Zorro22 a écrit :
Ici, je parle d'humanité et de progrès.
Il va sans dire ! Mais c'est une tarte à la crème quand même…
Le Grand Capital a compris depuis un moment qu'il avait tout intérêt à mettre les femmes au boulot par exemple, donc à les inclure dans le processus productif et plus encore d'auto-aliénation. Et puis, c'est parfait, plus les femmes bossent (
grand bien leur fasse) moins elles font d'enfants. Voilà qui justifie l'immigration, dont l'importation d'une main d'œuvre corvéable et bon marché.
Tout le monde y gagne. Enfin, surtout le Grand Capital !
Il s'avère que dans les Trente Glorieuses, un ouvrier spécialisé faisait vivre sa femme (au foyer) et ses 4 enfants. Aujourd'hui, un couple d'ouvriers avec deux enfants peine à s'en sortir.

Sans doute pas en Scandinavie où le niveau de vie est bien supérieur qu'en France. J'en conviens.
De mon point de vue réactionnaire (conservateur), il y a beaucoup de femmes qui n'ont pas gagné grand-chose à entrer dans le monde du travail masculin, à se taper trois heures de transport par jour, huit heures de taf, et les obligations familiales en sus.
Là on comprend pourquoi et comment
le taux de natalité s'effondre en Occident et comment on compense par l'immigration… qui conduit au Grand Effacement des populations européennes. Tu connais mon analyse…
D'autant que les femmes qui revendiquent une "inclusion" pour profonde encore sont souvent celles qui ont un boulot valorisant et valorisé (sur le plan financier). Mais si on doit aller jusqu'au bout de la logique de l'inclusion dans la parité et l'égalité, il faut 50% de femmes maçons, couvreurs… ou au manche d'un marteau-piqueur.

Et la condition animale y gagnera certainement d'avoir 50% de femmes dans les effectifs des abattoirs.
Tous ces concepts sont agités dans un seul but :
Détourner des vrais enjeux politiques et sociaux en matière d'emplois, de formation et de rémunération.
Les femmes sont entrées massivement sur le marché du travail… mais les rémunérations (au bas de l'échelle) stagnent, le chômage explose, le taux natalité s'effondre, l'immigration s'impose. Les quatre choses ne sont peut-être pas directement liées mais la coïncidence questionne. Plus encore en ces temps de tensions sociales qui vont considérablement s'amplifier avec la crise systémique et le Grand Effondrement à venir. Il arrive !