carl a écrit :Je préfère écouter que pleurer et là j'entends un grand silence : celui des clubs fermés du "plus jamais çà", le Crif, par exemple et toutes les associations "humanistes" et "humanitaires", un grand silence qui fait du bruit.
Mais aussi du silence des syndicats, des artistes et des sportifs.
Concernant la résistance, titre de ce fil, s'en prendre au porte-monnaie des collabos du système : ne plus financer ou adhérer aux Syndicats, ne plus aller voir les films des saltimbanques, ne plus assister à des compétions sportives, critiquer le silence des associations "humanitaires"... à orientation variable. Ne pas, ne plus les écouter, ni les financer.
Le parti républicain a massivement voté pour la discrimination populationnelle selon certains, à confirmer. Et dans ce cas s'en souvenir. idem pour les autres partis. Ne plus voter pour eux. Ne plus faire attention à eux, changer de chaines télévisées, ou de vidéos sur internet.
Enregistrer les noms. Ne pas les oublier. Puisque le devoir de mémoire est à la mode, remettons notre mémoire occidentale au travail.
Pour les clubs fermés du "plus jamais çà", leur renvoyer dans la figure leur devoir de mémoire vis à vis de l'Holodomor, de la Palestine...et du malheureux Liban, leur rappeler leur collaboration active à la souffrance des Russes durant le bolchevisme et le soviétisme, Soljenitsyne a été assez bavard sur la question dans ses 2 tomes" 2 siècles ensemble"...
Pied à pied, que ce soit dans les discussions familiales, les enfants, transmettre notre propre devoir de mémoire occidentale.
Critiquer les médecins du système, des plateaux, du web, qui ironisent sur les refus de l'inoculation de leur merde génique pondue à vitesse grand "V". Et je les ai assez suivis ceux-là, celles-là, pour en parler. Lus et entendus.
Qui ont aboyé contre Trump (de quoi je me mêle, on est en France pas aux USA) mais rampent devant Veran et pour certains lui lèchent les pieds, ne disent plus rien concernant Salomon, Buzyn. Plus de mémoire. Il y a eu pourtant une centaine de morts dans leur corporation. Mais on retrouve toute sa hargne quand il s'agit de taper sur la population réfractaire.
IL est là, notre devoir de mémoire.