LITIGE POLE EMPLOI SUITE A UNE FORMATION CIF CDD
Publié : 18 mars 2013
Bonjour,
Je rencontre depuis 4 mois des problèmes avec le Pôle emploi de Riorges.
En novembre j'ai terminé une formation à l'AFPA financée par un Fongecif CDD (région PACA).
Pendant cette formation, il y avait des périodes qui n'étaient pas rémunérées par le Fongecif, plus de 100h et le pôle emploi de Brive, après s'être renseigné auprès de leur système juridique et avoir récolté les justificatifs nécessaires, m'a versé des indemnisations pour ces mêmes périodes. De même, avant de contacter le pôle emploi, je m'étais renseigné auprès du Fongecif qui m'accordait de travailler en dehors de mes heures de formation, ce qui veut bien dire que je pouvais être demandeur d'emploi.
Lors du transfert de mon dossier au pôle emploi de Riorges, ils me réclament un trop-perçu à hauteur de 943 € concernant ces périodes d'indemnisations.
Pour ce faire, ils me retiennent environ 180 € de mes allocations retour à l'emploi, tous les mois.
Au début, ils m'ont réclamé des attestations ASSEDIC particulières.
J'ai donc effectué les démarches auprès du Fongecif paca qui a fait le nécessaire à 2 reprises, c'est-à-dire m'a envoyé 2 attestations différentes pour satisfaire la demande de Mme G****( en charge de mon dossier au pôle emploi de Riorges ). Mme Q***** (en charge de mon dossier au Fongecif PACA ) lui a alors réclamé un document mentionnant le type d'attestation qu'il lui faudrait, mais Mme G**** n'en a rien fait. C'est alors que j'ai envoyé les documents nécessaires à sa place pour accélérer le traitement de mon dossier.
Mme Gayte est venue à dénigrer leur travail et mettre la faute sur le Fongecif, qui aujourd'hui me "souhaite bonne chance avec le pôle emploi de Riorges et Mme G****".
D'autre part, le pôle emploi de Brive m'a certifié pouvoir rester demandeur d'emploi pendant cette formation.
Lors du transfert entre les 2 agences, on m'a obligé à me désinscrire, et de ce fait 29 jours de carence m'ont été retenue ce qui equivaut a mes allocations de décembre alors qu'une loi stipule qu'avec plus de 40 h d'interruption en formation, la personne peut rester demandeur d'emploi.
Aujourd'hui, ils me réclament un trop perçu de 256€ comprenant les 400 € perçus en novembre suite à la fin de ma formation -134 € qui correspondent à une période non rémunérées du Fongecif pour laquelle le pôle emploi de Brive a jugé légal de me verser des indemnisations.
Vous constatez déjà dans ces conditions, l'incohérence du pôle emploi de Riorges, qui d'un côté me certifie un trop perçu suite à une indemnisation pendant la formation et qui d'un autre côté (sur le papier du trop perçu) me dit que "je devais percevoir" cette somme pour les même raison.
Il m'est difficile de tout vous relater en une simple lettre.
De plus, j'ai contacté le médiateur uniquement par mail (car aucun numéro de téléphone ne m'a été communiqué) ; et quand je lui ai demandé de me contacter afin de mieux discuter des problèmes que je rencontre, il m'a répondu par mail en m'informant de la clôture de mon dossier alors que rien n'est encore régler, ni certifié par écrit.
Je vais toutes les semaines au pole emploi pour prendre connaissance de l'avancement de mon dossier depuis début décembre.
J'ai différentes attestations d'indemnités, une demande de RSA, des incohérences flagrantes sur différents documents et je n'arrive pas à me faire entendre depuis 4 mois.
A chaque fois que je me présente, on me sourit et on me dit que le nécessaire a été fait. Je perds ma patience et ma bonne éducation.
En résumé :
On me doit : les 29 jours de carence
On me réclame et je ne dois pas: les indemnités perçues en cours de formation, les indemnités perçues pour le mois de novembre du 17 au 30 après la fin de ma formation.
Aujourd'hui, je rencontre de graves difficultés financières en grosse partie de leur faute. Je ne sais plus quoi faire pour me faire entendre et je cherche un spécialiste en droit allocations chômage afin de me conseiller au mieux et dans le pire des cas d'engager des démarches juridiques pour dénoncer ce dysfonctionnement.
Plusieurs de mes collègues dans la même situation que moi n'ont rencontré aucun problème au traitement de leur dossier : en formation à l'AFPA, financé par un Fongecif CDD .
Pourriez-vous m'épauler ou m'aiguiller vers des personnes spécialisées dans ce domaine ou encore me transmettre des textes de lois me permettant de me defendre.
Dans 8 jours, j'emménage à Autun pour un nouveau poste de responsable d'établissement et j'aimerai que mon dossier soit traité afin de ne pas retrouver ces mêmes problèmes dans 7 mois à la fin de mon CDD. J'ai espéré ce traitement de mon dossier durant 3 mois, en croyant à la bonne foi et la compétence de Mme G****.
Quand j'ai demandé à rencontrer le directeur, on m'a signalé que c'était impossible.
J'espère fortement obtenir votre écoute et votre aide car je ne sais plus vers qui me tourner pour me sortir de cette situation. Je pense qu'il y a certainement des cas beaucoup plus alarmant que le mien, mais qu'en est-il si on ne peut pas se défendre même pour des choses que certains jugeraient futiles ... Ca me coute, un découvert, des agios, des frais bancaires, de l'insécurité, des soucis, de l'angoisse, du stress...etc..
Bien Cordialement
Je rencontre depuis 4 mois des problèmes avec le Pôle emploi de Riorges.
En novembre j'ai terminé une formation à l'AFPA financée par un Fongecif CDD (région PACA).
Pendant cette formation, il y avait des périodes qui n'étaient pas rémunérées par le Fongecif, plus de 100h et le pôle emploi de Brive, après s'être renseigné auprès de leur système juridique et avoir récolté les justificatifs nécessaires, m'a versé des indemnisations pour ces mêmes périodes. De même, avant de contacter le pôle emploi, je m'étais renseigné auprès du Fongecif qui m'accordait de travailler en dehors de mes heures de formation, ce qui veut bien dire que je pouvais être demandeur d'emploi.
Lors du transfert de mon dossier au pôle emploi de Riorges, ils me réclament un trop-perçu à hauteur de 943 € concernant ces périodes d'indemnisations.
Pour ce faire, ils me retiennent environ 180 € de mes allocations retour à l'emploi, tous les mois.
Au début, ils m'ont réclamé des attestations ASSEDIC particulières.
J'ai donc effectué les démarches auprès du Fongecif paca qui a fait le nécessaire à 2 reprises, c'est-à-dire m'a envoyé 2 attestations différentes pour satisfaire la demande de Mme G****( en charge de mon dossier au pôle emploi de Riorges ). Mme Q***** (en charge de mon dossier au Fongecif PACA ) lui a alors réclamé un document mentionnant le type d'attestation qu'il lui faudrait, mais Mme G**** n'en a rien fait. C'est alors que j'ai envoyé les documents nécessaires à sa place pour accélérer le traitement de mon dossier.
Mme Gayte est venue à dénigrer leur travail et mettre la faute sur le Fongecif, qui aujourd'hui me "souhaite bonne chance avec le pôle emploi de Riorges et Mme G****".
D'autre part, le pôle emploi de Brive m'a certifié pouvoir rester demandeur d'emploi pendant cette formation.
Lors du transfert entre les 2 agences, on m'a obligé à me désinscrire, et de ce fait 29 jours de carence m'ont été retenue ce qui equivaut a mes allocations de décembre alors qu'une loi stipule qu'avec plus de 40 h d'interruption en formation, la personne peut rester demandeur d'emploi.
Aujourd'hui, ils me réclament un trop perçu de 256€ comprenant les 400 € perçus en novembre suite à la fin de ma formation -134 € qui correspondent à une période non rémunérées du Fongecif pour laquelle le pôle emploi de Brive a jugé légal de me verser des indemnisations.
Vous constatez déjà dans ces conditions, l'incohérence du pôle emploi de Riorges, qui d'un côté me certifie un trop perçu suite à une indemnisation pendant la formation et qui d'un autre côté (sur le papier du trop perçu) me dit que "je devais percevoir" cette somme pour les même raison.
Il m'est difficile de tout vous relater en une simple lettre.
De plus, j'ai contacté le médiateur uniquement par mail (car aucun numéro de téléphone ne m'a été communiqué) ; et quand je lui ai demandé de me contacter afin de mieux discuter des problèmes que je rencontre, il m'a répondu par mail en m'informant de la clôture de mon dossier alors que rien n'est encore régler, ni certifié par écrit.
Je vais toutes les semaines au pole emploi pour prendre connaissance de l'avancement de mon dossier depuis début décembre.
J'ai différentes attestations d'indemnités, une demande de RSA, des incohérences flagrantes sur différents documents et je n'arrive pas à me faire entendre depuis 4 mois.
A chaque fois que je me présente, on me sourit et on me dit que le nécessaire a été fait. Je perds ma patience et ma bonne éducation.
En résumé :
On me doit : les 29 jours de carence
On me réclame et je ne dois pas: les indemnités perçues en cours de formation, les indemnités perçues pour le mois de novembre du 17 au 30 après la fin de ma formation.
Aujourd'hui, je rencontre de graves difficultés financières en grosse partie de leur faute. Je ne sais plus quoi faire pour me faire entendre et je cherche un spécialiste en droit allocations chômage afin de me conseiller au mieux et dans le pire des cas d'engager des démarches juridiques pour dénoncer ce dysfonctionnement.
Plusieurs de mes collègues dans la même situation que moi n'ont rencontré aucun problème au traitement de leur dossier : en formation à l'AFPA, financé par un Fongecif CDD .
Pourriez-vous m'épauler ou m'aiguiller vers des personnes spécialisées dans ce domaine ou encore me transmettre des textes de lois me permettant de me defendre.
Dans 8 jours, j'emménage à Autun pour un nouveau poste de responsable d'établissement et j'aimerai que mon dossier soit traité afin de ne pas retrouver ces mêmes problèmes dans 7 mois à la fin de mon CDD. J'ai espéré ce traitement de mon dossier durant 3 mois, en croyant à la bonne foi et la compétence de Mme G****.
Quand j'ai demandé à rencontrer le directeur, on m'a signalé que c'était impossible.
J'espère fortement obtenir votre écoute et votre aide car je ne sais plus vers qui me tourner pour me sortir de cette situation. Je pense qu'il y a certainement des cas beaucoup plus alarmant que le mien, mais qu'en est-il si on ne peut pas se défendre même pour des choses que certains jugeraient futiles ... Ca me coute, un découvert, des agios, des frais bancaires, de l'insécurité, des soucis, de l'angoisse, du stress...etc..
Bien Cordialement