Du rififi entre homos et trans. Des bugs infectent la matrice.
De plus en plus de femmes s'élèvent contre l'envahissement trans dans la culture, la pub, la mode, même le porno… Ou quand des hommes transformés en femmes
piquent la place des… vraies femmes.
Levée de bouclier comparable dans de nombreuses disciplines sportives (principalement aux USA) où, à terme, les premières places des championnats féminins pourraient être trustées (occupées, gagnées) par… des hommes transformés en femmes.
Eh oui, le progressisme a des limites.
Cette fois, ce sont des homos qui contestent la propagande trans qui, selon eux, par ses excès et provocations, met en danger les droits des homosexuels acquis au fil des décennies.
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L'association Gays Against Groomers est une coalition d'homosexuels qui s'opposent
à la tendance récente d'endoctriner et de sexualiser les enfants sous le couvert de « LGBTQIA+ ». Elle dénonce les pratiques "destructrices" de certains mouvements pro-LGBT. Dans une vidéo de près de cinq minutes, David Leatherwood, représentant l'organisation "Gays Against Groomers", dénonce l'utilisation de la communauté LGBT comme bouclier par des mouvements radicaux qui encouragent la "mutilation", la "stérilisation" et l'"endoctrinement" de mineurs. […]
David Leatherwood accuse les médias et les groupes de pression de promouvoir la fausse idée que la communauté LGBT soutient la médicalisation des enfants, alors que seul un petit nombre de militants radicaux soutiennent cette idée.
Source :
https://lemediaen442.fr/lassociation-ga ... -denfants/
==> Cette intervention se focalise sur les "mineurs" victimes d'un endoctrinement malsain. Mais la radicalisation des organisations trans touche aussi les plus âgés (adolescents et jeunes adultes). La "transformation" ou "transition" s'accompagne le plus souvent d'une médicalisation "à vie" avec son lot d'effets secondaires indésirables parfois insupportables à vivre (tant sur le plan psychique que physique).
