Bonjour,
Je suis allée sur le site ANPE-Marchés Publics. Qu'elle ne fut pas ma surprise. Un ensemble d'exigences qui n'est nullement respecté. J'ai suivi 5 ateliers ANPE seuls 2 m'ont apporté quelquechose.
Je ne suis dit si je connaissais les exigences de l'ANPE quant à ces ateliers, j'aurais réclamé. Et OUI, nous demandeurs d'emploi ont peut réclamer auprès de l'ANPE. Mais faut-il le savoir ! Et pour le savoir il faut prendre connaissance du contenu des cahiers des charges. Comment l'ANPE évalue-t-elle ces prestataires? Je ne me souviens pas qu'on m'ai demandé ce que j'en pensais? Car bcp de ces prestataires seraient mis OUT !!!
Tout cet argent donné à des prestataires qui prennent l'ANPE comme une vache à lait. Je suis en colère!!!
Prestations ANPE
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Invité
Bien sûr que les prestations ANPE sont évaluées : nombre de participants ayant suivi la prestation jusqu'à la fin ; solutions apportées : nombre d'entretiens obtenus, projets validés, formations envisagées, emplois obtenus etc....bref les critères changent en fonction des objectifs des prestas (plus de détails : http://www.inter-emploi.org/Creer/indexcreer.htm puis dossier : prestations).
En général, à la fin de chaque presta, on doit vous remettre :
- un questionnaire d'évaluation : il convient de le remplir de la manière la plus honnête qu'il soit, mais, d'expérience, j'ai souvent eu le pressentiment que les demandeurs d'emploi ne se lâchent pas, peut être par peur de pression (le questionnaire est pourtant anonyme).
- à la fin de la session, vous effectuez un bilan de la presta avec le consultant : vous pouvez la aussi donner votre avis (ce n'est plus anonyme, mais plus vous serez sincère mieux l'ANPE pourra assurer une évaluation qualitative de ses prestataires)
De plus rien ne vous empêche lors d'un entretien à l'ANPE de faire part de vos commentaires, bons et mauvais, et j'insiste à nouveau, il faut le faire si on souhaite améliorer l'accompagnement des chômeurs.
sylvie
www.inter-emploi.org
En général, à la fin de chaque presta, on doit vous remettre :
- un questionnaire d'évaluation : il convient de le remplir de la manière la plus honnête qu'il soit, mais, d'expérience, j'ai souvent eu le pressentiment que les demandeurs d'emploi ne se lâchent pas, peut être par peur de pression (le questionnaire est pourtant anonyme).
- à la fin de la session, vous effectuez un bilan de la presta avec le consultant : vous pouvez la aussi donner votre avis (ce n'est plus anonyme, mais plus vous serez sincère mieux l'ANPE pourra assurer une évaluation qualitative de ses prestataires)
De plus rien ne vous empêche lors d'un entretien à l'ANPE de faire part de vos commentaires, bons et mauvais, et j'insiste à nouveau, il faut le faire si on souhaite améliorer l'accompagnement des chômeurs.
sylvie
www.inter-emploi.org
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nenette911
prestations ANPE
On peut effectivement, j'avais signalé mon mécontentement à l'encontre d'un prestaire lors d'un entretien avec un conseiller ANPE, mais ma remarque n'a pas été notée sur le compte rendu d'entretien, ce que j'ai également signalé au conseiller qui m'a simplement répondu : "...oui mais j'en parlerais à ma responsable !!!!".
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Invité
réponse honnête à mon avis, rien à voir avec votre situation mais directement avec le prestataire dont les compétences sont peut être remises en cause
m'enfin, savez-vous si l'organisme en question a été réhabilité ?
sylvie
www.inter-emploi.org
m'enfin, savez-vous si l'organisme en question a été réhabilité ?
sylvie
www.inter-emploi.org
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corto.maltese
En effet inutile de mettre ca dans un compte rendu à votre dossier, ca n'a rien à voir. Par expérience, les avis des demandeurs d'emploi comptent beaucoup dans la "cote" des prestataires de chaque agence, et leur activité ultérieure en dépend!
Pour les nouvelles habilitations, rien n'a encore été finalisé. Les dossiers sont en cours d'étude par les directions régionalles.
Pour les nouvelles habilitations, rien n'a encore été finalisé. Les dossiers sont en cours d'étude par les directions régionalles.
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Hervés
le marché des chomeurs
Le probleme n'est-il pas dans la marchandisation de TOUT
y compris les chomeurs, qui ne sont finalement que des clients pour ces prestataires, toutes ces boites qui sont censés nous aider. L'essentiel est de resister à cette logique, et de créer des espaces de gratuité, c'estr justement ce que vous faites, et BRAVO (je viens de lire l'interview de Sylvie qui va bien dans ce sens)
il faut donc continuer à créer à coté (de l'anpe, des "commerces" sur le chomage et les chomeurs),
continuer à créer des sites, des assoc ou les chomeurs puissent parler, trouver des solutions, sans avoir à rendre des comptes à des marchands ou des administrations qui perpétuent la frustration et la culpabilisation
donc arriver à se passer le plus possible de ces gens là, pour enfin trouver une auto-organisation des chomeurs.
Je suis aussi vraiment d'accord pour dire qu'il faut des lieux, des assoc. qui s'occupent A LA FOIS de la défense des droits
ET de la recherche de solutions individuelles
c'est meme urgent, c'est ainsi qu'on commencera à sortir du traitement purement administratif et marchand du chomage
qui nous étouffe tous !
y compris les chomeurs, qui ne sont finalement que des clients pour ces prestataires, toutes ces boites qui sont censés nous aider. L'essentiel est de resister à cette logique, et de créer des espaces de gratuité, c'estr justement ce que vous faites, et BRAVO (je viens de lire l'interview de Sylvie qui va bien dans ce sens)
il faut donc continuer à créer à coté (de l'anpe, des "commerces" sur le chomage et les chomeurs),
continuer à créer des sites, des assoc ou les chomeurs puissent parler, trouver des solutions, sans avoir à rendre des comptes à des marchands ou des administrations qui perpétuent la frustration et la culpabilisation
donc arriver à se passer le plus possible de ces gens là, pour enfin trouver une auto-organisation des chomeurs.
Je suis aussi vraiment d'accord pour dire qu'il faut des lieux, des assoc. qui s'occupent A LA FOIS de la défense des droits
ET de la recherche de solutions individuelles
c'est meme urgent, c'est ainsi qu'on commencera à sortir du traitement purement administratif et marchand du chomage
qui nous étouffe tous !
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Invité
voilà, voilà, merci Hervés, ton message est fort et me fais plaisir parce que tu as tout compris à notre démarche !
si nous ne décidons pas de nous prendre en main, personne ne le fera à notre place, alors organisons-nous !
c'est exactement les raisons pour lesquelles actuchom' et interempl' existent aujourd'hui : créons des réseaux ! et bienvenue à tous ceux qui ont envie de participer, développer et améliorer nos actions.
clair on facture pas, et on n'y compte pas, la seule alternative à la pression autour des chômeurs (contrôle, contrat d'accompagnement ou d'insertion) c'est bien d'encourager l'autonomie des chômeurs.
c'est pourquoi nous mettons tout en oeuvre pour créer des passerelles, juste avec nos moyens(temps/énergie/ressources)
sylvie
www.inter-emploi.org
si nous ne décidons pas de nous prendre en main, personne ne le fera à notre place, alors organisons-nous !
c'est exactement les raisons pour lesquelles actuchom' et interempl' existent aujourd'hui : créons des réseaux ! et bienvenue à tous ceux qui ont envie de participer, développer et améliorer nos actions.
clair on facture pas, et on n'y compte pas, la seule alternative à la pression autour des chômeurs (contrôle, contrat d'accompagnement ou d'insertion) c'est bien d'encourager l'autonomie des chômeurs.
c'est pourquoi nous mettons tout en oeuvre pour créer des passerelles, juste avec nos moyens(temps/énergie/ressources)
sylvie
www.inter-emploi.org
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corto.maltese
Juste un petit apparté : non à la marchandisation des chômeurs, en effet c'est primordial!
Mais pour autant, Sylvie a besoin de manger tous les jours, d'un toit, de vètements ... Moi aussi d'ailleur, et tout un chacun pareil.
Donc ce qu'elle fait, ne doit pas, ne peut pas être -gratuit-.
Il s'agit, au contraire, d'un service NON MARCHAND, c'est à dire dont le coût n'est pas supporté par l'utilisateur direct du service, puisque lui ne paie rien.
Ce cout doit donc être pris en charge autrement : par la collectivité bien sur.
On peut discutter ensuite longuement des modalités de cette prise en charge (les CAE actuels sont une forme de prise en charge collective des services non marchands ...) mais le principe reste!
Je suis en général très pointilleux quand on fait l'amalgame entre le "gratuit" et le "non marchand" : il s'agit d'un choix de société fondamental!
Pour poser le problème de manière simple (sinon simpliste) : qu'est ce qui est le plus efficace (pour la société, en termes de bien être social, de protection contre les aléas naturels ...) entre un bien, un service, facturé à chaque utilisateur; ou un bien, un service dont le cout est pris en charge collectivement?
Juste un exemple : la santé.
Globalement le cout des soins aux USA est de 14 % du PIB, dans un système quasi-totalement marchand (mutuelles privées , majorité des hopitaux privés ...), alors qu'en France il est de 9% du PIB dans un sytème principalement non marchand (sécu ...). Et on constate quoi : que le résultat qualitatif (la qualité des soins) est bien meilleur en France qu'aux USA. CQFD
Juste pour finir, les service de l'ANPE envers les employeurs (prise des offres d'emplois, diffusion, anpe.fr, ...) ne sont pas gratuits non plus, mais NON MARCHANDS.
Mais pour autant, Sylvie a besoin de manger tous les jours, d'un toit, de vètements ... Moi aussi d'ailleur, et tout un chacun pareil.
Donc ce qu'elle fait, ne doit pas, ne peut pas être -gratuit-.
Il s'agit, au contraire, d'un service NON MARCHAND, c'est à dire dont le coût n'est pas supporté par l'utilisateur direct du service, puisque lui ne paie rien.
Ce cout doit donc être pris en charge autrement : par la collectivité bien sur.
On peut discutter ensuite longuement des modalités de cette prise en charge (les CAE actuels sont une forme de prise en charge collective des services non marchands ...) mais le principe reste!
Je suis en général très pointilleux quand on fait l'amalgame entre le "gratuit" et le "non marchand" : il s'agit d'un choix de société fondamental!
Pour poser le problème de manière simple (sinon simpliste) : qu'est ce qui est le plus efficace (pour la société, en termes de bien être social, de protection contre les aléas naturels ...) entre un bien, un service, facturé à chaque utilisateur; ou un bien, un service dont le cout est pris en charge collectivement?
Juste un exemple : la santé.
Globalement le cout des soins aux USA est de 14 % du PIB, dans un système quasi-totalement marchand (mutuelles privées , majorité des hopitaux privés ...), alors qu'en France il est de 9% du PIB dans un sytème principalement non marchand (sécu ...). Et on constate quoi : que le résultat qualitatif (la qualité des soins) est bien meilleur en France qu'aux USA. CQFD
Juste pour finir, les service de l'ANPE envers les employeurs (prise des offres d'emplois, diffusion, anpe.fr, ...) ne sont pas gratuits non plus, mais NON MARCHANDS.
Dernière modification par corto.maltese le 02 sept. 2005, modifié 1 fois.
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St Dumortier
Bonjour,
Pour moi, dans la prestation de service, le client de l'organisme, c'est le prescripteur.
Le client c'est l'anpe (ou autre), le contenu de la formation EST la marchandise. Donc,
Celui qui achète n'utilise pas ce qu'il paie.
Celui qui fournit ne rend compte que de la quantité livrée.
Celui qui doit faire avec la marchandise n'est RIEN.
Si!
Il est obligé d'ingérer la marchandise.
Pire, le prescripteur n'est pas impliqué dans la qualité de la marchandise. son rôle se cantonne à l'administratif.
Même pas besoin de soigner sa réputation!
Bien sur, on vous permet de donner votre avis, mais les dossiers ne sont pas lus, seulement les dossiers pédagogiques et financiers.
"Alors! Combien?"
une séries de chiffres énoncée par un "conseiller" doit se comprendre comme un cri de guerre. c'est le score de placement.
Le premier nombre, les cdi du groupe qui vient de quitter la prestation, le deuxième, les cdd, le troisième, les formations.
Il est de bon ton de ne pas poser de questions sur l'opportunitée de l'orientation, l'adéquation avec la personne ou la pérennité du poste. Quant à l'après formation ou cdd, les débouchés à terme, il ne faut même pas y penser.
Et pourtant, des parcours de progression personelle sont partis de là et on trouvera des personnes pour qui l'expérience fut enrichissante.
Une idée d'une amie, était de rendre l'usager "acheteur" de l'offre d'insertion. Selon le principe que si la formation à un coût, et que je dois "consommer la prestation" alors que l'on me laisse utiliser cet argent selon mon besoin.
En gros, des "chéquiers(oui encore je sais)-formation".
Le "capital formation" acquis par la situation est quantifié puis converti en valeur monétaire. Avec ce chéquier j'utilise l'offre des prestataires agréés selon mes besoins et surtout selon la qualité des prestations.
ce qui rétablit la concurrence et améliore la qualité des prestations (en principe).
A l'échelle de l'accés aux NTIC, il y a eu une expérience du même genre dans le lot.
(je retrouve le site si quelqu'un intéressé).
Pour ce qui est de l'auto information, entièrement d'accord.
L'auto organisation, c'est toujours la scène d'après l'apocalypse dans les films catastrophe. C'est parce que c'est vrai dans la vie aussi.
Mais les leçons de l'histoire sont souvent vite oubliées.
Pour moi, dans la prestation de service, le client de l'organisme, c'est le prescripteur.
Le client c'est l'anpe (ou autre), le contenu de la formation EST la marchandise. Donc,
Celui qui achète n'utilise pas ce qu'il paie.
Celui qui fournit ne rend compte que de la quantité livrée.
Celui qui doit faire avec la marchandise n'est RIEN.
Si!
Il est obligé d'ingérer la marchandise.
Pire, le prescripteur n'est pas impliqué dans la qualité de la marchandise. son rôle se cantonne à l'administratif.
Même pas besoin de soigner sa réputation!
Bien sur, on vous permet de donner votre avis, mais les dossiers ne sont pas lus, seulement les dossiers pédagogiques et financiers.
"Alors! Combien?"
une séries de chiffres énoncée par un "conseiller" doit se comprendre comme un cri de guerre. c'est le score de placement.
Le premier nombre, les cdi du groupe qui vient de quitter la prestation, le deuxième, les cdd, le troisième, les formations.
Il est de bon ton de ne pas poser de questions sur l'opportunitée de l'orientation, l'adéquation avec la personne ou la pérennité du poste. Quant à l'après formation ou cdd, les débouchés à terme, il ne faut même pas y penser.
Et pourtant, des parcours de progression personelle sont partis de là et on trouvera des personnes pour qui l'expérience fut enrichissante.
Une idée d'une amie, était de rendre l'usager "acheteur" de l'offre d'insertion. Selon le principe que si la formation à un coût, et que je dois "consommer la prestation" alors que l'on me laisse utiliser cet argent selon mon besoin.
En gros, des "chéquiers(oui encore je sais)-formation".
Le "capital formation" acquis par la situation est quantifié puis converti en valeur monétaire. Avec ce chéquier j'utilise l'offre des prestataires agréés selon mes besoins et surtout selon la qualité des prestations.
ce qui rétablit la concurrence et améliore la qualité des prestations (en principe).
A l'échelle de l'accés aux NTIC, il y a eu une expérience du même genre dans le lot.
(je retrouve le site si quelqu'un intéressé).
Pour ce qui est de l'auto information, entièrement d'accord.
L'auto organisation, c'est toujours la scène d'après l'apocalypse dans les films catastrophe. C'est parce que c'est vrai dans la vie aussi.
Mais les leçons de l'histoire sont souvent vite oubliées.
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carolyne06
Prestations ANPE
complètement d'accord avec vous!!!! c'est une honte tout ces soit disant organisme d'aide au retour vers l'emploi.... à quand des PROSPECTEURS PLACIERS?........Vincente Paule a écrit :Bonjour,
Je suis allée sur le site ANPE-Marchés Publics. Qu'elle ne fut pas ma surprise. Un ensemble d'exigences qui n'est nullement respecté. J'ai suivi 5 ateliers ANPE seuls 2 m'ont apporté quelquechose.
Je ne suis dit si je connaissais les exigences de l'ANPE quant à ces ateliers, j'aurais réclamé. Et OUI, nous demandeurs d'emploi ont peut réclamer auprès de l'ANPE. Mais faut-il le savoir ! Et pour le savoir il faut prendre connaissance du contenu des cahiers des charges. Comment l'ANPE évalue-t-elle ces prestataires? Je ne me souviens pas qu'on m'ai demandé ce que j'en pensais? Car bcp de ces prestataires seraient mis OUT !!!
Tout cet argent donné à des prestataires qui prennent l'ANPE comme une vache à lait. Je suis en colère!!!
Occuper les chômeurs en temps de pénurie...
... voilà à quoi servent ces "prestations" la plupart du temps : c'est de l'"occupation de chômeurs" qui en engraisse certains pendant que d'autres en chient, mais ce qui manque, fondamentalement, c'est la matière-première => L'EMPLOI.
On peut faire tout ce qu'on veut : regretter les propecteurs placiers, convoquer les chômeurs tous les mois et leur faire faire des ateliers... Tant qu'il n'y aura pas de créations d'emplois conséquentes, on occupera et on contrôlera les demandeurs d'emploi, et on leur dira que c'est de leur faute.
Pardon pour le radotage, mais je m'adresse aux nouveaux qui découvrent ce site :
En 2003, il a été détruit 67.000 emplois en France.
En 2004, il n'a été créé que 17.200 postes.
Au premier semestre 2005, il n'a été créé que… 5.000 postes !
Pour 3,7 millions d'inscrits à l'ANPE dont 2,4 millions de chômeurs officiels de catégorie 1 => cherchez l'erreur !!!
Et comme dit ylenorm sur un autre message :
On peut faire tout ce qu'on veut : regretter les propecteurs placiers, convoquer les chômeurs tous les mois et leur faire faire des ateliers... Tant qu'il n'y aura pas de créations d'emplois conséquentes, on occupera et on contrôlera les demandeurs d'emploi, et on leur dira que c'est de leur faute.
Pardon pour le radotage, mais je m'adresse aux nouveaux qui découvrent ce site :
En 2003, il a été détruit 67.000 emplois en France.
En 2004, il n'a été créé que 17.200 postes.
Au premier semestre 2005, il n'a été créé que… 5.000 postes !
Pour 3,7 millions d'inscrits à l'ANPE dont 2,4 millions de chômeurs officiels de catégorie 1 => cherchez l'erreur !!!
Et comme dit ylenorm sur un autre message :
Il suffisait d'y penser : quand tout le monde sera accompagné, il y aura automatiquement autant d'emplois que de chômeurs. Excellente découverte.
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Invité
Tiens, le Centre d'Etude de l'Emploi vient de publier un dossier : "un bilan sur l'accompagnement des chômeurs"
Suivi en prestation de type : ECCP (évaluation des compétences et capacités professionnelles), BCA (bilan de compétences approfondi), objectif projet et objectifs emploi.
On y dit que "Toutes les prestations permettent d'accélérer les sorties vers l'emploi. Cependant, l'impact diffère selon que la personne a déjà connu des périodes de chômage.
Le BCA est surtout bénéfique au – de 30 ans ; les aides à la recherche d'emploi sont moins efficaces aux personnes moins éduquées. L'effet des prestations s'atténue en fin d'observation de l'étude (qui s'étend de juillet 2001 à juin 2004) peut être lié à une dégradation de la conjoncture ou a une accélération du dispositif."
lire la synthèse de l'étude:
http://www.inter-emploi.org/Creer/indexcreer.htm rubrique "prestations"
Beaucoup de chose que ne dit pas l'étude (par exemple, à quoi ça sert de bosser sur un projet quand on sait que même si les formations sont validées, elles ne peuvent être réalisées du fait de la restriction des budgets....)
Je prépare un dossier à ce sujet
Sylvie
www.inter-emploi.org
Suivi en prestation de type : ECCP (évaluation des compétences et capacités professionnelles), BCA (bilan de compétences approfondi), objectif projet et objectifs emploi.
On y dit que "Toutes les prestations permettent d'accélérer les sorties vers l'emploi. Cependant, l'impact diffère selon que la personne a déjà connu des périodes de chômage.
Le BCA est surtout bénéfique au – de 30 ans ; les aides à la recherche d'emploi sont moins efficaces aux personnes moins éduquées. L'effet des prestations s'atténue en fin d'observation de l'étude (qui s'étend de juillet 2001 à juin 2004) peut être lié à une dégradation de la conjoncture ou a une accélération du dispositif."
lire la synthèse de l'étude:
http://www.inter-emploi.org/Creer/indexcreer.htm rubrique "prestations"
Beaucoup de chose que ne dit pas l'étude (par exemple, à quoi ça sert de bosser sur un projet quand on sait que même si les formations sont validées, elles ne peuvent être réalisées du fait de la restriction des budgets....)
Je prépare un dossier à ce sujet
Sylvie
www.inter-emploi.org