Les coûts et dommages collatéraux
Les coûts et dommages collatéraux
ben la , ribouldingue !
le deguisement avait relativement tenu la route jusqu a present , petit coté intellectuel a part les fautes d 'ortographes et le cours déconomie un peu ras des paquerettes qui nous avait alerté !
mais la ; la! je retrouves le vrai ribouldingue !!!!!!!
le deguisement avait relativement tenu la route jusqu a present , petit coté intellectuel a part les fautes d 'ortographes et le cours déconomie un peu ras des paquerettes qui nous avait alerté !
mais la ; la! je retrouves le vrai ribouldingue !!!!!!!
Les coûts et dommages collatéraux
pauvre ribouldingue !
meme sa photo est un mauvais montage !
mais bon ,ca nous donnes une idée de ses idéaux profonds , au moins de certains de ses reves inavoués !!!!
meme sa photo est un mauvais montage !
mais bon ,ca nous donnes une idée de ses idéaux profonds , au moins de certains de ses reves inavoués !!!!
Sophie tu réalise ce que tu dis là ?
Ben voyons, lorsqu'on a rien à perdre, pourquoi pas être criminel et faire payer les autres, les innocents c'est encore mieux ! Et tiens bandes de salauds !superuser a écrit :Gaia (et l'invité),
Faudra-t-il répéter que la violence devient inévitable quand l'individu se retrouve dans un cul de sac, qu'il soit social ou psychologique ? Cette violence est une porte de sortie, qu'elle soit retournée sur soi (somatisation, auto-destruction, suicide) ou exercée sur les autres (violence conjugale ou urbaine, émeutes.
Pour moi c'est de la haine et la haine ne mène à rien et est répréhensible.

Passez votre chemin : vous êtes non seulement primaire, mais franchement réac.
Pour ribouldogue qui aime surement nos amis de la bac (brigade activiste des clowns):

Source:
http://www.brigadeclowns.org

Source:
http://www.brigadeclowns.org
Les coûts et dommages collatéraux
aucune violence n'a ete a deplorer lors de l' operation de demasquage du provocateur ribouldingue , l' individu relativement inoffensif s' etait une nouvelle fois attaqué au site actu chomage se deguisant anonymement en pseudo economiste gourou se reclamant d une universitaire americaine du meme cru , helas l' individu etant tres loin , lui de ce niveau , de nombreux problemes d ortographes , ainsi que sa comprehension tres primaire de l economie de marché , tres puerile meme disons le , finirent par nuire a la credibilité de sa pseudo intervention ; il fut donc rapidement demasqué , moins d une page de debat ,et cela sans haine ni violence !!!
Bonjour,
Faut pas non plus lui en vouloir, l'invité, il a peur mais il comprends pas que c'est uniquement de sa faute.
Faut pas non plus lui en vouloir, l'invité, il a peur mais il comprends pas que c'est uniquement de sa faute.
http://www.nouvellescles.com/Entretien/ ... ulnik2.htmN. C. : Peut-il y avoir des sociétés qui dérapent dans l’angoisse ?... non pas une agressivité contre un ennemi affirmé, comme le nazi durant la guerre, mais une angoisse sourde contre un ennemi impalpable, l’inquiétude de sociétés trop bien nourrie par exemple et qui ont peur qu’on touche à leur beefsteck... B. C. : Tout à fait ! Cela rejoint ce que nous disions tout à l’heure par rapport à la situation de l’enfant surprotégé. On a alors la peur de perdre, qui est pulvérisante, fragmentante... un peu comme le nourrisson dans sa peur du manque. C’est tout à fait différent de la peur de l’étranger, du différent, où l’on repère l’objet et où l’on peut avoir une stratégie adaptative.
Dans la peur du manque, nous sommes bien plus proches de l’angoisse, ce qui me fait dire que “plus on est nantis plus on est anxieux !”
mon oncle d'Amérique
... C'est pour moi ? OKgaia a écrit :C'est vrai qu'il y a certains propos que j'ai du mal à digérer aussi concernant certaines explications de la violence quelqu'elle soit, faut faire gaffe à ce que certaines disent.
surtout admettre ses propos quand on a été soi meme victime

Gaia, as-tu entendu parler des travaux du biologiste Henri Laborit ? Ce professeur a tiré des conclusions sur le comportement humain en observant l'animal qui lui ressemble le plus : le rat (eh non, c'est pas le singe…).
Il a donc soumis des rats aux situations suivantes :
• la consommation, qui assouvit les besoins fondamentaux.
• la gratification : quand on a l’expérience d’une action qui aboutit au plaisir, on essaie de la renouveler.
• la confrontation à la "punition", qu'elle soit justifiée ou inique : il y a la fuite qui l’évite, ou la lutte qui détruit le sujet de l’agression.
• l’inhibition, qui débouche sur l'angoisse : ou on s'autodétruit, ou on détruit.
Démonstration trouvée sur le net : www.philo5.com
Mais ce qui est facile pour un rat en cage est beaucoup plus difficile pour un homme en société. En particulier, certains besoins ont été créés par cette vie en société et cela depuis son enfance. Et il est rare qu’il puisse, pour assouvir ses besoins, aboutir à la lutte lorsque la fuite n’est pas efficace.Henri Laborit a écrit :On prend un rat et on le met dans une cage à deux compartiments, c’est-à-dire, dont l’espace est séparé par une cloison dans laquelle se trouve une porte. Le plancher est électrifié intermittemment. Avant que le courant électrique passe dans le grillage du plancher, un signal prévient l’animal qui se trouve dans la cage que, quatre secondes après, le courant va passer. Mais il ne sait pas au départ. Il s’en aperçoit vite. Au début, il est inquiet et très rapidement il s’aperçoit qu’il y a une porte ouverte et il passe dans la pièce d’à côté. La même chose va se reproduire quelques secondes après. Mais il apprendra aussi très vite qu’il peut éviter la «punition» du petit choc électrique dans les pattes en passant dans le compartiment de la cage où il était au début. Cet animal, qui subit cette expérience pendant une dizaine de minutes par jours pendant sept jours consécutifs, au bout de ces sept jours, va être en parfait état, en parfaite santé : son poil est lisse, il ne fait pas d’hypertension artérielle ; il a évité, par la fuite, la «punition» ; il s’est fait plaisir ; il a maintenu son équilibre biologique.
Chère Gaia, est-ce que ça devient plus clair ?Henri Laborit a écrit :Deuxième situation : la porte de communication entre les deux compartiments est fermée. Le rat ne peut pas fuir. Il va donc être soumis à la «punition» à laquelle il ne peut pas échapper. Cette «punition» va provoquer chez lui un comportement d’inhibition. Il apprend que toute action est inefficace, qu’il ne peut ni fuir ni lutter. Il s’inhibe. Et cette inhibition qui s’accompagne chez l’homme de ce que l’on appelle l’angoisse, s’accompagne aussi dans son organisme de perturbations biologiques extrêmement profondes. Si bien que si un microbe passe dans les environs, s’il en porte même sur lui-même, alors que normalement, il aurait pu les faire disparaître, là, ne le pouvant pas, il fera une infection. S’il a une cellule cancéreuse qu’il aurait détruite, il va faire une évolution cancéreuse. Et puis ces troubles biologiques aboutissent à tout ce qu’on appelle les maladies de «civilisation» ou psychosomatiques. Les ulcères de l’estomac, les hypertensions artérielles, ils aboutissent à l’insomnie, à la fatigue, au mal-être.
C'est pas fini :
L’homme a plusieurs façons de lutter contre cette inhibition de l’action. Il peut le faire par l’agressivité. L’agressivité n’est jamais gratuite. Elle est toujours en réponse à une inhibition de l’action. On débouche sur une explosion agressive qui est rarement rentable mais qui, sur le plan du fonctionnement du système nerveux, est parfaitement explicable.Henri Laborit a écrit :Dans une troisième situation, le rat ne peut pas fuir. Il va donc recevoir toutes les «punitions» mais il sera en face d’un autre rat qui lui servira d’adversaire. Et, dans ce cas, il va lutter. Cette lutte est absolument inefficace. Elle ne lui permet pas d’éviter la «punition». Mais il agit. Un système nerveux, ça ne sert qu’à agir. Ce rat ne fera aucun accident pathologique de ceux que nous avions rencontrés dans le cas précédent. Il va être en très bon état et pourtant, il aura subi toutes les «punitions». Or, chez l’homme, les lois sociales interdisent généralement cette violence défensive. L’ouvrier qui voit tous les jours son chef de chantier dont la tête ne lui revient pas : il ne peut pas lui casser la figure parce qu’on lui enverrait les agents ; il ne peut pas fuir parce qu’il serait au chômage. Et tous les jours de la semaine, toutes les semaines du mois, tous les mois de l’année, toutes les années, quelquefois, qui se succèdent, il est en inhibition de l’action.
Voilà, gaia : ça te va comme ça ?
A chacun de trouver sa porte de sortie... s'il y en a une. Mais parfois, il n'y en a pas : je vais pas te faire un dessin.

Bonjour,

http://www.bernardwerber.com/unpeuplus/ ... ocite.htmlEn 1974, le philosophe et psychologue Anatole Rapaport de l'université de Toronto émet l'idée que la manière la plus "efficace" de se comporter vis à vis d'autrui est:
1) la coopération
2) la réciprocité
3) le pardon.

Les coûts et dommages collatéraux
euh ,cher st dumortier !
un mauvais souvenir perso , en mai 78 , du cote de kolwezi , de jeunes femmes , soeurs catholiques ont tenter la !
cooperation
reciprocité
pour le pardon , sans doute , je sais pas ; elles n ont pas eu l ocasion de nous le dire !
ce sont surement de tres philosophiques conseils mais dont la pratique reelle est surement a eviter dans bien des contexes , mem en banlieue des fois !
a moins d' envisager la sainteté ,ah mais pardon SAINT dumortier !
un mauvais souvenir perso , en mai 78 , du cote de kolwezi , de jeunes femmes , soeurs catholiques ont tenter la !
cooperation
reciprocité
pour le pardon , sans doute , je sais pas ; elles n ont pas eu l ocasion de nous le dire !
ce sont surement de tres philosophiques conseils mais dont la pratique reelle est surement a eviter dans bien des contexes , mem en banlieue des fois !
a moins d' envisager la sainteté ,ah mais pardon SAINT dumortier !
Bonjour,
Piège indien

Piège indien
Les Indiens du Canada font usage d'un piège à ours des plus rudimentaires. Il consiste en une grosse pierre enduite de miel, suspendue à une branche d'arbre par une corde. Lorsqu'un ours aperçoit ce qu'il croit être une gourmandise, il s'avance et tente d'attraper la pierre en lui donnant un coup de patte. Il crée ainsi un mouvement de balancier et la pierre revient le frapper. L'ours s'énerve et cogne de plus en plus fort. Et plus il cogne fort, plus il se fait cogner. Jusqu'à son K.O. final.
L'ours est incapable de penser: "Et si j'arrêtais ce cycle de la violence?". Il ne ressent que de la frustration. "On me donne des coups, je les rends!", se dit-il. D'où sa rage exponentielle. Pourtant, s'il cessait de la frapper, la pierre s'immobiliserait et il remarquerait peut-être alors, une fois le calme rétabli, qu'il ne s'agit que d'un objet inerte accroché à une corde. Il n'aurait plus qu'à trancher celle-ci avec ses crocs pour faire choir la pierre et en lécher le miel.

... CQFD !Bernard Werber a écrit :Ensuite il importe, selon la règle de réciprocité, de donner à l'autre en fonction de ce que l'on reçoit. Si l'autre aide, on l'aide; si l'autre agresse, il faut l'agresser en retour, de la même manière et avec la même intensité. Enfin il faut pardonner et offrir de nouveau la coopération.

Chris, pour pardonner il faut comprendre. Le pardon, hors religiosité, est souvent possible lorqu'on connaît les motivations et le contexte qui ont poussé l'autre à nous faire du mal.
C'est ce qu'il y a de plus difficile, je le concède : ça demande des efforts.
Mais c'est ce type de difficulté qui, analysée et surmontée, nous distingue de l'animal.
Quant à la religion, elle nous dit toujours qu'il faut pardonner, mais sans fournir de mode d'emploi : or on ne peut pas pardonner aveuglément.
Dernière modification par superuser le 04 févr. 2006, modifié 1 fois.