Sur le sujet douleureux "ANPE, competants ou incompetants ?", j'vais essayer de ne pas trop en dire, des fois que je finisse, moi aussi, dans le bureau d'un juge quelconque pour un motif tenant de la securité du pays.
Mes experiences avec nos chers(ès) conseillers(ères) de l'Anpe, tiennent plutot de la farce, de l'opera comique, de la piece de boulevard, que des entretiens serieux. J'habite une region rurale, où une antenne Anpe depend d'une plus grosse entité "d'la ville"

soit. c'est bien la proximité. Lors de mon inscription (il y a deux ans), j'etais persuadé au vu de mon experience, de trouver un nouveau job dans les 3 mois. Je me retrouve en face d'une charmante dame d'une cinquante d'années.....depressive au stade final, les larmes aux yeux, des sanglots dans la voix, m'expliquant les motifs de son malheur, les brimades de son superieur, ses soucis perso...bref, les roles etait inversés, et j'etais bien emmerdé, au final, la brave dame me dit qu'il ne fallait pas trop compter sur l'Anpe pour trouver du boulot...je mettrais ca sur le compte de sa depression.
Autre entretien, qui debouche sur une session: "Comment faire le CV qui tue et la lettre de motiv miracle".....je me retrouve en compagnie de camarades de galere, pour...tenez vous bien: eplucher le COMPASS et reperer les code metiers succeptibles de nous convenir !!!! j'me suis barré.
Dernier entretien des 6 mois...là, un peu depité de mes infructueuses recherches, j'exprime mon malaise aupres d'une conseillere style "garde chiourme", pete sec, autoritaire, et, comme deja ecrit dans les reponses precedantes, elle me fait bien sentir qu'elle possede droit de vie ou de mort sur moi, m'arguant de choisir n'importe quel boulot, à n'importe quel prix et surtout tres loin de chez moi...un cas qui tient plus de la pathologie qu'autre chose.
allons..ne soyons pas medisant, apres on va dire que j'suis mauvaise langue, j'ai rencontré des gens sympas dans les Anpe, mais des gens qui ne peuvent pas grand choses, eux aussi broyés dans une machine infernale.