Dans le canard enchaîné de cette semaine : un mini article, mais très clair : "tout est bon pour repreindre l'emploi en rose".
et un autre article (moitié de page) sur le choix médiatique d'une assos humanitaire qui oublie qui avait oublié qu'elle l'était : "la croix-rouge préfère neuilly à la seine-saint-denis".
Dans le titre, il y a comme un lien que je suggère : il faut bien s'imaginer que pour fermer des centres, la direction a eu la démarche de recruter des RH-killers pour pousser des salariés à bout (les dégouter, etc) pour que lors de l'annonce de la fermeture, il y ait moins de salariés dans les procédures de licenciement. Et oui, le secteur social humanitaire, quand la direction prend des décisions très discutables, il y a aussi des méthodes peu glorieuses. C'est étrange, le pauvre c'est vraiment quelqu'un de méritoire à l'étranger, en france, la croix-rouge ne veut plus le voir.
le canard à propos du chômage, et de la croix-rouge
Sous la pression financière, j'observe une mutation inquiétante du milieu associatif.
Comme les subventions diminuent sans cesse, les associations sont mises en difficultés et sont amenées à redefinir progressivement leurs objectifs et fonctionnements. C'est assez insidieux, car le robinet des subvention n'a pas été coupé d'un coup, mais se tarit petit à petit, permettant des ajustements progressifs.
Faute d'argent, certaines ferment leur porte.
D'autres partentà la chasse au fric pour continuer d'exister :
- recherche de mécénat privé, ce qui fait entrer certaines logiques au coeur des associations
- sur-consommation d'emplois aidés, ce qui conduit à "rationnaliser" le rapport aux salariés (qui deviennnent des variables d'ajustement)
- recherche des activités les plus rémunératrices : substitution de l'aspect économique immédiat à l'aspect social diffus.
Vous voyez bien où tout cela nous mènent!
Comme les subventions diminuent sans cesse, les associations sont mises en difficultés et sont amenées à redefinir progressivement leurs objectifs et fonctionnements. C'est assez insidieux, car le robinet des subvention n'a pas été coupé d'un coup, mais se tarit petit à petit, permettant des ajustements progressifs.
Faute d'argent, certaines ferment leur porte.
D'autres partentà la chasse au fric pour continuer d'exister :
- recherche de mécénat privé, ce qui fait entrer certaines logiques au coeur des associations
- sur-consommation d'emplois aidés, ce qui conduit à "rationnaliser" le rapport aux salariés (qui deviennnent des variables d'ajustement)
- recherche des activités les plus rémunératrices : substitution de l'aspect économique immédiat à l'aspect social diffus.
Vous voyez bien où tout cela nous mènent!
Tout à fait d'accord, pour bcp d'associations petites ou moyennes (la plupart des assos), de celles aussi qui sont oubliés de par les orientations politiques changeantes.
Mais la croix-rouge, c'est une grosse boîte, qui a des sous : il s'agit donc de choix d'action (national versus international) et de choix de management.
Mais la croix-rouge, c'est une grosse boîte, qui a des sous : il s'agit donc de choix d'action (national versus international) et de choix de management.
le canard à propos du chômage, et de la croix-rouge
Quand je pense que la croix-rouge est partie d'une idée généreuse et humaniste pour les blessés de guerre...
Le pauvre Dunant doit se retourner dans sa tombe !
La croix-rouge est très riche et bien vu Monolecte, emploie surtout des bénévoles. Les dépenses somptuaires pour les dirigeants sont.. somptueuses.
Il y a eu des scandales, vite étouffés pour ne pas décourager les donations.
Dans le même genre d'idées, il y a eu une émission passionnante sur Planète "mais où va l'argent de la SPA ?"
Ils vivent de donations et legs, parfois très important et leur gestion est d'une opacité !!!
En tous cas, ce ne sont pas les pauvres bêtes des refuges qui en profitent. Encore des bénévoles qui se font exploiter...
maguy
Le pauvre Dunant doit se retourner dans sa tombe !
La croix-rouge est très riche et bien vu Monolecte, emploie surtout des bénévoles. Les dépenses somptuaires pour les dirigeants sont.. somptueuses.
Il y a eu des scandales, vite étouffés pour ne pas décourager les donations.
Dans le même genre d'idées, il y a eu une émission passionnante sur Planète "mais où va l'argent de la SPA ?"
Ils vivent de donations et legs, parfois très important et leur gestion est d'une opacité !!!
En tous cas, ce ne sont pas les pauvres bêtes des refuges qui en profitent. Encore des bénévoles qui se font exploiter...
maguy