bonjour,
je viens d'entendre sur lci que les manifs de demain seraient un baroud d'honneur contre le cpe
si cela est le cas çà servait a rien de faire un foin preil pour abandonner dès que chirac as parlé (surtout pour ne rien dire encore une fois).
j'en reste pantois
baroud d'honneur contre le cpe??
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cristophe62120
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tristesir
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carl
Je pense aussi, que la manif de demain, sera un "baroud d'honneur".
En effet, d'une, les vacances de Paques sont proches, de deux, les syndicats souhaitent négocier. Bruno Julliard de l'Unef le dit ouvertement.
Enfin, questions nombres de manifestants ,il sera surement pas possible de faire mieux que le 28 mars.
En tout cas, ce mouvement me laisse un arrière gout amère. Nous avions la possibilité de mettre un coup de frein à la politique ultra-libérale du gouvernement, mais malheureusement , comme depuis 2002, les leaders syndicaux n'ont pas voulu changer réellement les choses.
Ils se contentent du statut quo.
En effet, d'une, les vacances de Paques sont proches, de deux, les syndicats souhaitent négocier. Bruno Julliard de l'Unef le dit ouvertement.
Enfin, questions nombres de manifestants ,il sera surement pas possible de faire mieux que le 28 mars.
En tout cas, ce mouvement me laisse un arrière gout amère. Nous avions la possibilité de mettre un coup de frein à la politique ultra-libérale du gouvernement, mais malheureusement , comme depuis 2002, les leaders syndicaux n'ont pas voulu changer réellement les choses.
Ils se contentent du statut quo.
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informatik
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gaia
le président de l'Unef, Bruno Julliard :
"Nous avons compris que dans les jours qui viennent, l'initiative revenait au groupe UMP. Nous répondrons présents à l'invitation avec la condition de la garantie qu'aucun CPE ne sera signé dans les jours qui viennent».
Edouard Balladur comme autorité morale. « Il a disparu, il est mort, tout le monde le sait», a-t-il déclaré, en parlant du CPE.
Jean-Louis Debré, chiraquien fidèle, a critiqué ceux qui veulent «ici ou là s'autoproclamer responsables de la fin de crise et profiter de la crise pour jouer un rôle personnel»
Le chef de l'UDF a pour une fois approuvé Nicolas Sarkozy, qui lui semble disposé à abroger le CPE puisqu'il a «affirmé aux syndicats qu'il était près à aller beaucoup, beaucoup plus loin que Jacques Chirac».
Tout ça pour ça : vive sarko, notre sauveur, notre nouveau premier ministre que dis je notre nouveau président de la république ....
"Nous avons compris que dans les jours qui viennent, l'initiative revenait au groupe UMP. Nous répondrons présents à l'invitation avec la condition de la garantie qu'aucun CPE ne sera signé dans les jours qui viennent».
Edouard Balladur comme autorité morale. « Il a disparu, il est mort, tout le monde le sait», a-t-il déclaré, en parlant du CPE.
Jean-Louis Debré, chiraquien fidèle, a critiqué ceux qui veulent «ici ou là s'autoproclamer responsables de la fin de crise et profiter de la crise pour jouer un rôle personnel»
Le chef de l'UDF a pour une fois approuvé Nicolas Sarkozy, qui lui semble disposé à abroger le CPE puisqu'il a «affirmé aux syndicats qu'il était près à aller beaucoup, beaucoup plus loin que Jacques Chirac».
Tout ça pour ça : vive sarko, notre sauveur, notre nouveau premier ministre que dis je notre nouveau président de la république ....
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chris
jamais en retard a la maneuvre ,cui la ,quand je vous dis que c'est une calamité 
on le pressentais lors du coup de fil "discret "passé a julliard , les pourris font jamais rien gratis ,normal !
y a plus qu'a suivre la tournure des evenements ,en esperant pas assister a une trahison et une forfaiture
on le pressentais lors du coup de fil "discret "passé a julliard , les pourris font jamais rien gratis ,normal !
y a plus qu'a suivre la tournure des evenements ,en esperant pas assister a une trahison et une forfaiture
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informatik
on verra ... 
en attendant :
en attendant :
Malgré l'appel de Jacques Chirac les manœuvres de l'UMP pour "réformer sans retirer" le CPE qui ont suivi, les opposants au contrat première embauche fourbissent leurs armes pour la journée du 4 avril lors de laquelle ils espérent rééditer leur succès du mardi 28 mars.
La coordination nationale lycéenne et étudiante a ainsi durci le ton dimanche 2 avril, appelant à une grève générale en France après le 4 avril. Réuni tout le week-end à Villeneuve d'Ascq dans la banlieue de Lille, le mouvement étudiant a aussi appelé à la poursuite des blocages des routes, des autoroutes et des gares pour obtenir le retrait du contrat première embauche dont le texte de loi qui l'institue a été publié dimanche au Journal officiel. "Si le gouvernement ne veut pas retirer le CPE, il faudra que les manifestations de mardi soient le début d'un mouvement de grève générale reconductible", ont déclaré des porte-paroles de la coordination.
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ARAMIS2
LES MEDIAS ON SURTOUT FOURCHE DE LA LANGUE
Et trébuché du cervelas. En fait il s'agit pour demain d'un :" BAROUF D'HONNEUR", de ces baroufs qui annoncent un renforcement de la mobilisation en profondeur, tant qualitativement que quantitativement.
Même s'il faut bien sûr compter sur une baisse de visibilité du mouvement anti CPE durant les vacances, gageons que tous les acteurs (et je ne parle pas seulement des organisations syndicales) vont mettre cette "pause" à profit pour préparer le mois de mai qui sera beaucoup plus bouillant en initiatives dont le CPE/CNE restera le fil conducteur, mais surtout pour chassez cette clique et sa politique, comme nous l'avions fait pour de Gaulle qui croyait encore mâter la chienlit (citée pour la seconde fois par Debré après Coppé, jamais deux sans trois).
En mars 68, les étudiants s'apprétaient aussi à aller en vacances, le pouvoir, lui, ne pensait sûrement devoir trembler et le patronat arrivé à en être réduit à négocier à hauteur de + 35% du SMIG deux mois plus tard, alors qu'il avait refusé de donner seulement 8% demandés depuis l'automne 67... Sinon la France risquait de couler, paraît-il. Ce n'est donc pas la fin, mais l'avant début d'autre chose de plus important et profond.
ARAMIS
Même s'il faut bien sûr compter sur une baisse de visibilité du mouvement anti CPE durant les vacances, gageons que tous les acteurs (et je ne parle pas seulement des organisations syndicales) vont mettre cette "pause" à profit pour préparer le mois de mai qui sera beaucoup plus bouillant en initiatives dont le CPE/CNE restera le fil conducteur, mais surtout pour chassez cette clique et sa politique, comme nous l'avions fait pour de Gaulle qui croyait encore mâter la chienlit (citée pour la seconde fois par Debré après Coppé, jamais deux sans trois).
En mars 68, les étudiants s'apprétaient aussi à aller en vacances, le pouvoir, lui, ne pensait sûrement devoir trembler et le patronat arrivé à en être réduit à négocier à hauteur de + 35% du SMIG deux mois plus tard, alors qu'il avait refusé de donner seulement 8% demandés depuis l'automne 67... Sinon la France risquait de couler, paraît-il. Ce n'est donc pas la fin, mais l'avant début d'autre chose de plus important et profond.
ARAMIS-
informatik
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gaia
... et le peuple on s'en tape
La crise du CPE continue de faire des étincelles dans la majorité. Jacques Chirac a rappelé à l'ordre lundi Nicolas Sarkozy et l'UMP en souhaitant que la proposition de loi modifiant le contrat première embauche soit élaborée "en totale cohérence" avec le gouvernement.
Le président de l'UMP a assuré être "d'accord" avec Jacques Chirac et Dominique de Villepin, tout en réaffirmant la volonté du parti de négocier "sans tabou et sans préalable" avec les syndicats.
La reprise en main par Nicolas Sarkozy du dossier du CPE depuis la décision de Jacques Chirac de suspendre son application a provoqué des tensions avec les chiraco-villepinistes. Sa volonté de négocier "sans tabou" avec les syndicats -en clair, de mettre sur la table la possibilité d'une abrogation du CPE- et la multiplication des contacts avec eux pendant tout le week-end a profondément irrité les amis du Premier ministre, mis sur la touche.
"La ligne fixée par le président de la République pour sortir de la crise s'impose à tous", a notamment rappelé le président de l'Assemblée nationale Jean-Louis Debré. "Ce n'est pas au parti de rédiger la proposition de loi", a soufflé le ministre délégué aux Relations avec le Parlement Henri Cuq.
Lundi après-midi, Jacques Chirac, qui avait reçu auparavant Dominique de Villepin, a recadré le ministre de l'Intérieur lors de leur entretien hebdomadaire.
La proposition de loi modifiant le CPE doit être élaborée "en totale cohérence entre les deux présidents de groupe UMP des assemblées (Bernard Accoyer et Josselin de Rohan, NDLR) qui la porteront, le Premier ministre, ainsi que les deux ministres en charge" Jean-Louis Borloo et Gérard Larcher, a rappelé Jacques Chirac, selon son entourage.
"Nicolas Sarkozy a bien évidemment confirmé que le parti majoritaire soutenait cette démarche", ajoutait-on dans l'entourage du chef de l'Etat.
Le président de l'UMP s'est voulu apaisant dans la soirée à l'issue de la réunion hebdomadaire de la commission exécutive du parti.
"Nous sommes d'accord", a affirmé M. Sarkozy, précisant qu'il déjeunerait mardi avec le Premier ministre. Selon lui, "le gouvernement, les groupes parlementaires et l'UMP participent d'un même esprit et d'une même volonté d'aboutir à l'apaisement de la situation".
"Il faut sortir de la situation de blocage pour essayer de trouver une solution. Cette solution sera trouvée par l'intermédiaire du dialogue que conduiront Bernard Accoyer et Josselin de Rohan avec Jean-Louis Borloo et Gérard Larcher", a souligné M. Sarkozy. "En ce qui concerne l'UMP et moi-même, nous ferons tout ce qui en notre pouvoir pour faciliter ces discussions."
"L'UMP par la voix de ses deux présidents de groupes parlementaires propose ce dialogue, un dialogue sans tabou et durant lequel le CPE ne s'appliquera pas comme l'a indiqué le président de la République", a-t-il rappelé.
Interrogé sur les déclarations d'Edouard Balladur, selon lesquelles "le CPE est mort", Nicolas Sarkozy a répondu très diplomatiquement que l'ancien Premier ministre "a voulu très certainement parler du CPE première manière".
source nouvel obs
deux coqs se battent pourvu qu'ils y laissent des plumes ... ils se croyent au dessus de tout surtout du peuple qu'ils gouvernent.
Le président de l'UMP a assuré être "d'accord" avec Jacques Chirac et Dominique de Villepin, tout en réaffirmant la volonté du parti de négocier "sans tabou et sans préalable" avec les syndicats.
La reprise en main par Nicolas Sarkozy du dossier du CPE depuis la décision de Jacques Chirac de suspendre son application a provoqué des tensions avec les chiraco-villepinistes. Sa volonté de négocier "sans tabou" avec les syndicats -en clair, de mettre sur la table la possibilité d'une abrogation du CPE- et la multiplication des contacts avec eux pendant tout le week-end a profondément irrité les amis du Premier ministre, mis sur la touche.
"La ligne fixée par le président de la République pour sortir de la crise s'impose à tous", a notamment rappelé le président de l'Assemblée nationale Jean-Louis Debré. "Ce n'est pas au parti de rédiger la proposition de loi", a soufflé le ministre délégué aux Relations avec le Parlement Henri Cuq.
Lundi après-midi, Jacques Chirac, qui avait reçu auparavant Dominique de Villepin, a recadré le ministre de l'Intérieur lors de leur entretien hebdomadaire.
La proposition de loi modifiant le CPE doit être élaborée "en totale cohérence entre les deux présidents de groupe UMP des assemblées (Bernard Accoyer et Josselin de Rohan, NDLR) qui la porteront, le Premier ministre, ainsi que les deux ministres en charge" Jean-Louis Borloo et Gérard Larcher, a rappelé Jacques Chirac, selon son entourage.
"Nicolas Sarkozy a bien évidemment confirmé que le parti majoritaire soutenait cette démarche", ajoutait-on dans l'entourage du chef de l'Etat.
Le président de l'UMP s'est voulu apaisant dans la soirée à l'issue de la réunion hebdomadaire de la commission exécutive du parti.
"Nous sommes d'accord", a affirmé M. Sarkozy, précisant qu'il déjeunerait mardi avec le Premier ministre. Selon lui, "le gouvernement, les groupes parlementaires et l'UMP participent d'un même esprit et d'une même volonté d'aboutir à l'apaisement de la situation".
"Il faut sortir de la situation de blocage pour essayer de trouver une solution. Cette solution sera trouvée par l'intermédiaire du dialogue que conduiront Bernard Accoyer et Josselin de Rohan avec Jean-Louis Borloo et Gérard Larcher", a souligné M. Sarkozy. "En ce qui concerne l'UMP et moi-même, nous ferons tout ce qui en notre pouvoir pour faciliter ces discussions."
"L'UMP par la voix de ses deux présidents de groupes parlementaires propose ce dialogue, un dialogue sans tabou et durant lequel le CPE ne s'appliquera pas comme l'a indiqué le président de la République", a-t-il rappelé.
Interrogé sur les déclarations d'Edouard Balladur, selon lesquelles "le CPE est mort", Nicolas Sarkozy a répondu très diplomatiquement que l'ancien Premier ministre "a voulu très certainement parler du CPE première manière".
source nouvel obs
deux coqs se battent pourvu qu'ils y laissent des plumes ... ils se croyent au dessus de tout surtout du peuple qu'ils gouvernent.
C'est l'histoire d'un contrat…
C'est l'histoire d'un contrat précaire conçu et promu par un Premier ministre qui ne s’est jamais « frotté » au suffrage universel.
C'est l'histoire d'un contrat précaire soutenu par une majorité UMP à l'Assemblée nationale, largement minoritaire dans le pays.
C'est l'histoire d'un contrat précaire défendu par un Président de la République élu à la tête de l’État après avoir recueilli 19% des suffrages (à peine 12% des Français en âge de voter) au premier tour des élections.
C'est l'histoire d'un contrat précaire combattu par des organisations syndicales qui représentent moins de 9% des salariés (majoritairement des fonctionnaires qui ne sont pas touchés par la mise en œuvre du CPE).
C'est l'histoire d'un contrat précaire combattu par des organisations lycéennes et estudiantines dont la représentativité reste - elle aussi - à démontrer.
Après, on s'étonne que rien n’avance en France !
C'est l'histoire d'un contrat précaire soutenu par une majorité UMP à l'Assemblée nationale, largement minoritaire dans le pays.
C'est l'histoire d'un contrat précaire défendu par un Président de la République élu à la tête de l’État après avoir recueilli 19% des suffrages (à peine 12% des Français en âge de voter) au premier tour des élections.
C'est l'histoire d'un contrat précaire combattu par des organisations syndicales qui représentent moins de 9% des salariés (majoritairement des fonctionnaires qui ne sont pas touchés par la mise en œuvre du CPE).
C'est l'histoire d'un contrat précaire combattu par des organisations lycéennes et estudiantines dont la représentativité reste - elle aussi - à démontrer.
Après, on s'étonne que rien n’avance en France !
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chris
et c'est aussi l'histoire d'une manif du 4 avril a nantes toujours aussi reussie 
pleine mobilisation ce matin , surement meilleure encore que la semaine passée ,difficile a chiffrer la difference quant les corteges n'ont plus vraiment de debut et de fin ;les gens arrivent a pied vu le coté tout plein des trams .
difficile aussi de savoir ce qu'il va rester de cette histoire la , le peuple est dans la rue ,mais apres y a des decalages certains
pleine mobilisation ce matin , surement meilleure encore que la semaine passée ,difficile a chiffrer la difference quant les corteges n'ont plus vraiment de debut et de fin ;les gens arrivent a pied vu le coté tout plein des trams .
difficile aussi de savoir ce qu'il va rester de cette histoire la , le peuple est dans la rue ,mais apres y a des decalages certains
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attentiondangertravail
80000 si si j'ai remonté toute la manif . Très impressionnant .chris a écrit :et c'est aussi l'histoire d'une manif du 4 avril a nantes toujours aussi reussie
pleine mobilisation ce matin , surement meilleure encore que la semaine passée ,difficile a chiffrer la difference quant les corteges n'ont plus vraiment de debut et de fin ;les gens arrivent a pied vu le coté tout plein des trams .
difficile aussi de savoir ce qu'il va rester de cette histoire la , le peuple est dans la rue ,mais apres y a des decalages certains
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informatik
je reviens de la manif à paris.
Very big mobilisation .
cela va continuer probablement et surtout en mai.
le rapport de force pour faire reculer la droite semble être là.
Very big mobilisation .
cela va continuer probablement et surtout en mai.
le rapport de force pour faire reculer la droite semble être là.
Lors du défilé parisien, les responsables syndicaux ont dit tour à tour qu'ils étaient prêts à rencontrer les parlementaires de l'UMP, mais "pour leur demander à nouveau le retrait du CPE" et "pas pour négocier des aménagements", selon les termes de Bernard Thibault (CGT).
Jacques Voisin (CFTC) a précisé que la CFTC était "invitée à rencontrer les deux présidents de groupes UMP, à 18H00 au Sénat". "Nous avons l'intention d'y aller pour dire : on retire le CPE et on n'en parle plus !", a-t-il dit.
mais aussi pour etendre le mouvement à bien plus en mai, en tout cas esperons le."Il est évident qu'il faut revenir sur le CPE et dans la foulée sur le CNE."