Les plans sociaux au coin du bois
Re: Les plans sociaux au coin du bois
A ce train là, les gens ne pourront plus dire du mal de leurs voisins au chômage. Par contre les chômeurs pourraient demander des dommages et intérêts au système(formation, école, docteurs,industriels, politiques,etc).
Vu le prix d'un enterrement simplifié au maximum, les anciennes méthodes vont revoir le jour en France à condition que les héritiers puisent garder au moins le jardin.
https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-a ... ardin.html
En même temps, les anciennes méthodes font souvent preuve d'efficacité.
Vu le prix d'un enterrement simplifié au maximum, les anciennes méthodes vont revoir le jour en France à condition que les héritiers puisent garder au moins le jardin.
https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-a ... ardin.html
En même temps, les anciennes méthodes font souvent preuve d'efficacité.
Re: Les plans sociaux au coin du bois
@fricero:
"Les 10 milliards obtenus par les gilets jaunes boostent la croissance française" : ici :
https://www.europe1.fr/economie/les-10- ... se-3877091
Macron sauvé par les gilets jaunesVa comprendre, Charles


"Les 10 milliards obtenus par les gilets jaunes boostent la croissance française" : ici :
https://www.europe1.fr/economie/les-10- ... se-3877091
Re: Les plans sociaux au coin du bois
Belfort : Le plan social de l'Américain General Electric prévoit la suppression de 1050 emplois
48 heures à peine après les élections européennes, le groupe GE va supprimer plus d'un millier d'emplois sur son site de Belfort en Franche-Comté. Soit un quart des effectifs selon les élus du Territoire de Belfort. Ce mardi 28 mai, les élus du Territoire appellent à la mobilisation générale.
Cette annonce arrive comme une "bombe" sociale au lendemain des élections européennes. Les syndicats redoutaient un tel scénario. C'est bien pire. Ils sont réunis ce mardi 28 mai à Paris en présence d' Hugh Bailey, nommé directeur général de GE France depuis le 22 avril.
Le géant américain confirme envisager la suppression de plus de 1.000 postes en France, dans la branche turbines à gaz et au sein des services supports, principalement sur le site de Belfort et en région parisienne. GE a présenté ce mardi aux instances "des projets d'évolution de l'organisation de ses activités gaz et de ses fonctions support", qui "pourraient entraîner un maximum de 1.044 réductions de postes, essentiellement sur les sites de Belfort, Bourogne dans le Territoire de Belfort et Boulogne-Billancourt".
1050 emplois supprimés sur le seul site de Belfort selon les élus
1050 emplois supprimés à Belfort selon les élus locaux. Le coup est terrible pour Belfort. GE va supprimer selon eux dans la ville près de 800 emplois dans sa branche gaz et 250 dans son centre de services. General Electric emploie 4.000 personnes sur son site de Belfort dont 1.900 dans sa branche d'activité gaz, c'est donc un quart des effectifs globaux qui seraient concernés. Selon Damien Meslot, maire de Belfort le site de Boulogne-Billancourt ne sera que très peu touché. "On est dans cet ordre d'un millier d'emplois qui vont disparaître à Belfort" confie ce midi l'élu.
"C'est un gros coup dur pour le département quand on sait l'incidence de ces suppressions d'emplois sur la sous-traitance et dans les commerces. On estime à 3.000 les emplois qui seront touchés dans le plus petit département de France" réagit Florian Bouquet, président LR du département. "J'attends qu'Emmanuel Macron prenne la mesure et l'ampleur de ce plan social. Je souhaiterais l'entendre sur l'aéronautique, le plan hydrogène, le digital... Quand il y a de bonnes nouvelles, Emmanuel Macron vient à Belfort, quand il y a des problèmes, il se dérobe" lance le président du conseil départemental pour qui il y a eu un accord entre la République en marche et le patron de GE Larry Pulp afin de ne pas dévoiler ce plan avant les élections. "Nous nous laisserons pas faire et nous nous mettons en ordre de bataille comme nous l'avons fait en 2016 au moment des menaces de tranfert de la division Transport d'Alstom par le PDG du groupe Henry Poupart-Lafarge" conclut Florian Bouquet.
Une annonce jugée "indécente" au lendemain des élections européennes
"L'indécence aura poussé le vice à annoncer ce plan social au lendemain des élections européennes" déplore Cédric Perrin sénateur LR du Territoire de Belfort. "On exige que l'Etat se mette maintenant à la table des discussions pour discuter de la diversification du site de Belfort" lance l'élu. "C'est terrible pour les salariés vers qui vont mes premières pensées, c'est terrible pour le département...il va falloir maintenant se retrousser les manches pour envisager la diversification des activités. Nous étions en contact depuis ces six derniers mois avec des groupes comme Safran, il y a d'autres pistes comme EDF" ajoute le sénateur du Territoire de Belfort.
"On s'attendait à cette annonce, mais deux jours après les élections européennes, c'est vraiment se moquer du monde" réagit Michel Zumkeller, député UDI du Territoire de Belfort. L'élu posera d'ailleurs une question au gouverment cet après-midi à l'assemblée nationale.
Les élus du Territoire de Belfort lancent un appel à la mobilisation générale
Dans un communiqué Damien MESLOT, Maire de Belfort et Président du Grand Belfort, Florian BOUQUET, Président du Département du Territoire de Belfort, Marie-Guite DUFAY, Présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté, Cédric PERRIN, Sénateur du Territoire de Belfort, Michel ZUMKELLER et Ian BOUCARD, Députés du Territoire de Belfort demandent un rendez-vous rapide avec le Ministre de l’Économie et des Finances, Bruno LE MAIRE, pour évoquer la mise en oeuvre rapide des pistes de diversification qu’ils ont proposées avec les syndicats depuis maintenant plusieurs mois.
"En 2015, Emmanuel Macron, alors Ministre de l’Économie et des Finances, vantait le choix GE aux salariés devant la presse : « Belfort a un avenir industriel. Cet avenir industriel fait partie d'abord des engagements pris de part et d'autre, et ces engagements sont suivis par le Gouvernement ». Bruno Le Maire, actuel Ministre de l’Économie et des Finances, affirme étudier toutes les pistes de diversification pour préserver l’emploi et qu’aucun site ne fermera. Enfin, le Président de la République s’est engagé il y a quelques semaines en affirmant aux élus que la situation de General Electric faisait l’objet de la meilleure vigilance de l’État. Qu’en sera-t-il dans quelques années, lorsque le site de Belfort, privé de sa taille critique et de son savoir-faire, ne pourra plus répondre aux appels d’offres ?" s'interrogent les élus du département et la présidente de région.
GE est allé au-delà des 1.000 suppressions d'emplois à Belfort
GE avait lancé depuis le début de l'année plusieurs procédures de rupture conventionnelle collective (RCC) et de plans seniors au sein de sa division énergie.L'intersyndicale craignait que le groupe américain ne supprime 800 à 1.000 postes dans sa division turbines à gaz.
La semaine dernière plusieurs centaines de salariés avaient manifesté devant l'usine de Belfort lors du départ d'une turbine à gaz pour dire leur crainte d'un plan social.
Fin mars, Bruno Le Maire ministre de l'économie s'était déjà engagé à "étudier toutes les pistes industrielles possibles pour maintenir l'emploi" à Belfort.
Début mai, Emmanuel Macron avait assuré dans un courrier aux élus locaux dont le maire de Belfort Damien Meslot (LR) que le dossier GE Belfort faisait l'objet de "la plus grande vigilance de la part de l'Etat".
Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 76819.html
48 heures à peine après les élections européennes, le groupe GE va supprimer plus d'un millier d'emplois sur son site de Belfort en Franche-Comté. Soit un quart des effectifs selon les élus du Territoire de Belfort. Ce mardi 28 mai, les élus du Territoire appellent à la mobilisation générale.
Cette annonce arrive comme une "bombe" sociale au lendemain des élections européennes. Les syndicats redoutaient un tel scénario. C'est bien pire. Ils sont réunis ce mardi 28 mai à Paris en présence d' Hugh Bailey, nommé directeur général de GE France depuis le 22 avril.
Le géant américain confirme envisager la suppression de plus de 1.000 postes en France, dans la branche turbines à gaz et au sein des services supports, principalement sur le site de Belfort et en région parisienne. GE a présenté ce mardi aux instances "des projets d'évolution de l'organisation de ses activités gaz et de ses fonctions support", qui "pourraient entraîner un maximum de 1.044 réductions de postes, essentiellement sur les sites de Belfort, Bourogne dans le Territoire de Belfort et Boulogne-Billancourt".
1050 emplois supprimés sur le seul site de Belfort selon les élus
1050 emplois supprimés à Belfort selon les élus locaux. Le coup est terrible pour Belfort. GE va supprimer selon eux dans la ville près de 800 emplois dans sa branche gaz et 250 dans son centre de services. General Electric emploie 4.000 personnes sur son site de Belfort dont 1.900 dans sa branche d'activité gaz, c'est donc un quart des effectifs globaux qui seraient concernés. Selon Damien Meslot, maire de Belfort le site de Boulogne-Billancourt ne sera que très peu touché. "On est dans cet ordre d'un millier d'emplois qui vont disparaître à Belfort" confie ce midi l'élu.
"C'est un gros coup dur pour le département quand on sait l'incidence de ces suppressions d'emplois sur la sous-traitance et dans les commerces. On estime à 3.000 les emplois qui seront touchés dans le plus petit département de France" réagit Florian Bouquet, président LR du département. "J'attends qu'Emmanuel Macron prenne la mesure et l'ampleur de ce plan social. Je souhaiterais l'entendre sur l'aéronautique, le plan hydrogène, le digital... Quand il y a de bonnes nouvelles, Emmanuel Macron vient à Belfort, quand il y a des problèmes, il se dérobe" lance le président du conseil départemental pour qui il y a eu un accord entre la République en marche et le patron de GE Larry Pulp afin de ne pas dévoiler ce plan avant les élections. "Nous nous laisserons pas faire et nous nous mettons en ordre de bataille comme nous l'avons fait en 2016 au moment des menaces de tranfert de la division Transport d'Alstom par le PDG du groupe Henry Poupart-Lafarge" conclut Florian Bouquet.
Une annonce jugée "indécente" au lendemain des élections européennes
"L'indécence aura poussé le vice à annoncer ce plan social au lendemain des élections européennes" déplore Cédric Perrin sénateur LR du Territoire de Belfort. "On exige que l'Etat se mette maintenant à la table des discussions pour discuter de la diversification du site de Belfort" lance l'élu. "C'est terrible pour les salariés vers qui vont mes premières pensées, c'est terrible pour le département...il va falloir maintenant se retrousser les manches pour envisager la diversification des activités. Nous étions en contact depuis ces six derniers mois avec des groupes comme Safran, il y a d'autres pistes comme EDF" ajoute le sénateur du Territoire de Belfort.
"On s'attendait à cette annonce, mais deux jours après les élections européennes, c'est vraiment se moquer du monde" réagit Michel Zumkeller, député UDI du Territoire de Belfort. L'élu posera d'ailleurs une question au gouverment cet après-midi à l'assemblée nationale.
Les élus du Territoire de Belfort lancent un appel à la mobilisation générale
Dans un communiqué Damien MESLOT, Maire de Belfort et Président du Grand Belfort, Florian BOUQUET, Président du Département du Territoire de Belfort, Marie-Guite DUFAY, Présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté, Cédric PERRIN, Sénateur du Territoire de Belfort, Michel ZUMKELLER et Ian BOUCARD, Députés du Territoire de Belfort demandent un rendez-vous rapide avec le Ministre de l’Économie et des Finances, Bruno LE MAIRE, pour évoquer la mise en oeuvre rapide des pistes de diversification qu’ils ont proposées avec les syndicats depuis maintenant plusieurs mois.
"En 2015, Emmanuel Macron, alors Ministre de l’Économie et des Finances, vantait le choix GE aux salariés devant la presse : « Belfort a un avenir industriel. Cet avenir industriel fait partie d'abord des engagements pris de part et d'autre, et ces engagements sont suivis par le Gouvernement ». Bruno Le Maire, actuel Ministre de l’Économie et des Finances, affirme étudier toutes les pistes de diversification pour préserver l’emploi et qu’aucun site ne fermera. Enfin, le Président de la République s’est engagé il y a quelques semaines en affirmant aux élus que la situation de General Electric faisait l’objet de la meilleure vigilance de l’État. Qu’en sera-t-il dans quelques années, lorsque le site de Belfort, privé de sa taille critique et de son savoir-faire, ne pourra plus répondre aux appels d’offres ?" s'interrogent les élus du département et la présidente de région.
GE est allé au-delà des 1.000 suppressions d'emplois à Belfort
GE avait lancé depuis le début de l'année plusieurs procédures de rupture conventionnelle collective (RCC) et de plans seniors au sein de sa division énergie.L'intersyndicale craignait que le groupe américain ne supprime 800 à 1.000 postes dans sa division turbines à gaz.
La semaine dernière plusieurs centaines de salariés avaient manifesté devant l'usine de Belfort lors du départ d'une turbine à gaz pour dire leur crainte d'un plan social.
Fin mars, Bruno Le Maire ministre de l'économie s'était déjà engagé à "étudier toutes les pistes industrielles possibles pour maintenir l'emploi" à Belfort.
Début mai, Emmanuel Macron avait assuré dans un courrier aux élus locaux dont le maire de Belfort Damien Meslot (LR) que le dossier GE Belfort faisait l'objet de "la plus grande vigilance de la part de l'Etat".
Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 76819.html
Re: Les plans sociaux au coin du bois
Les reconversions dans l'Education Nationale, mode d'emploi :
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... ssion=True
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... ssion=True
Re: Les plans sociaux au coin du bois
Conforama prévoit 1.900 suppressions de postes en France en 2020, selon les syndicats
Le groupe prévoit également une quarantaine de fermetures de magasins, ont annoncé les syndicats lundi.
Le groupe Conforama prévoit de supprimer 1.900 postes en France en 2020, avec la fermeture de 32 magasins Conforama et celle des dix magasins de l'enseigne Maison Dépôt, a-t-on appris lundi auprès des syndicats CGT et FO du groupe.
Sur les 32 magasins qui doivent fermer et qui comptent actuellement 1.050 salariés, huit sont situés en Ile-de-France. Deux des trois magasins parisiens vont fermer. Sont aussi prévues 600 suppressions de postes dans les 164 magasins Conforama restant ouverts, 124 suppressions au siège social et 26 au service après-vente, tandis que les 100 emplois des boutiques Maison Dépôt vont disparaître.
La direction veut "optimiser le fonctionnement" de l'entreprise
Un plan de restructuration doit être présenté mardi matin au comité central d'entreprise (CCE), selon la CGT et FO.
La direction, qui a reçu lundi soir les organisations syndicales, a dit vouloir "optimiser le fonctionnement" de l'entreprise, a indiqué Jacques Mossé-Biaggini, délégué FO. Un autre CCE sur ce plan de réorganisation est déjà programmé pour le 11 juillet, a précisé Abdelaziz Boucherit de la CGT.
Interrogée par l'AFP, la direction a répondu que "toute mesure qui aurait des conséquences sur l'emploi pour Conforama en France serait communiquée en priorité aux instances représentatives du personnel". "Conforama n'a pas d'autres commentaires à faire à ce stade", a-t-on ajouté.
Source : https://www.europe1.fr/economie/confora ... 20-3907593
Le groupe prévoit également une quarantaine de fermetures de magasins, ont annoncé les syndicats lundi.
Le groupe Conforama prévoit de supprimer 1.900 postes en France en 2020, avec la fermeture de 32 magasins Conforama et celle des dix magasins de l'enseigne Maison Dépôt, a-t-on appris lundi auprès des syndicats CGT et FO du groupe.
Sur les 32 magasins qui doivent fermer et qui comptent actuellement 1.050 salariés, huit sont situés en Ile-de-France. Deux des trois magasins parisiens vont fermer. Sont aussi prévues 600 suppressions de postes dans les 164 magasins Conforama restant ouverts, 124 suppressions au siège social et 26 au service après-vente, tandis que les 100 emplois des boutiques Maison Dépôt vont disparaître.
La direction veut "optimiser le fonctionnement" de l'entreprise
Un plan de restructuration doit être présenté mardi matin au comité central d'entreprise (CCE), selon la CGT et FO.
La direction, qui a reçu lundi soir les organisations syndicales, a dit vouloir "optimiser le fonctionnement" de l'entreprise, a indiqué Jacques Mossé-Biaggini, délégué FO. Un autre CCE sur ce plan de réorganisation est déjà programmé pour le 11 juillet, a précisé Abdelaziz Boucherit de la CGT.
Interrogée par l'AFP, la direction a répondu que "toute mesure qui aurait des conséquences sur l'emploi pour Conforama en France serait communiquée en priorité aux instances représentatives du personnel". "Conforama n'a pas d'autres commentaires à faire à ce stade", a-t-on ajouté.
Source : https://www.europe1.fr/economie/confora ... 20-3907593
Re: Les plans sociaux au coin du bois
En difficulté, Canal + veut supprimer 20% de ses effectifs
https://www.europe1.fr/emissions/axel-d ... ts-3908202
https://www.europe1.fr/emissions/axel-d ... ts-3908202
Re: Les plans sociaux au coin du bois
@carl : et dans l'article : << D'autant que Netflix, qui techniquement n'est pas installé en France, n'est donc pas soumis aux règles du financement du cinéma... >>
L'ultra-libéralisme à la française, c'est dément : Amazon et Netflix : peu ou pas d'impôts en France. FNAC et Canal + : impôts normaux en France.
Evidemment, qui gagne à la fin ?
https://www.bfmtv.com/economie/comment- ... 34652.html
Et bien sûr, les emplois chez Netflix, ils ne sont pas en France non plus (ou peu, seulement des sous-traitants qui picorent).
L'ultra-libéralisme à la française, c'est dément : Amazon et Netflix : peu ou pas d'impôts en France. FNAC et Canal + : impôts normaux en France.
Evidemment, qui gagne à la fin ?

https://www.bfmtv.com/economie/comment- ... 34652.html
Et bien sûr, les emplois chez Netflix, ils ne sont pas en France non plus (ou peu, seulement des sous-traitants qui picorent).
Re: Les plans sociaux au coin du bois
Lyon : Le géant de l'homéopathie Boiron va supprimer 600 postes en France
https://www.20minutes.fr/economie/27378 ... AogW24m3uQ
https://www.20minutes.fr/economie/27378 ... AogW24m3uQ
Re: Les plans sociaux au coin du bois
Pour les délocaliser en Chine ?
Ou (plus probablement) parce que les médicaments homéopathiques ne sont plus remboursés ?
De toutes façons, c'est le chômage dans son ensemble qui va faire un bond dans les prochains mois. Et un sacré même avec ce connardovirus…

Ou (plus probablement) parce que les médicaments homéopathiques ne sont plus remboursés ?
De toutes façons, c'est le chômage dans son ensemble qui va faire un bond dans les prochains mois. Et un sacré même avec ce connardovirus…
Re: Les plans sociaux au coin du bois
Avec en prime le krach boursier , qui selon certain économiste va être pire que 2008. Il va y en avoir des licenciements en masse. Du coup, Pole Emploi risque d'être débordé.De toutes façons, c'est le chômage dans son ensemble qui va faire un bond dans les prochains mois. Et un sacré même avec ce connardovirus…



A propos du krach boursier. J'entends dans les médias, que c'est le coronavirus qui provoque la dégringolade des places boursières.
Fake news !!!
Ce nouveau krach, est provoqué par la très mauvaises santé de la Deutch bank et de la HSBC, qui sont aux bords de la faillite. Le coronavirus à bon dos !
Une vidéo pour étayer mon propos :
https://www.youtube.com/watch?v=loN7mX2gNmk
En cas de défaillance de ces 2 grandes banques, c'est l'ensemble du système bancaire mondiale qui s'écroule, avec les conséquence économiques et sociales terribles !!
Aussi, le coronavirus arrive à point nommé !
En exagérant la dangerosité du virus, on terrorise la population. Ainsi, en cas de spoliation de notre épargne, les gens n'oseront pas sortir dans la rue.
Les banksters qui nous gouverne, sont prêts pour garder leur pouvoir !
Re: Les plans sociaux au coin du bois
@carl :
Pour tout donner aux banques et aux patrons, comme d'habitude.
L'UE l'a déjà imposé à Chypre il y a quelques années, donc on sait à quoi s'attendre.en cas de spoliation de notre épargne
Pour tout donner aux banques et aux patrons, comme d'habitude.
Re: Les plans sociaux au coin du bois
Carte de France des licenciements et des plans sociaux en cours :
https://stoplicenciement.fr/
https://stoplicenciement.fr/
Re: Les plans sociaux au coin du bois
Bridgestone : l’usine de Béthune, qui emploie 863 personnes, va fermer
Le projet alternatif porté par le gouvernement n’a pas été retenu par la direction du groupe, a annoncé la ministre de l’Industrie ce jeudi
Le Parisien du 12/11/2020
Printemps annonce la fermeture de sept magasins du groupe
En difficulté financière du fait de la crise liée au Covid-19, le groupe de distribution envisage de supprimer 428 emplois en France d’ici à juillet 2021, soit plus de 10 % de ses effectifs.
Le Monde.fr. Publié le 10 novembre 2020 à 17h44.