Bonjour,
Ce mois-ci dans CQFD, mensuel de critique et d'expérimentation sociales
disponible en kiosque pour 2 modiques euros
> SUPPLEMENT de 8 pages spécial état d'urgence : reportages dans les tribunaux, pourquoi Marseille n'a pas été touchée, l'éternelle figure de l'ennemi intérieur, reportage à Milipol le salon de la sécurité intérieure, retour sur l'histoire de l'état d'urgence...
Des analyses à contre-courant qui prennent en compte l'histoire des rapports de la République avec les habitants de ses banlieues.
> DOSSIER : Les journalistes précaires, entretien avec Alain Accardo.
> DOSSIER : Nanotechnologies, maxi-servitude
> Chômeurs :
- Mise en concurrence de l'ANPE : reportage dans une boîte de "placement" de chômeurs privée.
- Pourquoi les médias se font-ils l'écho des statistiques erronées propagées par le gouvernement ?
> Harcèlement des étrangers :
Enquête sur la tentative d'expulsion avortée du "gourbi", bidonville rural des Bouches-du-Rhône
habité par des ouvriers agricoles étrangers.
> Et toujours 16 pages d'actu...
Si vous souhaitez recevoir un exemplaire pour découvrir le titre, envoyez un e-mail à :
grite.lammane@free.fr
ou rendez-vous sur le site www.cequilfautdetruire.org
À bientôt.
L'équipe de CQFD
Journal de critique et d'expérimentation sociales, CQFD est une publication indépendante
qui n'appartient donc ni à Lagardère ni à Dassault.
Familiarisée avec le terrain de la déglingue sociale, présente dans les luttes qui lui sont chères
(chômage, antimilitarisme, immigration, résistance au flicage, droit à la paresse…),
l’équipe rédactionnelle se compose de journalistes en rupture de ban, de dessinateurs non modifiés génétiquement,
de militants, d’un prisonnier, d’un postier même pas trotskiste…
Cette joyeuse troupe s’arroge la prérogative de parler en connaissance de cause de ses ennemis,
sans pourtant oublier les faux-amis d’une contestation rongée par l’appétit de pouvoir et la soif de reconnaissance.
Ses outils sont la curiosité, l’envie de raconter, la recherche d’informations non pré-mâchées par les chargés de com’ des multinationales.