A la place, on a nommé Elisabeth BORNE ex ministre des transports, de la transition écologique et solidaire.
A voir

En tant qu'association, on appelle les précaires à voter. Ce qu'ils veulent, du moment qu'ils votent.Je ne vais plus voter. Une abstention en plus.
Je ne me demande pas, je suis certainJE me demande quand même si le RSA, qui au passage est une forme de revenu universel, ne devrait pas revenir à une gestion d'Etat au lieu d'une gestion décentralisée.
Moi je suis content qu'il n'y a plus Mumu la rebelle qui n'avait aucune humanité face aux chomeurs, elle avait une tête à casser du chomeur comme la majorité des conseillers PE... donc oui je suis content qu'on la virer du gouvernement mdr elle ira pointer au chomage et se rendre compte de la réalité des choses XD
Merci pour le lien, une information bien entendu pas relayée à l'antenne de France Info
@Zorro22Zorro22 a écrit :Pour le moment, on peut conclure que :
- Le RUA est visiblement peut-être enterré, vu que la Secrétaire d'Etat en charge n'est pas reconduite dans ses fonctions (Mme Christelle Dubos).
Ce serait une très bonne nouvelle pour les précaires à l'ASS, à l'AAH ou à l'ASPA.![]()
- Mais (et là j'attaque les prévisions), avec un telle équipe, parfaitement en phase avec Macron, dont la pauvrophobie la plus crasse et décomplexée n'est plus à démontrer,
il faut s'attendre au pire, voire même à une "solution finale" pour les pauvres, qui, je pense, pourrait prendre la forme des désormais fameux "jobs à 1 euros" (de l'heure)
en Allemagne. Brigitte connait bien, c'est à côté de chez elle. D'ailleurs, l'un des précédents élus s'occupant du RUA venait du Bas-Rhin, département aussi très négativement
connu de nos services dans le cadre du RSA (mais la CGT y a fait du ménage il y a quelques années).
En France, ce sera plutôt de 2 à 3 euros de l'heure, en complément du RSA et de l'ASS (c'est déjà fait pour les vendanges depuis plusieurs années, d'ailleurs, pour le RSA),
et uniquement sur la base du volontariat. Peut-être contre une promesse des patrons qui adhèrent au dispositif de ne pas licencier d'employés (ce qui emporterait l'adhésion
des français possédants, et de toute façons lobotomisés par des années de propagande pauvrophobe : profiteurs, fraudeurs, etc.).
Soit, concrètement : 480 euros de RSA par mois, plus de 315 à 472 euros par mois de "complément travail".
Encore plus malin, peut-être que Macron et ses sbires amèneront le total à 1016 euros par mois, histoire de dire que les gens ne sont plus sous le seuil de pauvreté.
Là, c'est 480 euros de RSA (payé par le département) et 536 euros pour le patron (ou même 336 euros pour le patron, et 200 euros pour l'Etat ?).
C'est pour cela que le RUA est enterré.
On va donc rester dans une logique ultralibérale de "tout pour les patrons" : que ce soit au mieux zéro aide pour les pauvres, ou au pire un dispositif volontaire de travail presque
gratuit (mais vu la pression sociale a y adhérer, la notion de volontariat m'apparaît galvaudée).
La logique de droite, c'est que comme presque tout est bancal, idéologiquement,chez eux, il faut aller chercher les points de croissance avec les dents partout où ils se trouvent
afin de faire croire aux gens que leur idéologie fonctionne. C'est pour cela que le "volontariat" va faire son apparition.
Etant donné que ces politiciens usent et abusent de l'immigration pour servir leurs desseins (gagner des morceaux de points de croissance), ils ne reculeront devant rien
afin que Macron présente un bilan vaguement positif en 2022.
Voir par exemple les chiffres tout récents sur l'immigration en France : https://www.vie-publique.fr/en-bref/272 ... annee-2019
Sans surprise, l'immigration économique, ainsi que pour des études, est en augmentation.
@Yves : tu en penses quoi ?
Je n'en pense plus rien… Je suis atterré de "découvrir" les chiffres OFFICIELS d'entrées sur le territoire (qui sont pour beaucoup définitives) et d'imaginer le nombre d'arrivées CLANDESTINES.Zorro22 a écrit : Voir par exemple les chiffres tout récents sur l'immigration en France : https://www.vie-publique.fr/en-bref/272 ... annee-2019
Sans surprise, l'immigration économique, ainsi que pour des études, est en augmentation.
@Yves : tu en penses quoi ?
Le versement du RSA ne sera pas conditionné à du bénévolat pour la collectivité
Encore peu connue au niveau national, Brigitte Klinkert, la nouvelle ministre délégué auprès de la ministre du Travail, chargée de l'insertion a néanmoins fait parler d'elle au niveau local.
En effet, en tant que présidente du conseil départemental du Haut-Rhin, la responsable a mis en place le conditionnement du versement du RSA (revenu de solidarité actif) à quelques heures de bénévolat pour la collectivité par les allocataires. Même si cette contrainte est aujourd'hui facultative, elle a beaucoup fait débat.
Cette mesure pourrait-elle être généralisée au niveau national maintenant que Brigitte Klinkert est ministre en charge de l'insertion justement? Ce n'est pas à l'ordre du jour. "Il n'est pas question pour moi de généraliser toutes les politiques que j'ai mise en place sur le département du Haut-Rhin", annonce-t-elle sur BFM Business.
"On ne peut pas généraliser"
"Ce qui fonctionne dans le Haut-Rhin ne fonctionnera pas obligatoirement dans tous les autres territoires même si aujourd'hui il y a 15 départements qui nous ont suivi", poursuit-elle.
Car cette mesure semble avoir des résultats positifs en terme de retour à l'emploi. "Le système du bénévolat RSA est une bonne formule (...) les bénéficiaires du RSA sont heureux de faire ces actions. (...) Ca recréé du lien social et parfois même grâce au bénévolat des bénéficiaires du RSA ont retrouvé un job".
Pour autant, Brigitte Klinkert insiste: "ce qui se passe bien dans un département en fonction du contexte local ne se passera pas obligatoirement bien dans un autre département donc on ne peut pas obligatoirement généraliser (...) il faut pratiquer la différenciation, ce qui est possible sur un département n'est pas possible sur tous les départements et ça tombe bien parce que c'est aussi ce que veux faire le président de la République et le Premier ministre".