Ce qu'il faut faire en cas de chômage si votre budget ...
Ce qu'il faut faire en cas de chômage si votre budget ...
explose du fait de la différence entre vos ARE et votre ancien salaire :
- payer votre loyer et vos impôts, ne payer plus vos crédits à la consommation, négocier les mensualités à la baisse, si votre débiteur ne veut rien entendre, attendez qu'il envoie par huissier une ordonnance du juge de l'éxécution au tribunal d'instance de votre domicile, à réception de laquelle vous avez 1 mois pour faire opposition, et préparer votre dossier (pas besoin d'avocat) qui viendra à l'audience 3 ou 4 mois plus tard.
Par rapport au point de départ (arrêt de paiement), jusqu'à la procédure d'injonction de payer, puis l'opposition et les reports d'audience de l'adversaire, vous pouvez gagner entre 1 et 2 ans.
Il vous suffira de faire valoir votre situation et demander un délai de grace (plus rien à payer pendant la période), comme prévu par l'article 1244-1 du Code Civil, et vous obtiendez gain de cause si vous êtes un débiteur honnête.
Si ensuite, le chômage dure encore, notamment si vous êtes un "sénior", déposer vos comptes à la banque de France.
Vous ne serez pas interdit bancaire, vous avez même le droit de créer une entreprise, y compris dans le cadre de l'ACCRE.
Ensuite, si vous n'aviez au départ pas d'autre revenu que votre salaire, étiez locataire en ayant toujours payé votre loyer, vous bénéficiez de l'allocation à votre arrivée à l'ASS.
Vous pouvez, sous condition expresse de vous être toujours, au prix de privations, acquitté de votre loyer intégralement, demander à votre département de bénéficier de l'aide au loyer résiduel (paie à votre bailleur la différence entre le loyer et l'allocation de logement).
Nos gouvernements veulent vous mettre en situation de faillitte, en vous obligeant aller travailler pour 2 voire 3 ou 4 fois moins de salaire qu'avant de vous retrouver au chômage, prenez les devants, car s'il doit en être ainsi, ils devront assumer l'ardoise que vous laisserez par leur faute et non par la vôtre.
Les salaires baissent continuellement depuis 15 ans, à mesure que notre précarité augmente.
Et nos salaires ne sont pas de l'argent de poche, ils se doivent donc de le comprendre, à nous donc de le leur rappeller.
Ainsi, par ailleurs, à l'ANPE, on ne pourra pas vous prendre pour des imbéciles lors des prochaines rencontres mensuelles.
Les entreprises ont des obligations de rentabilité, ont un budget à gérer, les travailleurs aussi !
Car, après tout, ce sont bien les patrons qui sont responsables du chômage, pas les travailleurs !!!
Si nous continuons de laisser faire, c'est avec notre argent qu'ils pourront créer des usines et des bureaux dans des pays pauvres !
- payer votre loyer et vos impôts, ne payer plus vos crédits à la consommation, négocier les mensualités à la baisse, si votre débiteur ne veut rien entendre, attendez qu'il envoie par huissier une ordonnance du juge de l'éxécution au tribunal d'instance de votre domicile, à réception de laquelle vous avez 1 mois pour faire opposition, et préparer votre dossier (pas besoin d'avocat) qui viendra à l'audience 3 ou 4 mois plus tard.
Par rapport au point de départ (arrêt de paiement), jusqu'à la procédure d'injonction de payer, puis l'opposition et les reports d'audience de l'adversaire, vous pouvez gagner entre 1 et 2 ans.
Il vous suffira de faire valoir votre situation et demander un délai de grace (plus rien à payer pendant la période), comme prévu par l'article 1244-1 du Code Civil, et vous obtiendez gain de cause si vous êtes un débiteur honnête.
Si ensuite, le chômage dure encore, notamment si vous êtes un "sénior", déposer vos comptes à la banque de France.
Vous ne serez pas interdit bancaire, vous avez même le droit de créer une entreprise, y compris dans le cadre de l'ACCRE.
Ensuite, si vous n'aviez au départ pas d'autre revenu que votre salaire, étiez locataire en ayant toujours payé votre loyer, vous bénéficiez de l'allocation à votre arrivée à l'ASS.
Vous pouvez, sous condition expresse de vous être toujours, au prix de privations, acquitté de votre loyer intégralement, demander à votre département de bénéficier de l'aide au loyer résiduel (paie à votre bailleur la différence entre le loyer et l'allocation de logement).
Nos gouvernements veulent vous mettre en situation de faillitte, en vous obligeant aller travailler pour 2 voire 3 ou 4 fois moins de salaire qu'avant de vous retrouver au chômage, prenez les devants, car s'il doit en être ainsi, ils devront assumer l'ardoise que vous laisserez par leur faute et non par la vôtre.
Les salaires baissent continuellement depuis 15 ans, à mesure que notre précarité augmente.
Et nos salaires ne sont pas de l'argent de poche, ils se doivent donc de le comprendre, à nous donc de le leur rappeller.
Ainsi, par ailleurs, à l'ANPE, on ne pourra pas vous prendre pour des imbéciles lors des prochaines rencontres mensuelles.
Les entreprises ont des obligations de rentabilité, ont un budget à gérer, les travailleurs aussi !
Car, après tout, ce sont bien les patrons qui sont responsables du chômage, pas les travailleurs !!!
Si nous continuons de laisser faire, c'est avec notre argent qu'ils pourront créer des usines et des bureaux dans des pays pauvres !
Je cite "Car, après tout, ce sont bien les patrons qui sont responsables du chômage, pas les travailleurs !!! "
Ca c'est analyser !!
On va aller loin avec ça.
Avec des raisonnements comme celui-ci, un patron va intervenir sur le forum et dire
"Car, après tout, ce sont bien les patrons qui sont responsables des emplois créés, pas les travailleurs !!! "
Le debat va grandement avancer.
Ben alors supprimons les patrons ! Y aura plus de chomage.
Ecoute bien YVES780, j'ai embauché du monde et j'en ai licencié. Je peux te dire que lorsque j'en licencie c'est rarement avec plaisir, et surtout parce qu'une entreprise c'est pas une oeuvre de charité. Ou alors envoyez moi vos dons pour payer les salires et les charge.
Ca c'est analyser !!
On va aller loin avec ça.
Avec des raisonnements comme celui-ci, un patron va intervenir sur le forum et dire
"Car, après tout, ce sont bien les patrons qui sont responsables des emplois créés, pas les travailleurs !!! "
Le debat va grandement avancer.
Ben alors supprimons les patrons ! Y aura plus de chomage.
Ecoute bien YVES780, j'ai embauché du monde et j'en ai licencié. Je peux te dire que lorsque j'en licencie c'est rarement avec plaisir, et surtout parce qu'une entreprise c'est pas une oeuvre de charité. Ou alors envoyez moi vos dons pour payer les salires et les charge.
si deja la discrimination anti seniors pouvait s'arrêter,
ce serait déjà pas mal.
pour le reste c'est le cercle infernal du non investissement, du marché à 0, et de la pénurie d'emploi.
il n'empeche qu'il y a bien des gens qui l'ont créé ce cercle infernal !
ensuite la croissance du pib est bien là.
alors, c'est de l'argent qui dort ou que l'on investit au detriment de l'emploi.
ce serait déjà pas mal.
pour le reste c'est le cercle infernal du non investissement, du marché à 0, et de la pénurie d'emploi.
il n'empeche qu'il y a bien des gens qui l'ont créé ce cercle infernal !
ensuite la croissance du pib est bien là.
alors, c'est de l'argent qui dort ou que l'on investit au detriment de l'emploi.
Je vise avant tout les entreprises qui sont à l'origine du chômage de masse, qui font des profits boursiers scandaleux sur le dos de leurs salariés et de leurs clients, pas les autres.ribouldingue a écrit :Je cite "Car, après tout, ce sont bien les patrons qui sont responsables du chômage, pas les travailleurs !!! "
Ca c'est analyser !!
On va aller loin avec ça.
Avec des raisonnements comme celui-ci, un patron va intervenir sur le forum et dire
"Car, après tout, ce sont bien les patrons qui sont responsables des emplois créés, pas les travailleurs !!! "
Le debat va grandement avancer.
Ben alors supprimons les patrons ! Y aura plus de chomage.
Ecoute bien YVES780, j'ai embauché du monde et j'en ai licencié. Je peux te dire que lorsque j'en licencie c'est rarement avec plaisir, et surtout parce qu'une entreprise c'est pas une oeuvre de charité. Ou alors envoyez moi vos dons pour payer les salires et les charge.
J'ai connu les deux cas de figure dans ma carrière, je sais faire la différence.
Le problème dans ce pays est que les règles sont les mêmes pour toutes.
Il faudra bien un jour adapter nos règles afin de ne plus avoir chaque année un taux de chômage aussi élevé que celui que nous avons depuis plus de vingt ans, en mettant davantage d'argent pour financer de la création de richesse par le travail, au lieu de financer de l'indemnisation prolongée de chômage et des pré-retraites (je ne crois pas qu'à terme les entreprises seront gagnantes à se séparer ou à ne pas embaucher des collaborateurs compétents, performants et motivés, payés à rester chez eux en pleine force de l'âge !), encore faudrait-il que les entreprises que je vise, leaders de tous les secteurs d'activités, ne soient pas seulement gérées à trois mois !
d'accord, sauf que la croissance est faible, et que notre endettement est colossal !informatik a écrit :si deja la discrimination anti seniors pouvait s'arrêter,
ce serait déjà pas mal.
pour le reste c'est le cercle infernal du non investissement, du marché à 0, et de la pénurie d'emploi.
il n'empeche qu'il y a bien des gens qui l'ont créé ce cercle infernal !
ensuite la croissance du pib est bien là.
alors, c'est de l'argent qui dort ou que l'on investit au detriment de l'emploi.
La faute aux patrons…
"La faute aux patrons…" est un slogan d'arrière-garde.
Oui, en France, il y a des gens qui créent de l’activité, de l'emploi et "méritent" leur salaire. Il y a même des patrons "sociaux".
Le discours qui consiste à fustiger les "patrons" est tellement simpliste qu'il n'a aucun avenir.
…/…
En revanche, la France souffre avant tout de la "Nouvelle Aristocratie" que dénonce L. Jospin dans son dernier bouquin.
Une caste de dirigeants (économiques et politiques) s'adjugent des droits colossaux tout en faisant porter la responsabilité des difficultés sur les premières victimes de ces mêmes difficultés, sans qu'aucun contre-pouvoir ne contrebalance ce discours dominant qui s'immisce hélas dans toutes les classes sociales de la population française, y compris les plus populaires.
…/…
La France des privilèges existe bien. Les inégalités augmentent (on connaît, hélas, la chanson).
Sont-ce les "patrons" les premiers responsables ?
Certainement pas.
Les responsables sont :
• Une classe politique qui démissionne pour conserver ses prérogatives, ses avantages, ses pouvoirs.
• Des syndicats (de plus en plus minoritaires) qui démissionnent… pour les mêmes raisons
• Un système économique qui privilégie le revenu du capital au revenu du travail.
• Un électorat passif, attentiste, résigné.
• Et des chômeurs, précaires, intermittents du travail (aussi) qui ne se mobilisent pas, même quand une organisation patronale MINORITAIRE chez les "patrons" (le Medef) fixe ses règles et ses obligations.
…/…
Chacun doit donc balayer devant sa porte.
Oui, en France, il y a des gens qui créent de l’activité, de l'emploi et "méritent" leur salaire. Il y a même des patrons "sociaux".
Le discours qui consiste à fustiger les "patrons" est tellement simpliste qu'il n'a aucun avenir.
…/…
En revanche, la France souffre avant tout de la "Nouvelle Aristocratie" que dénonce L. Jospin dans son dernier bouquin.
Une caste de dirigeants (économiques et politiques) s'adjugent des droits colossaux tout en faisant porter la responsabilité des difficultés sur les premières victimes de ces mêmes difficultés, sans qu'aucun contre-pouvoir ne contrebalance ce discours dominant qui s'immisce hélas dans toutes les classes sociales de la population française, y compris les plus populaires.
…/…
La France des privilèges existe bien. Les inégalités augmentent (on connaît, hélas, la chanson).
Sont-ce les "patrons" les premiers responsables ?
Certainement pas.
Les responsables sont :
• Une classe politique qui démissionne pour conserver ses prérogatives, ses avantages, ses pouvoirs.
• Des syndicats (de plus en plus minoritaires) qui démissionnent… pour les mêmes raisons
• Un système économique qui privilégie le revenu du capital au revenu du travail.
• Un électorat passif, attentiste, résigné.
• Et des chômeurs, précaires, intermittents du travail (aussi) qui ne se mobilisent pas, même quand une organisation patronale MINORITAIRE chez les "patrons" (le Medef) fixe ses règles et ses obligations.
…/…
Chacun doit donc balayer devant sa porte.
oui mais c'est toujours ce cercle vicieux.la croissance est faible, et que notre endettement est colossal !
pénurie d'emplois, recettes fiscales moindres.
cela ne suffit pas de diminuer les dépenses de l’état si derrière
des emplois ne sont pas créés.
c'est même dramatique.
aux usa, ils ont compris qu'il fallait passer outre l'endettement.
et puis ce pacte de stabilité qu'il faudrait une bonne fois pour toute enterrer !
La faute aux patrons…
Quand je parle des patrons, je ne parle que de la caste dont parle Lionel Jospin.Yves a écrit :"La faute aux patrons…" est un slogan d'arrière-garde.
Oui, en France, il y a des gens qui créent de l’activité, de l'emploi et "méritent" leur salaire. Il y a même des patrons "sociaux".
Le discours qui consiste à fustiger les "patrons" est tellement simpliste qu'il n'a aucun avenir.
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En revanche, la France souffre avant tout de la "Nouvelle Aristocratie" que dénonce L. Jospin dans son dernier bouquin.
Une caste de dirigeants (économiques et politiques) s'adjugent des droits colossaux tout en faisant porter la responsabilité des difficultés sur les premières victimes de ces mêmes difficultés, sans qu'aucun contre-pouvoir ne contrebalance ce discours dominant qui s'immisce hélas dans toutes les classes sociales de la population française, y compris les plus populaires.
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La France des privilèges existe bien. Les inégalités augmentent (on connaît, hélas, la chanson).
Sont-ce les "patrons" les premiers responsables ?
Certainement pas.
Les responsables sont :
• Une classe politique qui démissionne pour conserver ses prérogatives, ses avantages, ses pouvoirs.
• Des syndicats (de plus en plus minoritaires) qui démissionnent… pour les mêmes raisons
• Un système économique qui privilégie le revenu du capital au revenu du travail.
• Un électorat passif, attentiste, résigné.
• Et des chômeurs, précaires, intermittents du travail (aussi) qui ne se mobilisent pas, même quand une organisation patronale MINORITAIRE chez les "patrons" (le Medef) fixe ses règles et ses obligations.
…/…
Chacun doit donc balayer devant sa porte.
Ceux qui sont tantôt à la tête des entreprises, des ministères, font le va-et-vient entre la haute administration d'Etat et les entreprises, en passant par les postes politiques, sans parler des conseils d'administration qu'ils se partagent.
Quand des erreurs sont commises, ils se couvrent les uns les autres, se font la courte échelle succéssivement au cours de leur carrière.
Et en cas de problème, la seule chose qu'ils sachent faire est de réduire les effectifs, et ensuite de quitter l'entreprise en empochant un joli chèque au passage.
J'ai d'ailleurs lu dernièrement que Thierry Breton songeait déjà à quitter son poste pour retourner diriger une entreprise.
Et à la fin de leur carrière, ils cumulent une retraite payée la dernière entreprise qu'ils ont diriger, ainsi que leur retraite de haut fonctionnaire.
Et tout cela le plus légalement du monde !
Les entreprises leaders dans leurs secteurs d'activités où leur patron est en poste depuis 20 ans et plus ne sont pas nombreuses !
Quant à la représentativité des organisations professionnelles, s'agissant des entreprises comme des salariés, tout est à revoir, à commencer par la législation qui fait d'elles des organisations qualifiées de représentatives.
Enfin, Lionel Jospin, même s'il n'a pas été "patron" dans sa vie, il a fait partie de cette caste !
OK sur tout sauf…
OK sur tout sauf… sauf pour Jospin.
"Caste", "caste"… Jospin n'est pas vraiment à compter au nombre des "gros profiteurs" qui se partagent le gâteau de la République.
Quand on a été Premier Ministre de la France, on ne va quand même pas émarger au RMI, ce serait vraiment démago pour le coup !
"Caste", "caste"… Jospin n'est pas vraiment à compter au nombre des "gros profiteurs" qui se partagent le gâteau de la République.
Quand on a été Premier Ministre de la France, on ne va quand même pas émarger au RMI, ce serait vraiment démago pour le coup !
Ce qui avait été mis en place par Jacques Delors en 1983 a été cassé par Laurent Fabius l'année suivante.informatik a écrit :oui mais c'est toujours ce cercle vicieux.la croissance est faible, et que notre endettement est colossal !
pénurie d'emplois, recettes fiscales moindres.
cela ne suffit pas de diminuer les dépenses de l’état si derrière
des emplois ne sont pas créés.
c'est même dramatique.
aux usa, ils ont compris qu'il fallait passer outre l'endettement.
et puis ce pacte de stabilité qu'il faudrait une bonne fois pour toute enterrer !
Il faudra bien un jour rattraper le temps perdu !
Cela dit, nous ne sommes pas le seul pays qui est dirigé avec des comptes dans le rouge !
La seule solution sera de changer de direction en prenant un pari sur l'avenir, où alors, mais nous ne pouvons plus le décider seul, refaire fonctionner la planche à billets !
Il me parait inimaginable, en effet, que l'on licencie en masse des fonctionnaires, nos services publics doivent le rester, ou que l'on supprime nos régimes sociaux, sauf à les intégrer dans un régime global et dans les comptes de l'Etat, pour tous les salariés, du public et du privé.
OK sur tout sauf…
Je n'ai jamais dit qu'un premier ministre devait finir au RMI.Yves a écrit :OK sur tout sauf… sauf pour Jospin.
"Caste", "caste"… Jospin n'est pas vraiment à compter au nombre des "gros profiteurs" qui se partagent le gâteau de la République.
Quand on a été Premier Ministre de la France, on ne va quand même pas émarger au RMI, ce serait vraiment démago pour le coup !
Dans le cas contraire, on devrait appliquer la même mesure à Jean-Pierre Raffarin !
Mais il serait plus équitable qu'ils soient responsables de ce qu'ils font, ce qui n'est pas le cas, qu'il s'agisse des ministres, du premier ministre, comme du président de la république.
Si l'erreur ou la faute commise est humaine, il me semble que la notion d'irresponsabilité devrait être supprimée.
Un cadre du privé qui commets une faute prends la direction de l'ANPE.
Un énarque dirigeant une entreprise qui commets une faute part avec un chèque, et ne reste jamais longtemps sans emploi.
Quand un premier ministre ou un président de la république cesse ses fonctions, il peut couler des jours heureux.
J'ai lu dernièrement que le dossier Chirac-Mairie de Paris a été classé sans suite par la Justice.
Il pourrait donc se représenter à ce fauteuil en 2008, histoire d'occuper sa retraite.
Dans tout cela, il y a deux poids et deux mesures, il me semble qu'il y aurait lieu de rétablir une forme d'équité.
P.S. Je vois que nous ne sommes pas débordés par les entretiens d'embauche !
Pour changer !
Pour changer, il faut une VIe République.
• Une Assemblée nationale plus représentative des diversités françaises (socio-économiques, ethniques…).
• Des députés à mandat unique (pas de cumul des fonctions : député, maire, Président de région, conseiller général…).
• Des commissions parlementaires d'évaluation de l'utilisation des fonds publics (comme en Angleterre, notamment).
• Des sanctions prises à l'endroit de ceux qui ne respectent pas leurs engagements et leurs budgets (l'équivalent d'une Cour des comptes qui aurait un VRAI pouvoir de sanction, comme le Conseil d'État… mais en plus indépendant du pouvoir évidemment).
…/…
Tous les dysfonctionnements actuels sont abordés dans "La machine à trahir", le bouquin d'Arnaud Montebourg (relire son interview sur le site).
Sans être ni partisan ni adhérent ni même sympathisant du Sieur Montebourg, je partage personnellement son analyse.
Seule une profonde réforme constitutionnelle, voire l'avènement d'une nouvelle constitution, peut modifier les choses en profondeur.
Sinon, ce ne sera que du replâtrage.
Mais l'idée de la VIe République finira par faire son chemin.
Pour notre part APNÉE/Actuchomage, nous la soutenons.
Nous devrions même organiser début 2006 une réunion d'information (malheureusement sur Paris) à l'attention des personnes intéressées par ce sujet.
Yves - un animateur du site
• Une Assemblée nationale plus représentative des diversités françaises (socio-économiques, ethniques…).
• Des députés à mandat unique (pas de cumul des fonctions : député, maire, Président de région, conseiller général…).
• Des commissions parlementaires d'évaluation de l'utilisation des fonds publics (comme en Angleterre, notamment).
• Des sanctions prises à l'endroit de ceux qui ne respectent pas leurs engagements et leurs budgets (l'équivalent d'une Cour des comptes qui aurait un VRAI pouvoir de sanction, comme le Conseil d'État… mais en plus indépendant du pouvoir évidemment).
…/…
Tous les dysfonctionnements actuels sont abordés dans "La machine à trahir", le bouquin d'Arnaud Montebourg (relire son interview sur le site).
Sans être ni partisan ni adhérent ni même sympathisant du Sieur Montebourg, je partage personnellement son analyse.
Seule une profonde réforme constitutionnelle, voire l'avènement d'une nouvelle constitution, peut modifier les choses en profondeur.
Sinon, ce ne sera que du replâtrage.
Mais l'idée de la VIe République finira par faire son chemin.
Pour notre part APNÉE/Actuchomage, nous la soutenons.
Nous devrions même organiser début 2006 une réunion d'information (malheureusement sur Paris) à l'attention des personnes intéressées par ce sujet.
Yves - un animateur du site
Pour changer !
Oui, je suis d'accord, il y a longtemps que je défends l'idée d'une régime présidentiel, de même que de la responsabilité des politiques quels que soient leurs fonctions, comme de celle des fonctionnaires pour leurs propres actes, à l'image de celle qui incombe aux cadres du secteur privé.Yves a écrit :Pour changer, il faut une VIe République.
• Une Assemblée nationale plus représentative des diversités françaises (socio-économiques, ethniques…).
• Des députés à mandat unique (pas de cumul des fonctions : député, maire, Président de région, conseiller général…).
• Des commissions parlementaires d'évaluation de l'utilisation des fonds publics (comme en Angleterre, notamment).
• Des sanctions prises à l'endroit de ceux qui ne respectent pas leurs engagements et leurs budgets (l'équivalent d'une Cour des comptes qui aurait un VRAI pouvoir de sanction, comme le Conseil d'État… mais en plus indépendant du pouvoir évidemment).
…/…
Tous les dysfonctionnements actuels sont abordés dans "La machine à trahir", le bouquin d'Arnaud Montebourg (relire son interview sur le site).
Sans être ni partisan ni adhérent ni même sympathisant du Sieur Montebourg, je partage personnellement son analyse.
Seule une profonde réforme constitutionnelle, voire l'avènement d'une nouvelle constitution, peut modifier les choses en profondeur.
Sinon, ce ne sera que du replâtrage.
Mais l'idée de la VIe République finira par faire son chemin.
Pour notre part APNÉE/Actuchomage, nous la soutenons.
Nous devrions même organiser début 2006 une réunion d'information (malheureusement sur Paris) à l'attention des personnes intéressées par ce sujet.
Yves - un animateur du site
Arnaud Montebourg n'est pas un énarque, mais un avocat, dont je pense qu'il serait capable de faire ce qu'il y a à faire dans l'intérêt général pour la France et les français, au risque
de ne pas être réélu pour un second mandat.
J'aimerais que tous les hommes politiques agissent ainsi.
C'est une "grande gueule", j'apprécie, j'en suis une aussi !
C'est aussi en partie pour ça que je suis à l'A.S.S. aujourd'hui, et que demain j'irai faire mon marché aux Restau du Coeur !
@ +,
Yves (II)
Erreur,ribouldingue a écrit :Je cite "Car, après tout, ce sont bien les patrons qui sont responsables du chômage, pas les travailleurs !!! "
Ca c'est analyser !!
On va aller loin avec ça.
Avec des raisonnements comme celui-ci, un patron va intervenir sur le forum et dire
"Car, après tout, ce sont bien les patrons qui sont responsables des emplois créés, pas les travailleurs !!! "
Le debat va grandement avancer.
Ben alors supprimons les patrons ! Y aura plus de chomage.
Ecoute bien YVES780, j'ai embauché du monde et j'en ai licencié. Je peux te dire que lorsque j'en licencie c'est rarement avec plaisir, et surtout parce qu'une entreprise c'est pas une oeuvre de charité. Ou alors envoyez moi vos dons pour payer les salires et les charge.
Ce sont sont bien les multinationales et le système libérale capitaliste qui exploite, pollue et détruite les peuples et la planète. Si vous êtes une petite PME, vous êtes à leur merci, ce ne sont las patrons de PME qui sont à dénoncer, mais bien les J2M et autres Thierry Breton, Desmarest, Fourretou, Greenspan qui organisent ce chômage de masse pour mieux manipuler.
Non, ils n'organisent pas le chômage de masse, la différence par rapport à leurs prédécésseurs est qu'ils sont tous des salariés payés par les conseils d'administration, et ne font plus la part des choses entre les intérêts des actionnaires et les intérêts des salariés.legagneur a écrit :Erreur,ribouldingue a écrit :Je cite "Car, après tout, ce sont bien les patrons qui sont responsables du chômage, pas les travailleurs !!! "
Ca c'est analyser !!
On va aller loin avec ça.
Avec des raisonnements comme celui-ci, un patron va intervenir sur le forum et dire
"Car, après tout, ce sont bien les patrons qui sont responsables des emplois créés, pas les travailleurs !!! "
Le debat va grandement avancer.
Ben alors supprimons les patrons ! Y aura plus de chomage.
Ecoute bien YVES780, j'ai embauché du monde et j'en ai licencié. Je peux te dire que lorsque j'en licencie c'est rarement avec plaisir, et surtout parce qu'une entreprise c'est pas une oeuvre de charité. Ou alors envoyez moi vos dons pour payer les salires et les charge.
Ce sont sont bien les multinationales et le système libérale capitaliste qui exploite, pollue et détruite les peuples et la planète. Si vous êtes une petite PME, vous êtes à leur merci, ce ne sont las patrons de PME qui sont à dénoncer, mais bien les J2M et autres Thierry Breton, Desmarest, Fourretou, Greenspan qui organisent ce chômage de masse pour mieux manipuler.
Beaucoup trop aux ordres et sous la pression des actionnaires, ils gèrent les entreprises en priorité sur le court terme, c'est là le problème !
Et en plus, ils ne font que passer !, un peu comme les premiers ministres !
On ne peut pas faire bien en 2 ou 3 ans ce qu'on pourrait faire en 10, 15 ou 20 ans !