Femmes : les chiffres de l'inégalité
Femmes : les chiffres de l'inégalité
Le mercredi 8 mars sera l'inutile journée internationale des droits des femmes.
Chômage, contrats précaires, salaires au rabais, parité politique introuvable, partage inéquitable des tâches domestiques : les femmes subissent toujours de nombreuses discriminations dont témoignent les statistiques.
• Taux de chômage : les femmes, qui représentent 45% de la population active (11,2 millions) connaissent un taux de chômage de 10,6% contre 8,8% pour les hommes, soit près de deux points de plus (DARES - ministère de l'Emploi).
• Avec un salaire net annuel moyen de 18.730 euros dans le secteur privé et semi-public, les femmes gagnent globalement 20% de moins que les hommes (23.315 euros). L'écart est de 14% dans la fonction publique. Chez les cadres, les femmes gagnent 23% de moins que les hommes, chez les ouvriers 17% et chez les employés 7% (INSEE).
• Près de la moitié des femmes sont employées. Les deux tiers des postes de cadres du secteur privé sont occupés par des hommes, et moins de deux dirigeants sur dix sont des dirigeantes (INSEE).
• Plus d'une femme sur dix (11%) occupe un emploi temporaire (CDD, stages, emplois aidés) contre 8% de l'ensemble des salariés. Les femmes représentent 78% des emplois non qualifiés (OFCE).
• Temps partiel : 30% des femmes travaillent à temps partiel contre 5% des hommes. Sur les 4,1 millions d'actifs à temps partiel, 83% sont des femmes. Pour 28% de ces femmes, le temps partiel ne correspond pas à un choix mais est "subi", c'est-à-dire qu'elles souhaiteraient travailler davantage (INSEE).
• Politique : si elles constituent 53% de l'électorat, les femmes comptent encore peu d'élues. L'Assemblée nationale ne compte que 12% de femmes députées et le Sénat 17% de sénatrices.
L'obligation, depuis la loi parité de 2000, pour les partis de présenter un nombre égal de candidats hommes et femmes (hormis les cantonales) a permis de voir progresser le nombre d'élues dans les scrutins de liste (elles sont 48% dans les conseils régionaux par exemple). Mais le problème de la parité se repose lorsqu'il s'agit des exécutifs, régionaux ou municipaux. Il n'y a que 11% de femmes maires et une seule présidente de région (Ségolène Royal en Poitou-Charentes).
• Tâches domestiques (ménage, courses, soins aux enfants, jardinage, bricolage) : une femme y passe en moyenne 4h36 par jour, contre 2h13 pour un homme (INSEE).
Sur ce, je vous laisse retourner à vos débats sur la cruelle discrimination effectuée sur les chômeurs qui veulent adopter un animal de compagnie... Après tout, on n'est que dimanche !
Chômage, contrats précaires, salaires au rabais, parité politique introuvable, partage inéquitable des tâches domestiques : les femmes subissent toujours de nombreuses discriminations dont témoignent les statistiques.
• Taux de chômage : les femmes, qui représentent 45% de la population active (11,2 millions) connaissent un taux de chômage de 10,6% contre 8,8% pour les hommes, soit près de deux points de plus (DARES - ministère de l'Emploi).
• Avec un salaire net annuel moyen de 18.730 euros dans le secteur privé et semi-public, les femmes gagnent globalement 20% de moins que les hommes (23.315 euros). L'écart est de 14% dans la fonction publique. Chez les cadres, les femmes gagnent 23% de moins que les hommes, chez les ouvriers 17% et chez les employés 7% (INSEE).
• Près de la moitié des femmes sont employées. Les deux tiers des postes de cadres du secteur privé sont occupés par des hommes, et moins de deux dirigeants sur dix sont des dirigeantes (INSEE).
• Plus d'une femme sur dix (11%) occupe un emploi temporaire (CDD, stages, emplois aidés) contre 8% de l'ensemble des salariés. Les femmes représentent 78% des emplois non qualifiés (OFCE).
• Temps partiel : 30% des femmes travaillent à temps partiel contre 5% des hommes. Sur les 4,1 millions d'actifs à temps partiel, 83% sont des femmes. Pour 28% de ces femmes, le temps partiel ne correspond pas à un choix mais est "subi", c'est-à-dire qu'elles souhaiteraient travailler davantage (INSEE).
• Politique : si elles constituent 53% de l'électorat, les femmes comptent encore peu d'élues. L'Assemblée nationale ne compte que 12% de femmes députées et le Sénat 17% de sénatrices.
L'obligation, depuis la loi parité de 2000, pour les partis de présenter un nombre égal de candidats hommes et femmes (hormis les cantonales) a permis de voir progresser le nombre d'élues dans les scrutins de liste (elles sont 48% dans les conseils régionaux par exemple). Mais le problème de la parité se repose lorsqu'il s'agit des exécutifs, régionaux ou municipaux. Il n'y a que 11% de femmes maires et une seule présidente de région (Ségolène Royal en Poitou-Charentes).
• Tâches domestiques (ménage, courses, soins aux enfants, jardinage, bricolage) : une femme y passe en moyenne 4h36 par jour, contre 2h13 pour un homme (INSEE).
Sur ce, je vous laisse retourner à vos débats sur la cruelle discrimination effectuée sur les chômeurs qui veulent adopter un animal de compagnie... Après tout, on n'est que dimanche !
Les filles meilleures que les garçons à tous les niveaux scolaires
Les filles réussissent mieux que les garçons à tous les niveaux d'enseignement, dès le CP et jusqu'au supérieur, quelle que soit la filière ou la discipline. Toutefois, elles s'insèrent moins bien dans l'emploi, selon une étude du ministère de l'Education nationale.
Rendue publique lundi, à deux jours de la Journée de la femme, cette étude comparative souligne que dès le cours préparatoire, les filles ont des acquis supérieurs aux garçons. Cette supériorité continue tout au long de la scolarité et elles redoublent moins souvent.
Ainsi, à 14 ans, les deux-tiers des filles sont déjà en 3e et seulement un quart encore en 4e (la moitié des garçons seulement sont en 3e et un tiers encore en 4e) et elles sont moins nombreuses à suivre un enseignement adapté pour élèves en difficulté.
Elles vont également moins souvent en apprentissage où 70% des jeunes sont des garçons. Leur nombre augmente avec le niveau de formation. Elles sont 25% d'apprenties au niveau CAP-BEP, 38% niveau bac, 42% niveau premier cycle du supérieur et 50% niveau deuxième cycle.
De même, elles sont 82% à réussir le brevet (79% des garçons), 84% à obtenir leur bac général (79,9% des garçons), 78,5% le bac techno (75,5% des garçons) et 78,9% le bac pro (75,6% des garçons). Il en est également ainsi dans le supérieur avec 50% d'une classe d'âge diplômée chez les filles et seulement 40% des garçons. Les filles vont également plus vite: 69% obtiennent leur licence directement en un an (59% des garçons).
L'étude toutefois montre les différences de parcours et d'orientation. Ainsi, dès le primaire, les filles progressent mieux que les garçons en français et moins bien en maths. Ultérieurement, au niveau lycée, même bonnes en maths, elles choisissent plus souvent les filières littéraires. 48% des fortes en maths vont en "S" et 18% en "L". Chez les garçons, 68% des bons en maths vont en "S" et "3% en "L".
Cela continue dans le supérieur : 79% de filles en lettres ou sciences humaines, 75% en langues, 73% en art mais 27% en sciences (pourtant elles y réussissent, avec un taux de 73% de filles en sciences de l'ingénieur obtenant le diplôme, contre 59% des garçons).
Les filles s'orientent donc vers des métiers moins porteurs. Cela est surtout marquant aux niveaux les moins élevés. Ainsi, en professionnel, on trouve 30% de filles en bureautique (1% de garçons) et parallèlement 1% de filles en électricité-électronique (24% de garçons).
Moins "poussées" ou moins "ambitieuses", elles subiront ensuite la perte de salaire et la discrimination au moment de faire des enfants.
Les filles réussissent mieux que les garçons à tous les niveaux d'enseignement, dès le CP et jusqu'au supérieur, quelle que soit la filière ou la discipline. Toutefois, elles s'insèrent moins bien dans l'emploi, selon une étude du ministère de l'Education nationale.
Rendue publique lundi, à deux jours de la Journée de la femme, cette étude comparative souligne que dès le cours préparatoire, les filles ont des acquis supérieurs aux garçons. Cette supériorité continue tout au long de la scolarité et elles redoublent moins souvent.
Ainsi, à 14 ans, les deux-tiers des filles sont déjà en 3e et seulement un quart encore en 4e (la moitié des garçons seulement sont en 3e et un tiers encore en 4e) et elles sont moins nombreuses à suivre un enseignement adapté pour élèves en difficulté.
Elles vont également moins souvent en apprentissage où 70% des jeunes sont des garçons. Leur nombre augmente avec le niveau de formation. Elles sont 25% d'apprenties au niveau CAP-BEP, 38% niveau bac, 42% niveau premier cycle du supérieur et 50% niveau deuxième cycle.
De même, elles sont 82% à réussir le brevet (79% des garçons), 84% à obtenir leur bac général (79,9% des garçons), 78,5% le bac techno (75,5% des garçons) et 78,9% le bac pro (75,6% des garçons). Il en est également ainsi dans le supérieur avec 50% d'une classe d'âge diplômée chez les filles et seulement 40% des garçons. Les filles vont également plus vite: 69% obtiennent leur licence directement en un an (59% des garçons).
L'étude toutefois montre les différences de parcours et d'orientation. Ainsi, dès le primaire, les filles progressent mieux que les garçons en français et moins bien en maths. Ultérieurement, au niveau lycée, même bonnes en maths, elles choisissent plus souvent les filières littéraires. 48% des fortes en maths vont en "S" et 18% en "L". Chez les garçons, 68% des bons en maths vont en "S" et "3% en "L".
Cela continue dans le supérieur : 79% de filles en lettres ou sciences humaines, 75% en langues, 73% en art mais 27% en sciences (pourtant elles y réussissent, avec un taux de 73% de filles en sciences de l'ingénieur obtenant le diplôme, contre 59% des garçons).
Les filles s'orientent donc vers des métiers moins porteurs. Cela est surtout marquant aux niveaux les moins élevés. Ainsi, en professionnel, on trouve 30% de filles en bureautique (1% de garçons) et parallèlement 1% de filles en électricité-électronique (24% de garçons).
Moins "poussées" ou moins "ambitieuses", elles subiront ensuite la perte de salaire et la discrimination au moment de faire des enfants.
L'orientation des filles, comme pour celle des garçons est due à l'éducation. Quand une mère dit à sa fille qu'elle est naturellement moins logique que son frère parce que son cerveau est différent, elle est moins tentée de choisir un parcours scientifique ou technique. Faut pas chercher bien loin ...
J'ai toujours été preum's de la classe. Parfois une autre fille tentait sa chance, une fois, en troisième, ce fut un garçon. Preum's en tout, sauf en sport!
Un jour, au primaire, une instit me rend un devoir de calcul : 10/10 avec le commentaire suivant : "c'est pas mal pour une fille". Depuis, je suis féministe dans l'âme!
Un jour, au primaire, une instit me rend un devoir de calcul : 10/10 avec le commentaire suivant : "c'est pas mal pour une fille". Depuis, je suis féministe dans l'âme!
c'est terriblement culturel
ya pas longtemps dans une soirée ,je parle avec une jeune femme qui me dit bosser dans l'informatique et m'explique sa mission du moment ;
moi perplexe ,je lui dis a un moment " mais c'est du boulot d'ingenieur ca "
et elle me repond avec un sourire "mais je suis ingenieur "
honteux le chris ,mais faut comprendre , j'en ais tellement peu rencontrée des dames dans ce milieu plutot encombré par les ...hommes !
et pour m'enfoncer un peu plus dans le machisme ,a une qui me demandait pourquoi ,il n'y a pas de femmes dans la legion :
si,si ,ils en detachent quelques unes d'autres corps pour ......recoudre et plier les parachutes


ya pas longtemps dans une soirée ,je parle avec une jeune femme qui me dit bosser dans l'informatique et m'explique sa mission du moment ;
moi perplexe ,je lui dis a un moment " mais c'est du boulot d'ingenieur ca "
et elle me repond avec un sourire "mais je suis ingenieur "
honteux le chris ,mais faut comprendre , j'en ais tellement peu rencontrée des dames dans ce milieu plutot encombré par les ...hommes !
et pour m'enfoncer un peu plus dans le machisme ,a une qui me demandait pourquoi ,il n'y a pas de femmes dans la legion :
si,si ,ils en detachent quelques unes d'autres corps pour ......recoudre et plier les parachutes



Merci, David, de ton humilité !
C'est le présentateur de Capital, dimanche soir, qui disait lui-même en guise d'introduction au reportage sur les inégalités salariales entre hommes et femmes :
Il est aussi vrai que les femmes sont moins "conquérantes" ou ambitieuses" de nature : plus axées sur l'émotion et la communication, elles n'ont pas la "compétitivité" dans le sang et préfèrent réaliser en silence un vrai travail de fond plutôt que de s'afficher.
Et encore, nous avons la chance d'être européennes !
Je pense à celles qui vivent dans des pays où elles doivent cacher leurs attributs, n'ont pas accès à l'éducation, à la culture et à l'emploi, où on leur retire ce qui leur donne du plaisir sexuel, où on les défigure à l'acide quand elles se refusent à un homme, où on les tue quand elles "déshonorent" leur famille, et où on les bannit quand elles se sont fait violer, même en temps de guerre...
Si la planète devait clignoter aux endroits où on les maltraite à ce point, vu de la lune, la pollution lumineuse serait à son comble, inversément proportionelle aux richesses économiques !
Mais le combat est loin d'être fini, même chez nous.
Et je ne peux m'empêcher d'en vouloir à tous ces hommes qui nous dirigent (et qui sont censés ne pas être aussi "primitifs" que d'autres ici-bas…), que je qualifierais d'usurpateurs puisqu'ils estiment que le rôle de la femme est un bien grand "risque" pour une entreprise... Un risque qu'ils nous font payer fort cher alors qu'ils ne valent pas mieux que nous !
Je cite, pour illustrer mon sentiment, un passage du dernier Jonathan Coe, "Le cercle fermé", que je vais d'ailleurs bientôt chroniquer pour notre sélection Livres :
La scène se passe dans un restaurant. Paul est une "étoile montante" du Parti travailliste, proche de Tony Blair, un jeune arriviste bien sapé, égoïste et dragueur, qui trompe sa femme. Rolf est un vieux briscard qui siège au Conseil d'administration d'une grosse multinationale allemande qui s'apprête à détruire 50.000 emplois en Angleterre pour des raisons de rentabilité toute libérale.
C'est le présentateur de Capital, dimanche soir, qui disait lui-même en guise d'introduction au reportage sur les inégalités salariales entre hommes et femmes :
Il est vrai qu'il y a le conditionnement sociétal dans l'orientation scolaire, qu'il vienne des mères ou des pères. Ce conditionnement démarre dans la façon dont on nous parle, et dans le choix de nos jouets.Guy Lagache a écrit :"Imaginez que vous ayez les mêmes fonctions que vos collègues, que vous fassiez le même travail qu'eux, mais qu'on vous paie 20% de moins en freinant votre évolution professionnelle : messieurs, comment réagiriez-vous ? C'est pourtant l'ordinaire de la moitié des salariés français, c'est-à-dire les femmes."
Il est aussi vrai que les femmes sont moins "conquérantes" ou ambitieuses" de nature : plus axées sur l'émotion et la communication, elles n'ont pas la "compétitivité" dans le sang et préfèrent réaliser en silence un vrai travail de fond plutôt que de s'afficher.
Et encore, nous avons la chance d'être européennes !
Je pense à celles qui vivent dans des pays où elles doivent cacher leurs attributs, n'ont pas accès à l'éducation, à la culture et à l'emploi, où on leur retire ce qui leur donne du plaisir sexuel, où on les défigure à l'acide quand elles se refusent à un homme, où on les tue quand elles "déshonorent" leur famille, et où on les bannit quand elles se sont fait violer, même en temps de guerre...
Si la planète devait clignoter aux endroits où on les maltraite à ce point, vu de la lune, la pollution lumineuse serait à son comble, inversément proportionelle aux richesses économiques !
Mais le combat est loin d'être fini, même chez nous.
Et je ne peux m'empêcher d'en vouloir à tous ces hommes qui nous dirigent (et qui sont censés ne pas être aussi "primitifs" que d'autres ici-bas…), que je qualifierais d'usurpateurs puisqu'ils estiment que le rôle de la femme est un bien grand "risque" pour une entreprise... Un risque qu'ils nous font payer fort cher alors qu'ils ne valent pas mieux que nous !
Je cite, pour illustrer mon sentiment, un passage du dernier Jonathan Coe, "Le cercle fermé", que je vais d'ailleurs bientôt chroniquer pour notre sélection Livres :
La scène se passe dans un restaurant. Paul est une "étoile montante" du Parti travailliste, proche de Tony Blair, un jeune arriviste bien sapé, égoïste et dragueur, qui trompe sa femme. Rolf est un vieux briscard qui siège au Conseil d'administration d'une grosse multinationale allemande qui s'apprête à détruire 50.000 emplois en Angleterre pour des raisons de rentabilité toute libérale.
J.Coe a écrit :Quand ils furent repus et bien saouls, Rolf dit à Paul : "Il y a une théorie qui me paraît tout à fait défendable, et qui dit que le mâle est une femelle ratée. Qu'est-ce que tu en penses ?
- Je ne connais pas cette théorie, dit Paul en fronçant les sourcils.
- Eh bien, d'un point de vue biologique, la simple présence du chromosome Y est en soi un défaut. Mais pas besoin de rentrer dans les détails. C'est une question de bon sens. Regarde la serveuse, par exemple.
- Lise.
- Lise. C'est comme ça qu'elle s'appelle ? Elle nous l'a dit ?
- Oh oui. Une bonne dizaine de fois.
- Ah bon. Bref, regarde-la : elle passe son temps à monter et à descendre l'escalier et à charmer tout le monde sans aucun effort. Quel âge elle a, vingt et un, vingt deux ans ? Regarde comme on la suit des yeux. Qu'est-ce qu'on sait d'elle ? Simplement qu'elle est jeune, et qu'elle a un corps qu'on trouve tous les deux désirable. A part ça, rien. Si ça se trouve, c'est une tueuse en série. Et pourtant, toi comme moi, après quelques verres, on serait prêts à mettre en péril notre vie de famille si elle nous demandait de venir dans sa chambre. C'est pas vrai ? C'est là un défaut pathologique du sexe masculin. Nous n'avons aucune loyauté, aucun sens du foyer, aucun instinct qui nous pousserait à protéger le nid : tous ces réfexes naturels et sains qui sont inhérents aux femmes. On est des ratés. Un homme, c'est une femme ratée. c'est aussi simple que ça.
Ca me rappelle une autre histoire.et elle me repond avec un sourire "mais je suis ingenieur "
Lors de mon bref passage dans l info j'ai ete invite au mariage d un ami, parmi les invites il y avait une jeune femme plutot charmante.
On a echange quelques mots, elle avait fait une ecole d ingenieur et etait chef de projet dans le meme secteur d activite que moi.
J ai eu l impression que comme beaucoup de ses collegues males ecrire du code ne devait pas l interesser beaucoup, diriger des projets et des equipes avaient plus sa preference. ca ne m a pas beaucoup surpris en fait, il n y aucune raison particuliere à ce qu une femme soit moins carrieriste qu un homme.
Certes ! Mais ça ne se passe pas de la même manière. Un homme n'hésitera pas à se mettre en avant, même s'il passe plus de temps à briller dans les réunions ou à jacasser avec des clients potentiels qu'à faire un boulot de chiotte, alors qu'une femme s'y collera pour que les choses soient bien faites avant de la ramener.Tristesir a écrit :il n y aucune raison particuliere à ce qu une femme soit moins carrieriste qu un homme.
Les femmes sont capables de faire plusieurs choses en même temps (c'est dans leur cerveau) alors que les hommes font une chose après l'autre. Pour cette raison purement biologique, elles sont souvent mieux organisées et plus rapides, d'autant plus qu'elle doivent rentrer à la maison ensuite pour attaquer leur "deuxième journée". Pas besoin d'heures sup : ça fonce sans se vanter.
La vie professionnelle d'un homme se passe beaucoup dans l'esbroufe, surtout qu'il sait qu'à la maison il a une assistante compétente qui assurera pour lui (miam-miam, chaussettes sales, les gosses…). Le pire, c'est qu'il trouve ça légitime, naturel, dans l'ordre des choses...
Dernière modification par superuser le 06 mars 2006, modifié 1 fois.
interessant et vrai pour la plupart des mecs ,mais ceux qui penses ca ne sont ils pas ceux a qui ca arrive rarement ,ce genre de plan ,le melange du fantasme et du possible !demandait de venir dans sa chambre. C'est pas vrai ? C'est là un défaut pathologique du sexe masculin. Nous n'avons aucune loyauté, aucun sens du foyer, aucun instinct qui nous pousserait à protéger le nid : tous ces réfexes naturels et sains qui sont inhérents aux
je dois etre tres pragmatique mais par certaines experiences professionnelles , je me mefie particulierement du coté dangereux des femmes pour les hommes !!
interessant ce bouquin ,m'intrigue deja ,roman tres fiction ou social pur ?
quand au danger des femmes dans l'entreprise , celle qui font tourner la tete des hommes professionnellement ,les mata hari ,oui ,ca meme ete mon emploi un moment de surveiller les dangers possibles a ce niveau la !
Ben oui, Chris : c'est cul-turel !
Quand la plupart des hommes fait passer la bite avant le cerveau - ô combien professionnellement choyé - et que certaines femmes "s'adaptent" à cet état de fait, on assiste à de drôle de choses !!!
Le bouquin de Jonathan Coe est un "roman social". Très caustique, anti-Blair et "néo-travailliste", modèle britannique, mondialisation libérale... Ça déchire, bien plus efficace qu'une démonstration économique puisqu'il y mèle la psychologie humaine. Et il n'est pas tendre avec les hommes : les femmes sont les dindons de la farce.
Quand la plupart des hommes fait passer la bite avant le cerveau - ô combien professionnellement choyé - et que certaines femmes "s'adaptent" à cet état de fait, on assiste à de drôle de choses !!!
Le bouquin de Jonathan Coe est un "roman social". Très caustique, anti-Blair et "néo-travailliste", modèle britannique, mondialisation libérale... Ça déchire, bien plus efficace qu'une démonstration économique puisqu'il y mèle la psychologie humaine. Et il n'est pas tendre avec les hommes : les femmes sont les dindons de la farce.
ben ,y en a meme qui font mieux que s'adapter et ont parfaitement compris ou le bat etait faible chez le sexe dit fort !
apres tout ,c'est de bonne guerre ,mais les hommes ont la replique pour ca ,c'est ce qu'ils appellent les femmes intelligentes souvent ,le coté maso !
d'ailleurs ,on remarquera que les midinettes fleur bleue tombes toujours sur des salauds macho et que le contraire fonctionne tres bien pour les femmes fatales ,ca doit etre l'humanité qui est bien faite .
ah ,social et caustique ,ca me va bien ,savent bien faire les anglais dans le style ken loach
apres tout ,c'est de bonne guerre ,mais les hommes ont la replique pour ca ,c'est ce qu'ils appellent les femmes intelligentes souvent ,le coté maso !
d'ailleurs ,on remarquera que les midinettes fleur bleue tombes toujours sur des salauds macho et que le contraire fonctionne tres bien pour les femmes fatales ,ca doit etre l'humanité qui est bien faite .

ah ,social et caustique ,ca me va bien ,savent bien faire les anglais dans le style ken loach

Je suis une femme, et je n'ai donc pas de cerveau féminin alorssuperuser a écrit :Les femmes sont capables de faire plusieurs choses en même temps (c'est dans leur cerveau) alors que les hommes font une chose après l'autre. Pour cette raison purement biologique, elles sont souvent mieux organisées et plus rapides, d'autant plus qu'elle doivent rentrer à la maison ensuite pour attaquer leur "deuxième journée". Pas besoin d'heures sup : ça fonce sans se vanter.

Je fais les choses les unes apres les autres, pas en meme temps en tout cas. Et en meme temps je vois des hommes capable de gerer plusieurs taches simultanées.
Et en plus, je n'ai pas de deuxieme journée le soir puisque mon partenaire fait la moitié des taches domestiques.