Il y avait d'autres rassemblements en France, au même moment je pense (à Strasbourg et peut-être ailleurs mais sans certitude). Le problème est que ce rassemblement s'est monté très rapidement ce qui fait que si tu n'es pas dans un réseau militant tu ne sais pas qu'il a eu lieu et il ne faut pas compter sur les média, en général, pour te l'indiquer, avant ou après.Dommage que tout ce passe à Paris et jamais rien sur Lille.
Europe : rigueur et claque sociale
Re: Portugal, Irlande, Grèce et Espagne : la claque sociale
Re: Portugal, Irlande, Grèce et Espagne : la claque sociale
A propos de l'incendie de la banque qui aurait fait des victimes:
Lettre relayée sur: http://oclibertaire.free.fr/spip.php?article752Dans une lettre publiée ce soir mercredi sur le site Indymedia d’Athènes, un employé de la Marfin Egnatia Bank fait une déclaration, demandant qu’elle soit rendue publique.
« Je me sens dans une obligation envers mes collègues qui sont décédé si injustement aujourd’hui à parler et à dire quelques vérités objectives. J’envoie ce message à tous les médias. Toute personne qui possède encore une certaine conscience devra le publier. Les autres peuvent continuer à jouer le jeu du gouvernement. »
Dans cette lettre, l’employé déclare que « les pompiers n’ont jamais délivré la licence d’exploitation de l’immeuble », que « le bâtiment en question n’a pas de mécanismes de sécurité incendie » correspondant à sa taille (gicleurs au plafond, issues de secours, tuyaux d’incendie). « Il y a seulement quelques extincteurs portatifs qui, bien entendu, ne peuvent en rien aider à combattre un feu important dans un bâtiment construit avec des normes de sécurité depuis longtemps dépassées. La direction utilise également le coût élevé de ces exercices comme prétexte et n’a même pas pris les mesures les plus élémentaires pour protéger son personnel. »
Il souligne aussi qu’aucun membre du personnel n’a été formé au risque d’incendie, qu’il n’y a jamais eu d’exercice d’évacuation. « Les seules sessions de formation qui ont eu lieu à la Marfin Bank ont été sur des scénarios concernant l’action terroriste et en particulier la planification de l’évacuation des "grosses têtes" de leurs bureaux dans une telle situation. »
Absence de local incendie, matériaux inflammables (papiers, plastiques, fils, mobilier…). « Aucun membre de la sécurité n’avait la moindre connaissance sur les premiers secours à donner ou comment éteindre un feu. »
Par ailleurs, « la direction de la banque a formellement interdit aux salariés de s’absenter aujourd’hui, bien qu’ils l’aient demandé constamment eux-mêmes très tôt ce matin - tandis qu’elle a aussi forcé les salariés à verrouiller les portes et a confirmé à plusieurs reprises par téléphone que l’établissement restait fermé pendant la journée. “Ceux qui partent aujourd’hui, ne viennent pas au travail demain”, a été une menace constante. La direction leur a même fermé leur accès à Internet afin d’empêcher les salariés de communiquer avec le monde extérieur. »
La lettre dit aussi qu’ au cours des derniers jours qui ont précédé la grève générale, la direction n’a cessé de terroriser les employés en utilisant oralement l’“offre” suivante : ou vous venez travailler, ou vous êtes virés.
« Enfin, messieurs, faites votre autocritique et cessez de faire semblant d’être choqués. Vous êtes responsables de ce qui s’est passé aujourd’hui, et dans n’importe quel Etat de droit (comme ceux que vous souhaitez utiliser de temps en temps comme les meilleurs exemples dans vos émissions de télévision) vous auriez déjà été arrêtés pour les actions ci-dessus. Mes collègues ont perdu la vie aujourd’hui par préméditation : la préméditation de la Marfin Bank et de M. Vgenopoulos en personne qui a explicitement déclaré que quiconque ne venait travailler aujourd’hui [le 5 mai, journée de grève générale !], n’avait pas à se déranger le lendemain [où ils seraient renvoyés]. »
Signé : un employé de la Marfin Bank
Re: Portugal, Irlande, Grèce et Espagne : la claque sociale
Pas d'illusions: l'entrée de la Grèce dans l'Euro a certainement profité beaucoup à quelques uns et un tout petit peu au plus grand nombre. Aujourd'hui la mauvaise gestion de ce pays coute d'autant plus cher qu'on est modeste.
Je m' énerve régulièrement quand j'entends des "experts" expliquer que la dette de la France c'est (je ne sais plus exactement) 15000 Euros par personne.
Comment peut-on répartir aussi équitablement la dette quand les revenus et les patrimoines sont aussi différents ?
23 % de TVA c'est beaucoup pour tous ceux qui "consomment" l'intégralité de leur modeste revenu.
Je propose un impôt progressif - et exceptionnel - sur le patrimoine de chaque citoyen pour alléger la dette des états. Je propose aussi que cette contribution soit transparente donc connue de tous . Je propose que tous contribuent même les fonctionnaires qui n'ont pas de patrimoine mais un revenu garanti à vie ( ce qui est un peu comme si on possède un patrimoine qui rapporte ) Et pour la caste des hauts fonctionnaires et des politiques, ça vaut bien qques beaux appartements à Paris ...
Je suis convaincu que cette formule proposée aux Grecs ( et
demain aux Français, Espagnols etc ...) serait bien plus à même de souder les citoyens pour pouvoir faire les réformes nécessaires, plutôt que d' amputer les petits salaires et taxer la consommation.
Et ça rapporterait drôlement plus: Comment admettre que les armateurs Grecs ne soient pas domiciliés fiscalement en Grèce ? En France il y les Mulliez (Auchan), Johnny, j'en passe et des meilleurs ....
Je m' énerve régulièrement quand j'entends des "experts" expliquer que la dette de la France c'est (je ne sais plus exactement) 15000 Euros par personne.
Comment peut-on répartir aussi équitablement la dette quand les revenus et les patrimoines sont aussi différents ?
23 % de TVA c'est beaucoup pour tous ceux qui "consomment" l'intégralité de leur modeste revenu.
Je propose un impôt progressif - et exceptionnel - sur le patrimoine de chaque citoyen pour alléger la dette des états. Je propose aussi que cette contribution soit transparente donc connue de tous . Je propose que tous contribuent même les fonctionnaires qui n'ont pas de patrimoine mais un revenu garanti à vie ( ce qui est un peu comme si on possède un patrimoine qui rapporte ) Et pour la caste des hauts fonctionnaires et des politiques, ça vaut bien qques beaux appartements à Paris ...
Je suis convaincu que cette formule proposée aux Grecs ( et
demain aux Français, Espagnols etc ...) serait bien plus à même de souder les citoyens pour pouvoir faire les réformes nécessaires, plutôt que d' amputer les petits salaires et taxer la consommation.
Et ça rapporterait drôlement plus: Comment admettre que les armateurs Grecs ne soient pas domiciliés fiscalement en Grèce ? En France il y les Mulliez (Auchan), Johnny, j'en passe et des meilleurs ....
Re: Portugal, Irlande, Grèce et Espagne : la claque sociale
Vraiment un concours de circonstance malheureuse ( en plus pas de réseau Sprinkler)et je rends hommage à cette employée pour son objectivité en rapport au circonstance.A propos de l'incendie de la banque qui aurait fait des victimes
Merci pour l'info Tristesir, en espérant un jour que tu te renomme en joyeuxsir

Re: Portugal, Irlande, Grèce et Espagne : la claque sociale
A propos de la Grèce:
Mais pendant qu'on a les yeux fixés, avec effroi vers la Grèce, Sarkozy et ses amis ne chôment pas, ils nous préparent aussi un plan de rigueur de cheval:

http://www.lemonde.fr/europe/article/20 ... _3214.htmlAujourd'hui, les salaires et les prestations sociales constituent les trois quarts des dépenses publiques. "La masse salariale et les retraites publiques — qui ont considérablement augmenté ces dernières années — devront être réduites. Il n'y a guère d'autres moyens de procéder pour rééquilibrer les finances publiques", peut-on lire dans le bulletin du FMI du 2 mai.
Mais pendant qu'on a les yeux fixés, avec effroi vers la Grèce, Sarkozy et ses amis ne chôment pas, ils nous préparent aussi un plan de rigueur de cheval:
http://www.romandie.com/ats/news/100506 ... r9cqg6.aspLa France a annoncé jeudi le gel pendant les trois prochaines années des dépenses de l'Etat, pour tenter de faire revenir en 2013 le déficit public au-dessous de la barre des 3% du Produit intérieur brut (PIB), comme elle s'y est engagée auprès de ses partenaires de l'UE.
"Pour les trois années à venir" (2011, 2012 et 2013), le Premier ministre François Fillon "a confirmé que les dépenses de l'Etat, hors charges d'intérêt de la dette et hors dépenses de pensions, seront gelées en valeur", indique un communiqué publié jeudi par ses services.
Précédemment, les dépenses de l'Etat n'augmentaient pas plus que l'inflation chaque année. Le gel strict des dépenses à leur montant actuel signifie donc que désormais le "pouvoir d'achat" de l'Etat sera réduit d'autant que l'inflation chaque année.
Pour 2010, M. Fillon a demandé aux ministres "de veiller à ce que la dépense soit strictement tenue au niveau prévu" par le budget.
Dans ce but, le Premier ministre confirme la poursuite de la politique de non remplacement d'un départ à la retraite sur deux dans la fonction publique de l'Etat.
"Les dépenses de fonctionnement courant de l'Etat diminueront de 10% en 3 ans, avec une baisse de 5% dès 2011", annonce-t-il.(...)
Quand j'ai choisi ce pseudo, j'ai voulu joué avec l'ambiguïté de l'expression: un triste sir n'est pas un individu qui n'est pas joyeux mais un individu peu recommandable ou fréquentableMerci pour l'info Tristesir, en espérant un jour que tu te renomme en joyeuxsir

Re: Portugal, Irlande, Grèce et Espagne : la claque sociale
Dans la cadre de la pensée unique, bien entendumais un individu peu recommandable ou fréquentable

La Grèce, chair à spéculation
Quand la crise grecque profite aux « hedge funds »
Le peuple grec, trahi par ses dirigeants, est aussi la victime collatérale d’un pari boursier qui pourrait rapporter énormément d’argent à certains. Selon le Wall Street Journal, les dirigeants de plusieurs « hedge funds », lors d’un dîner au début du mois de février, ont fait le pari que l’euro chuterait jusqu’à atteindre la parité de un pour un face au dollar. Parmi les fonds représentés se trouvaient SAC Capital Advisors, Greenlight Capital et Soros Fund Management. Le patron de ce dernier, George Soros, a notamment mis en garde contre un « éclatement de l’euro » si l’Europe ne mettait pas ses finances en ordre. « C’est une opportunité... pour faire beaucoup d’argent », explique Hans Hufschmid, un haut dirigeant de GlobeOp Financial Services SA, un administrateur de fonds spéculatifs à Londres et à New York.
Selon le Wall Street Journal, cette spéculation sur l’euro peut se révéler très lucrative : les fonds spéculatifs bénéficient d’un effet de levier leur permettant d’investir jusqu’à 20 fois leur mise. Ce qui signifie qu’une évolution de la situation de 5% en faveur du pari financier (ici la parité euro/dollar) permet de doubler la mise de l’investisseur. Vu la chute de l’euro depuis février, les investisseurs concernés ont déjà quadruplé leur mise.
Le coupable laisser-faire de l’Europe
Les dirigeants européens ont fait le choix de laisser leurs peuples aux mains des spéculateurs. Comme l’indiquait Martine Billard (Parti de Gauche) à l’Assemblée Nationale le 4 mai, « si la BCE [Banque Centrale Européenne] avait prêté tout de suite à 1% à la Grèce, nous n’en serions pas là. L’article 123 du traité de Lisbonne permet d’intervenir en cas de circonstances qui échappent au contrôle du pays concerné. L’Eurogroupe a décidé que l’on n’était pas dans cette situation et donc que l’on ne pouvait pas utiliser cet article. Or il aurait très bien pu décider le contraire ». L’article 66 du traité de Lisbonne va également dans ce sens, évoquant des mesures de sauvegarde possibles, lorsque des mouvements de capitaux « causent ou menacent de causer des difficultés graves pour le fonctionnement de l’Union économique et monétaire ».
Les membres de l’Eurogroupe, c’est-à-dire les gouvernants des pays de la zone euro, peuvent bloquer cette spéculation. Mais ils laissent faire. Ils laissent l’Espagne et le Portugal se faire chahuter. Peut-être font-ils le pari que ce chantage financier aura raison de la mobilisation sociale grecque et européenne ? Car la violence du plan d’austérité qui vise la Grèce se veut aussi un signal adressé aux autres populations européennes. Seule la population grecque, médiatiquement méprisée, semble aujourd’hui refuser de devenir de la chair à spéculation.
http://www.bastamag.net/article1025.html
Le peuple grec, trahi par ses dirigeants, est aussi la victime collatérale d’un pari boursier qui pourrait rapporter énormément d’argent à certains. Selon le Wall Street Journal, les dirigeants de plusieurs « hedge funds », lors d’un dîner au début du mois de février, ont fait le pari que l’euro chuterait jusqu’à atteindre la parité de un pour un face au dollar. Parmi les fonds représentés se trouvaient SAC Capital Advisors, Greenlight Capital et Soros Fund Management. Le patron de ce dernier, George Soros, a notamment mis en garde contre un « éclatement de l’euro » si l’Europe ne mettait pas ses finances en ordre. « C’est une opportunité... pour faire beaucoup d’argent », explique Hans Hufschmid, un haut dirigeant de GlobeOp Financial Services SA, un administrateur de fonds spéculatifs à Londres et à New York.
Selon le Wall Street Journal, cette spéculation sur l’euro peut se révéler très lucrative : les fonds spéculatifs bénéficient d’un effet de levier leur permettant d’investir jusqu’à 20 fois leur mise. Ce qui signifie qu’une évolution de la situation de 5% en faveur du pari financier (ici la parité euro/dollar) permet de doubler la mise de l’investisseur. Vu la chute de l’euro depuis février, les investisseurs concernés ont déjà quadruplé leur mise.
Le coupable laisser-faire de l’Europe
Les dirigeants européens ont fait le choix de laisser leurs peuples aux mains des spéculateurs. Comme l’indiquait Martine Billard (Parti de Gauche) à l’Assemblée Nationale le 4 mai, « si la BCE [Banque Centrale Européenne] avait prêté tout de suite à 1% à la Grèce, nous n’en serions pas là. L’article 123 du traité de Lisbonne permet d’intervenir en cas de circonstances qui échappent au contrôle du pays concerné. L’Eurogroupe a décidé que l’on n’était pas dans cette situation et donc que l’on ne pouvait pas utiliser cet article. Or il aurait très bien pu décider le contraire ». L’article 66 du traité de Lisbonne va également dans ce sens, évoquant des mesures de sauvegarde possibles, lorsque des mouvements de capitaux « causent ou menacent de causer des difficultés graves pour le fonctionnement de l’Union économique et monétaire ».
Les membres de l’Eurogroupe, c’est-à-dire les gouvernants des pays de la zone euro, peuvent bloquer cette spéculation. Mais ils laissent faire. Ils laissent l’Espagne et le Portugal se faire chahuter. Peut-être font-ils le pari que ce chantage financier aura raison de la mobilisation sociale grecque et européenne ? Car la violence du plan d’austérité qui vise la Grèce se veut aussi un signal adressé aux autres populations européennes. Seule la population grecque, médiatiquement méprisée, semble aujourd’hui refuser de devenir de la chair à spéculation.
http://www.bastamag.net/article1025.html
Re: Portugal, Irlande, Grèce et Espagne : la claque sociale
le but du jeu, est de toute façon de faire chuter l'Euro, afin que L'EU devienne un satellite des US,par la main mise du financier sur les dettes d'Etats, car qui contrôle la dette,contrôle le pays.
Ne pas oublier que les US,n'ont plus de pognon et que la planche à billet tourne à fond les gamelles.
Chez,nous impossible.
Comment je vois l'avenir?? plus d'argent liquide,que du virtuel.
On y vient tranquillement au protocole de sion.
Ne pas oublier que les US,n'ont plus de pognon et que la planche à billet tourne à fond les gamelles.
Chez,nous impossible.
Comment je vois l'avenir?? plus d'argent liquide,que du virtuel.
On y vient tranquillement au protocole de sion.
Re: Portugal, Irlande, Grèce et Espagne : la claque sociale
L'argent liquide est aussi virtuel que le reste mais les plans d'"ajustement structurel" comme ils disent pudiquement au FMI, eux, n'ont rien de virtuel.Comment je vois l'avenir?? plus d'argent liquide,que du virtuel.
Re: Portugal, Irlande, Grèce et Espagne : la claque sociale
Responsabilités des élites, démocratie et spéculation.
http://levillagedesnrv.20minutes-blogs. ... ratie.htmlL'autre jour, j'entendais un représentant des libéraux déclarer que les Grecs, responsables de la déroute financière à cause de leur mauvaise gestion, de leur train de vie supposé et des mensonges éhontés livrés aux instances internationnales méritaient largement les mesures sacrificielles que l'Europe leur faisait subir.
Certes.
Ce même intervenant d'ajouter que le peuple était responsable par la délégation démocratique et les mandats électoraux qu'il avait accordés à ses hommes politiques pour gérer le pays.
Et là, amis du Village, mon sang de canari n'a fait qu'un tour ! Des dents acérées ont poussé en quelques secondes dans mon bec délicat!
Ainsi le vote des citoyens impliquerait-il une délégation du pouvoir économique à ceux qu'on met au pouvoir démocratiquement ? Cela parait logique.
Re: Portugal, Irlande, Grèce et Espagne : la claque sociale
C'est sûr : ces gens qui ont été élus "démocratiquement" sont des irresponsables et surtout des traîtres à leur peuple et à leur pays.
Il faut les destituer (pour rester polie
).
Il faut les destituer (pour rester polie

Re: Portugal, Irlande, Grèce et Espagne : la claque sociale
Ils ont juste oublié, sous les ors de la république leurs services d'ordre dignes d'une dictature prouvant là même à quel point ils avaient la trouille, qu'un mandant élu démocratiquement avec forces promesses fallacieuses, n'est en aucun cas en chèque en blanc délivré par le peuple, afin de dépouiller le pays, y placer sa famille et ses copains avec qui ils partagent sans doute pas mal de secrets pas jolis-jolis.
Qu'ils arrêtent de se vêtir des oripeaux de la démocratie, elle est foulée aux pieds, ils devraient prendre pour une fois exemple sur de Gaulle. Au lendemain du referendum de 1969, désapprouvé par la majorité des Français, il démissionnait tout simplement ne se sentant plus légitime. Pour cela, il faut une sacrée dose de cou...rage. Il a même refusé de prendre la cave de l'Elysée et sa retraite d'ancien président, se contentant de sa retraite militaire.
Vous en voyez beaucoup à la tête de l'état, qui paient leur billet d'avion pour leurs week-ends en famille ?
Je veux bien leur expliquer comment établir un plan de rigueur égalitaire selon les revenus. Je sais bien compter, enfin, tous ici nous savons faire.
Qu'ils arrêtent de se vêtir des oripeaux de la démocratie, elle est foulée aux pieds, ils devraient prendre pour une fois exemple sur de Gaulle. Au lendemain du referendum de 1969, désapprouvé par la majorité des Français, il démissionnait tout simplement ne se sentant plus légitime. Pour cela, il faut une sacrée dose de cou...rage. Il a même refusé de prendre la cave de l'Elysée et sa retraite d'ancien président, se contentant de sa retraite militaire.
Vous en voyez beaucoup à la tête de l'état, qui paient leur billet d'avion pour leurs week-ends en famille ?
Je veux bien leur expliquer comment établir un plan de rigueur égalitaire selon les revenus. Je sais bien compter, enfin, tous ici nous savons faire.
Athènes... Qu'est-ce que le Pouvoir... ?
Qu'il soit de gauche, de droite, d'extrême droite ou d'extrême gauche. Qu'il prenne la forme d'une junte militaire, dictature quelconque, démocratie autre que directe, etc... le Pouvoir c'est ça ! Terreur d'État à Exarchia (Athènes)
Sa seule méthode : la répression, la violence à l'encontre de toutes celles et tous ceux qui contestent sa légitimité !
Sa seule méthode : la répression, la violence à l'encontre de toutes celles et tous ceux qui contestent sa légitimité !
Re: Athènes... Qu'est-ce que le Pouvoir... ?
J"avais vu ce témoignage sur un autre blog, quelle horreur
Mais les flics sont des êtres humains, parait-il avec enfants et fins de mois difficiles, ou bien ????
Qu'est ce qu'on leur donne à fumer ou à picoler avant de charger ? On les shoote à quoi, ce n'est pas possible autrement.

Mais les flics sont des êtres humains, parait-il avec enfants et fins de mois difficiles, ou bien ????
Qu'est ce qu'on leur donne à fumer ou à picoler avant de charger ? On les shoote à quoi, ce n'est pas possible autrement.
Re: Athènes... Qu'est-ce que le Pouvoir... ?
Et bien entendu,aucune info dans nos merdmédias!