ELECTIONS REGIONALES
Re: ELECTIONS REGIONALES
Voir aussi la vidéo de la réponse de Besson, qui est à la suite de l'humeur du jour de Stéphane Guillon.
Besson adorerait sûrement chartériser Guillon, mais peut-être bien que c'est Besson qui va être débarqué le premier, vu que "l'ouverture" n'a plus la cote au gouvernement...
Besson adorerait sûrement chartériser Guillon, mais peut-être bien que c'est Besson qui va être débarqué le premier, vu que "l'ouverture" n'a plus la cote au gouvernement...
Re: ELECTIONS REGIONALES
tout depend de quelle ouverture on parle! La fenetre de gooche ou la fenetre a l'extreme droite qui risque d'etre grande ouverte au point de faire courant d'air!serabeth a écrit :Voir aussi la vidéo de la réponse de Besson, qui est à la suite de l'humeur du jour de Stéphane Guillon.
Besson adorerait sûrement chartériser Guillon, mais peut-être bien que c'est Besson qui va être débarqué le premier, vu que "l'ouverture" n'a plus la cote au gouvernement...
Ca lui fera quel age a pepere ?
Hier j'etais a Aix en Provence et suis passee devant des bureaux de vote : la plupart des votants avaient au moins 70 ans,zolis et propres sur eux !(maguy)
La gamine a de la verve , et y'a meme la petite fille marion . Une dynastie en puissance! et puis c'est génétique dans le clan!
ET hélas, y'a beaucoup de jeunes attirés par les thèses! J'en ai vu plein par ici ( suis contente que mon departement a basculé,)
Le saltimbanque répond avec humour!
Stéphane Guillon continue à résister! sans toutefois s'inquiéter que
et comme Sarko déteste Guillon, alors le Besson en lèche cul, n'aime pas non plus Guillon,
et Jean-Luc Hess le patron de Radio France qui s'incline devant les "rouspétailles" de politicards devrait défendre ces chroniqueurs et leur liberté d'expression !
http://www.dailymotion.com/video/xcohvd ... -eric_news"Humoriste ça devient de plus en plus compliqué. Il faut faire attention à tout, peser chaque mot. Si on continue, c'est un métier qui va disparaître: comme maréchal-ferrant, il n'y en aura plus!", a-t-il dit.
et comme Sarko déteste Guillon, alors le Besson en lèche cul, n'aime pas non plus Guillon,
et Jean-Luc Hess le patron de Radio France qui s'incline devant les "rouspétailles" de politicards devrait défendre ces chroniqueurs et leur liberté d'expression !
ELECTIONS REGIONALES
Extrait
...attendre que la démocratie d’un pays atteigne un degré de développement suffisant pour émettre un vote, c’est prendre le risque d’attendre longtemps.
...Jamais la démocratie ne sera achevée : elle est en perpétuelle construction ou destruction selon les forces en présence. Une chose est sûre : l’abstention contribue à sa destruction.
...Aucune d’elles ne peut être clairement déchiffrée puisque les prétendus partisans de la démocratie et les tenants de la tyrannie font souvent cause commune dans une commune abstention.
http://www.golias-editions.fr/spip.php?article3750 ... Ce n’est pas parce que les élèves se désintéressent d’un cours que la responsabilité en incombe obligatoirement au professeur.

...Jamais la démocratie ne sera achevée : elle est en perpétuelle construction ou destruction selon les forces en présence. Une chose est sûre : l’abstention contribue à sa destruction.
...Aucune d’elles ne peut être clairement déchiffrée puisque les prétendus partisans de la démocratie et les tenants de la tyrannie font souvent cause commune dans une commune abstention.
http://www.golias-editions.fr/spip.php?article3750 ... Ce n’est pas parce que les élèves se désintéressent d’un cours que la responsabilité en incombe obligatoirement au professeur.
Re: ELECTIONS et abstention
Abstention : quand le déclin du travail mène à la démobilisation électorale
Céline Braconnier, chercheuse en sciences politiques, alerte sur l’absence de prise en compte de l’abstention qui se répand au-delà des quartiers populaires.
Céline Braconnier, maître de conférences de science politique à l’université de Cergy, était l’auteure, en 2007, avec Jean-Yves Dormagen, professeur de science politique à l’université de Montpellier-I, de «La démocratie de l’abstention» (disponible chez Gallimard Folio) dans lequel ils livraient les résultats détaillés d’une enquête sociologique de plus de quatre ans au sein de la cité des Cosmonautes, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), portant sur les pratiques du vote en milieu populaire. Trois ans après l’avoir rencontrée à cette occasion (voir L’Humanité du 14 mars 2007), retour sur l’abstention massive constatée aux deux tours des régionales, à la lumière de ses travaux.
Dans l’entretien que nous avions publié en 2007, vous expliquiez que le déclin du travail figure parmi l’une des raisons de l’abstention. Les 600.000 emplois qui ont été depuis détruits en France amplifient-ils le phénomène ?
Céline Braconnier. L’extension du chômage et de la précarité ont des effets plus ou moins indirects sur la démobilisation électorale. Le travail est traditionnellement un lieu de socialisation politique. Jusqu’au début des années 80, il était un des lieux d’encadrement politique pour les milieux populaires. Plus il y a de salariés qui échappent à ce cadre-là, moins il y a de chance qu’ils s’intéressent à la politique et aillent donc voter. On remarque d’ailleurs que les petits fonctionnaires font partie du noyau dur des votants. C’est bien qu’il y a un lien entre l’instabilité de l’emploi et la constance électorale. Par contraste, plus on est dans la précarité salariale, plus le rapport au vote est distendu.
L’absence d’encadrement politique est-elle la seule origine de l’abstention des salariés ?
Céline Braconnier. L’encadrement politique dont bénéficiait le milieu populaire en France expliquait un taux de mobilisation électorale plus élevé par rapport aux États-Unis, par exemple. Mais il y a évidemment un cumul de facteurs, dont le désenchantement très marqué à l’égard de la politique. Après une succession d’alternances gauche/droite qui n’a pas abouti à une amélioration de la vie, les citoyens ont arrêté de croire dans la capacité du vote à transformer la situation.
Cette abstention est-elle de l’ordre de la sanction ?
Céline Braconnier. Non, dans la mesure ou il n’existe pas de stratégie politique ni de calcul. Il y a juste une indifférence liée au désenchantement. Dès lors ou il n’y a pas une campagne électorale de très haute intensité, comme en 2007, la politique ne pénètre pas dans les foyers qui ne parlent pas de politique. Ce qui domine dans les quartiers populaires, notamment chez les jeunes, c’est l’indifférence. Puisqu’on ne s’occupe pas d’eux, qu’ils n’ont pas les mêmes droits que le reste de la population, qu’ils ont un fort sentiment d’être discriminés, ils ne voient pas de raison de s’intéresser à la chose politique et de faire un effort au moment du vote.
Vos travaux montrent que l’abstention et la non-inscription sur les listes électorales deviennent la norme dans les cités populaires. Se posera-t-il à terme la question de la légitimité des élus ?
Céline Braconnier. Le faible taux de votants pose en effet un réel problème de légitimité des élus. Il faudra bien prendre conscience de cette situation. Or les politiques ont tendance à y prêter attention uniquement le soir des résultats électoraux. Ils célèbrent des victoires ou regrettent des échecs mais sans en tenir compte dans leurs interprétations. On peut s’en contenter, à l’image des États-Unis. La démocratie américaine fonctionne ainsi depuis plus de cinquante ans. Les taux d’abstention recueillis aux régionales sont dans la moyenne de ceux que l’on enregistre traditionnellement outre-Atlantique.
Cette norme est-elle en train de se répandre dans les villes particulièrement touchées par les restructurations d’entreprises ?
Céline Braconnier. Nous n’avons pas de données précises pour mesurer comment la dynamique en cours depuis plusieurs années tend à s’amplifier et à se répandre dans des milieux plus larges que les cités. Mais ce serait logique que ce phénomène s’élargisse. Un fait révélateur me marque : l’abstention se développe dans le milieu associatif des quartiers populaires. Les militants associatifs sont des citoyens plus politisés, ce sont des meneurs qui traditionnellement arrivent à convaincre de la nécessité du vote. Aujourd’hui, leur rapport à la politique institutionnelle commence à se distendre. Eux-mêmes pratiquent l’intermittence électorale. Les mécanismes informels de mobilisation électorale s’enrayent. Du coup, la dynamique abstentionniste s’amplifie.
http://www.humanite.fr/Abstention-quand ... electorale
Céline Braconnier, chercheuse en sciences politiques, alerte sur l’absence de prise en compte de l’abstention qui se répand au-delà des quartiers populaires.
Céline Braconnier, maître de conférences de science politique à l’université de Cergy, était l’auteure, en 2007, avec Jean-Yves Dormagen, professeur de science politique à l’université de Montpellier-I, de «La démocratie de l’abstention» (disponible chez Gallimard Folio) dans lequel ils livraient les résultats détaillés d’une enquête sociologique de plus de quatre ans au sein de la cité des Cosmonautes, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), portant sur les pratiques du vote en milieu populaire. Trois ans après l’avoir rencontrée à cette occasion (voir L’Humanité du 14 mars 2007), retour sur l’abstention massive constatée aux deux tours des régionales, à la lumière de ses travaux.
Dans l’entretien que nous avions publié en 2007, vous expliquiez que le déclin du travail figure parmi l’une des raisons de l’abstention. Les 600.000 emplois qui ont été depuis détruits en France amplifient-ils le phénomène ?
Céline Braconnier. L’extension du chômage et de la précarité ont des effets plus ou moins indirects sur la démobilisation électorale. Le travail est traditionnellement un lieu de socialisation politique. Jusqu’au début des années 80, il était un des lieux d’encadrement politique pour les milieux populaires. Plus il y a de salariés qui échappent à ce cadre-là, moins il y a de chance qu’ils s’intéressent à la politique et aillent donc voter. On remarque d’ailleurs que les petits fonctionnaires font partie du noyau dur des votants. C’est bien qu’il y a un lien entre l’instabilité de l’emploi et la constance électorale. Par contraste, plus on est dans la précarité salariale, plus le rapport au vote est distendu.
L’absence d’encadrement politique est-elle la seule origine de l’abstention des salariés ?
Céline Braconnier. L’encadrement politique dont bénéficiait le milieu populaire en France expliquait un taux de mobilisation électorale plus élevé par rapport aux États-Unis, par exemple. Mais il y a évidemment un cumul de facteurs, dont le désenchantement très marqué à l’égard de la politique. Après une succession d’alternances gauche/droite qui n’a pas abouti à une amélioration de la vie, les citoyens ont arrêté de croire dans la capacité du vote à transformer la situation.
Cette abstention est-elle de l’ordre de la sanction ?
Céline Braconnier. Non, dans la mesure ou il n’existe pas de stratégie politique ni de calcul. Il y a juste une indifférence liée au désenchantement. Dès lors ou il n’y a pas une campagne électorale de très haute intensité, comme en 2007, la politique ne pénètre pas dans les foyers qui ne parlent pas de politique. Ce qui domine dans les quartiers populaires, notamment chez les jeunes, c’est l’indifférence. Puisqu’on ne s’occupe pas d’eux, qu’ils n’ont pas les mêmes droits que le reste de la population, qu’ils ont un fort sentiment d’être discriminés, ils ne voient pas de raison de s’intéresser à la chose politique et de faire un effort au moment du vote.
Vos travaux montrent que l’abstention et la non-inscription sur les listes électorales deviennent la norme dans les cités populaires. Se posera-t-il à terme la question de la légitimité des élus ?
Céline Braconnier. Le faible taux de votants pose en effet un réel problème de légitimité des élus. Il faudra bien prendre conscience de cette situation. Or les politiques ont tendance à y prêter attention uniquement le soir des résultats électoraux. Ils célèbrent des victoires ou regrettent des échecs mais sans en tenir compte dans leurs interprétations. On peut s’en contenter, à l’image des États-Unis. La démocratie américaine fonctionne ainsi depuis plus de cinquante ans. Les taux d’abstention recueillis aux régionales sont dans la moyenne de ceux que l’on enregistre traditionnellement outre-Atlantique.
Cette norme est-elle en train de se répandre dans les villes particulièrement touchées par les restructurations d’entreprises ?
Céline Braconnier. Nous n’avons pas de données précises pour mesurer comment la dynamique en cours depuis plusieurs années tend à s’amplifier et à se répandre dans des milieux plus larges que les cités. Mais ce serait logique que ce phénomène s’élargisse. Un fait révélateur me marque : l’abstention se développe dans le milieu associatif des quartiers populaires. Les militants associatifs sont des citoyens plus politisés, ce sont des meneurs qui traditionnellement arrivent à convaincre de la nécessité du vote. Aujourd’hui, leur rapport à la politique institutionnelle commence à se distendre. Eux-mêmes pratiquent l’intermittence électorale. Les mécanismes informels de mobilisation électorale s’enrayent. Du coup, la dynamique abstentionniste s’amplifie.
http://www.humanite.fr/Abstention-quand ... electorale
Re: ELECTIONS REGIONALES
Sur la démocratie :
Extrait de « L'anarchie » de Errico Malatesta.Même avec le suffrage universel, et nous pourrions dire particulièrement avec le suffrage universel, le gouvernement est resté le serviteur de la bourgeoisie et le gendarme à son service. S'il en était autrement, si le gouvernement menaçait de devenir hostile à la bourgeoisie, si la démocratie pouvait un jour être autre chose qu'un leurre pour tromper le peuple, la bourgeoisie menacée dans ses intérêts s'empresserait de se révolter et emploierait toute la force et toute l'influence qui lui viennent de ce qu'elle possède la richesse pour rappeler le gouvernement à son rôle de simple gendarme à son service.
Quel que soit le nom que prend le gouvernement, quelles que soient son origine et son organisation, son rôle essentiel est partout et toujours d'opprimer et d'exploiter les masses, et de défendre les oppresseurs et les exploiteurs. Et ses rouages principaux, caractéristiques, indispensables, sont le policier et le percepteur, le soldat et le garde-chiourme, auxquels s'ajoute immanquablement le marchand de mensonges, qu'il soit prêtre ou professeur, appointé et protégé par le gouvernement pour asservir les esprits et les rendre dociles au joug.
Re: ELECTIONS REGIONALES
Tu trouves ?math77 a écrit :Tout est ditExtrait de « L'anarchie » de Errico Malatesta.
Je ne suis pas sûr de la façon dont doit être entendue ta réponse, si tu pouvais développer un tant soit peu, S.T.P. ? Ça me permettrais d'argumenter à mon tour, si nécessaire...
Merci
Re: ELECTIONS REGIONALES
tout simplement que, dès la naissance nous sommes formater,conditionner,ficher, pour faire fonctionner le système et marginaliser ou éradiquer ceux qui osent en sortir.
La révolution de 1789, c'est les bourgeois au départ qui ont manipulé.
La révolution de 1789, c'est les bourgeois au départ qui ont manipulé.
Re: ELECTIONS REGIONALES
La révolution de 1789, c'est les bourgeois au départ qui ont manipulé.(quote)
et qui ont continué! La noblesse abolie a été remplacé par "les commerçants , les artisans et les banquiers! Les pauvres, eux sont restés pauvres, avec certes quelques discours supplémentaires et quelques " droits" étudiés par quelques philosophes privilégiés.....
Mais les terres ayant appartenu aux grandes familles se sont transmises de generations en générations ( bien placé dans le coin pour le voir, ici, on a giscard)
La revolution française faisait partie d'une programmation venue du nouveau monde pour abolir la feodalité et relancer les échanges commerciaux, en bref developper le capital, commme aujourd'hui on developpe la mondialisation pour le NOM ( nouvel ordre mondial)
et qui ont continué! La noblesse abolie a été remplacé par "les commerçants , les artisans et les banquiers! Les pauvres, eux sont restés pauvres, avec certes quelques discours supplémentaires et quelques " droits" étudiés par quelques philosophes privilégiés.....
Mais les terres ayant appartenu aux grandes familles se sont transmises de generations en générations ( bien placé dans le coin pour le voir, ici, on a giscard)
La revolution française faisait partie d'une programmation venue du nouveau monde pour abolir la feodalité et relancer les échanges commerciaux, en bref developper le capital, commme aujourd'hui on developpe la mondialisation pour le NOM ( nouvel ordre mondial)
Re: ELECTIONS REGIONALES
Il n'y a pas de fatalité à ce que tu dis.tout simplement que, dès la naissance nous sommes formater,conditionner,ficher, pour faire fonctionner le système et marginaliser ou éradiquer ceux qui osent en sortir.
Re: ELECTIONS REGIONALES
Paul Lafargue considérait que les Droits de l'homme qui en ont découlé, «concoctés par les avocats métaphysiciens de la révolution bougeoise, ne sont que les droits de l'exploitation capitaliste».math77 a écrit :La révolution de 1789, c'est les bourgeois au départ qui ont manipulé.
Re: ELECTIONS REGIONALES
Ok, mais pour le coup, je rejoins Tristesir. Aucune fatalité là-dedans !math77 a écrit :tout simplement que, dès la naissance nous sommes formater,conditionner,ficher, pour faire fonctionner le système et marginaliser ou éradiquer ceux qui osent en sortir.
La révolution de 1789, c'est les bourgeois au départ qui ont manipulé.
J'irais même plus loin, le propre de l'humain c'est de sortir des ornières du "prêt à penser" et d'explorer les chemins de traverses desquels, justement, les possesseurs du pouvoir voudraient qu'il se détourne... Seulement ça ne fonctionne pas tout le temps et c'est même de cette façon que l'espèce humaine a évolué, quand quelques esprits insoumis ont bravé les interdits (souvent édictés par les religions, ou mysticismes en tous genres) et l'autorité !
Re: ELECTIONS REGIONALES
Certes, mais depuis combien de temps les hommes vivent avec toujours l'espoir d'avoir un monde meilleur??Ok, mais pour le coup, je rejoins Tristesir. Aucune fatalité là-dedans !
Espoir qui est le moteur de continuer dans le système.
Le Fmi est rentrer en Europe. Bientôt on va vivre sur le dos de nos enfants.
Fataliste, non réaliste

Certes, mais combien de personnes??'irais même plus loin, le propre de l'humain c'est de sortir des ornières du "prêt à penser" et d'explorer les chemins de traverses desquels, justement, les possesseurs du pouvoir voudraient qu'il se détourne...
Re: ELECTIONS REGIONALES
Depuis que l'homme réfléchi et s'interroge sur sa condition ? Mais je dois être un peu naïf...Certes, mais depuis combien de temps les hommes vivent avec toujours l'espoir d'avoir un monde meilleur??Ok, mais pour le coup, je rejoins Tristesir. Aucune fatalité là-dedans !

Le système ne peut se combattre qu'en vivant en son sein. Perso, je doute des "expériences parallèles". Elles ne sont tolérées par les représentants du système que lorsqu'elles ne lui semblent pas très dangereuses pour les fondements même de celui-ci.Espoir qui est le moteur de continuer dans le système.
La réalité, il me semble, c'est qu'à partir du moment où l'on a commencé à utiliser les énergies fossiles - celles ci n'étant pas inépuisables et encore moins renouvelables -, on a hypothéqué l'avenir des générations futures... Ça fait, déjà, quelques centaines d'années !Le Fmi est rentrer en Europe. Bientôt on va vivre sur le dos de nos enfants.
Fataliste, non réaliste![]()

Ben, quelques esprits insoumis, par exemple...Certes, mais combien de personnes??'irais même plus loin, le propre de l'humain c'est de sortir des ornières du "prêt à penser" et d'explorer les chemins de traverses desquels, justement, les possesseurs du pouvoir voudraient qu'il se détourne...
