Le "NON" de gauche éclaté !
Le "NON" de gauche éclaté !
On nous promettait une coalition des supporters du "NON" de gauche pour la présidentielle de 2007, réunissant sous une même bannière LO, LCR, Confédération paysanne… (voire même le PC, une partie des Verts et des PS dissidents), c'est mort !
On va hériter de Laguillers (65 ans au compteur - c'est du réchauffé Arlette !), Besancenot, Buffet…
Et pourquoi pas Bové et un Vert dissident…
Chacun repartira de l'élection présidentielle avec son "petit paquet de voix" : entre 0,001% et 6 ou 8% (pour le grand vainqueur).
Et chabadabada…
…/…
Si, en France, on a "la droite la plus bête du monde", la gauche est pas mal… non plus.
…/…
Tout est fait pour que rien ne bouge !
On va hériter de Laguillers (65 ans au compteur - c'est du réchauffé Arlette !), Besancenot, Buffet…
Et pourquoi pas Bové et un Vert dissident…
Chacun repartira de l'élection présidentielle avec son "petit paquet de voix" : entre 0,001% et 6 ou 8% (pour le grand vainqueur).
Et chabadabada…
…/…
Si, en France, on a "la droite la plus bête du monde", la gauche est pas mal… non plus.
…/…
Tout est fait pour que rien ne bouge !
-
- Messages : 244
- Inscription : 22 nov. 2004
- Contact :
Primaires à gauche : la LCR et le MRC contre
NOUVELOBS.COM | 13.12.05 | 18:11
La Ligue est "totalement opposée" à ce mode de désignation d'un candidat commun. Le Mouvement républicain et citoyen juge l'idée prématurée.
La Ligue communiste révolutionnaire (LCR) est "totalement opposée" à l'organisation de primaires, suggérée par le parti socialiste, pour choisir un candidat commun de la gauche à l'élection présidentielle de 2007, a indiqué lundi son porte-parole Alain Krivine.
"Les primaires nécessitent un accord politique minimum", or "nous sommes en total désaccord avec le programme du PS", a indiqué Alain Krivine pour qui "il y a deux gauches irréconciliables" en France.
Selon lui, les socialistes ont lancé l'idée de primaires "parce qu'ils n'arrivent pas à se mettre d'accord sur leur propre candidat", compte tenu d'une bonne demi-douzaine d'éléphants du PS qui prétendent au poste.
Plusieurs dirigeants socialistes, en particulier le premier secrétaire François Hollande, sont montés au créneau pour défendre l'idée de primaires à l'italienne.
La secrétaire nationale du PCF, Marie-George Buffet, avait également rejeté samedi l'idée de primaires à gauche.
"Le PCF fait semblant"
Interrogé sur la stratégie du PCF, qui a soumis samedi "au débat" des autres formations de gauche l'hypothèse d'une candidature communiste, Alain Krivine a répondu: "le PCF fait semblant de vouloir discuter", mais compte tenu de raisons "liées notamment à son histoire", il "est obligé d'avoir un candidat". "L'objectif du PCF est de présenter Marie-George Buffet", a-t-il ajouté.
Quant à la LCR, c'est son Congrès, fin janvier, qui doit décider de sa stratégie pour 2007, a souligné Alain Krivine pour qui l'échéance électorale "n'est pas une priorité".
Mais, "nous avons un bon candidat", a-t-il souligné dans une allusion à Olivier Besancenot qui a obtenu 4,25% des voix à la présidentielle de 2002, devant le PCF (3,37%).
"Idée prématurée et très confuse"
De son côté, le premier secrétaire du Mouvement républicain et citoyen (MRC), Georges Sarre, a estimé lundi "prématurée" la suggestion avancée par le PS. "Cette idée n'est ni bonne, ni mauvaise, mais elle est prématurée et très confuse", a affirmé Georges Sarre, en rappelant que "nous sommes à 15 mois de l'élection présidentielle".
Il ne peut y avoir de primaires pour un candidat commun "sans un projet commun", a estimé Georges Sarre, qui plaide pour la poursuite d'un "débat public sur tous les sujets" en vue de définir "un programme face à la mondialisation".
Le MRC n'a pas encore décidé de sa stratégie pour l'élection présidentielle. En 2002, son candidat, Jean-Pierre Chevènement avait obtenu 5,33% des voix.
La Ligue est "totalement opposée" à ce mode de désignation d'un candidat commun. Le Mouvement républicain et citoyen juge l'idée prématurée.
La Ligue communiste révolutionnaire (LCR) est "totalement opposée" à l'organisation de primaires, suggérée par le parti socialiste, pour choisir un candidat commun de la gauche à l'élection présidentielle de 2007, a indiqué lundi son porte-parole Alain Krivine.
"Les primaires nécessitent un accord politique minimum", or "nous sommes en total désaccord avec le programme du PS", a indiqué Alain Krivine pour qui "il y a deux gauches irréconciliables" en France.
Selon lui, les socialistes ont lancé l'idée de primaires "parce qu'ils n'arrivent pas à se mettre d'accord sur leur propre candidat", compte tenu d'une bonne demi-douzaine d'éléphants du PS qui prétendent au poste.
Plusieurs dirigeants socialistes, en particulier le premier secrétaire François Hollande, sont montés au créneau pour défendre l'idée de primaires à l'italienne.
La secrétaire nationale du PCF, Marie-George Buffet, avait également rejeté samedi l'idée de primaires à gauche.
"Le PCF fait semblant"
Interrogé sur la stratégie du PCF, qui a soumis samedi "au débat" des autres formations de gauche l'hypothèse d'une candidature communiste, Alain Krivine a répondu: "le PCF fait semblant de vouloir discuter", mais compte tenu de raisons "liées notamment à son histoire", il "est obligé d'avoir un candidat". "L'objectif du PCF est de présenter Marie-George Buffet", a-t-il ajouté.
Quant à la LCR, c'est son Congrès, fin janvier, qui doit décider de sa stratégie pour 2007, a souligné Alain Krivine pour qui l'échéance électorale "n'est pas une priorité".
Mais, "nous avons un bon candidat", a-t-il souligné dans une allusion à Olivier Besancenot qui a obtenu 4,25% des voix à la présidentielle de 2002, devant le PCF (3,37%).
"Idée prématurée et très confuse"
De son côté, le premier secrétaire du Mouvement républicain et citoyen (MRC), Georges Sarre, a estimé lundi "prématurée" la suggestion avancée par le PS. "Cette idée n'est ni bonne, ni mauvaise, mais elle est prématurée et très confuse", a affirmé Georges Sarre, en rappelant que "nous sommes à 15 mois de l'élection présidentielle".
Il ne peut y avoir de primaires pour un candidat commun "sans un projet commun", a estimé Georges Sarre, qui plaide pour la poursuite d'un "débat public sur tous les sujets" en vue de définir "un programme face à la mondialisation".
Le MRC n'a pas encore décidé de sa stratégie pour l'élection présidentielle. En 2002, son candidat, Jean-Pierre Chevènement avait obtenu 5,33% des voix.
Les tenants du oui on tenté vainement d'expliquer que "Point de lendemain" si le non l'emportait, et encore moins de mouvement unitaire à gauche. Fabius ( en tête de ligne du non) a joué pour lui, perso, comme les emmanuelli et les autres. Le seul peut-être sincère ds l'affaire c'était peut-être Besancenot, sincère certes, mais sincère dans l'erreur ( c'est mon point de vue)( mais c'est son rôle finallement).danipo a écrit :oui tu as raison yves pour une fois je croyais a un grand rassemblement des nons au referendum pour une candidature unique.comme d'habitude il y aura une flopee de candidats.je pense que l'on va vivre des années dificiles si les responsables de parti de gauche le sont aussi peu
Alors permettez moi de sourire amèrement sur ce beau gachis, quand je vois aujourd'hui certains s'étonner que le "non" mène dans l'impasse, l'immobilisme, alors que ce projet de TCE nous permettait ( à gauche comme à droite) de faire valoir une certaine idée de l'europe.
Aujourd'hui la mondialisation avance inexorablement, l'OMC tente d'organiser les échanges, les Chinois commencent à importer leurs propres marques en occident, et les tenants du non, se demandent " ben alors, qu'est-ce qu'on fait ?".
Un peu comme serait un type resté sur une place à la fin d'une grande manif, place vide, jonchée de gobelets plastiques, de tracts froissés et autre détritus. Une banderole abandonnée au sol mollement animée par une brise lègere. Place vide de foule ou deux ou trois balayeurs s'activent déja pour effacer les traces de cette grande manif. Et ce pauvre type au milieu, seul, attendant ces beaux leaders, dont les mots des discours raisonnent encore dans sa tête, ce pauvre type se demandant où ils sont passés et ce que l'on fait maintenant.
J'espère qu'il se souviendra, ce pauvre ère de ce moment de solitude. Que l'on y reprendra plus à écouter les discours démagogues.
Primaires à gauche : Montebourg est pour
NOUVELOBS.COM | 14.12.05 | 12:13
Le fondateur du courant du PS "Rénover maintenant" se dit "totalement favorable" à la solution de primaires.
Arnaud Montebourg, fondateur du courant "Rénover maintenant" à l'intérieur du Parti socialiste, s'est dit mercredi 14 décembre "totalement favorable" à la solution de primaires permettant de faire désigner le candidat socialiste à l'élection présidentielle par les sympathisants.
"C'est le meilleur moyen pour réconcilier une partie de la gauche avec elle même, c'est aussi le meilleur moyen de reconstruire un rapport de confiance entre le PS et son environnement", a déclaré le député de Saône-et-Loire sur Canal+.
Pour lui, "désigner le candidat avec tous ceux qui, se réclamant d'un vote socialiste, veulent le choisir et participer, c'est le moyen de passer de 100.000 adhérents à 2 ou 3 millions de participants". "Cela permettrait de redonner de l'enracinement au PS dans la société française", et "ce serait une garantie d'être au deuxième tour", a-t-il souligné.
Il a dénié en revanche la possibilité d'organiser en France des primaires de toute la gauche, comme en Italie : "Nous ne le pourrions pas, ce serait prétentieux", sauf s'il y a "accord programmatique préalable".
Le fondateur du courant du PS "Rénover maintenant" se dit "totalement favorable" à la solution de primaires.
Arnaud Montebourg, fondateur du courant "Rénover maintenant" à l'intérieur du Parti socialiste, s'est dit mercredi 14 décembre "totalement favorable" à la solution de primaires permettant de faire désigner le candidat socialiste à l'élection présidentielle par les sympathisants.
"C'est le meilleur moyen pour réconcilier une partie de la gauche avec elle même, c'est aussi le meilleur moyen de reconstruire un rapport de confiance entre le PS et son environnement", a déclaré le député de Saône-et-Loire sur Canal+.
Pour lui, "désigner le candidat avec tous ceux qui, se réclamant d'un vote socialiste, veulent le choisir et participer, c'est le moyen de passer de 100.000 adhérents à 2 ou 3 millions de participants". "Cela permettrait de redonner de l'enracinement au PS dans la société française", et "ce serait une garantie d'être au deuxième tour", a-t-il souligné.
Il a dénié en revanche la possibilité d'organiser en France des primaires de toute la gauche, comme en Italie : "Nous ne le pourrions pas, ce serait prétentieux", sauf s'il y a "accord programmatique préalable".
Je me fous des conflits de personnes!
Je veux un projet politique.
Et je voterai pour le projet politique qui est compatible avec ma vision du monde et de ce que doit être une société humaine!
Cessons de nous repaître de politique-spectacle : c'est la mort de la pensée politique, l'enterrement de la démocratie!
Pas de culte de la personnalité : une vision du monde me suffira!
Je veux un projet politique.
Et je voterai pour le projet politique qui est compatible avec ma vision du monde et de ce que doit être une société humaine!
Cessons de nous repaître de politique-spectacle : c'est la mort de la pensée politique, l'enterrement de la démocratie!
Pas de culte de la personnalité : une vision du monde me suffira!
Pareil pour moi, j'ai mon idée sur le sujet mais étant seul pour l'instant à la défendre, non pardon , nous sommes trois depuis peu, nous aurions besoin de soutien pour la faire évoluer et la faire connaître.
www.e-monsite.com/sdviste/
www.e-monsite.com/sdviste/