Quant à la politique qu'elle mettra en œuvre, elle est sans surprise. Sa première mesure si elle devait prendre Matignon, « c'est le chantier de l'insécurité et de l'immigration. Il faut modifier le code de la nationalité, arrêter l'immigration en faisant en sorte que venir en France ne soit plus attractif, comme le fait David Cameron au Royaume-Uni. Et instaurer la priorité nationale »
Augmenter le SMIC, créer des emplois, ce n'est pas sa priorité, restons dans la misère mais entre bons français
J ai entendu Merdelenchon ce matin. Il a vomi sa haine anti Israël
Il a hurlé sa haine contre les institutions juives
Il a vociféré sa détestation du soutien de la communauté juive à la cause d' Israël
Il n a pas supporté le rapport fraternel que nous avons avec l ambassade d Israël.
Je veux lui dire:
Que ses mots sont ceux d'un ennemi de la Paix, d'un antisémite, d'un destructeur du pacte républicain, d'un fasciste populiste prêt à tout pour exister et d'un ennemi de la France
Je veux lui dire qu'il ne représente heureusement personne et que chaque jour il s'enfonce dans la bouse nauséabonde.
Je veux lui dire qu'il ne nous fait pas peur et que son engagement avec les djihadistes du Hamas font de lui un complice des assassins qui ont pris en otage le peuple de Gaza, qui tirent chaque jour sur les civils israéliens, qui ont fait coulé le sang des enfants et qui arment le bras des djihadistes qui sèment la mort aux 4 coins de la planète
Je veux lui dire que nous n accepterons plus sa présence à une commémoration puisqu'il préfère les juifs morts à ceux qui vivent et se défendent
Qu'a-dit Mélenchon exactement? Je ne vois pas de citation, juste l'interprétation d'une personne pro-sionniste.
PS:
Transformer le nom de Mélenchon de la sorte montre sans doute la considération de cette personne pour les gens qui ne sont pas en accord avec ses idées.
Mélenchon à l'extrême-droite? J'aimerai bien que tu m'expliques parce que pour moi c'est du plus haut ridicule. Si on n'est pas pro-sioniste on est à l'extrême-droite? (j'écris cela parce que tu as recopié les propos d'un pro-sioniste qui conchie Mélenchon, j'imagine que cela te permet d'en déduire que Mélenchon est d'extrême-droite).
C'est qui la finance? Tout programme politique qui leur garanti la confiscation de la plus grande part de la richesse produite leur va. Si demain pour ce faire il faut un régime totalitaire ils soutiendront ce programme politique.
PS:
Israël à sa création était un pays qui avait des pratiques qu'on pourrait rapprocher du socialisme. Mais il s'est converti dans les années 80 au libéralisme le plus dur me semble-t-il.
Jamais je n'ai écrit que Mélenchon est d'extrême droite ! Tu me prends pour qui ?
C'est toi qui nous rebats les oreilles avec l'extrême droite dans chacune de tes interventions ou quasiment.
Pour le vice-Président du CRIF, Mélenchon est un facho : "antisémite, destructeur du pacte républicain, populiste, ennemi de la France".
APPRÉCIATIONS QUE JE NE PARTAGE ÉVIDEMMENT PAS !
Pour Dieudonné, le CRIF est une officine pro-sioniste, donc d'extrême droite.
Pour Mélenchon, Marine Le Pen est une fasciste.
Pour Dieudonné, Manuel Valls est un facho censeur.
Pour le CRIF, c'est Dieudonné.
Tout ça pour te dire que la "Merde In France" se porte bien et que plutôt que de te focaliser sur le FN (qui aujourd'hui joue un rôle marginal dans le fonctionnement de notre pays), intéresse-toi à celles et ceux qui nous y enfoncent depuis un moment.
C'est toi qui nous rebats les oreilles avec l'extrême droite dans chacune de tes interventions ou quasiment.
Je vais répéter un constat déjà fait:
Un mouvement d'opinion, relayé par les médias, se constitue suite aux révélations, vraies ou fausses, du mépris de Hollande pour les pauvres cristallisé dans l'expression "sans-dents" et qui retrouve-t-on en pointe?
L'extrême-droite et la droite la plus réactionnaire. Il y a de quoi s'interroger, non?
Est-ce que la gauche est KO, sans réaction, ET/OU les médias ne relaient que seulement les initiatives de ces gens?
Tu n'es pas intéressé par cet aspect des choses, fort bien, mais ton désintérêt n'est pas partagé par tout le monde. Hollande en principe n'a pas été élu président à vie sauf erreur, sa succession à l'Elysée est ouverte et l'ED est en embuscade
Ah bon ? Valérie Trierweiler et son éditeur, Laurent Beccaria, sont d'extrême droite ?
Parce que les "sans-dents" et toute la merde qu'on remue depuis quelques jours, ça vient directement d'eux !
Quant à cette "gauche" dont les deux protagonistes évoqués sont probablement sympathisants, elle est exsangue…
Et la Gauche plus sincère, la VRAIE, elle n'arrive pas à convaincre. C'est là, et encore là, qu'il faut creuser.
Pas dans ce que pense Madame Le Pen qui n'a jamais eu le pouvoir, qui ne dispose que de 2 députés à l'Assemblée nationale et dont le rôle est marginal depuis des années… des décennies.
Il ne s'agit en aucun cas de ma part d'un "soutien" affiché ou déguisé, mais d'un constat.
Ça fait 30 ans qu'on nous emmerde avec une extrême droite très virtuelle en France, un danger permanent qu'on agite sous le nez des Français pendant qu'on s'affaire, qu'on magouille… partout ailleurs ou quasiment.
Que le Front de Gauche et le PG s'interrogent de savoir pourquoi c'est le FN qui ratisse les voix. Moi je connais la réponse depuis un moment (déjà évoquée dans nos forums). Je n'y reviens pas.
il y a un climat délétère en France, il me semble presque le sentir physiquement quand je marche dans la rue, le regard des gens, des chuchotement, des regards, ça commence à craindre vraiment...
Marine Le Pen arriverait en tête au premier tour de la présidentielle face à François Hollande et n'importe lequel des principaux prétendants UMP, qu'il s'agisse de Nicolas Sarkozy, François Fillon ou Alain Juppé, selon un sondage Ifop pour Le Figaro publié ce vendredi.
Au second tour, la présidente du FN serait également en mesure de l'emporter devant François Hollande. Elle serait en revanche battue par le candidat UMP, quel qu'il soit parmi les trois mêmes candidats.
AU PREMIER TOUR :
A la question : «Si dimanche prochain avait lieu le premier tour de l'élection présidentielle de 2017 pour lequel des candidats suivants y aurait-il plus de chances que vous votiez ?», 30% des sondés choisissent Marine Le Pen devant Alain Juppé (24%) et François Hollande (16%), qui serait donc éliminé dès le premier tour.
Dans l'hypothèse où l'UMP est représentée par Nicolas Sarkozy, Marine Le Pen est toujours en tête, mais avec 28% des suffrages contre 25% à l'ancien président, et, là encore, 16% pour François Hollande.
Si c'est François Fillon qui est le candidat de l'UMP, il recueille dans l'étude 17%, au coude-à-coude avec François Hollande (17%), mais loin derrière Marine Le Pen (32%).
Une fois encore, qui est responsable de l'ambiance pourrie qui règne en France : le FN, Marine Le Pen ?
Qui entretient cette ambiance ? Qui publie des sondages qui placent le FN en tête des intentions de votes ?
Les médias aux ordres de l'extrême droite ? Les journalistes collabos ? Allons un peu de sérieux !
Pourquoi toujours ressasser : "le FN par-ci, Marine Le Pen par-là, les fachos ici, les fafs là…" ?
Qui a intérêt à agiter ce chiffon rouge depuis des années, des décennies même, pour détourner l'attention des électeurs ?
Qui ? L'extrême droite ?
Et qui est entré dans le jeu de cette manipulation grossière, en désignant le FN comme le principal ennemi, la cible à abattre ? Et qui s'est pris un râteau mémorable avec cette stratégie ?
Qui n'a toujours pas compris qu'une grande majorité de l'électorat populaire s'interroge et qu'à force de désigner le FN comme l'ennemi public numéro 1, on renforce des convictions qui n'en étaient pas jusque-là.
Je signe et persiste : Mélenchon, le PG et le FdG ont fait une erreur historique : Se battre contre un électorat qui était le leur.
Il est temps de changer de stratégie (ce que n'a toujours pas compris, ici, TristeSir, qui se focalise depuis des mois sur l'extrême droite, pensant renforcer son camp : la vraie gauche. Mais ne participant qu'à l'affaiblir).
On ne combat pas son électorat, on répond à ses attentes. Au vu des derniers scrutins, le FdG et le PG n'y répondent pas.
Il est temps de changer de stratégie (ce que n'a toujours pas compris, ici, TristeSir, qui se focalise depuis des mois sur l'extrême droite, pensant renforcer son camp : la vraie gauche. Mais ne participant qu'à l'affaiblir).
Je suis d'accord sur ton constat en partie. Mais l'extrême-droite arrive au pouvoir toujours de cette façon. Ils trompent sciemment les gens, ils n'ont pas de programme autre que la préférence nationale, qui se transformera rapidement en chasse aux "mauvais" français (opposants politiques, syndicalistes,...) et le pouvoir républicain, en crise et déconsidéré, utilise ces gens dans une stratégie très risquée qui peut déboucher sur l'élection par les urnes d'un(e) candidat(e) de l'ED (les sondages même si on peut considérer qu'ils ne valent rien font peur)
Je te le redis : L'extrême droite au pouvoir en France, on en parle depuis 1985 !
Je pourrais te ressortir toutes les "Une" de l'Express, du Point, de Libé, de Marianne… datant des années 80 et 90, ayant pour titre, "Le FN bientôt au Pouvoir", "La stratégie du FN pour prendre le pouvoir", "Et si c'était lui ?" (avec la gueule de J-M Le Pen à l'occasion d'élections présidentielles)… Ce discours, je l'entends depuis 30 ans.
Même à 30%, le FN ne peut pas prendre le pouvoir… moins encore avec le mode de scrutin qui organise les élections législatives.
Pour que le FN prenne le pouvoir, il faut que le PS, l'UMP, le Front de Gauche, les Écolos et les centristes s'accordent pour lui céder la place.
Tout le reste est pur fantasmes, manipulations et intox.
Le FN peut avoir plus de pouvoir dans la vie politique française (ce qui me paraîtrait LOGIQUE finalement). Mais il ne peut pas le prendre aujourd'hui (à court et moyen termes).
Que les partis politiques, les orgas militantes, les médias… œuvrent pour améliorer l'état de la France plutôt que d'agiter le chiffon rouge, comme tu le fais.
Le FN n'est PAS LE PROBLÈME ! Mais, à force de le désigner - comme tu le fais - il va devenir LA SOLUTION pour un nombre croissant d'électeurs.
Je t'ai écrit ça 50 fois ici. Tu n'as toujours rien compris comme nombre de tes Ami-E-s à la gauche de la gauche qui, au lieu de faire progresser leurs idées, défendre leurs revendications, se mobiliser pour de bon sur des questions cruciales, agitent le spectre FN pour faire peur.
CETTE STRATÉGIE EST UN ÉCHEC COMPLET !!!
Pendant ce temps, rien ne bouge !!! Beau résultat…
Extrait du livre de Pierre André Taguieff: Le nouveau national populisme. CNRS editions.
(je prends pas parti , je cite, un extrait pour analyse pertinente.....)
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Lepopulisme,étant un style politique idéologiquement non fixé, n'est ni de gauche, ni de droite.Il y a des leaders populistes à droite et à gauche, et aux deux extrèmes.Le propre du populisme est précisément de neutraliser la différence droite/gauche:le"ni droite ni gauche" illustre la dimension anti partis ou "antipolitique" des nouveaux mouvements populistes.Est également neutralisée la différence entre position révolutionnaire et position conservatrice, l'une et l'autre étant intégrées dans les thèmes idéologiques selon divers dosages.Tout leader populiste s'adressant au peuple prétend lui désigner ses veritables ennemis , ceux d'en haut (les élites illégitimes)ceux d'alentour (le système)ou ceux d'ailleurs ou venant d'ailleurs (les étrangers hostiles, les immigrés envahisseurs),et plus particulièrement les ennemis cachés à l'intérieur du corps national-d'où la vision conspirationniste,illustrée par telle ou telle "théorie du complot", qu'on rencontre ordinairement dans les discours ou les écrits des leaders populistes.On notera que le modèle historique du complot antinational est le complot juif ou judéomaconnique (ou encore judéo bolchévique),qu'on ne trouve plus que marginalement chez les leaders nationaux populistes en Europe de l'Ouest-où il a été en partie remplaçé par le complot islamo-immigrationniste-ce qui n'est pas le cas à l'Est:Hongrie,Pologne, Roumanie, etc...,où les ethno-populistes continuent d'ètre idéologiquement structurés par la mythologie de l'ennemi judéo maçon " et "judéocommuniste",combinée avec une xénophobie anti-Roms dont l'intensité n'est pas observable à l'Ouest.
En France, à l'époque du mouvement poujadiste, les perdants de la modernisation ,qui s'y reconnaissaient éaient avant tout les petits commerçants .Aujourd'hui, on trouve des perdants de la mondialisation dans toutes les catégories sociales qui, exposées à la concurrence internationale ,demeurent nationalement localisées, donc à l'exception de la super -élite transnationale.Ces nouveaux perdants au profil mal défini sont des électeurs ou des militants potentiels des nouveaux partis populistes, ou des vieux mouvements nationaux populistes ayant su s'adapter à la demande sociale-tel le Front National dirigé et incarné par Marine Le Pen depuis le 16 janvier 2011, qui met en oeuvre une stratégie de respectabilisation, en rompant avec les provocations judeophobes de son pèreet en sur affirmant sa défense de la laicité républicaine.Mais ils peuvent tout autant se laisse séduire par la NOUVELLE FIGURE DU MARXO-POPULISTE qu'est l'ex socialiste JEAN LUC MELENCHON, qui pratique avec talent une démagogie anti-élites en se donnant pour le porte parole des "gueux", ce qui au demeurant , le situe plus dans la filiation d'un chansonnier populiste-àtouche"populacière"comme Aristide Bruant que dans celle de Jaurès.
Aujourd'hui, dans l'actuel contexte européen , où la montée des populismes plus ou moins ethnicisés est liée à la crise du libéralisme politique (qui s'étend à la social -démocratie)et à une pathologie de la démocratie représentative (pervertie par les manipulations médiatiques utilisant des outils de plus en plus sophistiqués),sur fond de grande peur d'une invasion musulmanne de l'Europe ainsi que d'une débacle du système économico financier international, on peut identifier grossièrement deux manières d'ètre populiste, recouvrant approximativement le clivage droite/gauche:
_le populisme de "droite" ,situé comme tel ou se présentant comme tel, éxagère les menaces réelles (par exemple la delinquance, l'insécurité, le terrorisme ou la fragmentation ethnique)et en ajoute d'autres imanginaires ou fantasmées , meme si elles prennent appui sur des données observables (l'immigration comme invasion, le complot islamisatuer ou la conquète islamique de l'Europe, la décadence).La droite "pop" tend à provoquer des peurs non justifiées ou des inquiétudes excessives, pour les exploiter politiquement.
_le populisme de gauche , identifié comme tel ou s'assumant comme tel, minimise ou nie les menaces réelles (deliquance, terrorisme, immigration non maitrisée) et les remplace par des menaces plus ou moins imaginaires , toujours liées aux mefaits du "capitalisme prédateur" ou de la "mondialisation libérale", ainsi qu'à un racisme , un "facisme" ou un "pétainisme " supposés perpétuellement "résurgents" , attribués exclusivement à l'adversaire politique.C'est là pécher par aveuglement , déni du réel et diversion. La "gauche "pop" ne cesse d'éviter de poser les problèmes gènants et d'affronter les défis réels , tout en pratiquant la fuite en avant dans lacommération ostentatoire des combats du passé et l'offre provocratrice de subversion des liens sociaux traditionnels.Elle place la question sociale par "certains "problèmes sociétaux" (sexe:genre, homoparentalité, mariages homos, etc...)posés et résolus à la manière des intellectuels marginaux ou, "prolétaroides" les plus exrémistes.
L'offre néopopuliste vise ainsi toutes les classes sociales .La droite xénophobe adapte son discours à la semande des citoyens des classes populaires accusant l'immigration d'etre la cause de la perte de leurs emplois.LLa droite autoritaire s'efforce de répondre aux inquiétudes des classes moyennes et populaires :insécurité, augmentation des prélèvements obligatoires perçus comme injustes etc..La gauche et la doite républicaine , par principe hostiles à toutes les formes de multiculturalisme , sont portés à s"inquiéter du communataurisme musulman et des atteintes à la laicité.La vision mi-angélique et mi-utilisatrice de l'immigration (les bons immigrés viennent nous "enrichir"de leur différence et garantir un taux de natalité suffisant pour le paiement de nos retraites) cette vision médiatiquement dominante n'est plus crédible.Car l'on ne saurait nier que, en France, comme dans plusieurs pays voisins , l'intégration des immigrés se fait plutot mal,et, queparmi les facteurs expliquant ces difficultés , la cvulture musulmanne , qui joue le role d'un marqueur identitaire favorisant le repli communautaire, apparait en première ligne.En, outre, la visionpositive et optimiste de l'immigration s'articule avec une présentation naivement irénique de 'l'Islam comme "religion de paix"; alors que les citoyens, mème médiocrment informés, apprennent par les médisas que partout dans le monde , la présence de l'islam politisé -au pouvoir ou dans l'opposition-est liée à des formes d'intolérance, à la persécution des minorités et à des violences meurtières (chrétiens d'Orient).
La réalité mondiale répulsive de kl'islam politisé ne peut etre complètement gommé par le discours politiquement correct des experts, des journalistes ou des intellectuels.ET, pourtant, un discours unique sur la question se fait entendre dans l'espace médiatique.Déni du réel et transfiguration d'une réalité pourtant inquiétante.
La rhétorique des élites gouvernantes ne diffère guère sur ce point du discours populiste contemporain de gauche et d'extrème gauche .Mécaniquement , la position des problèmes génants est monopolisée par les leaders populistes de droite plus ou moins xénophobes, qui cherchent à exploiter les inquiétudes sociétales sans se soucier de trouver des solutions politiques acceptables.
Ce que les populismes politiquement concurrents ont en commun, c'est l'irresponsabilité.Il faut les traiter comme des symptomes , et non comme des solutions.
La conviction populiste peut se résumer ainsi:"ils (ceux d'en bas) sont meileurs que nous.Quand au "misérabilisme" ,il implique de célébrer un groupe social en tant qu'il serait seul ou particulièrement souffrant , pauvre, misérable ou desepéré, donc digne de compassion, de l'exalter à travers les privations , les exclusions , les deficiences et les misèresqui autorisent à l'instituer en victime.Le parti pris en victime suit automatiquement en faveur de la catégorie dédignée.EN france, depuis, les années 90 , la catégorie victimaire par excellence a été désignée par les sans papier. Populisme et misérabilisme peuvent entrer en synthèse dans les discours militants. Mais les néo gauchistes ne s'intéressent plus à la plèbe "de souche" , leur nouveau prolétariat vient de l'étranger.Ce qui impliquent d'exclure les autres, les malheureux ultra pauvres de souche , qui n'intéressent personne dans le monde des élites visibles.Ce qui a pour effet de provoquer un sentiment d'injustice chez les nationaux de souche, souhaitant une revanche , à travers un vote xénophobe.L'efet pervers de la préférence immigrée, étudiée en france par ALgalarondo (2011)est fabriquer des nation&ux populistes très motivés."""""
(janvier 2012)
Je t'ai écrit ça 50 fois ici. Tu n'as toujours rien compris comme nombre de tes Ami-E-s à la gauche de la gauche qui, au lieu de faire progresser leurs idées, défendre leurs revendications, se mobiliser pour de bon sur des questions cruciales, agitent le spectre FN pour faire peur.
Le combat contre l'ED ne résume pas l'activité de la gauche radicale. En ce moment, Mélenchon est sur une ligne trop axée sur la 6ème République, cela ressemble à un virage "centriste" pour moi.
Le changement de République (et des pratiques démocratiques) n'intéressent pas, hélas, les gens qui ont perdu confiance dans la politique, c'est trop abstrait et ne répond pas aux attentes immédiates des gens (emploi, salaire..). Il faudrait un programme d'urgence soutenu par la vraie gauche mais recevrait-il un soutien populaire? Il faut mentir à fond aux gens pour capter leur vote? Je crains qu'il y a que l'ED qui a le culot de faire cela même le PS ne prétend plus qu'on rase gratis.
Dis donc Romain (Marie-Do), tu étais bien partie pour nous recopier tout le bouquin !
Quel boulot. Merci !
C'est intéressant. Mais ça n'annonce rien de bon puisqu'aucun parti (tendance, mouvance…) en France n'a de réponses vraiment crédibles et adaptées aux enjeux de société, économiques et sociaux.
J'ai comme le sentiment qu'on va continuer à s'enfoncer dans la merde. Prévoir une grosse quantité de PQ pour l'avenir.