Bonjour,
Deux professions régissent l'aide à domicile. Elles sont issues de l'ancien CAFAD (Certificat Aptitude Fonction Aide à Domicile). Elles ont été crées pour professionnaliser et qualifier les intervenants.
En théorie, les associations ne sont plus financées si elles n'emploient pas de personnel diplômé.
Le DEAVS (Diplôme d'Etat d'Auxillaire de Vie Sociale.
http://www.educspe.com/formation/auxiliaire-de-vie/
Le TISF Technicien d'Intervention Sociale et Familiale
http://www.educspe.com/technicien-inter ... familiale/
[mention au passage pour le site
educspe.com]
Je pense que les personnes qui font ce métier ont une réelle motivation. Ce sont plutôt les employeurs qui poussent à la roue de la rentabilité.
Les formations dans ce type de métier devraient êtres permanentes et rénumérées. De même que des "groupes de parole" et des regroupements professionnels.
Ce n'est pas un métier anodin.
Pourtant ces "soutiens" à l'activité professionnele n'existe que pour les éducateurs spécialisés. Ceux qui pensent. (merci la CC66).
Ceux qui voient tout les jours la mémé et qui lui font la toilette, ne doivent probablement pas avoir de cerveau, car on considère qu'ils ne subissent aucun stress psychologique.
La dernière que j'ai vu, elle arrivait le matin comme d'ab', il a fallut que je la gère quand je lui ai annoncé le décès. Aucune préparartion et l'obligation de faire la journée quand même. Pourtant dieu sait si elle était compétente (elle et l'asso), malgrès qu'elle faisait cela "par défaut", faute de mieux, avec son diplôme ES. (bac+2).
Et puis y'a les "viandards" aussi......comme dit nass...mais je ne pense pas qu'ils soient une majorité, même si la "maltraitance" peut prendre une infinité de visages, elle n'est, sûrement, que très rarement volontaire. Enfin, j'espère.
Là encore, un soutien formatif est indispensable, ainsi qu'une réelle qualité de vie apportée par l'emploi et son salaire.