L’affaire Epstein expliquée (à celles et ceux qui ne l'ont pas suivie).
https://www.youtube.com/watch?v=udLLpMmjI0E
LE SCANDALE SEXUEL du siècle aux USA a fait peu de bruit en France alors que notre « merveilleux pays » fut une destination de prédilection du prédateur sexuel (et agent du Mossad, les services secrets israéliens)
Jeffrey Epstein.
Il s'agit d'une tentaculaire affaire montée et animée par des malfrats d’une infecte mafia communautaire : Epstein bien sûr, mais aussi Ghislain Maxwell, fille du milliardaire Robert Maxwell (lui-même agent du Mossad), le "Français" Jean-Luc Brunel, et leurs avocats respectifs qui les mirent à l’abri de poursuites judiciaires pour viols et proxénétisme aggravé.
Les victimes (
des filles mineures à l’époque des faits) se comptent par dizaines, par centaines. Elles étaient livrées en pâture à des personnalités de premier plan. On évoque les noms de Bill Gates (ce qui provoqua son divorce), Bill Clinton, le Prince Andrew, fils de la Reine Elisabeth II…
Les faits étaient à ce point odieux et répréhensibles que leur révélation au grand jour risquait de provoquer un cataclysme aux USA.
L’affaire fut donc étouffée de toute urgence. Epstein a été retrouvé mort (soi-disant « suicidé ») dans sa cellule pourtant ultra-surveillée et sécurisée, tout comme Jean-Luc Brunel, son acolyte français. Comme c’est étrange !
Reste Ghislain Maxwell, autre pièce maîtresse du puzzle, très probablement couverte par la CIA et le Mossad (Israël). Elle ne dira rien de peur de rejoindre ses « complices » dans leur tombe.
L’affaire Epstein révèle au grand jour la puissance du lobby juif aux USA mais aussi en Grande-Bretagne et en France.
Dès l’entame de sa carrière, Epstein a été soutenu et financé par des milliardaires, avant de passer sous la coupe de la fille de l'anglo-israélien Robert Maxwell et du Mossad.
Jean-Luc Brunel, son rabatteur de chair fraîche, patron d’une célèbre agence de mannequins, était lui aussi membre de la communauté de Lumière.
Par un « heureux hasard », l’affaire n’a fait que quelques vaguelettes en France… comme de coutume.
Ben oui, parler de l'affaire Epstein, c'est forcément de l'antisémitisme.
