Pour cela, il faudrait que le travail de vérification reviennent à votre conseillère, est-ce le cas ? Personnellement, je n'en sais rien. Je ne connais pas les procédures interne à Pole Emploi mais je sais que dans beaucoup d'endroits, on a tendance à déléguer certaines tâches à des services spécialisé.Hurlan a écrit : Ce qui prouve bien le manque de sérieux de cette conseillère, une fois de plus.
Sans connaître l'organisation interne, difficile d'attribuer une responsabilité.
J'avais eu l'impression d'avoir à faire face à un réflexe de défense en voyant vu la forme de votre réponse et j'ai préféré lever tout risque de malentendu.Hurlan a écrit : J'ai l'impression que vous pensez que j'interprète mal les choses et que je me méprend.
Ce n'est pas du tout le cas, je suis vraiment reconnaissant pour les réponses / soutien apporté.
Qu'est-ce qui m'a fait pensé à un réflexe de défense ? Le fait que dans une liste d’élément rationnel cumulative pouvant mener au refus, vous en avez sélectionné un seul dans la citation et avez cherché à vous justifier.
Cela peut avoir été une réaction inconsciente de votre part comme une mauvaise interprétation de la mienne.
Ça, je le comprend parfaitement.Hurlan a écrit :J'étais aussi à vif compte tenu de la situation difficile avec mon chat, j'ai un lien très fort avec lui alors cela m'affecte beaucoup.
Coïncidence, peut-être pas.Hurlan a écrit : Ce contrôle ne serait à priori pas une initiative de ma conseillère pôle emploi aux vues des retours que j'ai eu avec la hotline de pôle emploi ainsi que ma conseillère RSA. J'ai tout de même du mal à le croire ce mail est arrivé exactement au même moment que d'autres mails qu'elle m'a envoyé et coïncide avec les échanges récents que nous avions eu.
Il faut savoir que Pole Emploi comme d'autres organismes donnent de plus en plus de pouvoirs aux machines et aux outils de rapportage. Ceux-ci analysent en permanence une grande partie des actions qui sont entreprise et certaines actions de votre part ou de la part de votre conseillère peut vous faire apparaître automatiquement parce que cela rentre dans les critères.
Sur les appréciations, nous sommes d'accords sur le fait qu'il y a des phrases à ce niveau qui peuvent devenir vite insupportable. J'ai moi-même été qualifié de "cas pathologique" par un intervenant qui était "un cas raté" d'école de psycho recyclé dans les prestations de réorientation professionnelle.Hurlan a écrit : Peut-être que la situation actuelle, mon désir de travailler trouble légèrement ma capacité à rationnaliser sur certains points. Il y a quand même certaines appréciations qui n'ont pas lieu d'être, et cette personne n'a pas vocation à apprécier mon état psychologique.
Après, l'intention qui se cache derrière ces phrases est plus difficile à établir. On peut ne pas avoir de mauvaises intentions mais qu'un manque de vocabulaire, la manière de s'exprimer ou même un handicap sur la communication tel que la dyslexie fait que c'est mal ressenti par l'interlocuteur.
C'est pour cela que si l'on vous demande de décrire les problèmes de communication avec votre conseillère avant d'en changer, rester sur des points objectifs. Ne l'accusez pas d'être sarcastique, de pratiquer le harcèlement ou autres.
Orienter plutôt votre justification sur le fait qu'a l'écrit, elle mélange les phrases interrogative, déclarative et impérative ce qui crée des incompréhensions. Avec quelques exemples, cela sera facilement mis en évidence. Après, ce sera le rôle du "management" de voir si cela est intentionnel ou si c'est un problème de formation. Il faut savoir qu'il existe des stages et des formations concernant les problèmes de communication écrite et orale.
Si vous entendez par la que c'est insignifiant, je ne crois pas car cela permet de savoir qui fait quoi et donc de mieux diriger vos questions vers la bonne personne. Ca évite de perdre du temps et d'être baladé d'un interlocuteur à un autre.Hurlan a écrit : Du coup c'est un peu le flou artistique pour remplir la convention entre la structure d'accueil / accompagnante / le prescripteur... Mais c'est anecdotique.
C'était pour avoir le contexte.Hurlan a écrit : J'ai arrêté dès la première journée. Pourquoi rester alors que le premier jour est une catastrophe ? C'est une perte de temps et d'énergie.
[...]
Houla, aucune idée. Pourquoi ?
[...]
Aucune idée non plus... Pourquoi ?
[...]
Maladie vraisemblablement.
L'absence imprévue de deux salariés dans une petite structure à un impact bien plus significatif que dans une grande structure.
Un ou deux tuteurs absent dans une grande entreprise avec plus de 100 personnes et qui n'accueille que 5 ou 6 stagiaires, ça peut se gérer facilement.
Un ou deux tuteurs absent dans une entreprise de 10 salariés et qui accueille 5 stagiaires, c'est ingérable.
On trouve l'ordre de grandeur du nombre de salarié avec des sites comme "societe.com"
Si ces salariés sont tombé malade la journée d'avant, ça peut expliquer le désordre.
A ce moment la, vous auriez pu voir avec la personne qui vous suit pour reporter la prestation jusqu'au retour des tuteurs.
A mon avis, c'est à garder en tête si ce type de situation se présente à nouveau.