d’entreprise ou de congé sabbatique obtenu dans les conditions fixées par les articles L. 3142-78 à L. 3142-83, L. 3142-91 à L. 3142-94 et L. 3142-96 du code du travail ;
i) de la durée des missions confiées par suffrage au titre d’un mandat électif, politique ou syndical exclusif d’un contrat de travail ;
j) des périodes de versement de l'allocation parentale d'éducation ou du complément de libre choix d'activité de la prestation d'accueil du jeune enfant, suite à une fin de contrat de travail ;
k) des périodes de congés d’enseignement ou de recherche obtenu dans les conditions fixées par les articles L. 6322-53 à L. 6322-58 du code du travail, lorsque l’intéressé a perdu son emploi au cours de ce congé ;
l) de la durée des missions accomplies dans le cadre d’un ou plusieurs contrats de volontariat de solidarité internationale, ou de volontariat associatif ;
m) des périodes de versement de l’allocation de présence parentale visée à l’article L. 544-1 du code de la sécurité sociale suite à une fin de contrat de travail ;
n) des périodes de congé de présence parentale obtenu dans les conditions fixées par les articles L. 1225-62 et L. 1225-63 du code du travail, lorsque l’intéressé a perdu son emploi au cours de ce congé.
§ 3 - La période de 12 mois est en outre allongée des périodes durant lesquelles l’intéressé :
a) a assisté un handicapé
- dont l’incapacité permanente était telle qu’il percevait - ou aurait pu percevoir, s’il ne recevait pas déjà à ce titre un avantage de vieillesse ou d’invalidité - l’allocation aux adultes handicapés visée par l’article L. 821-1 du code de la sécurité sociale ;
- et dont l’état nécessitait l’aide effective d’une tierce personne justifiant l’attribution de l’allocation compensatrice ou de la prestation de compensation visée à l’article L. 245-1 du code de l’action sociale et des familles ;
b) a été conduit à démissionner pour accompagner son conjoint qui s’était expatrié pour occuper un emploi salarié ou une activité professionnelle non salariée hors du champ d’application visé à l’article 4 de la convention.
L’allongement prévu dans les cas visés au présent paragraphe est limité à 3 ans.
§ 4 - La période de 12 mois est en outre allongée :
a) des périodes de congé obtenu pour élever un enfant en application de dispositions contractuelles ;
b) des périodes durant lesquelles l’intéressé a créé ou repris une entreprise.
L’allongement prévu dans les cas visés au présent paragraphe est limité à 2 ans.
http://www.unedic.org/Textes/reglement- ... vrier-2009
Art. 9 -
§ 1er - L’ouverture d’une nouvelle période d’indemnisation ou réadmission est subordonnée à la condition que le salarié satisfasse aux conditions précisées aux articles 3 et 4 au titre d’une ou plusieurs activités exercées postérieurement à la fin du contrat de travail précédemment prise en considération pour l’ouverture des droits.
Seules sont prises en considération les activités qui ont été déclarées chaque mois à terme échu dans les conditions définies par un accord d’application.
§ 2 - Le salarié privé d’emploi qui a cessé de bénéficier du service des allocations, alors que la période d’indemnisation précédemment ouverte n’était pas épuisée, et qui n’a pas acquis de nouveaux droits en application du § 1er ci-dessus, bénéficie d’une reprise de ses droits, c’est-à-dire du reliquat de cette période d’indemnisation, après application, le cas échéant, de l’article 12 dès lors que :
a) le temps écoulé depuis la date d’admission à la période d’indemnisation considérée n’est pas supérieur à la durée de cette période augmentée de 3 ans de date à date ;
b) il n’a pas renoncé volontairement à la dernière activité professionnelle salariée éventuellement exercée, sauf cas prévus par un accord d’application. Cette condition n’est toutefois pas opposable aux salariés privés d’emploi qui peuvent recevoir le reliquat d’une période d’indemnisation leur donnant droit au service des allocations jusqu’à l’âge où ils ont droit à la retraite et au plus tard jusqu’à 65 ans.
Re: partir a l etranger quand on est au chomage
Partir, c'est mourir un peu… pour Pôle Emploi
Les textes sont précis. Il faut donc s'y conformer.
Mais partir "s'installer à l'étranger" tout en touchant ses allocs, ce n'est pas trop tenable.
À moins d'avoir un-E ami-E qui assure la liaison (entre les convocations Pôle Emploi et vous-même), que vous avez la possibilité de revenir rapidement (pour pas trop cher) et de justifier vos recherches "actives" d'emploi.
Si vous êtes en Belgique, en Angleterre, en Italie ou Espagne, ça peut le faire.
Si vous êtes en Argentine ou au Vietnam, c'est plus compliqué… et onéreux !
Et attention au bronzage ! Si vous êtes convoquée en plein mois de janvier et que vous arrivez à votre entretien bronzée de la tête aux pieds.
La question ne se pose évidemment pas si vous êtes une femme de couleur.
PS : Pour l'entretien, ils vous appellent rarement. Ça se passe généralement par écrit (donc votre "agent de liaison" doit relever et ouvrir votre courrier).

Les textes sont précis. Il faut donc s'y conformer.
Mais partir "s'installer à l'étranger" tout en touchant ses allocs, ce n'est pas trop tenable.
À moins d'avoir un-E ami-E qui assure la liaison (entre les convocations Pôle Emploi et vous-même), que vous avez la possibilité de revenir rapidement (pour pas trop cher) et de justifier vos recherches "actives" d'emploi.
Si vous êtes en Belgique, en Angleterre, en Italie ou Espagne, ça peut le faire.
Si vous êtes en Argentine ou au Vietnam, c'est plus compliqué… et onéreux !

Et attention au bronzage ! Si vous êtes convoquée en plein mois de janvier et que vous arrivez à votre entretien bronzée de la tête aux pieds.

La question ne se pose évidemment pas si vous êtes une femme de couleur.

PS : Pour l'entretien, ils vous appellent rarement. Ça se passe généralement par écrit (donc votre "agent de liaison" doit relever et ouvrir votre courrier).
Re: partir a l etranger quand on est au chomage
Yves a raison, ce ne sera pas tenable à l'étranger. Déjà quand les convocations arrivent par courrier même à Paris intra-muro, elles arrivent souvent au dernier moment... quand elles arrivent !
De plus, il faut garder une adresse en France et c'est seulement possible si on est encore chez ses parents par exemple.
Il faut prouver qu'on habite quelque part aussi.
On a parfois l'impression que l'herbe est plus verte ailleurs, mais c'est un leurre, le merdier est mondialisé et ils n'attendent pas forcément après les immigrés, même avec la French Touch !
Mieux vaut réfléchir à deux fois et savoir où on met les pieds et dans quelles conditions, sinon le retour à la case départ peut être très douloureux et très cher si pôle emploi s'aperçoit de la fraude (car c'en est une).
De plus, il faut garder une adresse en France et c'est seulement possible si on est encore chez ses parents par exemple.
Ce n'est pas si simple. Les étrangers n'accorderont qu'un permis de séjour limité et demanderont des preuves qu'on a un travail, qu'on cotise à une caisse maladie etche ben en tout les cas le conseil que je vous donne est de partir, si tel est votre désir! pôle emploi ou pas ! on s'en fout en fait, allez au bout de votre désir!
Il faut prouver qu'on habite quelque part aussi.
On a parfois l'impression que l'herbe est plus verte ailleurs, mais c'est un leurre, le merdier est mondialisé et ils n'attendent pas forcément après les immigrés, même avec la French Touch !
Mieux vaut réfléchir à deux fois et savoir où on met les pieds et dans quelles conditions, sinon le retour à la case départ peut être très douloureux et très cher si pôle emploi s'aperçoit de la fraude (car c'en est une).
Re: partir a l etranger quand on est au chomage
"Ce n'est pas si simple. Les étrangers n'accorderont qu'un permis de séjour limité et demanderont des preuves qu'on a un travail, qu'on cotise à une caisse maladie etc
Il faut prouver qu'on habite quelque part aussi."
effectivement un visa est limite en tourisme
il y a des pays qui ont un accord avec la france qui demande juste la carte d'identite
Il faut prouver qu'on habite quelque part aussi."
effectivement un visa est limite en tourisme
il y a des pays qui ont un accord avec la france qui demande juste la carte d'identite
Re: partir a l etranger quand on est au chomage
Un collègue de mon ancienne boite, commercial grassement payé (mais mérité), avait fait le tour du monde en 2005, financé par son chômage. Un ami à lui se chargeait de relever son courrier et des convocations tous les 6 mois.
Heureusement je crois qu'avec les changements des dernières années, ces abus ne doivent plus être possible, ce qui n'est pas plus mal.
Heureusement je crois qu'avec les changements des dernières années, ces abus ne doivent plus être possible, ce qui n'est pas plus mal.
Re: partir a l etranger quand on est au chomage
Kariboo, c'est fini ce temps ! On peut même avoir des convocations tous les 3 semaines !
Le Royaume-Uni accorde 6 mois, d'autres pays seulement 3. N'empêche qu'il faut laisser une adresse. Enfin, tout cela me parait bien utopique, sans boulot.
Le Royaume-Uni accorde 6 mois, d'autres pays seulement 3. N'empêche qu'il faut laisser une adresse. Enfin, tout cela me parait bien utopique, sans boulot.
Re: partir a l etranger quand on est au chomage
S'il méritait son gras salaire, il méritait sans doute l'allocation de chômage qu'il a eue ensuite. S'il a dépensé cette énorme allocation autour du monde, au lieu de la claquer dans des loyers français trop chers, des supermarchés français qui vendent de la marchandise à 90% étrangère, je ne vois pas où est l'abominable "abus".Un collègue de mon ancienne boite, commercial grassement payé (mais mérité), avait fait le tour du monde en 2005, financé par son chômage. Un ami à lui se chargeait de relever son courrier et des convocations tous les 6 mois.
S'il a élargi son horizon, enrichi son esprit, s'il s'est fait des amis et relations, j'y vois plutôt un intérêt qui sera peut être bénéfique pour son prochain boulot et son prochain employeur.
Par contre, quand est-ce que les abus des ministres et amis de ministres ne seront enfin plus possibles ?
