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Que ça empoisonne les légumes du type qui a mis le produit, par contre, c'est utile : ça fait des cons en moins.
J'ai remarqué que dans les quartiers "bobos" on voit se développer des magasins qui vendent du matériel pour faire de la culture hydroponique. Cela permet de cultiver des trucs en appartement sans utiliser de terre, par exemple.
J'avais remarqué un de ces magasins à Viroflay (qui n'est pas une ville de pauvres) et aujourd'hui je viens d'en remarquer un deuxième dans le XIVième arrondissement de Paris, l'arrondissement où on trouve surement le plus de "bobos" au mètre carré
Ben...pour cultiver un jardin dans le XIVème, faut déjà avoir des moyens financiers qu'un bobo n'a pas.
Alors si le bobo veut faire pousser des fraises dans de l'eau additionnée de minéraux, ça le regarde.
Je remarque que les bobos sont ces gens qui achètent bio et qui font ainsi vivre un certain nombre de petits producteurs qui produisent de bonnes choses, ne vivent pas sur un grand pied mais ont une certaine qualité de vie.
Qu'ils aient des ridicules, oui bien sûr, le genre Marie-Antoinette parfois. Eh bien je préfère ça aux imbéciles qui achètent des légumes pleins de flotte et sans goût parce que c'est pas cher, et des fruits pas mûrs et plein de pesticides et qui finalement dépensent autant que s'ils achetaient un peu moins mais en saison, et de qualité.
En tous cas certains parlementaires retraités n'ont meme pas à se lever pour toucher 6000€/mois (2000€ apres 5 ans seulement ) payés par nous apres 20ans de politique sans avoir à attendre 62 ans ou 41 années de cotise, ils peuvent meme cumuler avec un salaire de ministre 12000€ sans compter les amuse gueules de représentation... la République Impériale
A quand le coup de pompe ds tout ça? c'est qd le réveil des pigeons?
Total d'ac avec Faribole... La question est pas tant "à partir de combien" que "pour faire quoi" (s'entend quand on a la chance d'avoir encore un minimum de marge de choix).
Perso je préfère être bien moins payée à faire un taf qui me plaît, quitte à vivre chichement, que m'escrimer chaque jour à me faire violence pour un peu plus de sous... et me lever tous les matins avec cette même pensée "fais chier faut y aller". Le bien-être ne s'achète pas. Mais encore une fois encore faut-il avoir le luxe, rare aujourd'hui, de pouvoir au moins choisir... Car combien (de salariés) ont réellement la chance d'être rémunérés, bien ou pas, pour faire un métier qui leur plaît? A mon avis pas tant que ça...
Et pour beaucoup le simple fait d'avoir un boulot, quel qu'il soit, est déjà une victoire. Je dis pas qu'il faille s'en contenter et ne pas vouloir plus. Mais je crois que sans perdre de vue ses objectifs ou prétentions (salariales et/ou professionnelles) y'a un moment où il faut relativiser ses ambitions, même si c'est provisoire, pour pas péter un plomb ou finir en dépression.
S'autoriser à bosser sans perdre l'estime de soi sur un poste d'une valeur moindre (qualif, salaire...) à celle que l'on se donne(dans les limites du raisonnable qui sont personnelles à chacun!), quand l'opportunité est là et qu'il faut remplir le frigo, à mon sens ce n'est pas perdre sa dignité: au contraire, c'est la renforcer quand on a conscience de valoir mieux que ça. L 'essentiel c'est de ne pas l'oublier. Et c'est préférable pour le moral que dédaigner une occase de boulot en se jucheant sur le même "je vaux mieux que ça"... sauf que s'y rajoute le "pas question"!
Pasque le boulot au-delà du besoin alimentaire c'est aussi le lien social, rencontrer des gens et échanger avec eux (en vrai je veux dire, même si les forums c'est très bien!) plutôt que rester enfermé chez soi à ruminer sur l'hypothétique tip-top job qu'on trouve pas. Ceci dit du haut de ma petite décennie d'expérience pro aussi ecclectique que chaotique, quand j'aurais 10 piges de + j'aurais peut-être une autre vision, mais j'espère pour moi que non.
Dsl c'est long tout ça mais nouvelle venue sur le forum et beaucoup de choses à dire et envie de faire partager!
Pour les hérissons: oui, ils adorent les croquettes! Et ont une utilité parrallèle: test de QI canin. Quand ton chien vient de se piquer 10 fois la truffe dessus en essayant de l'attrapper mais qu'il persiste, tu te résignes: il est définitivement con. C'est le cas du mien. Sigh.
Pour les hérissons: oui, ils adorent les croquettes! Et ont une utilité parallèle: test de QI canin. Quand ton chien vient de se piquer 10 fois la truffe dessus en essayant de l'attraper mais qu'il persiste, tu te résignes: il est définitivement con. C'est le cas du mien. Sigh.
Ou alors on peut conclure que le hérisson est définitivement fermé à toute idée d'amitié entre les peuples...
Akhasha a écrit :Perso je préfère être bien moins payée à faire un taf qui me plaît, quitte à vivre chichement, que m'escrimer chaque jour à me faire violence pour un peu plus de sous... et me lever tous les matins avec cette même pensée "fais chier faut y aller". Le bien-être ne s'achète pas.
Au bout d'un moment, même si le job te convient, tu finis par en avoir marre de vivre chichement. Loyer, factures, bouffe, etc… le principe de réalité te rattrape, le sentiment d'injustice avec, et son corollaire : l'amertume. Car si le bien-être ne s'achète pas, il a un coût minimum.
Le "taf qui plaît" repousse juste un temps l'échéance.
Akhasha a écrit :Perso je préfère être bien moins payée à faire un taf qui me plaît, quitte à vivre chichement, que m'escrimer chaque jour à me faire violence pour un peu plus de sous... et me lever tous les matins avec cette même pensée "fais chier faut y aller". Le bien-être ne s'achète pas.
Au bout d'un moment, même si le job te convient, tu finis par en avoir marre de vivre chichement. Loyer, factures, bouffe, etc… le principe de réalité te rattrape, le sentiment d'injustice avec, et son corollaire : l'amertume. Car si le bien-être ne s'achète pas, il a un coût minimum.
Le "taf qui plaît" repousse juste un temps l'échéance.
Oui et d'engraisser un peu plus les éternels goinfres qui font joujou avec la précarité
oui évidemment, mais la solution c'est quoi? envoyer se faire f... le goinfre qui n'envisage pas de t'embaucher en te payant le salaire que tu demandes (ou pourrais demander) ou tenter sa chance sur un truc où tu t'éclates (si t'as la chance de le trouver!) en faisant ses preuves et demander une augmentation ensuite? (on peut toujours essayer )
Se laisser gagner par l'amertume et le ras le bol ou positiver autant que possible? C'est pas facile de positiver de la merde, et il faut reconnaître que les règles qui régissent actuellement le monde du travail sont dures à avaler pour les gens de bonne volonté qui ne demandent qu'à avoir l'occase d'exprimer leurs compétences. Et que la colère, le sentiment d'injustice et d'impuissance sont des réalités et sont justifiés. Mais pourrissent la vie aussi. Je préfère éviter de dépenser inutilement une énergie précieuse en me battant contre des moulins à vent et saisir les opportunités, en restant aux aguets de la perle rare qu'on cherche tous! Même s'il m'arrive souvent de pester contre les mêmes goinfres juste pasque de temps en temps ça défoule et ça fait du bien!
Transitionnel oui, mais qui permet de fausser à loisir la "valeur" d'un bien ou service... Ah quelle douce utopie, une équité parfaite et harmonieuse, sans aucun excité prêt à tout pour tirer la couverture à lui histoire d' en avoir + que les autres pasqu'il y a que comme ça qu'il se sentira exister...
Et , pas besoin de "revenir" au troc, il n'a jamais cessé. La monnaie n'est qu'un objet transitionnel.
C'était vrai tant que l'argent n'était pas prêté avec intérêts. Maintenant la monnaie est l'outil pour exploiter tout et tout le monde.
Au contraire il faut revenir au troc chaque fois que c'est possible. Il y a les SEL ; et sinon, chaque fois que vous troquez à votre gré un truc contre un autre, vous sortez du système et qu'est-ce que ça fait du bien !
) payés par nous apres 20ans de politique sans avoir à attendre 62 ans ou 41 années de cotise, ils peuvent meme cumuler avec un salaire de ministre 12000€ sans compter les amuse gueules de représentation... la République Impériale 
