
http://www.e24.fr/economie/france/artic ... l-pas.html
L'augmentation du SMIC ce serait les patrons qui la supporterait, la prime pour l'emploi c'est la collectivité toute entière."Les prestations liées à l’emploi, c'est-à-dire des transferts sociaux destinés à compléter les revenus des travailleurs à bas salaires tels que la prime pour l'emploi ou le revenu de solidarité active en France, sont nettement plus efficaces pour lutter contre la pauvreté que le salaire minimum", précisait ainsi leur rapport.
Tous les emplois de fonctionnaires avec un statut sont progressivement remplacés par des salariés jetables et précaires: contractuels et autres emplois occasionnels dont la "fonction publique" a le secret.parce ce son gros probleme est que cela toucherait encore plus ses previsions de budget a lui meme en attendant la grande reforme sur le paiement au merite dans la fonction publique
enfin chacun a son mode pour le calcul de l'inflation et du cote gouvernement il me semble fort bien que le calcul soit bien faux et archi minore afin que petit a petit le cout du travail baisse pour les patrons et leur rapporte gros tres gros mais le gros probleme est que pendant le meme temps c'est le trou de la secu qui se creuse inexorablement, celui de la dette de notre pays et fort bientot la grosse additions va nous etre helas presentersuperuser a écrit :Le conseil des ministres a entériné une augmentation du salaire minimum de 0,5% au 1er janvier 2010, sans "coup de pouce" supplémentaire.
Le gouvernement s'appuie sur les recommandations du groupe d'experts chargé de se prononcer sur l'évolution du salaire minimum, qui a prôné une augmentation limitée à l'application des mécanismes légaux.
Le montant du Smic brut horaire s'élèvera donc à 8,86 €, soit 1.343,77 € par mois sur la base de la durée légale du travail de 35 heures par semaine.
"Sur les 12 derniers mois, compte tenu de la revalorisation intervenue au 1er juillet 2009, la revalorisation du Smic est donc de 1,7%. Compte tenu d'une inflation estimée à 0,4%, cela correspond à un gain net annuel du pouvoir d'achat du Smic sur l'année 2009 de 1,3%", précise le communiqué gouvernemental.
.superuser a écrit :Alors, on monte un groupe d’"experts" qui décrète que le Smic n'est pas «un moyen efficace pour réduire la pauvreté et les inégalités» et qu'il vaut mieux «s’appuyer sur des mesures fiscales et des prestations sociales ciblées plutôt que sur un salaire minimum élevé et uniforme»..
Ce "trou" est du à un manque de recettes et à une dilapidation volontaire qui profite aux gros labos et à certaines corporations médicales,patrice-merignac a écrit :mais le gros problème est que pendant le même temps c'est le trou de la Sécu qui se creuse inexorablement
Justement : il faut résister !diety a écrit :Soyons heureux avec trois fois rien en ne nous détestant plus et en nous sentant et rendant utiles (le travail sans salaire, ça peut rendre heureux !). Le travail idéologique est en route pour nous préparer au travail non rémunéré.
Forcément ! Il faut nous asservir jusqu'au bout, même s'il est bien connu qu'il n'y a pas assez d'emplois pour tout le monde.diety a écrit :Je n'aurais rien contre s'il y avait un revenu d'existence ne garantissant pas la survie mais une vie décente. Mais ce n'était pas prévu dans ce modèle.
Le riche fait semblant de détester le pauvre pour que les pauvres (qui rêvent de devenir riches) se détestent entre eux,diety a écrit :le riche devait ne plus détester le pauvre, et le pauvre devait apprendre à ne plus se détester lui-même (et ne rien remettre en cause par la même occasion).
Le discours de la droite sur la pauvreté est simple et implacable: la pauvreté ne peut pas être résorbée et se transmet presque génétiquement. Donc, pour eux, inutile de chercher à résorber la pauvreté, puisqu'ils se sont convaincus que cela ne servait à rien. Théorie et discours bien pratique pour être décomplexé afin de se goinfrer toujours et encore plus. Souvent, quand certains se goinfrent c'est parce que d'autres crèvent de faim, c'est cette vérité qu'ils ne veulent pas voir émerger , que certains retirent le pain de la bouche d'autres êtres humains pour mieux se goinfrer !Un discours d'"experts" sur le sujet de la pauvreté, c'était que Hartz4 et son insuffisance financière n'était pas le véritable problème, mais le manque de reconnaissance sociale.
Démonstration est faite dans le docufilm politique de Philippe Diaz, "La fin de la pauvreté ?", sorti mercredi en salles.tristesir a écrit :Quand certains se goinfrent c'est parce que d'autres crèvent de faim, c'est cette vérité qu'ils ne veulent pas voir émerger : que certains retirent le pain de la bouche d'autres êtres humains pour mieux se goinfrer !
Dans nos pays dit "développés", c'est pareil : le chômage et le gel des salaires permettent depuis 30 ans d'engraisser les multinationales et leurs actionnaires, tandis que nos gouvernants complices vivent au crochet de l'argent public.Le Monde a écrit :On y découvre, ou rappelle, que le monde possède les ressources nécessaires pour nourrir toutes les populations, et que la misère et la famine ne sont provoquées que par le système économique imposé par les grandes puissances occidentales. La leçon est d'abord historique. Ce sont les Européens qui, dès 1492, ont initié la globalisation en intervenant de façon brutale en Amérique, puis en Asie et en Afrique. Les conquistadors d'Espagne, du Portugal, du Royaume-Uni et de Hollande se sont appropriés les richesses des Incas et des Mayas, ont confisqué ici et là l'or (dans les mines du Brésil), l'argent (en Bolivie), les objets d'art, les bijoux puis les terres, construisant un système colonial qui dure depuis 500 ans. Ces richesses ont permis de financer les révolutions industrielles et depuis, le fossé entre les pays les plus riches et les pays les plus pauvres ne cesse de se creuser. De 3 pour 1 en 1820, il est passé à 35 pour 1 en 1950, à 74 pour 1 en 1990.