Source : Les Echos.frLes 20 "décisions fondamentales" du rapport Attali
Education, recherche, ville, PME, travail, retraite, concurrence... Les Echos se sont procurés les 20 "décisions fondementales" du rapport Attali. Du côté de la commission, on assure qu'il s'agit d'un document non définitif.
1/ Se donner les moyens pour que tout élève maîtrise avant la fin de la sixième le français, la lecture, l'écriture, le calcul, le travail de groupe, l'anglais et l'informatique.
2/ Constituer 10 grands pôles d'enseignement supérieur et de recherche autour de 10 campus, réels et virtuels, fixant les conditions d'excellence de l'ensemble du système de formation supérieur et de recherche.
3/ Redonner à la France tous les moyens -dont ceux de la recherche- pour prendre une place de premier rang dans les secteurs de l'avenir : numérique, santé, écologie, tourisme, etc.
4/ Mettre en chantier dix Ecopolis, villes et quartiers d'au moins 50.000 habitants intégrant technologies vertes et technologies de communication.
5/ Entreprendre dès maintenant la mise en place du très haut débit pour tous, à domicile, dans l'espace numérique et dans l'administration.
6/ Mettre en place les infrastructures nécessaires (ports, aéroports et place financière) et accroître l'offre et la qualité du logement social.
7/ Réduire les délais de paiement des PME par l'Etat et par les grandes entreprises à un mois à compter de la livraison et à dix jours pour la TVA.
8/ Créer par redéploiement une agence guidant les TPE / PME de moins de 20 salariés dans leurs démarches administratives, en leur adressant des réponses engageant l'ensemble des administrations.
9/ Renvoyer l'essentiel des décisions sociales à la négociation en modernisant les règles de représentativité et de financement des organisations syndicales et patronales.
10/ Mobiliser tous les acteurs pour l'emploi des jeunes et imposer à toutes les entreprises et collectivités publiques de présenter chacun année un bilan de la diversité par âge, par sexe et par origine.
11/ Réduire le coût du travail pour toutes le entreprises en transférant une partie des cotisations sociales vers la CSG et la TVA.
12/ Laisser à tout salarié le libre choix de poursuivre une activité sans aucune limite d'âge en bénéficiant, à compter de 65 ans, d'une augmentation proportionnelle de sa retraite et en levant les obstacles aux cumuls emploi-retraite, et tous les dispositifs de pré-retraite.
13/ Aider les commerçants et les fournisseurs indépendants à prendre part à la concurrence tout en restaurant la liberté des prix et d'installation de tous les acteurs de la distribution, de l'hôtellerie et du cinéma.
14/ Ouvrir très largement les professions réglementées à la concurrence sans nuire à la qualité des services rendus.
15/ Encourager la mobilité géographique et la mobilité internationale (par une procédure plus souple de délivrance de visas aux étudiants, aux chercheurs, aux artistes, etc).
16/ Considérer la formation de tous les chercheurs d'emploi comme une activité nécessitant rémunération sous forme d'un " contrat d'évolution ".
17/ Sécuriser la rupture amiable du contrat de travail.
18/ Créer des agences pour les principaux services au public, et faire évaluer tout service public par des organismes indépendants.
19/ Renforcer les régions et les intercommunalités en faisant disparaître en 10 ans l'échelon départemental.
20/ Réduire dès 2008 la part des dépenses publiques dans le PIB. Cette réduction devra atteindre 1% du PIB à partir de 2009, soit 20 milliards d'euros de réduction par rapport à la tendance, par an pendant 5 ans
Jacques Attali, magicien !
Les 20 "décisions fondamentales" du rapport Attali
Détruire à haute dose les postes de fonctionnaires , et exécuter les pauvres si les dépenses publiques sont encore trop élevées?20/ Réduire dès 2008 la part des dépenses publiques dans le PIB. Cette réduction devra atteindre 1% du PIB à partir de 2009, soit 20 milliards d'euros de réduction par rapport à la tendance, par an pendant 5 ans

Sans surprise, un programme libéral.
C'est bien ce qu'essaient de faire Sarkozy et ses amis: individualiser toute négociation pour que celle-ci soit toujours défavorable aux travailleurs et favorable aux employeurs en position de force bien sûr.9/ Renvoyer l'essentiel des décisions sociales à la négociation en modernisant les règles de représentativité et de financement des organisations syndicales et patronales.
Et après à 13 ans, ils sont prêts pour aller travailler?1/ Se donner les moyens pour que tout élève maîtrise avant la fin de la sixième le français, la lecture, l'écriture, le calcul, le travail de groupe, l'anglais et l'informatique.

Rapport Attali
Les 20 "décisions fondamentales" du rapport Attali (les echos)
Le Figaro
Les "problématiques" au niveau social:
9/ Renvoyer l'essentiel des décisions sociales à la négociation en modernisant les règles de représentativité et de financement des organisations syndicales et patronales.
Cela remet en cause les acquis sociaux?
11/ Réduire le coût du travail pour toutes le entreprises en transférant une partie des cotisations sociales vers la CSG et la TVA.
Plus de TVA = moins de pouvoir d'achat
12/ Laisser à tout salarié le libre choix de poursuivre une activité sans aucune limite d'âge en bénéficiant, à compter de 65 ans, d'une augmentation proportionnelle de sa retraite et en levant les obstacles aux cumuls emploi-retraite, et tous les dispositifs de pré-retraite.
Plus de limite légale de la retraite. Donc si on n'a pas ses trimestres à l'age de 65 ans, "libre" de travailler jusqu'à sa mort...
18/ Créer des agences pour les principaux services au public, et faire évaluer tout service public par des organismes indépendants.
Privatisation du service publique ?
J'ai entendu à la radio, que parmi les propositions figurait aussi celle de conditionner l'attribution d'allocations familiales aux ressources des parents.
Liberté totale des prix = une France de discount ?
Le Figaro
Les "problématiques" au niveau social:
9/ Renvoyer l'essentiel des décisions sociales à la négociation en modernisant les règles de représentativité et de financement des organisations syndicales et patronales.
Cela remet en cause les acquis sociaux?
11/ Réduire le coût du travail pour toutes le entreprises en transférant une partie des cotisations sociales vers la CSG et la TVA.
Plus de TVA = moins de pouvoir d'achat
12/ Laisser à tout salarié le libre choix de poursuivre une activité sans aucune limite d'âge en bénéficiant, à compter de 65 ans, d'une augmentation proportionnelle de sa retraite et en levant les obstacles aux cumuls emploi-retraite, et tous les dispositifs de pré-retraite.
Plus de limite légale de la retraite. Donc si on n'a pas ses trimestres à l'age de 65 ans, "libre" de travailler jusqu'à sa mort...
18/ Créer des agences pour les principaux services au public, et faire évaluer tout service public par des organismes indépendants.
Privatisation du service publique ?
J'ai entendu à la radio, que parmi les propositions figurait aussi celle de conditionner l'attribution d'allocations familiales aux ressources des parents.

Liberté totale des prix = une France de discount ?
L'anglais en fin de sixièmeSe donner les moyens pour que tout élève maîtrise avant la fin de la sixième le français, la lecture, l'écriture, le calcul, le travail de groupe, l'anglais et l'informatique

Alors que des Bac+ 10 ne le maîtrisent pas, même avec des cours particuliers.
Alors que ces mêmes Bac+10 ne maîtrisent même pas le français et méprisent la culture, à défaut de s'y intéresser


Bonnet d'âne à toute cette équipe, et au coin, encore

Rapport Attali : Beaucoup de bruit pour rien !
Le rapport Attali pour «libérer la croissance», tel qu'il est évoqué dans la presse ces derniers jours (1), est un tissu de mesures qui n'ont rien de fondamentales. Certaines auraient du être prises il y a plus de 10 ou 20 ans, et signent ainsi le constat d’échec de nos gouvernants. D’autres ne visent qu’à accroître la consommation et la concurrence dans un monde voué à la pénurie de ses matières premières.
Nul besoin d'être un économiste de renom pour «pondre» les 20 «décisions fondamentales» du pompeux rapport Attali. Vingt mesures qui peuvent être scindées en deux grandes familles.
• Les évidentes. Citons entre autres :
1/ Se donner les moyens pour que tout élève maîtrise avant la fin de la sixième le français, la lecture, l'écriture, le calcul, le travail de groupe, l'anglais et l'informatique.
2/ Constituer 10 grands pôles d'enseignement supérieur et de recherche autour de 10 campus, réels et virtuels, fixant les conditions d'excellence de l'ensemble du système de formation supérieur et de recherche.
3/ Redonner à la France tous les moyens - dont ceux de la recherche - pour prendre une place de premier rang dans les secteurs de l'avenir : numérique, santé, écologie, tourisme, etc.
16/ Considérer la formation de tous les chercheurs d'emploi comme une activité nécessitant rémunération sous forme d'un «contrat d'évolution».
Autant de «décisions fondamentales» qui auraient du être mises en œuvre il y a plus de 10 ou 20 ans et signent le constat d'échec de nos gouvernants… et de monsieur Attali lui-même qui fut un conseiller très influent de François Mitterrand.
• D’autres mesures visent à la déréglementation de certains marchés, à commencer par celui du travail, en favorisant la concurrence entre travailleurs et l'immigration choisie, comme celle-ci :
12/ Laisser à tout salarié le libre choix de poursuivre une activité sans aucune limite d'âge en bénéficiant, à compter de 65 ans, d'une augmentation proportionnelle de sa retraite et en levant les obstacles aux cumuls emploi/retraite, et tous les dispositifs de préretraite.
Ainsi, par ses «20 mesures fondamentales», Jacques Attali compte-t-il libérer la croissance. Si «croissance» sous-entend «consommation» (ce qui est plus que probable), Jacques Attali n’a décidemment rien compris. Nous ne pourrons éternellement encourager à la consommation dans un monde voué à la pénurie de ses matières premières. À quoi cela mènera-t-il ?
On ne peut à la fois «signer» le Pacte écologique de Nicolas Hulot (ce qu'a fait «Qui on sait») et se référer à «la politique de civilisation» d’Edgar Morin, tout en appelant à plus de croissance, donc à plus de consommation et à plus de concurrence entre les acteurs économique. À un moment donné, il faudra bien faire un choix. Et, sur ce choix vraiment fondamental, le rapport Attali n’apporte aucune réponse.
(1) Précision : La commission Attali dément. Les mesures évoquées par la presse et commentées ici, ne seraient pas celles qui seront finalement annoncées le 23 janvier.
(Source : www.renovation-democratique.org)
Nul besoin d'être un économiste de renom pour «pondre» les 20 «décisions fondamentales» du pompeux rapport Attali. Vingt mesures qui peuvent être scindées en deux grandes familles.
• Les évidentes. Citons entre autres :
1/ Se donner les moyens pour que tout élève maîtrise avant la fin de la sixième le français, la lecture, l'écriture, le calcul, le travail de groupe, l'anglais et l'informatique.
2/ Constituer 10 grands pôles d'enseignement supérieur et de recherche autour de 10 campus, réels et virtuels, fixant les conditions d'excellence de l'ensemble du système de formation supérieur et de recherche.
3/ Redonner à la France tous les moyens - dont ceux de la recherche - pour prendre une place de premier rang dans les secteurs de l'avenir : numérique, santé, écologie, tourisme, etc.
16/ Considérer la formation de tous les chercheurs d'emploi comme une activité nécessitant rémunération sous forme d'un «contrat d'évolution».
Autant de «décisions fondamentales» qui auraient du être mises en œuvre il y a plus de 10 ou 20 ans et signent le constat d'échec de nos gouvernants… et de monsieur Attali lui-même qui fut un conseiller très influent de François Mitterrand.
• D’autres mesures visent à la déréglementation de certains marchés, à commencer par celui du travail, en favorisant la concurrence entre travailleurs et l'immigration choisie, comme celle-ci :
12/ Laisser à tout salarié le libre choix de poursuivre une activité sans aucune limite d'âge en bénéficiant, à compter de 65 ans, d'une augmentation proportionnelle de sa retraite et en levant les obstacles aux cumuls emploi/retraite, et tous les dispositifs de préretraite.
Ainsi, par ses «20 mesures fondamentales», Jacques Attali compte-t-il libérer la croissance. Si «croissance» sous-entend «consommation» (ce qui est plus que probable), Jacques Attali n’a décidemment rien compris. Nous ne pourrons éternellement encourager à la consommation dans un monde voué à la pénurie de ses matières premières. À quoi cela mènera-t-il ?
On ne peut à la fois «signer» le Pacte écologique de Nicolas Hulot (ce qu'a fait «Qui on sait») et se référer à «la politique de civilisation» d’Edgar Morin, tout en appelant à plus de croissance, donc à plus de consommation et à plus de concurrence entre les acteurs économique. À un moment donné, il faudra bien faire un choix. Et, sur ce choix vraiment fondamental, le rapport Attali n’apporte aucune réponse.
(1) Précision : La commission Attali dément. Les mesures évoquées par la presse et commentées ici, ne seraient pas celles qui seront finalement annoncées le 23 janvier.
(Source : www.renovation-democratique.org)
Bonjour,
En ce moment sur France Culture, 12h00, Attali sur son rapport, il peut pas en parler
Ici
A la guerre entre les peuples pour l'appropriation des richesses et des matières premières,
A la guerre entre individus (voir le film "le couperet"où la notion de compétition est intégré culturellement, dans le comportement humain),
A "une politique de civilisation" de la destruction de l'humanité par la destruction de la nature, notre poumon d'oxygéne
En ce moment sur France Culture, 12h00, Attali sur son rapport, il peut pas en parler

Ici
...à la guerre!À quoi cela mènera-t-il ?
A la guerre entre les peuples pour l'appropriation des richesses et des matières premières,
A la guerre entre individus (voir le film "le couperet"où la notion de compétition est intégré culturellement, dans le comportement humain),
A "une politique de civilisation" de la destruction de l'humanité par la destruction de la nature, notre poumon d'oxygéne
Je viens de regarder Capital, une émission de M6, la chaine de Lagardère , ami de notre président bling-bling.
Parmi les sujets traités, il était question du prix du pain, et on nous expliquait, rapidement, que si le prix du pain a augmenté c'est moins à cause de l'augmentation du prix du blé (15% seulement du prix d'une baguette est du au prix de la matière première) qu'à cause du prix de la main d'oeuvre et des...35 heures.
Il était aussi rappelé que lorsqu'en 1978 le prix du pain a été libéralisé (autrefois encadré) , merci Giscard, le prix du pain n'a bien sûr pas baissé mais s'est envolé.
Dans un autre reportage, il était question de la concurrence, qui s'exerce à la frontière franco-allemande/germano-française entre supermarchés français et allemands. Les consommateurs français allant faire leur courses en Allemagne parce que les grandes marques de produits seraient moins chères.
On nous expliquait que les produits étaient moins chers à cause de la concurrence féroce qui s'exerce entre supermarchés hardiscount, bien plus nombreux en Allemagne qu'en France (les allemands étant moins attirés par les grandes marques de produits) et supermarchés vendant principalement des grandes marques et bien sûr que les salaires en Allemagne étaient moins élevés dans la grande distribution qu'en France.
Suivait l'exemple d'une française qui travaillait en Allemagne 40 heures
par semaine pour à peu près 800 euros pour faire du réassortiment dans un supermarché allemand non hard-discount (à des horaires à la c.. m'a t il semblé aussi) employée par un sous-traitant.
En filigrane mais de façon insidieuse, on nous expliquait donc que si les prix sont trop élevés en France dans les supermarchés, c'est que les gens sont trop payés
Pour faire baisser les prix, il s'agit donc d'accroitre le dumping social, tout le monde s'en moque, tant que cela ne concerne pas son propre emploi bien évidemment.
Parmi les sujets traités, il était question du prix du pain, et on nous expliquait, rapidement, que si le prix du pain a augmenté c'est moins à cause de l'augmentation du prix du blé (15% seulement du prix d'une baguette est du au prix de la matière première) qu'à cause du prix de la main d'oeuvre et des...35 heures.
Il était aussi rappelé que lorsqu'en 1978 le prix du pain a été libéralisé (autrefois encadré) , merci Giscard, le prix du pain n'a bien sûr pas baissé mais s'est envolé.
Dans un autre reportage, il était question de la concurrence, qui s'exerce à la frontière franco-allemande/germano-française entre supermarchés français et allemands. Les consommateurs français allant faire leur courses en Allemagne parce que les grandes marques de produits seraient moins chères.
On nous expliquait que les produits étaient moins chers à cause de la concurrence féroce qui s'exerce entre supermarchés hardiscount, bien plus nombreux en Allemagne qu'en France (les allemands étant moins attirés par les grandes marques de produits) et supermarchés vendant principalement des grandes marques et bien sûr que les salaires en Allemagne étaient moins élevés dans la grande distribution qu'en France.
Suivait l'exemple d'une française qui travaillait en Allemagne 40 heures
par semaine pour à peu près 800 euros pour faire du réassortiment dans un supermarché allemand non hard-discount (à des horaires à la c.. m'a t il semblé aussi) employée par un sous-traitant.
En filigrane mais de façon insidieuse, on nous expliquait donc que si les prix sont trop élevés en France dans les supermarchés, c'est que les gens sont trop payés

Pour faire baisser les prix, il s'agit donc d'accroitre le dumping social, tout le monde s'en moque, tant que cela ne concerne pas son propre emploi bien évidemment.
Dernière modification par tristesir le 20 janv. 2008, modifié 2 fois.
Alors il faut arrêter de payer les employés
TOUS les employés ? Ils ne vont plus vendre beaucoup.
L'an dernier, les fruits et légumes sur un marché allemand étaient en moyenne 25 à 30% moins chers que chez nous. Et je parle de marché, pas de hardiscount.
Les salaires sont bien sûr inférieurs en Allemagne et les 35 heures n'existent pas
Ils se moquent de qui ?
J'ai préféré ne pas regarder pour épargner mes petits nerfs
Tu as du courage Tristesir 

L'an dernier, les fruits et légumes sur un marché allemand étaient en moyenne 25 à 30% moins chers que chez nous. Et je parle de marché, pas de hardiscount.
Les salaires sont bien sûr inférieurs en Allemagne et les 35 heures n'existent pas

J'ai préféré ne pas regarder pour épargner mes petits nerfs


Le gouvernement et les économistes allemands refusent obstinément un salaire minimum. "Ça détruit des emplois". Il vaut mieux que les gens ne puissent pas vivre de leur travail et soient subventionné par l'ANPE (ou prennent un deuxième boulot mal payé) pour "plus de liberté d'entreprendre..."
Je m'abstiens de commentaires car je risque de déraper.

Je m'abstiens de commentaires car je risque de déraper.
Il n'y a pas de corrélation entre l'application d'un salaire minimum et un recul de l'emploi. Ceux qui prétendent que les salaires minimums pénalisent la création d'emplois sont des imposteurs.
La preuve => le Royaume-Uni, l'Irlande, les Pays Bas, le Luxembourg, les Etats-Unis... ont un Smic et un faible taux de chômage.
La preuve => le Royaume-Uni, l'Irlande, les Pays Bas, le Luxembourg, les Etats-Unis... ont un Smic et un faible taux de chômage.
Il n'y a pas de corrélation entre l'application d'un salaire minimum et un recul de l'emploi. Ceux qui prétendent que les salaires minimums pénalisent la création d'emplois sont des imposteurs.
Exact!
Mais on peut leur opposer tous les chiffres de tous les pays européens qui ont un salaire minimum (20 des 27 si je suis bien informé), ils font la sourde oreille. L'absence de salaire minimum arrange quelques-uns qui se paient une concurrence sur le dos des travailleurs pauvres, avec le soutien de l'Etat et le portefeuille du contribuable.
Exact!
Mais on peut leur opposer tous les chiffres de tous les pays européens qui ont un salaire minimum (20 des 27 si je suis bien informé), ils font la sourde oreille. L'absence de salaire minimum arrange quelques-uns qui se paient une concurrence sur le dos des travailleurs pauvres, avec le soutien de l'Etat et le portefeuille du contribuable.
C'est juste Diety, mais j'ai l'impression qu'on y va tout droit
Ceux en place ont le tarif minimum par branche (les Tarifvertrage = conventions collectives).
Comment ont-ils pu ne pas se rendre compte, qu'à part contenter les employeurs profiteurs, ce genre de ristourne n'avait créé aucun emploi stable ?
Quelle motivation attendre des gens payés une poignée de queues de cerises ? Elle ne va pas être très performante la nouvelle génération.
Des esclaves interchangeables que l'on vire après la fin du CDD (ou quel que soit le nom qu'on donne), c'est dramatique surtout dans les PME.

Ceux en place ont le tarif minimum par branche (les Tarifvertrage = conventions collectives).
Comment ont-ils pu ne pas se rendre compte, qu'à part contenter les employeurs profiteurs, ce genre de ristourne n'avait créé aucun emploi stable ?
Quelle motivation attendre des gens payés une poignée de queues de cerises ? Elle ne va pas être très performante la nouvelle génération.
Des esclaves interchangeables que l'on vire après la fin du CDD (ou quel que soit le nom qu'on donne), c'est dramatique surtout dans les PME.
La télé a faillit prendre quelque chose sur l'écran plusieurs fois pendant ce reportage ...
D'abord le boulan/homme d'affaire qui dit "comme ça" qu'il va faire la baguette plus chère dans son Nième boutique ... Pas plus affolé que cela de le dire ...
Et ensuite quand le journaleux a dit d'une manière fortement suspicieuse qu'en gros en France c'est à cause des salariés que les prix sont plus chers ...
Ils se foutent de qui là ?
D'abord le boulan/homme d'affaire qui dit "comme ça" qu'il va faire la baguette plus chère dans son Nième boutique ... Pas plus affolé que cela de le dire ...
Et ensuite quand le journaleux a dit d'une manière fortement suspicieuse qu'en gros en France c'est à cause des salariés que les prix sont plus chers ...
Ils se foutent de qui là ?
Surtout pas, c'est ta télé, moins cher de zapperLa télé a faillit prendre quelque chose sur l'écran plusieurs fois pendant ce reportage ...

M'en fous j'achète plus de pain depuis longtemps, pas seulement pour le prix, mais pour la qualité infecte.
Trop drôleen France c'est à cause des salariés que les prix sont plus chers ...


Qui fait qu'il se gave tous les jours ?