Des chomeurs agressés à Toulouse par le SO des syndicats
Des chomeurs agressés à Toulouse par le SO des syndicats
Attention ! information à confirmé !
"A Toulouse des jeunes chomeurs et chomeuses sont violemment pris à parti parce qu'ils ne voulaient pas que le camion sono de la CGT les inonde de slogan pro-travail, et de musique plan plan.
La coordination des services d'ordres de la CGT-FSU-SUD-FIDL-SO étudiants-LCR se sont fait remarquer par leur capacité à frapper des jeunes filles.
Bilan : une mére de famille agressé, une crise d'asthme d'une jeune, un homme d'une soixantaine d'année mis à terre et frappé au visage par un prof de la FSU. Depuis l'assassinat d'Isabelle Ferron par un permanent de SUD nous savons que les syndicalistes sont prêts à tout pour empêcher des précaires de s'auto-organiser, mais la nouveauté c'est que la coalition syndicale n'a jamais réussi à faire reculer ces jeunes gens trés déterminé.Le camion sono n'a jamais réussi à passer devant.
Excédés depuis le début les syndicalistes ont eu des propos contre les chomeurs et les ont traités d 'inactifs ou encore leur ont interdit de manifester.
Si on met en paralléle l'occupation de la mairie par des intermittents en rupture avec la CGT spectacle, et de plusieurs centaine de lycéens et étudiants refusant la représentation syndicale ; on s'aperçoit qu'un mouvement autonome spontané se met en place.
Le refus de la représentation est le préalable à un mouvement sociale de grande ampleur. Déja personna non grata dans les cités les syndicats petits à petits n'ont plus aucune legitimité. "
Source :http://paris.indymedia.org/article.php3 ... icle=52803
"A Toulouse des jeunes chomeurs et chomeuses sont violemment pris à parti parce qu'ils ne voulaient pas que le camion sono de la CGT les inonde de slogan pro-travail, et de musique plan plan.
La coordination des services d'ordres de la CGT-FSU-SUD-FIDL-SO étudiants-LCR se sont fait remarquer par leur capacité à frapper des jeunes filles.
Bilan : une mére de famille agressé, une crise d'asthme d'une jeune, un homme d'une soixantaine d'année mis à terre et frappé au visage par un prof de la FSU. Depuis l'assassinat d'Isabelle Ferron par un permanent de SUD nous savons que les syndicalistes sont prêts à tout pour empêcher des précaires de s'auto-organiser, mais la nouveauté c'est que la coalition syndicale n'a jamais réussi à faire reculer ces jeunes gens trés déterminé.Le camion sono n'a jamais réussi à passer devant.
Excédés depuis le début les syndicalistes ont eu des propos contre les chomeurs et les ont traités d 'inactifs ou encore leur ont interdit de manifester.
Si on met en paralléle l'occupation de la mairie par des intermittents en rupture avec la CGT spectacle, et de plusieurs centaine de lycéens et étudiants refusant la représentation syndicale ; on s'aperçoit qu'un mouvement autonome spontané se met en place.
Le refus de la représentation est le préalable à un mouvement sociale de grande ampleur. Déja personna non grata dans les cités les syndicats petits à petits n'ont plus aucune legitimité. "
Source :http://paris.indymedia.org/article.php3 ... icle=52803
Ça me rappelle des souvenirs... Dans notre cas, il s'agissait d'un syndicat de police CFDT.
La CGT-Chômeurs relève d'ailleurs souvent que la CGT "travail" les méprise. Oui, les syndicats n'aiment pas les chômeurs : ils ne défendent que ceux qui ont un emploi et peuvent payer leurs cotisations, les autres peuvent crever.
La CGT-Chômeurs relève d'ailleurs souvent que la CGT "travail" les méprise. Oui, les syndicats n'aiment pas les chômeurs : ils ne défendent que ceux qui ont un emploi et peuvent payer leurs cotisations, les autres peuvent crever.
d'habitude , c est les profs qui se font baffer par les eleves et qui pleurniche sur la violence des jeuneset frappé au visage par un prof de la FSU.

ben ,alors les etudiants ,pas se faire molester par des profs quand meme ,c'est quoi ce binz

enbauchez la banlieue ,bordel

pour etre serieux ,ca me rappelle les nervis syndicaux qui couraient et frappaient le voiture de nicole notat ,mediatiquement ca faisait pas terrible comme pub pour prendre sa carte ,de quoi donner raison a p perrin

Surement un prof d'EPS specialisé dans la boxe ou le karatéun homme d'une soixantaine d'année mis à terre et frappé au visage par un prof de la FSU

Les syndicats, les partis et le medef ont un point commun: leur adoration du travail salarié, supreme valeur de la civilisation !
Je suis persuadé qu on arriverait ,assez facilement, à trouver au sein d un syndicat , un type de gauche , qui ne peut s empecher visceralement de penser que beaucoup de gens aux chomage sont responsables de leur situation, un peu comme certains sont viscerablement racistes, probablement un probleme d education.
Dans mes "faits d'arme", il y a mon infiltration dans une délégation syndicale reçue à la préfecture de mon département. Je ne l'avais pas vraiment fait exprès, mais je me suis retrouvée à la table des revendications, comme ça, sans y être invitée.
C'est une sorte de cérémonial après une manif : des délégués des syndicats organisateurs sont reçu à la préfecture sur liste déposée auparavant, puis ils font poliment part de leurs griefs. Tout le monde se serre la paluche et tout va bien.
Je pensais me pas me faire remarquer en fermant ma gueule, mais pas de cul, il y avait un tour de table. Je me suis démerdée pour passer la dernière. Quand c'est arrvié à moi, j'étais prête. J'annoncé d'entrée que je ne représentais rien, que je n'étais mandatée par personne et que j'étais un peu là par hasard (je couvrais la manif pour Altermonde), mais que puisque j'étais là, j'allais parler pour ceux qui ne parlent jamais, ceux qui n'ont pas de voix, pas de représentants : les exclus, chômeurs, RMIstes et consors, ceux qui viennent en nombre sur Altermonde et qui racontent jour après jour leur désespoir. J'ai expliqué que j'avais entendu toutes les interventions des syndicats "agréés", j'avais entendu salaire, augmentation, salariés, mais rien sur les chômeurs, rien sur ceux qui en chient seulement pour bouffer. Bref, j'ai dit que je ne parlais au nom de personne, mais que ces millions de sans voix, il allait falloir se dépêcher de les entendre avant que le désespoir ne les poussent à se faire entendre plus fermement.
Quand j'ai eu fini, j'étais au bord de la crise cardiaque (putain, j'étais sûre que j'allais finir en taule) et autour de la table, je ne vous raconte pas les masques!
La représentante du préfet m'a remercié pour mon intervention et a dit que même si elle n'était pas au programme, elle avait le mérite d'être intéressante et que les RG aussi avait fait part de la montée de nouvelles formes d'expression hors des voies habituelles, ce que ma présence confirmait.
La surprise, ça a été le mec de FO qui m'a littéralement sauté à la gueule : je n'avais rien à faire là, j'étais illégitime dans ma démarche (ce en quoi il avait totalement raison) et qu'il fallait laisser le champ de la revendication aux pros qui savent faire. Je lui ai répondu qu'il avait raison, mais que comme personne n'avait parlé des exclus, je pouvais aussi bien le faire moi-même.
En gros, la réaction des syndicalistes a été nettement plus hostile que celle des représentants de l'État et les seuls qui m'ont apporté un peu de soutien quand nous partions, ce sont les gars de SUD.
Depuis, ce jour, les syndicats...
Mon compte-rendu de l'époque sur Altermonde
C'est une sorte de cérémonial après une manif : des délégués des syndicats organisateurs sont reçu à la préfecture sur liste déposée auparavant, puis ils font poliment part de leurs griefs. Tout le monde se serre la paluche et tout va bien.
Je pensais me pas me faire remarquer en fermant ma gueule, mais pas de cul, il y avait un tour de table. Je me suis démerdée pour passer la dernière. Quand c'est arrvié à moi, j'étais prête. J'annoncé d'entrée que je ne représentais rien, que je n'étais mandatée par personne et que j'étais un peu là par hasard (je couvrais la manif pour Altermonde), mais que puisque j'étais là, j'allais parler pour ceux qui ne parlent jamais, ceux qui n'ont pas de voix, pas de représentants : les exclus, chômeurs, RMIstes et consors, ceux qui viennent en nombre sur Altermonde et qui racontent jour après jour leur désespoir. J'ai expliqué que j'avais entendu toutes les interventions des syndicats "agréés", j'avais entendu salaire, augmentation, salariés, mais rien sur les chômeurs, rien sur ceux qui en chient seulement pour bouffer. Bref, j'ai dit que je ne parlais au nom de personne, mais que ces millions de sans voix, il allait falloir se dépêcher de les entendre avant que le désespoir ne les poussent à se faire entendre plus fermement.
Quand j'ai eu fini, j'étais au bord de la crise cardiaque (putain, j'étais sûre que j'allais finir en taule) et autour de la table, je ne vous raconte pas les masques!
La représentante du préfet m'a remercié pour mon intervention et a dit que même si elle n'était pas au programme, elle avait le mérite d'être intéressante et que les RG aussi avait fait part de la montée de nouvelles formes d'expression hors des voies habituelles, ce que ma présence confirmait.
La surprise, ça a été le mec de FO qui m'a littéralement sauté à la gueule : je n'avais rien à faire là, j'étais illégitime dans ma démarche (ce en quoi il avait totalement raison) et qu'il fallait laisser le champ de la revendication aux pros qui savent faire. Je lui ai répondu qu'il avait raison, mais que comme personne n'avait parlé des exclus, je pouvais aussi bien le faire moi-même.
En gros, la réaction des syndicalistes a été nettement plus hostile que celle des représentants de l'État et les seuls qui m'ont apporté un peu de soutien quand nous partions, ce sont les gars de SUD.
Depuis, ce jour, les syndicats...
Mon compte-rendu de l'époque sur Altermonde
Quelle aventure Monolecte !!!
Et quel courage d'être aller jusqu'au bout de cette aventure alors que tu étais seule parmi des ténors !
Je reprends la conclusion de ton témoignage :
Je suis allée chercher un autre commentaire de Carthage sur le forum "Discrimination des séniors" qui disait très récemment :
Et quel courage d'être aller jusqu'au bout de cette aventure alors que tu étais seule parmi des ténors !
Je reprends la conclusion de ton témoignage :
C'était il y a un an... où en es-tu aujourd'hui par rapport à cette réflexion ?Je pense qu’il est temps que nous songions effectivement à nous faire entendre, et pas seulement sur un coup de poker. Il est temps d’en finir avec la joyeuse improvisation et de nous organiser. Si nous voulons faire avancer les choses dans le bon sens selon nous, il est temps de nous impliquer réellement et d’aller au charbon.
Je suis allée chercher un autre commentaire de Carthage sur le forum "Discrimination des séniors" qui disait très récemment :
Et aussi, ce commentaire de Lupita83 d'hier :Et si nous recommencions à cogiter un peu pour mieux agir ? Est ce illusoire ? dérisoire ?
Tout ça pour dire qu'il y a une réelle volonté d'action.Le but final de cette action serait de faire connaître le site a de plus en plus de gens partout en France puis de créer des "comités locaux" qui se mobiliseront à chaque attaque contre le code du travail et/ou les chômeurs. Je pense à un truc sur le modèle de l'émission "Là bas s'y j'y suis" avec les repaires qui se sont crées un peu partout en France et se réunissent dans des cafés.
Pourquoi pas lancer la même dynamique chez les chômeurs à terme ?
Qu'au moins ceux qui ont envie de bouger mais ne connaissent plus personne - suite à X années de chômage et de traversée du desert financier et affectif...c'est fréquent ! - puissent le faire.
Le courage n'a rien à voir avec l'affaire.
Je me suis retrouvée à cette table... et hop!
En plus j'étais tellement énervée de les avoir entendu ne pas parler de nous...
Depuis, j'ai monté mon blog, j'ai quitté altermonde (je reste en très bon terme avec son fondateur) et je suis venue ici.
Je siège dans des instances légales afin de comprendre comment tout cela marche... et je peux vous dire que le bouzin est bien verrouillé par des dinos qui comptent bien ne pas laisser filer leur rente de situation.
Quand tu tentes d'avoir un rôle autre que consultatif, on te fait le coup du mentor paternaliste : "patience! Tu es trop jeune pour cela. Il faut grimper petit à petit, blablabla". Traduire : fais pas chier à lorgner la place, j'y suis, j'y reste!
Je me suis retrouvée à cette table... et hop!
En plus j'étais tellement énervée de les avoir entendu ne pas parler de nous...
Depuis, j'ai monté mon blog, j'ai quitté altermonde (je reste en très bon terme avec son fondateur) et je suis venue ici.
Je siège dans des instances légales afin de comprendre comment tout cela marche... et je peux vous dire que le bouzin est bien verrouillé par des dinos qui comptent bien ne pas laisser filer leur rente de situation.
Quand tu tentes d'avoir un rôle autre que consultatif, on te fait le coup du mentor paternaliste : "patience! Tu es trop jeune pour cela. Il faut grimper petit à petit, blablabla". Traduire : fais pas chier à lorgner la place, j'y suis, j'y reste!
tenors ,peut etre pas quand meme ,gros con bien nourris plutotEt quel courage d'être aller jusqu'au bout de cette aventure alors que tu étais seule parmi des ténors !

c'est vrai que lorsqu'on voit la representativité des syndicats francais par rapport a d'autres pays ,faire plaisir a pe perrin ,la ,ca l'obsede !
on peut se poser des questions sur ou ils en sont ,un peu comme le parti socialiste ,en nombre d'adherents ,c'est plus ca depuis longtemps .
finallement la trahison est consommée depuis longtemps et chaque année ,des militants dechirent leurs cartes ;
une enquete officieuse revelait ya pas longtemps ,la situation dramatique du ps a ce niveau ,une clientele vieillissante en plus ,ce doit etre pour ca que jack lang raccole a tout va ,20 euros la carte qu il scande a la tele ,lautre jour ,un presentateur lui a demandé si c'etait les soldes !!!!
il a pas apprecié ,j'en suis pas la ,a t il repondu ,ben

je crois fortement que yves a raison sur son analyse sur la montée en puissance de mouveemnt comme actu ,la clientele si j'ose dire n'est plus captive en ce moment ,elle est libre de tout engagement

une masse silencieuse qui attend un declic et en attendant lit et s'informe ,un veritable iceberg

on dirait que seul effectivement les RG ont prit la mesure du truc ,normal ils ont le recul necessaire pour avoir un peu de visibilité

d'ailleurs pour reprendre et analyser l'info de notre ami toulousain ,quand des syndicalistes essaient desesperement par la violence de s'accrocher a la tete d'un defilé ,c'est qu il leur reste pas grand chose ;
tiens ,on va les provoquer ,hey les syndicalistes ,zetes des gros cons ,des has been
zallez voir , meme pas de reponse ,sur les forums ,sont meme pas la ,est qu'ils connaissent internet ,pas sur

des has been ,je vous dis


et puis ,monolecte ,t'as bien fait ,ton site est bien plus offensif que leurs tracts minables

Des éléments,...
Bonjour,
Cela faisait un moment que je n'avais pas posté, une embrouille avec la connection et puis plus vraiment envie ...
Mais là , en vous lisant , faut quand même que je vous dise,...
Les "syndicat"s , c'est comme les "Français" une entité qui n'existe pas vraiment et surtout ça ne veut rien dire...
C'est comme "chômeurs" aussi,...Pas un ne ressemble à l'autre juste la souffrance en commun,...
Dans les syndicats, Il y a la base, des gens normaux et même perdus parfois dans tous les dédales subtiles du nouveau monde que l'on veut nous faire globalisé,...
Et ceux qui tirent les ficelles,...
Moi j'y ai rencontré des gens très bien mais qui ne savent plus trop quoi faire et d'autres moins bien.
Des gens parfois encore plus paumés que moi.....Le tout comme Monolecte absolument par hasard.
Parce que les réflexes d'avant, ça ne marche plus. Il faut inventer autre chose.
Les syndicats sont les structure lourdes et stables qui si elles étaient investies par les chômeurs auraient des moyens d'agir,...
Mais les chômeurs , je ne vais pas vous l'apprendre ici , ils sont où ?
Je ne pense pas que ceux qui veulent vraiment agir ont intérêt à rejeter les syndicats en bloc,...
Attention à ne pas trop se radicaliser,...
Peut-être juste un énorme travail de pédagogie, mais regardez la société en face ,... elle n'est pas prête,...
Regardez autour de vous, les gens vivent dans un monde qui n'existe plus, un leurre,...Mais ils y croient,...
En revanche , pour avoir eu une expérience de lutte dans un autre domaine que l'emploi , j'ai pu noter sa très grande efficacité (bien entendu sans aucune violence)
et pourtant nous partions de rien, ...Seule la détermination compte et la compréhension que l'on a des rouages..
Cela faisait un moment que je n'avais pas posté, une embrouille avec la connection et puis plus vraiment envie ...
Mais là , en vous lisant , faut quand même que je vous dise,...
Les "syndicat"s , c'est comme les "Français" une entité qui n'existe pas vraiment et surtout ça ne veut rien dire...
C'est comme "chômeurs" aussi,...Pas un ne ressemble à l'autre juste la souffrance en commun,...
Dans les syndicats, Il y a la base, des gens normaux et même perdus parfois dans tous les dédales subtiles du nouveau monde que l'on veut nous faire globalisé,...
Et ceux qui tirent les ficelles,...
Moi j'y ai rencontré des gens très bien mais qui ne savent plus trop quoi faire et d'autres moins bien.
Des gens parfois encore plus paumés que moi.....Le tout comme Monolecte absolument par hasard.
Parce que les réflexes d'avant, ça ne marche plus. Il faut inventer autre chose.
Les syndicats sont les structure lourdes et stables qui si elles étaient investies par les chômeurs auraient des moyens d'agir,...
Mais les chômeurs , je ne vais pas vous l'apprendre ici , ils sont où ?
Je ne pense pas que ceux qui veulent vraiment agir ont intérêt à rejeter les syndicats en bloc,...
Attention à ne pas trop se radicaliser,...
Peut-être juste un énorme travail de pédagogie, mais regardez la société en face ,... elle n'est pas prête,...
Regardez autour de vous, les gens vivent dans un monde qui n'existe plus, un leurre,...Mais ils y croient,...
En revanche , pour avoir eu une expérience de lutte dans un autre domaine que l'emploi , j'ai pu noter sa très grande efficacité (bien entendu sans aucune violence)
et pourtant nous partions de rien, ...Seule la détermination compte et la compréhension que l'on a des rouages..
Des chômeurs agressés...
Normal les chômeurs ne sont pas représentés dans les instances qui décident de leur sort.
Le rôle des syndicats c'est la défense des droits des salariés et notamment le pouvoir d'achat, d'où ce genre d'arbitrage.
C'est donc plutôt un problème de rapport de force pour fixer de nouvelles règles dans un contexte qui a changé (chômage de masse).
Quand aux syndiqués devenus chômeurs, en règle général ils quittent leur syndicat qui a même du mal à les retenir .
Parfois ils créent des collectifs de lutte très spécifiques (défense des droits des ex- salariés de l'ex-entreprise X).
Les nouveaux chômeurs se considèrent alors plus comme des ex-salariés de l'entreprise X que comme des chômeurs. Ils ne lutteront que le temps d'obtenir tous leurs droits spécifiques.
On voit là en fait que ce n'est pas un problème de "syndicats" mais de mentalité. Chacun pour sa pomme.
Le rôle des syndicats c'est la défense des droits des salariés et notamment le pouvoir d'achat, d'où ce genre d'arbitrage.
C'est donc plutôt un problème de rapport de force pour fixer de nouvelles règles dans un contexte qui a changé (chômage de masse).
Quand aux syndiqués devenus chômeurs, en règle général ils quittent leur syndicat qui a même du mal à les retenir .
Parfois ils créent des collectifs de lutte très spécifiques (défense des droits des ex- salariés de l'ex-entreprise X).
Les nouveaux chômeurs se considèrent alors plus comme des ex-salariés de l'entreprise X que comme des chômeurs. Ils ne lutteront que le temps d'obtenir tous leurs droits spécifiques.
On voit là en fait que ce n'est pas un problème de "syndicats" mais de mentalité. Chacun pour sa pomme.