A MAGUY :
Je lui ai répondu de manière calme :
- que s'il agissait de la sorte (en écourtant l'entretien) c'est que POLE EMPLOI n'avait pas de solution à proposer aux demandeurs d'emploi. Il n'y a plus d'offres, plus de travail ! Pour lui, on bricole son CV, on efface tout son passé et on dit que l'on démarrre, c'est vrai à 50 ans passé.... c'est cohérent.... On dit que l'on a plus de diplôme, mais quand on veut travailler, on fait tout pour s'en sortir...
Réponse : Du travail il y en a plein.... Seulement, je ne cherche pas au bon endroit. Le service à la personne explose. On recrute des aide-médico-psychologique, des auxiliaires de vie, des auxilaires de vie scolaire, etc...
Mais voilà, les gens ne veulent pas travailler.
De toute manière, je ne culpabilise pas.... je lui dit les choses telles qu'elles sont au niveau économique du département, de la France....
Nous n'avons pas les mêmes sources.... C'est vrai qu'avec la lecture du parisien, il ne va pas s'informer beaucoup !
Enfin.... il me dit qu'il n'a que douze mois et trois jours de travail.....
Il est accariatre (ses collègues ne l'apprécient pas et n'attendent que son départ).
Peut-être verrai-je "un autre conseiller plus agréable". Trois hommes dans l'agence, deux caractériels chroniques et un doux, aimable dont tout les DE aimeraient dépendre.... OUI, mais voilà, il est responsable du bâtiment !
AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
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maguy
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
Lilas, tout dépend de ton ppae, sur le mien, je ne prends aucun temps partiel et j'ai un salaire minimum en-deça duquel je ne veux pas aller.
Evidemment ma référente m'a signalé que l'on pouvait m'obliger à prendre tout poste dépassant mon ASS, seulement voilà : comment va-t-elle obliger l'employeur à me prendre, moi, hmmmmm... pas de réponse.
Quand je pense que c'est ce genre de personne qui a des droits sur notre survie, hallucinant !
Evidemment ma référente m'a signalé que l'on pouvait m'obliger à prendre tout poste dépassant mon ASS, seulement voilà : comment va-t-elle obliger l'employeur à me prendre, moi, hmmmmm... pas de réponse.
Du travail il y en a plein...
Inutile de demander ses sources...Mais voilà, les gens ne veulent pas travailler
Il me rappelle certains jeunes vendeurs avec qui je m'étais accrochée, incompétents ET impertinents, limite hargneux, masquant leur propre incapacité sous l'agressivité !il me dit qu'il n'a que douze mois et trois jours de travail
Quand je pense que c'est ce genre de personne qui a des droits sur notre survie, hallucinant !
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Invité
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
comment va-t-elle obliger l'employeur à me prendre, moi, hmmmmm...
A la rigueur elle peut t'obliger à "postuler". Si elle utilise le mot "prendre" c'est un lapsus révélateur : elle se croit déjà dans un futur dont rêvent sûrement un certain nombre de dirigeants : le travail forcé.Evidemment ma référente m'a signalé que l'on pouvait m'obliger à prendre tout poste dépassant mon ASS,
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maguy
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
C'est que je me tue à répéter à mes différents référents : une annonce n'est pas un poste. Le refus (fameuse ORE) n'est valide que si on refuse de signer un contrat.A la rigueur elle peut t'obliger à "postuler"
D'ailleurs, je suis très ferme, je ne postule que par e-mail, ou alors on me paie timbres, papier, encre... tout ça pour avoir 0 réponse, pfffff
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Invité
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
LILAS91 a écrit :Aussi, ceux qui sont en poste sont sur les genoux et démissionnent (pour ceux que le peuvent, les autres peuvent devenir des maltraitants).
bien je pense plutôt en me projetant et en examinant les échecs et les bons aspects aussi de hier à aujourd'hui... que: en terme de faire évoluer la conscience responsable vis à vis des générations futures, je voterais pour l'intégration systématique de la philosophie dés la 3ème, allez, au moment où les jeunes commencent à se poser des questions existentielles, matière qui n'est absolument pas rebutante lorsqu'elle est bien enseignée. Une matière d'éveil qui correspond parfaitement à l'esprit éveillé de ces nouvelles générations, à 13-14 ans. s'agissant donc de créer du mieux pour l'avenir...pas la peine d'aller à l'extrême et d'imaginer revenir au temps des couvents, des écoles de curés dans l'espoir d'y former des érudits et saints...ou des vocations, c'est tout le contraire, c'est une liberté de bien penser dont l'homme à besoin...LILAS a écrit :Même avec la "philosophie" et la "psychologie", l'homme est l'homme et nous avons pas tous vocations à être soeur THERESA.
après tout, on voit l'échec de la compétition, beaucoup d'enfants se voient bloqués par ce système puis se découvrent plus tard des qualités... un remodelage de la société ça commence au niveau de ce qui y est enseigné. je réformerais tout...j'exigerais que pour ceux qui ne peuvent vraiment pas, qu'il y ait aussi tout un panel de portes de sortie disponibles.
résoudre les injustices à la base...
oui, je trouve ça chouette pour luiLILAS91 a écrit :Je pense que si ton fiston, Cecile,
est intereszsée par les svt, il vaut mieux qu'il poursuive en S , c'est encore une matière, où l'on est obligée de tenir compte du fait humain, ne serait ce qu'en matière d'environnement!
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romain23
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
LILAS91 a écrit:
Je pense que si ton fiston, Cecile,
est intereszsée par les svt, il vaut mieux qu'il poursuive en S , c'est encore une matière, où l'on est obligée de tenir compte du fait humain, ne serait ce qu'en matière d'environnement!
(quote cecile)
Non cecile, c'est moi, Romain 23 qui est écrit ce poste. Je revendique les droits d'auteur!
D'autant plus que j'ai passé ma vie à me faire piquer mes idées, et, dans le social, justement! Et comme je lutte contre les aspects negatifs de mon karma
tu comprendras!
Je pense que si ton fiston, Cecile,
est intereszsée par les svt, il vaut mieux qu'il poursuive en S , c'est encore une matière, où l'on est obligée de tenir compte du fait humain, ne serait ce qu'en matière d'environnement!
(quote cecile)
Non cecile, c'est moi, Romain 23 qui est écrit ce poste. Je revendique les droits d'auteur!
D'autant plus que j'ai passé ma vie à me faire piquer mes idées, et, dans le social, justement! Et comme je lutte contre les aspects negatifs de mon karma
tu comprendras!
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Invité
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
comment j'ai fait ça????? désoléeeeeeee
ok ok je comprends!
ok ok je comprends!
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romain23
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
Tu peux aller sur le petit crayon qui est à droite de ton texte , sur la gauche, le crayon editer, et tu peux refaires un copier coller de ton post!
Voilà, voilà.....
ça évites les polémiques par la suite....
Voilà, voilà.....
ça évites les polémiques par la suite....
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Invité
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
rectif: 
cécile8 a écrit :LILAS91 a écrit :Aussi, ceux qui sont en poste sont sur les genoux et démissionnent (pour ceux que le peuvent, les autres peuvent devenir des maltraitants).bien je pense plutôt en me projetant et en examinant les échecs et les bons aspects aussi de hier à aujourd'hui... que: en terme de faire évoluer la conscience responsable vis à vis des générations futures, je voterais pour l'intégration systématique de la philosophie dés la 3ème, allez, au moment où les jeunes commencent à se poser des questions existentielles, matière qui n'est absolument pas rebutante lorsqu'elle est bien enseignée. Une matière d'éveil qui correspond parfaitement à l'esprit éveillé de ces nouvelles générations, à 13-14 ans. s'agissant donc de créer du mieux pour l'avenir...pas la peine d'aller à l'extrême et d'imaginer revenir au temps des couvents, des écoles de curés dans l'espoir d'y former des érudits et saints...ou des vocations, c'est tout le contraire, c'est une liberté de bien penser dont l'homme à besoin...LILAS a écrit :Même avec la "philosophie" et la "psychologie", l'homme est l'homme et nous avons pas tous vocations à être soeur THERESA.
après tout, on voit l'échec de la compétition, beaucoup d'enfants se voient bloqués par ce système puis se découvrent plus tard des qualités... un remodelage de la société ça commence au niveau de ce qui y est enseigné. je réformerais tout...j'exigerais que pour ceux qui ne peuvent vraiment pas, qu'il y ait aussi tout un panel de portes de sortie disponibles.
résoudre les injustices à la base...
oui, je trouve ça chouette pour luiRomain23 a écrit :Je pense que si ton fiston, Cecile,
est intereszsée par les svt, il vaut mieux qu'il poursuive en S , c'est encore une matière, où l'on est obligée de tenir compte du fait humain, ne serait ce qu'en matière d'environnement!
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LILAS91
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
Première réponse : je ne touche rien. Grâce au temps plus que partiel et plus que précaaire. Puis, j'ai été en fin de droits, et parce que mon mari est encore au travail (peut-être pour plus longtemps encore), Voilà ce qui attend certains "fins de droits" dans les prochaines semaines. je n'ai le droit que de la boucler et démissionner de POLE EMPLOI (d'aprés le conseiller référent).
Chose que je ne fais pas. J'ai été radiée mais j'ai réapparu.... même si le conseiller référent ne voulait pas.... Histoire de le déranger dans ses perceptions sur son pouvoir sur les autres.
Il ne m'apprécie pas vraiment. Je pense que je lui rappelle sa maman, et qu'il n'a pas dépassé son complexe d'oedipe. C'est malheureux quand on veut s'occuper des autres, de n'avoir pas travaillé sur ses transferts inconscients. BOn, c'est comme ça !
Donc, j'ai le droit d'être inscrite. Il a le devoir de me recevoir. J'ai le droit de chercher du travail avec les outils des services publics. J'ai le devoir de prendre un poste. J'ai pris ce que je trouvais, quand je le trouvais. J'ai gagné plusieurs référé grâce aux associations loi 1901, agréées par la Direction Départementale du Travail. Ici, dans le 91, plusieurs procés ont eu lieu contre ces "boutiques". Un des organismes du sud du département a été dénoncé par un comptable et un assistant direct. Le directeur s'est vu défilé par les 7 subventionneurs, dont l'ETAT. Or, c'est l'ETAT qui lui a délivré l'agrément et ne l'avais jamais contrôlé auparavant. IL s'agissait de l'argent du contribuable !
Désormais, je n'ai rien à perdre. Je refuse tout ce qui est illégal ou qui est contraire à ma moral et l'éthique. Sinon, je dénonce à la conseillère régionale (que je connais) et elle se charge alors de faire le nécessaire auprès des instances départementales. L'URSSAF me connaît aussi : je contrôle régulièrement si l'année précédente (une année pile tapante écoulée : mon ex-employeur m'a bien déclaré, sinon le bureau des contrôles URSSAF fait le nécessaire).
J'aurais de quoi écrire un livre sur les illégalités de certaines pratiques associatives de business. Je ne parle pas de celles qui se chargent de rassembler pour une activité, moyennant 15 €. POINT. Je m'occupe des autres : celles qui se chargent de l'exploitation de l'esclavagisme moderne sous la bénédiction de l'ETAT. C'est presque devenu un jeu. Je sais que je n'arrêterai jamais ce processus, mais cela occupe et j'ai l'impression que je fais malgré tout un petit quelque chose (une goutte d'eau dans la mer).
J'ai travaillé un temps avec l'International, dont plus particulièrement des scandinaves. Et là, le choc : les mentalités ne sont pas les mêmes. Bien sûr, rien n'est parfait, mais la femme y trouve toute sa place et peut travailler quand elle le veut. Ses compétences ne se perdent pas avec l'âge, avec la formation continue permanente.... Les gens ne sont pas sadiques au point de traduire systématiquement les coupures comme des séjours psychiatriques, des maladies graves.... et même si cela était des raisons pour lesquelles les gens arrêtaient un temps, ils ont le droit de travailler.
DROIT ET DEVOIR ! Parlons-en.
L'ETAT a le devoir de faire appliquer la JUSTICE et l'EGALITE pour rentrer dans les fondements REPUBLICAINS (ceux dont on nous rebat tant les oreilles) LIBERTE - EGALITE - FRATERNITE.
Liberté avec des codes moraux et de justice, appliquant l'EGALITE...
MON OEIL !
J'aime travailler, j'ai été éduqué dans cet environnement. J'ai longtemps suffert de ne pas accéder à l'emploi. Maintenant, je dis l'ETAT est le premier a détruire ces valeurs travail.
Je m'intéresse à d'autres centres d'intérêts : j'apprends à écrire des scénarios (et celui qui me tient à coeur se déroule à POLE EMPLOI... dans l'humour bien sûr !) Enfin, tout dépend pour qui !
Mais il est hors de question que je pratique ce qui ne relève pas de ce que je suis personnellement. Je me respecte avant tout. Je n'accepte pas de servir d'autres pour leurs propres intérêts, contre mes intérêts. POINT.
Je suis quelque chose, j'existe. Je m'exprime à travers diverses activités (y compris la dénonciation de hors la loi, couvert par l'ETAT).
Chose que je ne fais pas. J'ai été radiée mais j'ai réapparu.... même si le conseiller référent ne voulait pas.... Histoire de le déranger dans ses perceptions sur son pouvoir sur les autres.
Il ne m'apprécie pas vraiment. Je pense que je lui rappelle sa maman, et qu'il n'a pas dépassé son complexe d'oedipe. C'est malheureux quand on veut s'occuper des autres, de n'avoir pas travaillé sur ses transferts inconscients. BOn, c'est comme ça !
Donc, j'ai le droit d'être inscrite. Il a le devoir de me recevoir. J'ai le droit de chercher du travail avec les outils des services publics. J'ai le devoir de prendre un poste. J'ai pris ce que je trouvais, quand je le trouvais. J'ai gagné plusieurs référé grâce aux associations loi 1901, agréées par la Direction Départementale du Travail. Ici, dans le 91, plusieurs procés ont eu lieu contre ces "boutiques". Un des organismes du sud du département a été dénoncé par un comptable et un assistant direct. Le directeur s'est vu défilé par les 7 subventionneurs, dont l'ETAT. Or, c'est l'ETAT qui lui a délivré l'agrément et ne l'avais jamais contrôlé auparavant. IL s'agissait de l'argent du contribuable !
Désormais, je n'ai rien à perdre. Je refuse tout ce qui est illégal ou qui est contraire à ma moral et l'éthique. Sinon, je dénonce à la conseillère régionale (que je connais) et elle se charge alors de faire le nécessaire auprès des instances départementales. L'URSSAF me connaît aussi : je contrôle régulièrement si l'année précédente (une année pile tapante écoulée : mon ex-employeur m'a bien déclaré, sinon le bureau des contrôles URSSAF fait le nécessaire).
J'aurais de quoi écrire un livre sur les illégalités de certaines pratiques associatives de business. Je ne parle pas de celles qui se chargent de rassembler pour une activité, moyennant 15 €. POINT. Je m'occupe des autres : celles qui se chargent de l'exploitation de l'esclavagisme moderne sous la bénédiction de l'ETAT. C'est presque devenu un jeu. Je sais que je n'arrêterai jamais ce processus, mais cela occupe et j'ai l'impression que je fais malgré tout un petit quelque chose (une goutte d'eau dans la mer).
J'ai travaillé un temps avec l'International, dont plus particulièrement des scandinaves. Et là, le choc : les mentalités ne sont pas les mêmes. Bien sûr, rien n'est parfait, mais la femme y trouve toute sa place et peut travailler quand elle le veut. Ses compétences ne se perdent pas avec l'âge, avec la formation continue permanente.... Les gens ne sont pas sadiques au point de traduire systématiquement les coupures comme des séjours psychiatriques, des maladies graves.... et même si cela était des raisons pour lesquelles les gens arrêtaient un temps, ils ont le droit de travailler.
DROIT ET DEVOIR ! Parlons-en.
L'ETAT a le devoir de faire appliquer la JUSTICE et l'EGALITE pour rentrer dans les fondements REPUBLICAINS (ceux dont on nous rebat tant les oreilles) LIBERTE - EGALITE - FRATERNITE.
Liberté avec des codes moraux et de justice, appliquant l'EGALITE...
MON OEIL !
J'aime travailler, j'ai été éduqué dans cet environnement. J'ai longtemps suffert de ne pas accéder à l'emploi. Maintenant, je dis l'ETAT est le premier a détruire ces valeurs travail.
Je m'intéresse à d'autres centres d'intérêts : j'apprends à écrire des scénarios (et celui qui me tient à coeur se déroule à POLE EMPLOI... dans l'humour bien sûr !) Enfin, tout dépend pour qui !
Mais il est hors de question que je pratique ce qui ne relève pas de ce que je suis personnellement. Je me respecte avant tout. Je n'accepte pas de servir d'autres pour leurs propres intérêts, contre mes intérêts. POINT.
Je suis quelque chose, j'existe. Je m'exprime à travers diverses activités (y compris la dénonciation de hors la loi, couvert par l'ETAT).
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maguy
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
Ca, pour rentrer dans les fondementspour rentrer dans les fondements REPUBLICAINS
Je sais que je ne travaillerai jamais pour une assoc, ces charity-business qui n'aident que les dirigeants, sous couvert de bonté d'âme, ils infantilisent les gens, et gare à ceux qui n'entrent pas le moule ou qui regimbent !
Lilas, tu as raison de dénoncer leurs méthodes plus que discutables, tu vas devenir tricarde comme notre Romain dans son département.
Je me garderais de trop encenser le modèle scandinave, il y a à boire et à manger...
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maguy
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
Désolée, mais je préfère ne pas ouvrir un nouveau file sur l'éducation de nos têtes blondes Puisqu'on en parlait je viens de trouver via Rezo un article qui parlera aux mamans plus qu'à moi (en plus je ne pige plus rien aux secteurs S, ES cela n'existait de mon temps !)
Puisqu'on en parlait je viens de trouver via Rezo un article qui parlera aux mamans plus qu'à moi (en plus je ne pige plus rien aux secteurs S, ES cela n'existait de mon temps !)article complet et sourceLe Conseil supérieur de l'éducation (CSE) s'est réuni, mercredi 31 mars, au ministère de l'éducation, à Paris, pour discuter des programmes de lycée qui seront appliqués à la rentrée prochaine.
Le sort réservé à ceux d'histoire et de sciences économiques et sociales (SES) pour les classes de seconde, qui avaient été très critiqués par les professeurs de ces disciplines, était le plus surveillé par les enseignants et les associations de parents d'élèves.
Face aux responsables du ministère, siégeaient pas moins d'une soixantaine de personnes représentant les organisations syndicales d'enseignants, de parents d'élèves, de représentants des lycéens et du monde de l'entreprise. Après avoir abordé la question des baccalauréats binationaux (franco-allemand : Abibac ; franco-espagnol : Bachibac ; et franco-italien : Esabac), le CSE s'est penché sur six programmes et a procédé au vote pour chacun.
Ceux de méthodes et pratiques scientifiques (enseignement d'exploration pour la seconde), de mathématiques (première et terminales ES et S), de physique-chimie (seconde), d'éducation physique et sportive (seconde) et de langues vivantes 1-2-3 (seconde) ont tous été adoptés à la majorité. En revanche, le programme de sciences économiques et sociales pour la classe de seconde a été rejeté par 42 voix contre, 12 abstentions et 7 voix pour.
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LILAS91
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
Il n'est pas difficile d'avoir un "projet social" rédigé et de le présenté à un politique local. De plus, si vous êtes dans le conseil municipal, vous, ou votre conjoint(e), cela aide. Par ailleurs, si vous avez un liste de "notables" pour noter leur nom dans leur conseil d'administration... Encore mieux. Et puis, le président est l'homme de paille, vous, VOUS VOUS NOMMER DIRECTEUR(RICE) !
Après, vous allez gentiment présenter votre projet à des intéressés. Par exemple : les associations qui vendent des prestations à POLE EMPLOI, répondent à des cachiers des charges publics. Comme vous cassez les prix, parce que le but de l'ETAT est d'affirmer qu'il fait réellement quelque chose contre le chômage, il n'hésite pas à prendre les prestataires "à prix bradés". Le directeur se paie bien. Certains s'octroyaient un mois de salaire déclaré et un autre en avantage (remboursement de frais de bouf, déplacements simulés, fournitures, etc....). D'ailleurs quand l'URSSAF est venu, et que deux logiciels de compta fonctionnaient en parallèle (un préparait les états, d'autres recevaient les écritures une fois que le patron était en mesure de les faire basculer : double compta avant enregistrement....).
Le directeur (ex-maçon) avait mis sur pied avec trois autres personnes ce projet pendant qu'ils étaient au chômage. Aucun n'avait trouvé de solution que celle d'arnaquer avec l'aide de la Direction Départementale du travail et du Conseil Général, les futurs usagers (là, il s'agissait d'une association intermédiaire d'aides à domicile). Ce patron ne déclarait pas le personnel sauf ceux avec qui il avait monté ce projet).
Quand trop de gens se sont trouvés informé, et avec grand tapage j'ai alerté bon nombre de gens trempés dans l'affaire, finalement, il n'y avait d'autres solutions que de le faire sauter.
L'ETAT d'esprit n'est pas de sauver l'humanité comme il en est question dans le projet social et dans le discours de la direction. Non, là c'est de "profiter du système" en son intérêt.
Un ami, juriste dans une très grande organisation associative humanitaire, me racontait que maintenant il en était à devoir radier les "bénévoles" à vie, car ceux-ci non payés, se payaient en bons essence, avec le fourgon qu'ils empruntaient le week-end, etc... On n'était plus bénévole parce que l'on voulait donner mais pour prendre. Lui-même occupe un poste "vrai et très qualifié" (docteur en droit) et ne comprends pas qu'on ne veuille plus être bénévole !
Il y a la petite association qui se réserve que le droit de se rencontrer pour débattre de tout ce que l'on veut.... et c'est tout. Là est le vrai sens d'une association. Cela n'a jamais été le cas de vendre et de faire commerce sur le dos de travailleurs ou bénévoles.
On tue le travail, le vrai. Il y a de vrais besoins. On le voit partir et certaines fonctions sont prises en charges par des bénévoles.... Attention donc quand on vous conseille, incite, dirige, oriente...... sachez qui le fait, quelles qualifications possèdent-ils ? Dans quel état d'esprit, est-il là ? Que fait-il là ? etc...
Pour vos orientation pro. et vos "soutiens : APPUI SOCIAL INDIVIDUALISE" (ASI) (SI CELA SE PRATIQUE TOUJOURS),
exigez un vrai professionnel, diplômé et déclaré à la DDASS à ADELI.
Diplômée et répertoriée moi-même, j'ai fait tout un tapage lorsque le centre de bilans, faute de m'orienter correctement en fonction de mon profil, j'ai exigé le diplôme de l'intervenant ! Là, surprise..... Un DEUG de psycho m'a pris en charge, a toujours été affecté à l'Education Nationale et ne connaissait pas le monde du travail.
Inutile de vous dire que son compte rendu est parti directement à la poubelle.
Rien de fondé, rien d'argumenté, de construit. Celui qui avait été fait trois ans auparavant était plus fiable et reflétait davantage la réalité. LE seul problème : pas d'offres d'emploi dans ce secteur.
Pour vous, vos enfants : SOYEZ VIGILANTS.
Le business opère dans tous les domaines.
Après, vous allez gentiment présenter votre projet à des intéressés. Par exemple : les associations qui vendent des prestations à POLE EMPLOI, répondent à des cachiers des charges publics. Comme vous cassez les prix, parce que le but de l'ETAT est d'affirmer qu'il fait réellement quelque chose contre le chômage, il n'hésite pas à prendre les prestataires "à prix bradés". Le directeur se paie bien. Certains s'octroyaient un mois de salaire déclaré et un autre en avantage (remboursement de frais de bouf, déplacements simulés, fournitures, etc....). D'ailleurs quand l'URSSAF est venu, et que deux logiciels de compta fonctionnaient en parallèle (un préparait les états, d'autres recevaient les écritures une fois que le patron était en mesure de les faire basculer : double compta avant enregistrement....).
Le directeur (ex-maçon) avait mis sur pied avec trois autres personnes ce projet pendant qu'ils étaient au chômage. Aucun n'avait trouvé de solution que celle d'arnaquer avec l'aide de la Direction Départementale du travail et du Conseil Général, les futurs usagers (là, il s'agissait d'une association intermédiaire d'aides à domicile). Ce patron ne déclarait pas le personnel sauf ceux avec qui il avait monté ce projet).
Quand trop de gens se sont trouvés informé, et avec grand tapage j'ai alerté bon nombre de gens trempés dans l'affaire, finalement, il n'y avait d'autres solutions que de le faire sauter.
L'ETAT d'esprit n'est pas de sauver l'humanité comme il en est question dans le projet social et dans le discours de la direction. Non, là c'est de "profiter du système" en son intérêt.
Un ami, juriste dans une très grande organisation associative humanitaire, me racontait que maintenant il en était à devoir radier les "bénévoles" à vie, car ceux-ci non payés, se payaient en bons essence, avec le fourgon qu'ils empruntaient le week-end, etc... On n'était plus bénévole parce que l'on voulait donner mais pour prendre. Lui-même occupe un poste "vrai et très qualifié" (docteur en droit) et ne comprends pas qu'on ne veuille plus être bénévole !
Il y a la petite association qui se réserve que le droit de se rencontrer pour débattre de tout ce que l'on veut.... et c'est tout. Là est le vrai sens d'une association. Cela n'a jamais été le cas de vendre et de faire commerce sur le dos de travailleurs ou bénévoles.
On tue le travail, le vrai. Il y a de vrais besoins. On le voit partir et certaines fonctions sont prises en charges par des bénévoles.... Attention donc quand on vous conseille, incite, dirige, oriente...... sachez qui le fait, quelles qualifications possèdent-ils ? Dans quel état d'esprit, est-il là ? Que fait-il là ? etc...
Pour vos orientation pro. et vos "soutiens : APPUI SOCIAL INDIVIDUALISE" (ASI) (SI CELA SE PRATIQUE TOUJOURS),
exigez un vrai professionnel, diplômé et déclaré à la DDASS à ADELI.
Diplômée et répertoriée moi-même, j'ai fait tout un tapage lorsque le centre de bilans, faute de m'orienter correctement en fonction de mon profil, j'ai exigé le diplôme de l'intervenant ! Là, surprise..... Un DEUG de psycho m'a pris en charge, a toujours été affecté à l'Education Nationale et ne connaissait pas le monde du travail.
Inutile de vous dire que son compte rendu est parti directement à la poubelle.
Rien de fondé, rien d'argumenté, de construit. Celui qui avait été fait trois ans auparavant était plus fiable et reflétait davantage la réalité. LE seul problème : pas d'offres d'emploi dans ce secteur.
Pour vous, vos enfants : SOYEZ VIGILANTS.
Le business opère dans tous les domaines.
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maguy
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
Ca, on le sait depuis longtemps et c'est la raison pour laquelle je refuse les "bénévolats" depuis longtemps, je choisis ceux que j'aideComme vous cassez les prix, parce que le but de l'ETAT est d'affirmer qu'il fait réellement quelque chose contre le chômage, il n'hésite pas à prendre les prestataires "à prix bradés". Le directeur se paie bien. Certains s'octroyaient un mois de salaire déclaré et un autre en avantage (remboursement de frais de bouf, déplacements simulés, fournitures, etc....).
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LILAS91
Re: AIDE A DOMICILE : l'hémorragie d'une profession
de maguy » 01 Avr 2010
Ca, on le sait depuis longtemps et c'est la raison pour laquelle je refuse les "bénévolats" depuis longtemps, je choisis ceux que j'aide
Pour ma part, il ne s'agissait pas de bénévolat, mais d'un contrat de travail pur et simple.
Pour la petite histoire :
une clause au contrat de travail :
"En cas de rupture du présent contrat, le dénigrement de l'association ou le fait de faire bénéficier les tiers de renseignements sur les méthodes et le savoir-faire de l'association constituerait un acte de concurrence déloyale susceptible d'engager la responsabilté de Mme X."
Et là, en justice :
1° - Je possédais toutes les factures de mon matériel utilisé.
2° - La directrice ne m'a jamais donné les cahiers des charges.
3° - Dénigrer : quand on n'est pas payé, il ne s'agit pas d'un dénigrement, mais d'un fait reporté.
ACTE DE CONCURRENCE DELOYALE : l'éditeur du matériel pouvait porter plainte si la dame souhaitait en plus une copie du matériel utilisé. Selon les textes de protections de la propriété industrielle....
4° - Quand à ne pas payer les salaires d'un employé lié par un contrat de travail n'est pas autorisé. Il ne s'agissait pas de bénévolat mais de s'attacher les services d'un professionnel que la dame ne pouvait s'offrir. Il faut dire qu'à 3 000 euros de salaire pour 4 jours de travail hebdo.... La dame n'était pas à plaindre. Quant aux autres..... qu'ils se débrouillent s'ils veulent les miettes.
Son époux était défenseur des droits de l'homme. Le couple est fortement impliqué dans la politique. Et.... dans le sud du 91, très peu de choses sont faites en faveur des chomeurs (et plus encore des chômeurs longue durée !).
Cette dame prie que l'on veille toujours lui renouveller les subventions puisqu'il s'agit de son salaire. Quand même.
Et donc, des auboles des contribuables....
Ca, on le sait depuis longtemps et c'est la raison pour laquelle je refuse les "bénévolats" depuis longtemps, je choisis ceux que j'aide
Pour ma part, il ne s'agissait pas de bénévolat, mais d'un contrat de travail pur et simple.
Pour la petite histoire :
une clause au contrat de travail :
"En cas de rupture du présent contrat, le dénigrement de l'association ou le fait de faire bénéficier les tiers de renseignements sur les méthodes et le savoir-faire de l'association constituerait un acte de concurrence déloyale susceptible d'engager la responsabilté de Mme X."
Et là, en justice :
1° - Je possédais toutes les factures de mon matériel utilisé.
2° - La directrice ne m'a jamais donné les cahiers des charges.
3° - Dénigrer : quand on n'est pas payé, il ne s'agit pas d'un dénigrement, mais d'un fait reporté.
ACTE DE CONCURRENCE DELOYALE : l'éditeur du matériel pouvait porter plainte si la dame souhaitait en plus une copie du matériel utilisé. Selon les textes de protections de la propriété industrielle....
4° - Quand à ne pas payer les salaires d'un employé lié par un contrat de travail n'est pas autorisé. Il ne s'agissait pas de bénévolat mais de s'attacher les services d'un professionnel que la dame ne pouvait s'offrir. Il faut dire qu'à 3 000 euros de salaire pour 4 jours de travail hebdo.... La dame n'était pas à plaindre. Quant aux autres..... qu'ils se débrouillent s'ils veulent les miettes.
Son époux était défenseur des droits de l'homme. Le couple est fortement impliqué dans la politique. Et.... dans le sud du 91, très peu de choses sont faites en faveur des chomeurs (et plus encore des chômeurs longue durée !).
Cette dame prie que l'on veille toujours lui renouveller les subventions puisqu'il s'agit de son salaire. Quand même.
Et donc, des auboles des contribuables....