Page 1 sur 1

le travail le dimanche, discussion suspendue

Publié : 18 déc. 2008
par Pili

Publié : 18 déc. 2008
par ledesa
NON, Sa Seigneurie Sarkozy a demandé à ce que cette discussion reprenne maintenant à l'assemblée nationale!!! :lol:

Encore une nouvelle preuve du "fait du prince" et dans notre démocratie cela devient très grave et de plus "il" ont modifié la constitution pour que le parlement ait le choix de ses ordres du jour"..mais Sarkokarcher 1er se croit au-dessus des lois, de la constitution, ce monsieur veut tout tout de suite, se croit supérieur à tous .................................................!!!

C'est grave docteur, très très grave !!!

Publié : 18 déc. 2008
par ledesa
Suite et fin du roman feuilleton :

Une lettre de Roger Karoutchi

«Malgré ce que François Fillon a dit ce matin, à 11h45, on vient de nous dire que Monsieur Le Fur devait faire son intervention sur le travail du dimanche entre 15h45 et 16h aujourd'hui, raconte à 20minutes.fr l'attaché parlementaire du député. On ne sait pas pourquoi, le chat est donc reporté.»

Une demi-heure plus tard, le même attaché parlementaire rappelle, indiquant que Marc Le Fur, vice-président de l'Assemblée nationale, qui présidait les débats dans la matinée, a finalement lu une lettre de Roger Karoutchi, secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement, adressée à Bernard Accoyer (le président de l'Assemblée, ndlr). Celle-ci indiquait que les séances de cet après-midi et ce soir étaient supprimées. L'examen de la loi Mallié est donc bien reporté et le chat est maintenu à 15h...

Selon l'AFP, c'est Nicolas Sarkozy, lors de la réunion à l'Elysée des responsable de la majorité, qui aurait réclamé que l'UMP batte le rappel des troupes pour que les débats puissent reprendre ce jeudi. Mais l'annonce du maintien du texte aurait été aussitôt interprétée comme un désaveu de François Fillon par le chef de l'Etat, souffle un responsable UMP à l'AFP.

Officiellement, la poursuite de la discussion est donc programmée le 15 janvier.

Le Premier ministre François Fillon à l'Assemblée nationale le 17 décembre 2008