Cas de démission considéré comme légitime:
- La démission du salarié âgé de moins de 18 ans qui rompt son contrat de travail pour suivre ses ascendants ou la personne qui exerce la puissance parentale.
- La démission du salarié qui rompt son contrat de travail pour suivre son conjoint qui change de lieu de résidence pour exercer un nouvel emploi.
- La démission du salarié qui rompt son contrat de travail et dont le départ s’explique par son mariage ou la conclusion d’un pacte civil de solidarité entraînant un changement de lieu de résidence de l’intéressé, dès lors que moins de 2 mois s’écoulent entre la date de la fin de l’emploi et la date du mariage ou de la conclusion du pacte civil de solidarité.
- La rupture à l’initiative du salarié, d’un contrat emploi-solidarité ou d’un contrat d’insertion par l’activité, d’un contrat emploi jeunes ou d’un contrat d’orientation pour trouver un nouvel emploi ou pour suivre une action de formation.
- Le départ volontaire de la dernière activité professionnelle salariée reprise par l’allocataire qui ne peut s’ouvrir des droits au titre de cette activité et qui demande le versement d’un reliquat d’allocations non épuisé.
- La démission intervenue pour cause de non-paiement des salaires pour des périodes de travail effectuées.
- La démission intervenue à la suite d’un acte susceptible d’être délictueux dont le salarié déclare avoir été victime à l’occasion de l’exécution de son contrat de travail et pour lequel il justifie avoir déposé une plainte auprès du procureur de la République.
- La démission du salarié qui, postérieurement à un licenciement ou à une fin de contrat de travail à durée déterminée, entreprend une activité à laquelle il met fin volontairement au cours ou au terme de la période d’essai n’excédant pas 91 jours.
- La démission du salarié qui justifie de 3 années d’affiliation continue et qui quitte volontairement son emploi pour reprendre une activité salariée à durée indéterminée, à laquelle l’employeur met fin au cours ou au terme de la période d’essai avant l’expiration d’un délai de 91 jours.
- La cessation du contrat de travail dit « de couple ou indivisible » lorsqu’il comporte une clause de résiliation automatique, si le salarié quitte son emploi : du fait du licenciement ou de la mise à la retraite de son conjoint par l’employeur, ou encore du fait de la cessation anticipée d’activité du conjoint dans le cadre de l’ARPE.
- La démission du salarié motivée par l’application de la clause de sauvegarde des journalistes à condition qu’il y ait eu versement effectif de l’indemnité.
- La démission du salarié qui quitte son emploi pour effectuer une ou plusieurs mission(s) de volontariat pour la solidarité internationale d’une durée minimale d’un an.
- La démission du salarié qui a quitté son emploi pour créer ou reprendre une entreprise et dont l’activité cesse pour des raisons indépendantes de la volonté du créateur ou du repreneur.
Pour tous les autres cas, comme tu l'as fait, faut faire une demande après 4 mois de chômage.
Puis, début janvier, je reçois une réponse comme quoi mes recherches ne sont pas suffisantes !! J'ai été bluffée !! Mon dossier faisait plus de 30 pages (le nombre n'indique rien je le sais) mais mes recherches étaient plus que réelles, mes entretiens également.
J'ai comme le sentiment qu'il est de plus en plus difficile de convaincre la commission. (il n'y a pas de petites économies)
As tu moyen de joindre une personne de la commission paritaire très rapidement pour tenter un ultime recours ?
Quelles sont les preuves de recherche d'emploi que tu as founies? Quelles sont les preuves de plus qu'ils souhaitent ?
tu peux revenir sur ton dossier si tu as d'autres éléments à ajouter mais pour cela il faudrait savoir ce qu'ils attendent de plus
Bon courage
Sylvie
www.inter-emploi.org