Copié-collé de commentaire d'actu :
L'indignation d'un senior en fin de droits (Score : 1)
par superuser actif 02 Sept 2005
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Un message que nous a adressé ANDREW :
«Mon choix est clair : je veux qu'il soit plus intéressant et plus facile en France de travailler plutôt que de vivre d'un revenu d'assistance», a notamment déclaré Dominique de Villepin.
Je n'attends que ça ! Comme la quasi-majorité des privés d'emploi dans ce pays, je ne suis pas un fainéant et je ne veux pas vivre de l'assistanat.
Ça fait maintenant 24 mois que je cherche quotidiennement un nouveau job en ligne avec mes compétences - sans pouvoir compter sur une aide réelle et sérieuse de l'APEC (un email reçu en 4 mois pour leur permettre de réactualiser le PAP et toucher les primes).
Je trouve insultants et condescendants les propos de Monsieur de Villepin!
Cordialement,
Andrew Whiting
*************
Comment vit-on avec un revenu d'assistance ?
... TELLE EST LA VRAIE QUESTION !!!
Est-il si FACILE, si enviable que ça de vivre avec un minima social ???
D'abord, est-ce un choix ? Combien de chômeurs sont VOLONTAIRES ?
Quand on perd dans un premier temps un tiers de son revenu après un licenciement, est-ce qu'on en est fier ??? Comment le vit-on ? Et le regard des autres ? Et le jugement de la famille et des "amis" ?
Quand on ne retrouve toujours pas un emploi digne de ce nom malgré des recherches intensives et assidues, et que l'on passe un beau jour à l'ASS ou au RMI, l'a-t-on choisi, l'a-t-on fait volontairement ?
Alors oui, il a bien fallu s'adapter avec le temps. Si on a un peu de chance, on ne finit pas sous un pont.
Mais comment vit-on avec 420 euros par mois ?
On sait que les allocations chômage & logement n'ont pas été revalorisées au 1er juillet (mais mon loyer a pris 28 euros, soit 2 jours d'ASS). La carte orange, les timbres-poste et le reste ont continué d'augmenter.
Avec 420 euros par mois, on finit par ne plus avoir de vie sociale ou sentimentale.
Je suis une femme - à 44 ans, déjà trop vieille pour le marché du travail - et je ne peux même plus aller chez le coiffeur ou chez l'esthéticienne. Je mange des pâtes presque tous les jours, j'ai pris 15 kilos de malbouffe et je ne rentre plus dans mes fringues, mais j'ai pas le budget pour m'en racheter. Je suis super à l'aise pour un entretien d'embauche, vachement sûre de moi !
Le reste n'est qu'affaire d'habitude : les bons réflexes économes, voire écolos, c'est vrai, c'est pas si grave. L'atteinte à la dignité se passe ailleurs : dans l'affirmation de soi, régie par des codes d'apparence que l'on ne peut pas toujours démonter de manière convaincante, surtout si on se sent diminué même si on est loin d'être stupide.
Mon activité culturelle se limite à Internet et à la télé, heureusement que les bibliothèques sont gratuites. Je ne suis pas allée au cinéma depuis très longtemps. Et j'ai la haine quand je sors 2,20 euros pour un café quand j'ai - rarement - un rendez-vous sur Paris.
Les de Villepin, Sarkozy et compagnie s'imaginent qu'on est contents comme ça, qu'on fraude, qu'on le fait exprès de "piller" les caisses publiques. La seule chose que je leur souhaite, c'est de tomber en déchéance (mais c'est impossible, ça ne leur arrivera jamais…). Hervé Gaymard était déjà incapable d'évaluer son loyer alors qu'il était ministre de l'économie. Pourtant, je suis sûre qu'il s'en tire très bien maintenant, même si on n'en entend plus parler.
Et n'importe quel socialiste bon teint ne sait même pas ce que c'est de vivre avec le Smic.
Il faudrait une bonne émission de télé-réalité pour prouver par A+B que n'importe quel haut fonctionnaire de l'Etat ne s'en sortirait pas avec un minima social. Ni même un brave salarié qui palpait 2.500 euros.
Ma haine est immense.
Comment rendre le travail plus intéressant que l'assistance…
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toit_de_chôme
Nos hommes poliques ne viennent pas tous d'un milieu populaire. Certains pensent qu'un prolétaire travailleur est courageux et que ceux qui ne le sont pas sont fainéant. Ils sont peut etre sincère sur ce mode de pensée et ça nous ne pouvons le vérifier.
En tout cas, il ont intéret à formatter les esprit avec des arguments tres simples dans le domaine puisque le pays a besoin d'impots et de prélèvement sur le travail. Ce qu'il veulent c'est assister le moins possible car cela coute cher. Et leur intéret n'est pas le nôtre ....
Peut etre pensent ils aussi sincèrement qu'une personne qui a honte va chercher à l'effacer, parce que eux ont besoin de laver la leur quand elle arrive.
Je cherche plus à les comprendre pour me blinder, pour ne ressentir aucune honte du chômage. Cela me permet d'éviter les effets de toute sorte de neuroleptiques (exemple TV pro_coca)
En tout cas, il ont intéret à formatter les esprit avec des arguments tres simples dans le domaine puisque le pays a besoin d'impots et de prélèvement sur le travail. Ce qu'il veulent c'est assister le moins possible car cela coute cher. Et leur intéret n'est pas le nôtre ....
Peut etre pensent ils aussi sincèrement qu'une personne qui a honte va chercher à l'effacer, parce que eux ont besoin de laver la leur quand elle arrive.
Je cherche plus à les comprendre pour me blinder, pour ne ressentir aucune honte du chômage. Cela me permet d'éviter les effets de toute sorte de neuroleptiques (exemple TV pro_coca)
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Invité
Comment rendre le travail plus intéressant que l'assistance…
Cette affirmation est 2 fois stupide : une 1ère fois, car elle laisse sous-entendre que les gens préfèrent "glander" et toucher des allocs ou autres RMI ou ASS, et une 2ème fois car elle met dans le même panier les allocataires des assedics et les rmistes et ass-istes. Tout d'abord, les allocations de chômage sont un dû, car on a côtisé pour y avoir droit, l'assistance n'a rien à voir là-dedans. Quant à croire que les gens vivent "grassement" avec le RMI ou autres ASS, c'est vraiment n'avoir aucune prise avec les réalités des gens qui les touchent.martine a écrit :«Mon choix est clair : je veux qu'il soit plus intéressant et plus facile en France de travailler plutôt que de vivre d'un revenu d'assistance», a notamment déclaré Dominique de Villepin.
Ces allocations n'ont pas été revalorisées, même du temps du gouvernement Jospin, et il y en a actuellement -dans la majorité mais aussi à gauche- qui trouvent que c'est encore trop. Comme par hasard, ce sont les mêmes idiots qui ne trouvent rien à dire sur les 350 000€/mois, 400 000€/mois touchés par certains footballeurs -même si ce n'est pas tout le monde-, avec des smicards qui doivent travailler pour presque rien pour leur payer ça, et je ne parle pas des 650 MILLIONS d'Euros payés par une chaîne privée pour les droits de retransmission de télé de matchs de foot.martine a écrit : Mais comment vit-on avec 420 euros par mois ?
C'est un haut fonctionnaire énarque, donc le pire qui puisse lui arriver, c'est de ré-intégrer son corps d'origine, sans parler du poste de sa femme qui n'est pas négligeable, des milliers de famille s'en contenteraient très bien.martine a écrit : Hervé Gaymard était déjà incapable d'évaluer son loyer alors qu'il était ministre de l'économie. Pourtant, je suis sûre qu'il s'en tire très bien maintenant, même si on n'en entend plus parler.
Personne ne s'en sortirait avec un minima social, haut fonctionnaire ou pas. Sans la famille ou à la rigueur à la campagne ou une petite ville, c'est la rue.martine a écrit :quel haut fonctionnaire de l'Etat ne s'en sortirait pas avec un minima social. Ni même un brave salarié qui palpait 2.500 euros.
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wapasha
Pour moi l'"assistance" n'est pas le contraire du "travail" puisque je suis officielement un chomeur mais que je travaille tout comme mon pote couvreur de metier et rmiste qui est le dernier a rentrer du boulot le soir dans sa residence (et souvent le dimanche). sa devise c'est "retirez-moi le rmi, je serais obligé d'augmenter mes heures de black pour faire vivre ma famille" (c'est sur que non reconnu handicapé mais avec un soucis a une jambe, et a 42 ans, il a bien du mal a "legaliser" sa situation)
anecdote en passant : j'aime bien quand à l'apéro, il me montre la mise à jour de sa liste d'élus/chef d'entreprise et autres personnalités locales qui font appelle à ses service
(sait-on jamais dit-il...)
aujourd'hui, le salarié pour qui on a fabriqué un emploi, souvent pour ne rien construire ou alors pour fabriquer de l'inutile, en tout cas du superflu, merite tout autant le statut d''assisté qui est celui qui laisse un tiers prendre en main sa vie (et sans broncher svp sinon c'est la porte !).
@+
anecdote en passant : j'aime bien quand à l'apéro, il me montre la mise à jour de sa liste d'élus/chef d'entreprise et autres personnalités locales qui font appelle à ses service
(sait-on jamais dit-il...)aujourd'hui, le salarié pour qui on a fabriqué un emploi, souvent pour ne rien construire ou alors pour fabriquer de l'inutile, en tout cas du superflu, merite tout autant le statut d''assisté qui est celui qui laisse un tiers prendre en main sa vie (et sans broncher svp sinon c'est la porte !).
@+
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Invité
Eh bien, bravo !
S'il a un souci à une jambe, comment arrive-t-il à travailler au black ?sa devise c'est "retirez-moi le rmi, je serais obligé d'augmenter mes heures de black pour faire vivre ma famille" (c'est sur que non reconnu handicapé mais avec un soucis a une jambe, et a 42 ans, il a bien du mal a "legaliser" sa situation)
Moi, je pense qu'il a prétendu avoir un souci à une jambe pour ne plus avoir à bosser officiellement (avec impôts, charges sociales, et tutti quanti !), parce qu'il se fait des c... en or... au black.
Un gars comme ça, pour moi, c'est un escroc, pas une victime. Et ça vaudrait le coup qu'on le prive de son RMI, d'autant plus qu'il est apparemment débordé de travail au noir. Et que donc il gagne suffisamment purne pas avoir besoin du RMI.
-
wapasha
Il est impossible à l'humain de se lecher le coude. c'est une vérité.
c'est un ami de longue date qui a traversé 3 etages a travers le bois et qui boite reellement, même qu'il doit monter l'echelle a cloche-pied, mais qui fait un boulot d'une qualité extra, lentement, mais extra.
maintenant, c'est humain de vouloir verifier, de ne pas faire une confiance aveugle en ce que l'autre affirme, même si c'est une vérité, à l'image des 99% de lecteurs qui ont essayé à l'instant de se le lecher (le coude).
@+
c'est un ami de longue date qui a traversé 3 etages a travers le bois et qui boite reellement, même qu'il doit monter l'echelle a cloche-pied, mais qui fait un boulot d'une qualité extra, lentement, mais extra.
maintenant, c'est humain de vouloir verifier, de ne pas faire une confiance aveugle en ce que l'autre affirme, même si c'est une vérité, à l'image des 99% de lecteurs qui ont essayé à l'instant de se le lecher (le coude).
@+
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Invité
Villepin ne fait que reprendre une veille recette qui fonctionne toujours dans un contexte où la cote du gouvernement est en chute.
Il y a 10 ans, Juppé nous a fait la même en lançant la chasse aux "faux-RMIstes". Que ne feraient-ils pour plaire à l'opinion publique !
"Diviser pour mieux régner" comme le rappelle souvent superuser : d'un côté la France qui travaille, et de l'autre, celle qui profite sans rien foutre.
Ben oui, c'est tellement plus simple comme ça, on endort l'opinion, et on érige la fraude sociale au rang de problème (qui n'en est pas un dans la réalité)
Lire à ce sujet l'édito sur www.inter-emploi.org
Sylvie
www.inter-emploi.org
Il y a 10 ans, Juppé nous a fait la même en lançant la chasse aux "faux-RMIstes". Que ne feraient-ils pour plaire à l'opinion publique !
"Diviser pour mieux régner" comme le rappelle souvent superuser : d'un côté la France qui travaille, et de l'autre, celle qui profite sans rien foutre.
Ben oui, c'est tellement plus simple comme ça, on endort l'opinion, et on érige la fraude sociale au rang de problème (qui n'en est pas un dans la réalité)
Lire à ce sujet l'édito sur www.inter-emploi.org
Sylvie
www.inter-emploi.org
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resistances_
Et l'anesthésie générale des cerveaux des citoyens fonctionne à merveille.sylvie a écrit :Il y a 10 ans, Juppé nous a fait la même en lançant la chasse aux "faux-RMIstes".
Que ne feraient ils pour plaire à l'opinion publique !
"Diviser pour mieux régner" comme le rappelle souvent superuser : d'un côté la France qui travaille, et de l'autre, celle qui profite sans rien foutre.
Ben oui, c'est tellement plus simple comme ça, on endort l'opinion, et on érige la fraude sociale au rang de problème
Entendu dans un supermarché il y a quelques jours :
Au journal de TF1 hier à 20 h, Nicolas Sarkosy qui reprenait le refrain au sujet de la France qui se lève tot le matin (sous entendu, les autres, ceux qui ne travaillent pas se lèvent tard et sont donc des fainéants).Les RMistes, il faut les obliger à faire n'importe quoi. C'est pas normal qu'ils touchent de l'argent sans rien foutre. Moi je me lève à 4 h du matin pour bosser, ils ont qu'à faire pareil. Etc ...
La déclaration de de Villepin :
il s’agit de rendre "plus intéressant et plus facile en France de travailler plutôt que de vivre d’un revenu d’assistance".
Même manipulation et sous entendu. Il n'apparait pas dans cette phrase que le revenu d’assistance serait subi mais choisi par l'utilisation de la locution prépositive "plutôt que de" qui induit une notion de choix préférentiel. Exemple du dictionnaire : Vous feriez mieux d'écouter plutôt que de parler.
Tout ces hommes politiques ont des conseillers en communication et chaque mot, chaque phrase n'est pas le fruit de hasard mais savamment étudié.
De Villepin aurait pu dire:
il s’agit de rendre "plus intéressant et plus facile en France de travailler afin d'éviter de survivre d’un revenu d’assistance".
Il n'apparait plus alors la notion de choix préférentiel mais la phrase n'est plus manipulatrice avec l'utilisation en plus du mot survivre au lieu de vivre qui montrerait au Français les difficultés d'avoir un revenu d'assistance et empécherait donc cette division pour mieux régner.
Le gouvernement a entrepris une guerre, pas contre le chômage, mais contre les chômeurs.
Alors il est temps de se mobiliser, d'exiger une réduction massive du temps de travail afin de répartir les emplois sur un plus grand nombres de personnes et de reprendre l'argent que l'évolution technologique permet aux entreprises de gagner.
Imaginer une autre société (lien)
Vers le fichier PDF de la BD Et si on changeait?
Réveillez vous maintenant, dans quelques années il sera trop tard.
Monsieur Sarkozy, arrêtez de nous diffamer !
Monsieur Nicolas Sarkozy a eu une nouvelle occasion de se présenter sous son vrai visage pendant le JT de Claire Chazal, dimanche 4 septembre sur TF1. L’homme de «la rupture» (thème favori du Président de l’UMP) s’est une fois de plus contenté de fustiger les chômeurs et les personnes relevant des minima sociaux pour argumenter sa volonté de rompre avec le système actuel.
«Est-il normal qu’une personne recevant une allocation de solidarité n’exerce pas d’activité ? Est-il normal que 500.000 offres d’emploi ne trouvent pas preneurs ?», a-t-il martelé devant les caméras pour marquer sa «différence», c’est-à-dire sa coupable propension à monter les Français les uns contre les autres en laissant entendre que les défavorisés et les chômeurs sont des fainéants et des profiteurs.
Monsieur Sarkozy, cette diatribe est indigne d’un homme qui ambitionne d’accéder un jour aux plus hautes responsabilités nationales !
Usant d’arguments populistes empruntés à la dialectique lepéniste, dans laquelle il a inter changé les mots «immigrés» et «chômeurs», Nicolas Sarkozy s’engage dans la voie sans issue du mensonge politique, de la diffamation et de la calomnie.
Sarkozy marche dans les pas de Le Pen !
Car le chantre de «la rupture» est le pur produit du système qu’il dénonce à grand renfort d’arguments fallacieux. N’est-il pas «aux affaires» depuis plus d’une décennie, lui qui a été successivement ministre du Budget de Monsieur Balladur, ministre de l’Économie de Monsieur Raffarin, et actuel ministre de l’Intérieur de Monsieur de Villepin ?
Qu’a-t-il entrepris pour désendetter la France (notre dette publique s’élève aujourd’hui à plus de 1.000 milliards d’euros) ? Quelles mesures a-t-il prises pour lutter contre la fraude fiscale qui, selon certains, priverait chaque année l’État de 50 milliards d’euros de recettes ? Qu’a-t-il entrepris pour baisser de manière significative les prix, pour augmenter le pouvoir d’achat des Français, pour relancer l’économie et par-là l’emploi ?
Les grands médias traditionnels ne semblent guère s’intéresser au bilan de celui qu’ils nous présentent parfois – de plus en plus souvent – comme «l’Homme providentiel». Maire de Neuilly (une des municipalités les plus riches de France), Président du Conseil général des Hauts-de-Seine (le département le plus riche de France), Nicolas Sarkozy n’a jusqu’à présent pas pris de risques incommensurables pour évaluer sa légitimité «d’élu du peuple». Il s’est toujours présenté dans des circonscriptions très favorables à sa famille politique (la droite RPR puis UMP). Et quand il en a pris de vrais, cette fois, en soutenant Édouard Balladur candidat malheureux à la présidentielle de 1995, la sanction fut immédiate; tout comme fut sans appel le résultat du récent référendum sur le projet de Constitution européenne auquel il appela – malgré tout – à voter OUI. Quels désaveux !
La diffamation et la calomnie pour seuls arguments !
Alors qu’est-ce qui autorise aujourd’hui Monsieur Sarkozy à s’en prendre à celles et ceux – chômeurs, précaires, personnes en grandes difficultés sociales et financières – qui sont les premières victimes d’une politique d’exclusion à laquelle il a participé et participe toujours activement ?
Toutes celles et tous ceux qui tentent de survivre avec le seul RMI de base ou la seule ASS (Allocation spécifique de solidarité), soit 430 euros par mois, 2.700 francs, apprécieront d’être traités comme des parias qui profitent du système.
Faudra-t-il que toutes celles et tous ceux qui se sentent légitimement diffamés par ses arguments démagogiques, fallacieux et mensongers, portent plainte contre celui qui s’en sert à des fins préélectorales. Car il s’agit bien de ça ! Pour s’attirer les faveurs de cette France qui travaille – et notamment des ouvriers et employés – Nicolas Sarkozy a trouvé les boucs émissaires idéaux : celles et ceux qui, selon lui, «profitent» du travail des autres.
Mais les Français ne sont pas dupes. Ils ne l’ont pas été le 29 mai dernier, ils ne le seront pas à l’avenir. Nous savons que Nicolas Sarkozy n’a rien d’autre à proposer que ce qu’il a déjà entrepris. Il s’attaque aux plus faibles et aux plus vulnérables, se persuadant ainsi rompre avec ce système qu’il dénonce, alors qu’il le renforce et en accroît les inégalités.
«Est-il normal qu’une personne recevant une allocation de solidarité n’exerce pas d’activité ? Est-il normal que 500.000 offres d’emploi ne trouvent pas preneurs ?», a-t-il martelé devant les caméras pour marquer sa «différence», c’est-à-dire sa coupable propension à monter les Français les uns contre les autres en laissant entendre que les défavorisés et les chômeurs sont des fainéants et des profiteurs.
Monsieur Sarkozy, cette diatribe est indigne d’un homme qui ambitionne d’accéder un jour aux plus hautes responsabilités nationales !
Usant d’arguments populistes empruntés à la dialectique lepéniste, dans laquelle il a inter changé les mots «immigrés» et «chômeurs», Nicolas Sarkozy s’engage dans la voie sans issue du mensonge politique, de la diffamation et de la calomnie.
Sarkozy marche dans les pas de Le Pen !
Car le chantre de «la rupture» est le pur produit du système qu’il dénonce à grand renfort d’arguments fallacieux. N’est-il pas «aux affaires» depuis plus d’une décennie, lui qui a été successivement ministre du Budget de Monsieur Balladur, ministre de l’Économie de Monsieur Raffarin, et actuel ministre de l’Intérieur de Monsieur de Villepin ?
Qu’a-t-il entrepris pour désendetter la France (notre dette publique s’élève aujourd’hui à plus de 1.000 milliards d’euros) ? Quelles mesures a-t-il prises pour lutter contre la fraude fiscale qui, selon certains, priverait chaque année l’État de 50 milliards d’euros de recettes ? Qu’a-t-il entrepris pour baisser de manière significative les prix, pour augmenter le pouvoir d’achat des Français, pour relancer l’économie et par-là l’emploi ?
Les grands médias traditionnels ne semblent guère s’intéresser au bilan de celui qu’ils nous présentent parfois – de plus en plus souvent – comme «l’Homme providentiel». Maire de Neuilly (une des municipalités les plus riches de France), Président du Conseil général des Hauts-de-Seine (le département le plus riche de France), Nicolas Sarkozy n’a jusqu’à présent pas pris de risques incommensurables pour évaluer sa légitimité «d’élu du peuple». Il s’est toujours présenté dans des circonscriptions très favorables à sa famille politique (la droite RPR puis UMP). Et quand il en a pris de vrais, cette fois, en soutenant Édouard Balladur candidat malheureux à la présidentielle de 1995, la sanction fut immédiate; tout comme fut sans appel le résultat du récent référendum sur le projet de Constitution européenne auquel il appela – malgré tout – à voter OUI. Quels désaveux !
La diffamation et la calomnie pour seuls arguments !
Alors qu’est-ce qui autorise aujourd’hui Monsieur Sarkozy à s’en prendre à celles et ceux – chômeurs, précaires, personnes en grandes difficultés sociales et financières – qui sont les premières victimes d’une politique d’exclusion à laquelle il a participé et participe toujours activement ?
Toutes celles et tous ceux qui tentent de survivre avec le seul RMI de base ou la seule ASS (Allocation spécifique de solidarité), soit 430 euros par mois, 2.700 francs, apprécieront d’être traités comme des parias qui profitent du système.
Faudra-t-il que toutes celles et tous ceux qui se sentent légitimement diffamés par ses arguments démagogiques, fallacieux et mensongers, portent plainte contre celui qui s’en sert à des fins préélectorales. Car il s’agit bien de ça ! Pour s’attirer les faveurs de cette France qui travaille – et notamment des ouvriers et employés – Nicolas Sarkozy a trouvé les boucs émissaires idéaux : celles et ceux qui, selon lui, «profitent» du travail des autres.
Mais les Français ne sont pas dupes. Ils ne l’ont pas été le 29 mai dernier, ils ne le seront pas à l’avenir. Nous savons que Nicolas Sarkozy n’a rien d’autre à proposer que ce qu’il a déjà entrepris. Il s’attaque aux plus faibles et aux plus vulnérables, se persuadant ainsi rompre avec ce système qu’il dénonce, alors qu’il le renforce et en accroît les inégalités.
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wapasha
je vais finir par le faire ce t-shirt avec écrit "Rmiste qui se lève tôt pour bosser car c'est pas avec -de 400 €..." (et le vendre 
)
enfin, moi cela ne me gene presque plus puisque je vie "autrement" aujourd"hui. je milite pourtant depuis longtemps et me rend compte que ma victoire contre ce systeme qui ne me convient pas non plus et qui risque d'aller de pire en pire ben c'est surtout mon choix de vie marginale. quand il m'enleverons ce Rmi je verrais ca comme un gaint là ou la majorité y voit une perte alors comment voulez-vous qu'ils m'atteignent ainsi.
je ne veut plus de cette logique de croissance rabachée par tous les gouvernements possibles aujourd'hui. alors je leur fais mal au porte-monaie, chaque jour. le truc serait d'etre de plus en plus nombreux mais c'est pas facile, ca demande courage et sacrifices. et comme avant, il est impossible d'en imaginer les satisfactions, c'est d'autant moins motivant.
@+
)enfin, moi cela ne me gene presque plus puisque je vie "autrement" aujourd"hui. je milite pourtant depuis longtemps et me rend compte que ma victoire contre ce systeme qui ne me convient pas non plus et qui risque d'aller de pire en pire ben c'est surtout mon choix de vie marginale. quand il m'enleverons ce Rmi je verrais ca comme un gaint là ou la majorité y voit une perte alors comment voulez-vous qu'ils m'atteignent ainsi.
je ne veut plus de cette logique de croissance rabachée par tous les gouvernements possibles aujourd'hui. alors je leur fais mal au porte-monaie, chaque jour. le truc serait d'etre de plus en plus nombreux mais c'est pas facile, ca demande courage et sacrifices. et comme avant, il est impossible d'en imaginer les satisfactions, c'est d'autant moins motivant.
@+
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Invité
On touche le fond !
Ils encensent le travail, soit-disant !
Ils offrent des primes aux courageux qui se remettraient au labeur, soit-disant !
Mais ils oublient de dire qu'en échange, le cumul revenu emploi et allocation est en voix d'extinction !
Qui ça concerne ? mais ceux qui touchent les minima-sociaux bien sûr... Taxons les RMIstes, ASS, API, AER, AAH et autres bras cassés de cette noble société....
Leur seule politique est celle de l'autruche ! quant à nous, pourquoi nous taire ?
Un article repris d'AC ! forum...
Ils encensent le travail, soit-disant !
Ils offrent des primes aux courageux qui se remettraient au labeur, soit-disant !
Mais ils oublient de dire qu'en échange, le cumul revenu emploi et allocation est en voix d'extinction !
Qui ça concerne ? mais ceux qui touchent les minima-sociaux bien sûr... Taxons les RMIstes, ASS, API, AER, AAH et autres bras cassés de cette noble société....
Leur seule politique est celle de l'autruche ! quant à nous, pourquoi nous taire ?
Un article repris d'AC ! forum...
La prime mensuelle de 15O euros pour les bénéficiaires de minima sociaux reprenant un travail remplacera certaines incitations financières existantes. Le manque à gagner sera important pour les RMistes et allocataires de l'ASS. Dominique de Villepin distribue les bonnes nouvelles, mais se garde parfois de dévoiler les contreparties.
Jeudi, il a annoncé la création d'un forfait mensuel de 15O euros pour les allocataires de minima sociaux retrouvant un emploi, sans préciser que celui-ci se substituerait aux dispositifs d'intéressement existants. Ceux-ci permettent à certains chômeurs de cumuler temporairement leur salaire et leur allocation lorsqu'ils retrouvent un emploi. Ils concernent 6 minima sur 9 : le RMI, l'ASS, l'allocation pour adulte handicapé (AAH), l'allocation de parent isolé (API), l'allocation d'insertion, l'allocation veuvage.
Les anciens bénéficiaires du RMI ou de l'API, par exemple, peuvent cumuler leur salaire avec leur allocation pendant les deux premiers trimestres de manière intégrale. Les trois trimestres suivants, ils se voient appliquer un abattement de 5O% sur la moyenne de leurs revenus nets. Les allocataires de l'ASS ou de l'allocation d'insertion, en revanche, peuvent cumuler intégralement leur salaire et leur allocation pendant six mois, puis de manière partielle pendant les six mois suivants.
PLUS LISIBLE
Très complexes, ces formules sont, en outre, peu connues de leurs bénéficiaires potentiels "parmi les allocataires de l'ASS, quatre bénéficiaires potentiels sur dix en ignorent l'existence" relève Valérie Létard, sénateur, auteur d'un rapport sur le sujet. La mesure annoncée par Dominique de Villepin aura donc l'avantage d'être plus lisible. Son coût (500 millions d'euros) sera équivalent à celui du système antérieur. Elle profitera à ceux qui ne disposent pas encore de système d'intéressement, parmi lesquels les allocataires des minimums vieillesse, du minimum invalidité et de l'équivalent retraite. Elle représentera, en revanche, un manque à gagner important pour les allocataires de l'ASS, de l'API et du RMI, dont le montant de l'intéressement est supérieur à la somme des primes qui leur seront désormais versées pendant un an (1800 euros).
Lucie Robequain (Les Echos du 05.O9.05)
Moi, je suis une sacré grosse fainéante !!!
Ben oui, comme Martine j'ai pris des kilos en ne bossant plus, en ne sortant plus, en ne baisant plus, en bouffant des pâtes, et en me consolant de "ma disgrâce" financière & sociale à faire vivre ce site le cul vissé devant mon ordinateur - fenêtre sur un autre monde peut-être plein d'espoir, mais des fois je m'en fiche après tout - faute de vivre moi-même "comme tout le monde" !!! ... Comme tout le monde ? ... C'est quoi ??? Vivre vieux et mal ?
... Et je vis la nuit ! je sais pas pourquoi. Déjà avant, le week-end, c'était nuit blanche (grande "adaptabilité" horaire). Les vacances, c'était nocturne indien... J'ai jamais fait "comme tout le monde", même quand je gagnais 1500 euros par mois. J'étais fière de ma différence dans un troupeau normatif, et j'avais des adeptes. Mais c'était plus facile : grosse maison de disques, show biz et Cie, avec tout ce que ça draine de superficialité...
Alors, forcément, la vieille chouette que je suis est encore debout à 4H, 5H, 6H du mat' mais elle fait autre chose : elle cherche du boulot (j'épluche mes alertes e-mail et envoie mes candidatures par courrier le lendemain après-midi), elle retranscrit les interviews, elle écrit certains de nos articles et chroniques, elle bouquine, elle mate des documentaires intéressants qui mettent de l'eau à son moulin, elle s'instruit et ensuite s'évertue à faire passer le message. C'est peut-être dangereux, Monsieur Sarkozy, des salariés qui ont le temps de réfléchir ??? Mon réveil fonctionne toujours et je me lève quand il faut.
Comme Martine (rassure-toi, ma vieille !), je suis aussi une pure croulante de 43 balais, mais why not j'aimerais bien trouver un boulot de nuit et je le propose sur mon CV, puisque, bientôt ménopausée, je suis disponible ("dégagée OM" - obligations maternelles - comme je l'ai spécifié => expérience, intelligence et disponibilité, que veulent-ils de plus sauf mon cul qu'a enfanté et qu'est moins frais ? Mais faut voir... quand je pesais 55 kilos et que j'avais "la classe", on me sous-payait quand même en tant que femme tout court et mère-célibataire de surcroît) ! Nicolas Sarkozy n'est pas contre la prostitution non plus : il déplace les putes et ne chasse pas les mafieux.
Alors, quand Sarkozy et ses bien-pensants estiment que "l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt" - encore un dicton obsolète, puisqu'aujourd'hui on fait du fric nuit et jour ! - et que si l'on m'appelle à 10H du matin on trouve volontiers mon répondeur, je tiens à préciser que la richesse n'est pas une question d'horaire (combien de stars invitées dans les émissions people se vantent de se coucher aux aurores - boréales - et affichent un look qui tue peu importe leur âge alors que dans la vraie vie on vous discrimine pour ça ?)
Je vous annonce officiellement que je dois passer sur France 2 bientôt - en espérant que cette chaîne maudite à mon égard ne me fera pas encore faux bon sur le coup - dans une émission "Ça se discute" consacrée à la précarité et qui sera diffusée ce mois-ci. Je ferai de mon mieux pour casser les préjugés sur le chômage et les minimas sociaux, si la censure au montage me le permet...
Vont m'accompagner et seront dans le public (pourront-elles intervenir ?) SYLVIE - que vous connaissez bien maintenant - et MALIKA - mamalova sur les forums, une ex collègue qui s'est fait virer elle aussi l'année dernière à 51 ans, elle y travaillait au service du personnel depuis 13 ans, elle est aujourd'hui toujours au chomedu, et membre bienfaitrice de notre association.
Voilà. On fait ce qu'on peut, mais on fera tout. On n'est pas des feignasses.
... Et je vis la nuit ! je sais pas pourquoi. Déjà avant, le week-end, c'était nuit blanche (grande "adaptabilité" horaire). Les vacances, c'était nocturne indien... J'ai jamais fait "comme tout le monde", même quand je gagnais 1500 euros par mois. J'étais fière de ma différence dans un troupeau normatif, et j'avais des adeptes. Mais c'était plus facile : grosse maison de disques, show biz et Cie, avec tout ce que ça draine de superficialité...
Alors, forcément, la vieille chouette que je suis est encore debout à 4H, 5H, 6H du mat' mais elle fait autre chose : elle cherche du boulot (j'épluche mes alertes e-mail et envoie mes candidatures par courrier le lendemain après-midi), elle retranscrit les interviews, elle écrit certains de nos articles et chroniques, elle bouquine, elle mate des documentaires intéressants qui mettent de l'eau à son moulin, elle s'instruit et ensuite s'évertue à faire passer le message. C'est peut-être dangereux, Monsieur Sarkozy, des salariés qui ont le temps de réfléchir ??? Mon réveil fonctionne toujours et je me lève quand il faut.
Comme Martine (rassure-toi, ma vieille !), je suis aussi une pure croulante de 43 balais, mais why not j'aimerais bien trouver un boulot de nuit et je le propose sur mon CV, puisque, bientôt ménopausée, je suis disponible ("dégagée OM" - obligations maternelles - comme je l'ai spécifié => expérience, intelligence et disponibilité, que veulent-ils de plus sauf mon cul qu'a enfanté et qu'est moins frais ? Mais faut voir... quand je pesais 55 kilos et que j'avais "la classe", on me sous-payait quand même en tant que femme tout court et mère-célibataire de surcroît) ! Nicolas Sarkozy n'est pas contre la prostitution non plus : il déplace les putes et ne chasse pas les mafieux.
Alors, quand Sarkozy et ses bien-pensants estiment que "l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt" - encore un dicton obsolète, puisqu'aujourd'hui on fait du fric nuit et jour ! - et que si l'on m'appelle à 10H du matin on trouve volontiers mon répondeur, je tiens à préciser que la richesse n'est pas une question d'horaire (combien de stars invitées dans les émissions people se vantent de se coucher aux aurores - boréales - et affichent un look qui tue peu importe leur âge alors que dans la vraie vie on vous discrimine pour ça ?)
Je vous annonce officiellement que je dois passer sur France 2 bientôt - en espérant que cette chaîne maudite à mon égard ne me fera pas encore faux bon sur le coup - dans une émission "Ça se discute" consacrée à la précarité et qui sera diffusée ce mois-ci. Je ferai de mon mieux pour casser les préjugés sur le chômage et les minimas sociaux, si la censure au montage me le permet...
Vont m'accompagner et seront dans le public (pourront-elles intervenir ?) SYLVIE - que vous connaissez bien maintenant - et MALIKA - mamalova sur les forums, une ex collègue qui s'est fait virer elle aussi l'année dernière à 51 ans, elle y travaillait au service du personnel depuis 13 ans, elle est aujourd'hui toujours au chomedu, et membre bienfaitrice de notre association.
Voilà. On fait ce qu'on peut, mais on fera tout. On n'est pas des feignasses.
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bande.passante
forces vives
il me semble en les regardant s'agiter et essayer (avec un succès certain) de monter les gentils moutons sous payés contre les méchants assistés, il me semble qu'ils ont vachement peur en fait
ingérables, "rien à perdre", plus cultivés (grâce au temps libéré) et organisés que les salariés (qui n'ont même plus de syndicats), les chômistes & autres parasites sont un vrai danger
sans compter que notre savoir faire et notre force production, ben la france ne l'a pas (et n'est pas prête de la ré-avoir, à moins qu'elle le demande TRES poliment et avec les euros qui vont avec)
"ils" doivent bien se rendre compte "là haut" que tous ces gens formés et performants manquent au fonctionnement et au développement du pays
"nous" mettre au travail forcé ne servira à rien : y'a déjà plus de place dans les prisons pour faire appliquer les peines prononcées
condamner les sans argent ni patrimoine est inutile, on est intouchables ...
la france a généré sa petite anarchie en privant trop des siens du droit au travail (logement, santé, éducation...) et en exploitant les autres (encore une fois, c'est la cata' dans les boites !!! les gens sont trop mal traités et surmenés !)
bon sinon pour les kilos en trop, j'étais tombée dans le cercle vicieux aussi (dans les +15 surant qq mois) jusqu'à ce que je vois une diététicienne (50 euros l'heure mensuelle non remboursable bien sûr)
tout reperdu simplement en rééquilibrant et en pleine forme(s ;o) )
(d'où les 15 euros de bouffe par jour annoncés dans un autre post !)
la diét' compare le trip nouveau pauvres mal nourris à l'état de guerre
après m'être bousillé le corps à cause des soucis de thunes, sûr que si je n'étais pas une tête brulée niveau thunes j'irai fièrement aux restos du coeur et je volerai de la bouffe
'faut penser aux impacts à moyen long terme sur le système imunitaire, vue/dents/cheveux/ongles... cancers
j'adhère assez à un des slogans relayé par les no pasaran :
"bouffons du riche, pas de la merde !"
ingérables, "rien à perdre", plus cultivés (grâce au temps libéré) et organisés que les salariés (qui n'ont même plus de syndicats), les chômistes & autres parasites sont un vrai danger
sans compter que notre savoir faire et notre force production, ben la france ne l'a pas (et n'est pas prête de la ré-avoir, à moins qu'elle le demande TRES poliment et avec les euros qui vont avec)
"ils" doivent bien se rendre compte "là haut" que tous ces gens formés et performants manquent au fonctionnement et au développement du pays
"nous" mettre au travail forcé ne servira à rien : y'a déjà plus de place dans les prisons pour faire appliquer les peines prononcées
condamner les sans argent ni patrimoine est inutile, on est intouchables ...
la france a généré sa petite anarchie en privant trop des siens du droit au travail (logement, santé, éducation...) et en exploitant les autres (encore une fois, c'est la cata' dans les boites !!! les gens sont trop mal traités et surmenés !)
bon sinon pour les kilos en trop, j'étais tombée dans le cercle vicieux aussi (dans les +15 surant qq mois) jusqu'à ce que je vois une diététicienne (50 euros l'heure mensuelle non remboursable bien sûr)
tout reperdu simplement en rééquilibrant et en pleine forme(s ;o) )
(d'où les 15 euros de bouffe par jour annoncés dans un autre post !)
la diét' compare le trip nouveau pauvres mal nourris à l'état de guerre
après m'être bousillé le corps à cause des soucis de thunes, sûr que si je n'étais pas une tête brulée niveau thunes j'irai fièrement aux restos du coeur et je volerai de la bouffe
'faut penser aux impacts à moyen long terme sur le système imunitaire, vue/dents/cheveux/ongles... cancers
j'adhère assez à un des slogans relayé par les no pasaran :
"bouffons du riche, pas de la merde !"