Le fameux piston
Publié : 12 mai 2016
selon le nouvel obs le piston fonctionne bien dans les hautes sphères du pouvoir.le bon peuple regarde ébahie le partage des emplois par la nomenklatura !.
le s’appelle Judith de Warren. Elle est l’héritière de la prestigieuse dynastie Taittinger - les champagnes - et, accessoirement, la belle-fille de Jean-Pierre Jouyet, secrétaire général de l’Elysée et meilleur ami de François Hollande. A 25 ans, la voilà qui vient d’être nommée adjointe au directeur du mécénat du Musée du Quai-Branly.
Une promotion qui, comme l’indique "la Lettre A", passe mal en interne. Le mois dernier, les syndicats du musée ont adressé à Stéphane Martin, le président de l’établissement, une lettre ouverte afin de protester contre ce recrutement qui "ne respecte pas le cadre de gestion défini avec la direction".
Soupçon de favoritisme
La fiche de ce poste stratégique prévoyait en effet cinq ans d’expérience dans le mécénat. Or, Judith de Warren a fini ses études il y a deux ans seulement - à la London School of Economics - et ne compte à son actif que deux expériences professionnelles, de six mois chacune, comme "assistante chef de produit". Dès lors, le soupçon de favoritisme s’est propagé dans les couloirs du musée.
le s’appelle Judith de Warren. Elle est l’héritière de la prestigieuse dynastie Taittinger - les champagnes - et, accessoirement, la belle-fille de Jean-Pierre Jouyet, secrétaire général de l’Elysée et meilleur ami de François Hollande. A 25 ans, la voilà qui vient d’être nommée adjointe au directeur du mécénat du Musée du Quai-Branly.
Une promotion qui, comme l’indique "la Lettre A", passe mal en interne. Le mois dernier, les syndicats du musée ont adressé à Stéphane Martin, le président de l’établissement, une lettre ouverte afin de protester contre ce recrutement qui "ne respecte pas le cadre de gestion défini avec la direction".
Soupçon de favoritisme
La fiche de ce poste stratégique prévoyait en effet cinq ans d’expérience dans le mécénat. Or, Judith de Warren a fini ses études il y a deux ans seulement - à la London School of Economics - et ne compte à son actif que deux expériences professionnelles, de six mois chacune, comme "assistante chef de produit". Dès lors, le soupçon de favoritisme s’est propagé dans les couloirs du musée.