Je ne comprends même pas les paroles ....
On veut éduquer les enfants avec ça ?
Pauvres enfants !
Démarchage FAI et Hadopi
Re: Démarchage FAI et Hadopi
Ah qu'elle est bien cette loi. Je retire toutes mes critiques et j'adhère à 110%. 
P.S. C'est Thierry Lhermitte le producteur de ce chef-d'oeuvre ?

P.S. C'est Thierry Lhermitte le producteur de ce chef-d'oeuvre ?
Re: Démarchage FAI et Hadopi
Il semble que ce soit France 5.C'est Thierry Lhermitte le producteur de ce chef-d'oeuvre ?
Pourquoi, pour qui, dans quel but ? on ne sait pas.
Mais c'est avec l'argent public qu'est faite cette propagande.
Autre source :les mots ont un sens a écrit :Le jeu des 7 mensonges...
Le téléchargement est présenté comme du vol ? Il s'agit en réalité de contrefaçon. HADOPI punit le téléchargement illégal ? Que nenni, la Haute Autorité ne possède de compétence qu'en ce qui concerne le défaut de sécurisation des connexions Internet. Les ayants-droit possèdent votre email et votre adresse postale ? A moins de violer la loi, ils ne possèdent que votre adresse IP, "preuve" que la justice a maintes fois jugée insuffisante (ça ne fait pas de mal de le rappeler). Le juge saisi par l'HADOPI peut condamner un jeune à deux ans de prison pour téléchargement illégal ? Pas vraiment, ce sont ses parents qui risquent trois (et non deux) ans de taule... selon une législation qui existait bien avant la loi "Création et Internet" ! Pour un film éducatif, on fait mieux. Mais passons.
Et arrêtons-nous un instant sur le commanditaire de cette petite séquence, France 5. .....
http://www.lesmotsontunsens.com/video-s ... retin-7513
http://www.ecrans.fr/Super-crapule-et-H ... 10187.html
Re: Démarchage FAI et Hadopi
Très intéressant le texte que vous citez. J'ai suivi un lien dans ce texte, voilà son contenu lui aussi très instructif. Il provient aussi du site lesmotsontunsens.com et détaille le texte que vous citez:
Hadopi : l'adresse IP est une preuve non probante, selon le ministère de la Culture
../..
Le 18 aout 2009,Michel Liebgott a posé une question écrite au ministre de la Culture. Dans sa missive, le député socialiste souligne que l'adresse IP utilisée comme preuve par l'HADOPI est aisément falsifiable par un "utilisateur moyennement confirmé", ce qui pourrait conduire des innocents à se voir sanctionner à tort. D'où la question : "quelles sont les mesures qu[e le ministère] entend mettre en oeuvre pour remédier à ce problème" ?
Il n'entend pas grand chose, le ministère...
Après cinq mois passés à tourner sa langue dans sa bouche, le rédacteur en chef du ministère (mais qui ?) a pondu une prose qui vaut son pesant de Divx. En résumé, le ministère reconnait "que la vigilance des internautes sera susceptible d'être trompée par des tiers qui usurperont leur adresse IP ou s'aviseront d'utiliser frauduleusement leur réseau Wi-Fi". Mais rassurez-vous, bonnes gens, "ces pratiques de contournement devraient rester limitées" car "certaines d'entre elles" nécessitent "des connaissances informatiques inconnues du plus grand nombre". De plus, ces agissements (contrefaçon et usurpation d'identité) sont réprimés par la loi. Nous voilà rassurés...
La charge de la preuve
D'autre part, dans sa grande bonté, la Haute Autorité mentionnera, dans ses courriels d'avertissement, "l'existence de moyens de sécurisation". Et si tout cela n'y suffit pas, les "victimes d'une usurpation de leur adresse IP pourront faire valoir des observations auprès de la Haute Autorité", qui seront alors étudiées par le juge, "seul à même de prononcer une peine de suspension de l'accès à Internet". En conclusion de sa bafouille, le ministère précise que la "charge de la poursuite et celle de la preuve incomberont ainsi au ministère public". Point de "présomption de culpabilité", donc... Ouf !
On résume
Pour le ministère, n'importe quel internaute du dimanche peut se voir sanctionner à tort, à cause de grands méchants hackers super-intelligents (en fait, c'est à la portée de tout le monde). Mais c'est interdit (ça calme, heinh) ! De plus, les emails d'avertissement conseilleront les victimes sur les armes de protection massive à déployer (on attend la liste avec impatience), et pour finir, elles pourront se plaindre ! C'est là que les choses vont devenir amusantes : Pour schématiser, le juge se retrouvera avec une liste d'adresses IP soigneusement relevées par de très sérieux agents assermentés dans la main droite, et dans l'autre, de simples "observations" de victimes écrites avec les moyens du bord ("C'est pas moi, M'sieur, j'vous jure sur la tête de mon ministre que j'ai installé le parefeu d'OpenOffice ![1]"). Mais entre les deux, aucune preuve formelle, comme vient de le reconnaître le ministère.
[1]Allusion à la super gaffe de Mme Albanel de sa super incompétence concernant l'informatique et internet
../..
L'UMP, repaire de pirates récidivistes : Février 2009, le parti pirate une chanson du groupe MGMT pour les besoins d'un meeting. Octobre 2009, l'Elysée duplique sans autorisation des DVD en prenant soin de remplacer les mentions de copyright, évidemment. Décembre 2009, les jeunesses sarkozyennes contrefont une chanson québecoise pour mettre en musique un lip dub devenu cu-culte. Janvier 2010, le logo d'Hadopi viole le copyright d'une typographie sous licence. Cette semaine, Luc Chatel est accusé d'avoir copié sans autorisation le contenu d'un site Internet et le ministre Eric Besson est assigné en justice pour contrefaçon... Qu'est-ce qu'on les aime, les artistes, à l'UMP ! Mazette !
Hadopi : l'adresse IP est une preuve non probante, selon le ministère de la Culture
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Le 18 aout 2009,Michel Liebgott a posé une question écrite au ministre de la Culture. Dans sa missive, le député socialiste souligne que l'adresse IP utilisée comme preuve par l'HADOPI est aisément falsifiable par un "utilisateur moyennement confirmé", ce qui pourrait conduire des innocents à se voir sanctionner à tort. D'où la question : "quelles sont les mesures qu[e le ministère] entend mettre en oeuvre pour remédier à ce problème" ?
Il n'entend pas grand chose, le ministère...
Après cinq mois passés à tourner sa langue dans sa bouche, le rédacteur en chef du ministère (mais qui ?) a pondu une prose qui vaut son pesant de Divx. En résumé, le ministère reconnait "que la vigilance des internautes sera susceptible d'être trompée par des tiers qui usurperont leur adresse IP ou s'aviseront d'utiliser frauduleusement leur réseau Wi-Fi". Mais rassurez-vous, bonnes gens, "ces pratiques de contournement devraient rester limitées" car "certaines d'entre elles" nécessitent "des connaissances informatiques inconnues du plus grand nombre". De plus, ces agissements (contrefaçon et usurpation d'identité) sont réprimés par la loi. Nous voilà rassurés...
La charge de la preuve
D'autre part, dans sa grande bonté, la Haute Autorité mentionnera, dans ses courriels d'avertissement, "l'existence de moyens de sécurisation". Et si tout cela n'y suffit pas, les "victimes d'une usurpation de leur adresse IP pourront faire valoir des observations auprès de la Haute Autorité", qui seront alors étudiées par le juge, "seul à même de prononcer une peine de suspension de l'accès à Internet". En conclusion de sa bafouille, le ministère précise que la "charge de la poursuite et celle de la preuve incomberont ainsi au ministère public". Point de "présomption de culpabilité", donc... Ouf !
On résume
Pour le ministère, n'importe quel internaute du dimanche peut se voir sanctionner à tort, à cause de grands méchants hackers super-intelligents (en fait, c'est à la portée de tout le monde). Mais c'est interdit (ça calme, heinh) ! De plus, les emails d'avertissement conseilleront les victimes sur les armes de protection massive à déployer (on attend la liste avec impatience), et pour finir, elles pourront se plaindre ! C'est là que les choses vont devenir amusantes : Pour schématiser, le juge se retrouvera avec une liste d'adresses IP soigneusement relevées par de très sérieux agents assermentés dans la main droite, et dans l'autre, de simples "observations" de victimes écrites avec les moyens du bord ("C'est pas moi, M'sieur, j'vous jure sur la tête de mon ministre que j'ai installé le parefeu d'OpenOffice ![1]"). Mais entre les deux, aucune preuve formelle, comme vient de le reconnaître le ministère.
[1]Allusion à la super gaffe de Mme Albanel de sa super incompétence concernant l'informatique et internet
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L'UMP, repaire de pirates récidivistes : Février 2009, le parti pirate une chanson du groupe MGMT pour les besoins d'un meeting. Octobre 2009, l'Elysée duplique sans autorisation des DVD en prenant soin de remplacer les mentions de copyright, évidemment. Décembre 2009, les jeunesses sarkozyennes contrefont une chanson québecoise pour mettre en musique un lip dub devenu cu-culte. Janvier 2010, le logo d'Hadopi viole le copyright d'une typographie sous licence. Cette semaine, Luc Chatel est accusé d'avoir copié sans autorisation le contenu d'un site Internet et le ministre Eric Besson est assigné en justice pour contrefaçon... Qu'est-ce qu'on les aime, les artistes, à l'UMP ! Mazette !