lucia a écrit :Bonjour, je suis actuellement en cours de licenciement,
en procédure,
définitivement demandeur d'emploi en septembre
La caisse qui va me remunerer, pour une periode de 23 mois apres un delai de carence de 75 jours est la CMAC, etant des assimilés fonctionnaires...
Qui a ce jour est indemnisé par cette caisse ?
notamment je veux reprendre de suite dés septembre une formation...
je sais que les conditions de paiment sont les memes que l'assedic, mais il n'y a aucun statut specifique comme aux assedics pour les DE qui souhaitent partir en formations
donc par ex, congé de conversion, ... foramtions conventionnées ...
Merci de vos temoignages
La CMAC a des methodes de calcul spéciales, licencié le 18 juillet, je ne serais indemnisé que le 12 mai (de l'année suivante), demandant des explications, pas de réponse de cet organisme.... Bon courage !
Voulez-vous connaître mon histoire au sein d’une chambre de Commerce ?
J’étais cadre titulaire avec la fonction de conseiller TIC, le 18 juillet 2005, pendant mes congés à la plage, ma fille me prévient de l’arrivée d’une lettre avec AR en provenance de la CCI, je lui demande de l’ouvrir, elle me signale que je suis licencié avec effet immédiat, dispensé du préavis, pour suppression de poste (poste que je n’occupais pas).
Je reviens de vacances, précipitamment, pour notamment récupérer mes affaires restées à la CCI, celle-ci me signale qu’elle me ferra livrer par transporteur chez moi.
Le préavis, dont je suis dispensé est de 4 mois, soit fin de celui-ci au 18 novembre 2005.
Je fais, bien sur appel à un avocat pour me défendre, celui-ci n’est autre que Gilbert COLLARD.
Cet avocat, sur de mon droit, envoie, dès le début de la procédure, une demande de négociation à la CCI.
N’ayant pas de réponse début novembre, je décide de faire appel au député-maire et lui demande un rendez-vous.
Le 16 novembre 2005, soit 2 jours avant la fin du préavis, je reçois un huissier qui me notifie ma réembauche et m’indique que je dois me présenter à la CCI le 22 novembre à 9 h, pour établir les modalités de réembauche.
Je me présente, et l’on me notifie ma réembauche, mais je suis dispensé de venir travailler.
Le même jour, soit le 22 novembre à 14 heures, je reçois un huissier qui me notifie une procédure de révocation par cette même CCI.
Lors de l’entretien de réembauche, le grief reproché est d’avoir averti le député-maire au mépris de mon devoir de réserve.
Le 20 décembre est fixé la réunion de la CPL pour statuer sur ma révocation, la veille je les ai eus au téléphone, et ils m’ont assuré de leur soutien sans réserve, mais le 20 décembre, ils vont tous voter pour ma révocation, en outre sur le compte-rendu de la CPL que je me suis procuré par personne interposé, ils me menacent de porter plainte au pénal pour diffamation.
Le 3 janvier 2006, je suis révoqué et ils me réclament mon indemnité de licenciement.
Concernant l’indemnisation par la caisse CMAC, la première démarrait le 26 juillet 2006 avec début d’indemnisation au 26 mars 2006.
Concernant le second licenciement, le démarrage est toujours au 26 juillet, mais l’indemnisation démarre au 12 mai 2006, ce qui fait que je n’ai rien touché depuis le 18 juillet 2005 hormis ma courte période de réembauche.
Qu’en pensez-vous ?
P.S. : j’étais responsable de la validation des élections consulaires, et j’ai eu le tort d’indiquer que le Président actuellement en fonction était à l’époque inéligible, et qu’il avait fait usage de faux pour monter sa liste...
Dès ma révocation, mon poste de conseiller TIC à été recréé.