Chômage dans l'informatique, des chiffres fantaisistes?
Publié : 28 mars 2008
Fidèle à ce qui est devenue une tradition, le Munci (Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens) apporte des éléments complémentaires et contradictoires aux informations fournies par Syntec Informatique. A l'occasion de sa conférence de presse du 27 mars 2008 (Bilan 2007 & Perspectives 2008 de la branche Logiciels & Services en France), le Syntec Informatique a évoqué (une nouvelle fois) un taux de chômage des informaticiens dans la branche d'environ 2%.
Selon le Munci, ce taux de chômage, prétendument sectoriel, est illusoire et résulte d'un calcul fantaisiste.
Ce (pseudo) taux de chômage, censé être celui des informaticiens dans la branche LSI (Logiciels & Services Informatiques), est établi à partir du nombre d'informaticiens demandeurs d'emplois dont le dernier employeur était une SSII ou un éditeur (entre 6000 et 8000 d'après le chiffre qui aurait été communiqué au Syntec par l'Anpe...) rapporté aux effectifs de la branche.
Le Syntec Informatique établit donc une distinction pour le moins surprenante entre les informaticiens au chômage issus de la branche LSI...et les autres. (...)
- Lire la suite ici
- Article original du MUNCI
Selon le Munci, ce taux de chômage, prétendument sectoriel, est illusoire et résulte d'un calcul fantaisiste.
Ce (pseudo) taux de chômage, censé être celui des informaticiens dans la branche LSI (Logiciels & Services Informatiques), est établi à partir du nombre d'informaticiens demandeurs d'emplois dont le dernier employeur était une SSII ou un éditeur (entre 6000 et 8000 d'après le chiffre qui aurait été communiqué au Syntec par l'Anpe...) rapporté aux effectifs de la branche.
Le Syntec Informatique établit donc une distinction pour le moins surprenante entre les informaticiens au chômage issus de la branche LSI...et les autres. (...)
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