"Le niveau du Smic doit pouvoir être discuté avec les partenaires sociaux, pour que les populations très éloignées de l'emploi - 1 million de chômeurs n'ont pas vu une entreprise depuis deux ans au moins - puissent retrouver un travail"
Pierre Gattaz, 21 juillet 2014
Je confirme : même avec de nouvelles lunettes je n'arrive pas à voir les boîtes qui ont délocalisé dans le sud-est asiatique.les populations très éloignées de l'emploi - 1 million de chômeurs n'ont pas vu une entreprise depuis deux ans au moins
S'est trompé ce cave, y voulait dire " Y a bien 1 million de chômeurs que pas une entreprise n'a voulu voir depuis deux ans au moins".serabeth a écrit :les populations très éloignées de l'emploi - 1 million de chômeurs n'ont pas vu une entreprise depuis deux ans au moins
Il faudrait plutôt changer notre mode de fonctionnement national, pour ne plus avoir à faire des révolutions vis-à-vis de groupes qui verrouillent pouvoir et ressources à leur avantage, mais qu'il y ait des évolutions appropriées et continues.Trinita a écrit :Mais bon, une révolution, ça peut mal tourner et finalement être une régression.
Gattaz a toujours une petite gattazerie en réserve à nous servir.Trinita a écrit :En tous cas, ça sent l'Gattaz.
Quelqu'un a t-il l'adresse de brave homme, afin que je lui envoie mon CV? ça fait 15 ans que je n'ai pas vu une entrprise, va t-il m'embaucher? En plus, la region où j'habite, il n'y a plus que des maisons de retraites et plus aucune usine. tous les potes de ce monsieur sont partis s'installer dans les paradis fiscaux, comment faire pour trouver une usine....?lobozo a écrit :"Le niveau du Smic doit pouvoir être discuté avec les partenaires sociaux, pour que les populations très éloignées de l'emploi - 1 million de chômeurs n'ont pas vu une entreprise depuis deux ans au moins - puissent retrouver un travail"
Pierre Gattaz, 21 juillet 2014
Pierre Gattaz a suggéré que la France sorte de la convention 158 de l'Organisation internationale du travail (OIT) qui oblige à justifier un licenciement. Un "frein à l'embauche" selon lui.
"Les chefs d'entreprise, quand ils peuvent embaucher, craignent de se trouver devant les prud'hommes s'ils rompent le contrat. C'est un des principaux freins à l'embauche", a déclaré Pierre Gattaz dans une interview accordée au journal L'Opinion.
"Reste que pour lever le frein juridique, il faut sortir de la convention 158 de l'Organisation internationale du travail qui nous oblige à justifier les motifs du licenciement. Tant qu'on aura cette contrainte supranationale, peu importe le contrat, le fond du problème ne sera pas traité", estime le chef de l'organisation patronale.
Pauv' chou, il n'a plus de concurrents dans le pays.M. Gattaz explique souvent la disparition ou la vente à l'étranger d'entreprises industrielles patrimoniales françaises par l'ISF. En 2014 je n'ai plus aucun concurrent patrimonial en France
