L'Emploi et le Chômage en Débats

C'est l'histoire d'un instituteur qui demande à son élève de conjuguer
son avenir au présent de l'indicatif, l'élève lui réponds :

je suis condamné à mort sociale
tu es condamné à mort sociale
il est condamné à mort sociale
nous sommes condamnés à mort sociale
vous êtes condamnés à mort sociale....

Mais tu ne termine pas ta conjugaison mon petit lui réponds l'instituteur
, l'élève lui réponds alors: « Certains privilégiés complices du système et de notre mort sociale en réchapperont : ce sont eux les vrais criminels et ils ne sont pas condamnés à mort sociale, Monsieur l'instituteur, je crains fort que nous crevions la gueule ouverte en silence... »

Mais qui sont ces privilégiés mon petit ?

Nous sommes nombreux à être en sursis et à ne pas souhaiter à crever la gueule ouverte en silence sous la complicité de nos élites ( de droite et sociale démocrate ).

Nous accusons ces élites de complicité d'homicide social et de non assistance à personne en danger
.Si nous devons mourir socialement nous ne souhaitons pas couler tout seul à bord du titanic ultralibéral.

Nous souhaitons mettre un terme définitif à la belle aux bois dormant

de nos élites

: ces élites, nos élites ne doivent plus dormir tranquillement sur leurs 2 oreilles.

Il est grand temps pour eux que leur rêve éveillé orné de nombreux privilèges aille à son terminus définitif .

Pourquoi seuls ces privilégiés auraient ils droit à une sécurité de vie pérenne pour eux et leur progéniture ?
: Terminus et tout le monde descends et vite !

Le foutage de gueule, la comédie des joutes oratoires droite-gauche

et après on va boire un coup au bar de "l'assemblée nationale",

Bruxelles qui nous dit où mieux pisser avec les résultats
que l'on sait et ce sans droit de véto ou de regard des peuples,

les journalistes audiovisuels ou de presse écrite qui couchent avec nos politiques, nous désinforment et qui sont de surcroît trop bien payés eu égard à la "qualité" du travail qu'ils nous facturent (directement ou indirectement) ; Terminus et vite ! .

Tout le monde descends : la fête est terminée.
On en a plein le cul : il est tant de régler nos comptes.

Signé : le peuple

mais le peuple dort Monsieur l’instituteur je suis maintenant certain que nous allons crever la gueule ouverte et en silence…

Bonjour,

J'ai laissé quelques messages sur le répondeur de l'émission
" Là-bas si j'y suis " sur France Inter de Daniel Mermet au 01 56 40 37 37. (je ne sais pas s'ils auront le courage de les diffuser/ horaire de difussion
15h00-16h00)
Dans quel but : la création d'un site qui aurait pour nom http://condamnéàmortsocial.org

(le tout sans accents : site web oblige)

Précision : ce site n'a pas encore été crée je lance donc un appel aux auditeurs de " Là-bas si j'y suis " ( je peux acheter le nom de domaine mais ne saurait pas créer le site Web , de surcroit je n'ai pas les compétences techniques).

Il faut se mobiliser et réagir virulence !

Pourquoi un tel site ? Tout citoyen qui se sent lui aussi en sursis de mort
sociale (travailleurs en sursis, futur chômeurs, déjà chômeurs , précaires et donc pour finir futur SDF, la situation de SDF signifiant pour moi le stade ultime de la situation de mort sociale) de signer nominativement avec nom et prénom sur le site en question
un texte appelant à la condamnation judiciaire de nos élites présidentientielle,,gouvernementales, parlementaires, journalistiques collaborationistes ( et leur cohorte de courtisants lèche-cul à l'abri de cette mort sociale et du besoin :économistes falsificateurs manipulateurs et menteurs, experts en tout genrede mes deux, et oui ils sont nombreux... ):
une condamnation pour complicité d'homicide volontaire social et de non assistance à personne en danger .

L'idéal serait que les gens,le peuple s'empare de mon idée mais l'espoir est plus que mince et avec des si.....

Bonjour,

Beau désespoir batman ...

mais fable iréaliste !
(Normal pour une fable d'ailleurs)

Certainement, vous aurez plus de signatures
que l'Augustin n'a eu de nuits sous la tente,
mais votre mort sociale n'est que suggestive
et n'appartient qu'à vous.

Vos "ennemis" auront beau jeu de vous proposer un "accompagnement personalisé", venant par là même
démonter vos arguments.

Quant à vos "amis", encore faut-il
qu'ils aient accés à internet ou à ce site ou à votre blog,
et la box, c'est 60 € quand même !

Je me demande si payer un nom de domaine pour cela soit judicieux ?
Je me demande si vous ne pourriez pas trouver un support existant ?
Je me demande si le pognon que vous allez (fort socialement) claquer dans cette affaire, ne pourrait pas ...

[rien que le mot me fait rire]
"produire plus de richesses" ....

.... en travaillant moins !

A quand la petite capsul de cyanure pour le chômeur de longue durée ?

pour la capsule de cyanure, rendez vous en janvier 2009 avec la fusion anpe-assédic

pardon, il est tard, l'humour noir prend le dessus.

ps : le médef fournit les capsules...

chez moi la fusion est déjà faite ! manque juste la pancarte "SPE" sur la batiment !

chez moi la fusion est déjà faite ! manque juste la pancarte "SPE" sur la batiment !

Ah bon ???? Et ça se passe comment, ils doivent certainement déménager de locaux Quelle économie !

Je n'ai pas posé la question à mon conseiller cette semaine, le pauvre est encore plus découragé que moi

ne revez pas, ce ne sera pas une pancarte SPE, mais plutot STO.

meme si la fusion n'est pas faite, c'est vrai que les equipes se rapprochent, on nous organise des reunions commune.
hier, le directeur de la caisse assédic qui est sur notre secteur, nous a expliqué comment utiliser un stabilo pour surligner les noms des gens qu'on reçoit. il nous a pris pour des abrutis.

une collègue lui a sorti qu'elle savait surligner depuis le cp
il est devenu tour rouge

une collègue lui a sorti qu'elle savait surligner depuis le cp
il est devenu tour rouge

j'ai bien rigolé, merci !!!

Donc, aux Assedic, ils ne savent pas écrire, mais dessiner.

Ca promet qui aura le pas sur l'autre au niveau hierarchie ?

Je l'ai souvent vue sur internet, mais je ne suis pas sûre de l'avoir lue ici :

Olivier Clerc, écrivain-philosophe, a écrit un petit conte d’une grande richesse d’enseignement.


Il s’agit du principe de la grenouille chauffée.


« Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille. Le feu est allumé sous la marmite, l'eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager. La température continue à grimper. L'eau est maintenant chaude. C'est un peu plus que n'apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s'affole pas pour autant. L'eau est cette fois vraiment chaude. La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s'est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien. La température continue à monter jusqu'au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir, sans jamais s’être extraite de la marmite.


Alors que, pourtant, si elle était directement plongée dans une marmite a 50° ,la grenouille donnerait immédiatement un coup de patte salutaire et se retrouverait dehors !


Cette expérience ( que je ne recommande pas ) montre que, lorsqu'un changement s'effectue d'une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite, la plupart du temps, aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte.



C’est exactement ce qui se produit dans la société ou nous vivons. D‘année en année, on observe une constante dégradation des valeurs, laquelle s’effectue cependant assez lentement pour que personne - ou presque - ne s’en offusque. Pourtant, il suffirait de prendre le Français moyen du début des années 80 et, par exemple, lui faire regarder la TV d’aujourd’hui ou lire les journaux actuels pour observer de sa part une réaction certaine de stupéfaction et d’incrédulité. Il peinerait à croire que l’on puisse un jour écrire des articles aussi médiocres dans le fond et irrespectueux dans la forme, ou que puissent passer à l’écran le genre d’émissions débiles qu’on nous propose quotidiennement. L’augmentation de la vulgarité, de la grossièreté, l’évanouissement des repères, de la relativisation de l’éthique, se sont effectués de telle façon - au ralenti - que bien peu l’ont remarqué ou dénoncé.


Si nous regardons ce qui se passe dans notre société depuis quelques décennies, nous subissons une lente dérive à laquelle nous nous habituons. Beaucoup de choses qui nous auraient horrifiées il y a 20, 30 ou 40 ans, ont été peu à peu banalisées, édulcorées, et nous dérangent mollement à ce jour, ou laissent carrément indifférents la plupart des gens.




Au nom du progrès et de la science, les pires atteintes aux libertés individuelles, à la dignité du vivant, à l'intégrité de la nature, à la beauté et au bonheur de vivre, s'effectuent lentement et inexorablement avec la complicité constante des victimes, ignorantes ou démunies.


Les noirs tableaux annoncés pour l'avenir, au lieu de susciter des réactions et des mesures préventives, ne font que préparer psychologiquement les peuples à accepter des conditions de vie décadentes, voire dramatiques.


Le gavage et le zapping permanents d'informations de la part des médias saturent les cerveaux qui n'arrivent plus à faire la part des choses. Sans conscience nous devenons moins qu’humain. Abrutie par un excès de stimulations sensorielles, la conscience s’endort. Et notre civilisation s’enfonce ainsi dans l’obscurité, avec le délitement social, la dégradation environnementale, la dérive faustienne de la génétique et des biotechnologies, et l’abrutissement de masse - entre autres symptômes - par lesquels elle se traduit.


Lorsque j'ai annoncé ces choses pour la première fois, c'était pour demain. Là, c’est pour aujourd’hui. Alors si vous n'êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuits, donnez le coup de patte salutaire avant qu'il ne soit trop tard.


Au-delà de tout dogme, de toute doctrine, de toute idéologie, l’élargissement et l’accroissement de la conscience devraient donc être considérés - bien plus que le seul développement des facultés intellectuelles - comme un comportement fondateur de notre statut d’humain et comme un moteur indispensable à notre évolution ».



Olivier Clerc a notamment travaillé dans le domaine des médecines alternatives, du développement personnel et de l'écologie. Auteur de plusieurs ouvrages (' Vivre ses rêves', 1983 ; 'L'océan intérieur', 1985 ; 'La Médecine, 1999) et traducteur de nombreux autres, il est directeur littéraire des Editions Jouvence.



source Inventerre

Depuis le début des années 2000, le nombre de demandeurs d'emploi, autrement dit de gens à la recherche d'un CDI, n'a pas vraiment diminué.

De même que les moyens en formation permettant de passer dans d'autres filières d'emplois ont toujours été mis prioritairement pour les licenciés économiques, alors qu'il faudrait faire bénéficier tus les demandeurs d'emploi des mêmes droits.