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Peut t'on avoir des ami(e)s quant on est pauvre ?

Publié : 23 août 2007
par Jean-Claude
Bonjour a toutes et tous,

J'ai choisi ce titre volontairement provocateur car la lecture d'un message de solage ou elle évoque " je n'ai aucun ami (trop pauvre)" me donne réflexion .

Il est vrais que quand on ne bosse pas (ou plus) les "amis" vous font vite comprendre a leurs façon que vous ne faites plus parti des leurs .

Généralement tout cela se déroule de façon bien hipocryte car du jour ou l'on perd sont boulot pour x raisont (démission , licenciement etc...) et bien les gens sont moins disponible pour vous voir par exemple , quand il ne vous critique pas indirectement alors qu'eux même etait dans la peine et le désaroi face a une situation difficile il n'y a pas si longtemp que cela .

Vous savez ? les même personnes que vous avez aimablement invité a manger chez vous quand vos moyens vous le permété encore !

Les mêmes que vous avez invité a prendre un café pour discuter chez vous en toute "amitié" .

Depuis que je suis au chomage (non indemnisé) et donc au rmi , tout les commentaires vont bon train sur ma personne :

"il se complait la dedant" , "du boulot y'en a" et même "tu ne fera rien de ta vie" de la bouche même de la mère de mon amie .

Mon amis avec qui j'ai d'ailleur fait une coupure de presque trois semaines pour cause d'incompatibilité d'humeur .

Ses parents se sont bien chargé de lui dire qu'avec moi elle n'avait "aucun avenir" , depuis les choses sont revenu a peut pret dans l'ordre et elle essaye d'etre aussi comprehensive qu'elle le peut mais c'est pas facile tout les jours .

Simplement pour vous dire que quand on ne bosse pas aix eux de certains on n'a droit a rien , ni ami(e)s , ni petite ami(e)s , rien ........et surtout pas le droit de se plaindre car "on le cherche bien" :evil:

Un ami (un vrais celui la) a moi a 43 ans , aux rmi , trois chiens et quatres chat ( ses seul vrais compagnont) une femme qu'il a perdu d'une maladie il y a quatre ans (et il l'aimait follement) , une mère de 74 ans a charge chez lui (ses frères qui gagne confortablement leur vie ne veullent pas s'en occupé , trop "encombrant la mère) , pas de boulot , bientot peut etre plus de logement (probleme payment loyer) , une voiture qu'il ne peut plus assuré , endété etc.etc.......

Son seul plaisir et de pouvoir jouer un ticket de pmu régulièrement (de tres petite sommes) dans l'espoir de décroché le gros lot comme beaucoup .

Et bien croiyer moi si vous le voulait mais j'ai entendu les pire choses a son sujet :

c'est un alcolo (il ne bois que raisonablement)

c'est un fénéant (ce n'est pas vrais , mais il est cassé par la vie et depressif ça n'arange pas la "motivation")

C'est ça mère qui le fait vivre (qu'esqu'il en savent ?)

Pour dire que la méchanceté n'a aucune limite !

En atendant quand il n'avait plus rien dans son frigo (vu de mes yeux) depuis trois jour car il ne pouvait pas s'acheter de quois manger les seuls qui l'on aider c'est moi et mon amie , on l'a fait avec plaisir (et suis au rmi aussi) on ne le regette évidament pas 3

Mais aucun de ses fères n'i personne ne lui a do,nner quois que e soit ni proposer la moindre aides qu'elle quelle soit .......c'est beaux la famille :evil:

Je précise quand même que je ne raconte cela ni pour faires pleuré dans les chomières ni pour me glorifié d'un geste qui me parait sommes tout naturelle quand on a VRAIMENT de l'amitié pour quelqu'un est pas seulement en parole .

Donc OUI nous avont droit a l'amitié et même plus quand c'est possible le tout et de tomber sur des gens non égocentrique et comprehensif , fait de plus en plus rare de nos jours .

Merci de m'avoir lu , et de vos éventuelle contributions .

jean-claude

Publié : 23 août 2007
par superuser
Salut Jean-Claude !

Ben oui... le chômage nous rend "paria". :lol:

Les rares amis que j'ai conservés de l'époque où je travaillais sont ceux qui me connaissent depuis très longtemps : ils me voient moi, telle que je suis en tant que personne, et non à travers un statut social ou professionnel. Les autres, ou ils se sont tirés, ou je les ai jetés !!!

Et, surtout, je n'ai jamais laissé à personne le soin de me critiquer. Parfois, il faut même attaquer avant de se défendre. Y compris avec la famille.

Sinon, il y a les nouveaux amis qui sont aussi dans la galère et peuvent comprendre ce que c'est.

Courage ! :wink:

Publié : 23 août 2007
par canard
bonjour jean claude
je te comprend , je suis moi même passe par là, quand je suis tombé au chomage apres 20 ans de boulot j'ai deprime on m'a laisse tombé
et tu vois, aujourd'hui je reste fragile, je suis a l'essai pour une 2 fois dans un leclerc, mais je me sens pas du tout bien, je deprime k'ai aps ete bien accuillit cotorep et puis les jeunes sont plus competents depuis le temps qui sont là, donc moi je me sens tres tres mal, et j'ai plus d'amis a qui parle, car il y a bien longtemps que je me suis fait critique de faineante que je profite , même dans ma famille, donc je comprends tres bien, j'ai un jeune frere qui a perdu pied et j'ai ete la seule a l'aider le nourrir les autres ceux de ma famille rien , et ils n'on jamais demande ce qu'il devenait alors pour moi, tu devines même chose
il faut etre fort pour tenir
mais c'est dans ces conditions que l'on reconnait ses vrais amis et on peut les compter sur le bout des doigts
courange a toi jean claude
moi aussi je vend ma voiture et oui car je ne sais pas si je vais rester en poste je suis tres tres mal je suis angoisse
courage a toi jean claude
on s'en sortira bien un jour, j'espère

Publié : 23 août 2007
par desman65
Avoir des amis quand on est pauvre ?
Il me semble que c'est possible...mais pas dans tous les milieux.
Je m'explique, et tout naturellement je parle de mon cas personnel.
J'ai pas mal d'amis dans le monde des "musicos" dans ma région semi rurale et très montagneuse. Et je peux dire que les musiciens, statut d'intermittent oblige s'ils ont assez de dates, le chômage et la précarité ils connaissent.
Qui plus est dans ma "ville" une bonne partie de l'emploi est généré par le tourisme aussi bien l'été que l'hiver. L'hiver c'est la station de ski de la Mongie à dix kilomètres et l'été c'est les thermes de Bagnères de bigorre. Le bassin d'emploi de Lourdes, la ville de tous les miracles...et de la précarité pour les gens qui y sont saisonniers.
Ici pas mal de gens travaillent comme saisonniers, et entre les deux ils pointent souvent au chômage. Cet hiver, manque de neige oblige, la plupart d'entre eux n'ont même pas travaillé. Pour les gens de ma génération (quadras) qui ont choisi de "rester au pays" l'alternance périodes de chômage/activité salariée c'est presque vécu comme une chose "normale". Dans ces milieux là j'ai pu m'apercevoir que le fait de connaître une certaine précarité ça ouvre l'esprit. Bien sûr je ne vais pas verser dans l'angélisme en disant que tout le monde est ouvert mais je ne sais plus quel auteur a écrit "l'homme pense par les pieds", par l'endroit ou il est et la situation qu'il vit...et je pense que c'est vrai.
Je rencontre, comme tout le monde, dans mon entourage, des gens dont le discours est les chômeurs sont des assistés/du travail il y en a/mais ils sont trop faignants pour se retrousser les manches.
Mais je côtoie surtout des gens qui partagent les mêmes idées que moi.
Et ça c’est irremplaçable…

Publié : 23 août 2007
par Stockwell
Bonjour,

Témoignages intéressants. Ce n'est pas demain que l'on va mettre fin aux préjugés. Comme vous, je mets des gants pour répondre à cette épineuse question.

Ce n'est pas simple - selon moi - d'avoir des amis dans ces conditions pour les raisons suivantes: les gens ont des idées préconçues au sujet des chômeurs (comme le dit Jean-Claude, on les considère comme des feignants, des bons à rien qui n'ont que ce qu'ils méritent et que ne font rien pour en sortir etc ...). D'autre part, il est inconfortable pour quelqu'un qui gagne sa vie et qui est actif de fréquenter une personne dont les fins de mois débutent dès le 15. Cela met mal à l'aise. Je le sais, j'en ai fait l'expérience.

Je pensais avoir des "amis". Ils l'étaient encore quelques mois après mon licenciement, me disant que j'allais retrouver rapidement un boulot etc ... Le temps passant, les e-mails se sont espacés et le téléphone n'a plus sonné. J'ai compris que ma situation dérangeait. Avant on allait au restau assez souvent. Ces réunions au restau tournaient toujours autour des thèmes du boulot de ces "amis". Inutile de dire que j'en étais exclue. On évitait mon regard et d'ailleurs, bizarrement, j'étais reléguée en bout de table. De fil en aiguille on ne m'a plus contactée et je n'ai plus de nouvelle de ces "amis" avec lesquels j'ai fait une grande partie de mes études.

Bien sûr ça fait mal car on se sent doublement exclu.

Exit donc ces "amis".

J'ai pris le parti de cacher ma situation à d'autres connaissances que je ne côtoie pas trop souvent. Pour certains donc, je "travaille". Il faut juste un peu d'imagination et de la mémoire. Il n'y a que deux personnes qui connaissent l'envers du décors et auxquelles je peux parler en toute liberté sans être jugée ou écartée.

Publié : 23 août 2007
par Jean-Claude
Stockwell ,

Tres interresant également ton témoignage (les autres aussi en passant !)

D'ailleur le boulot et un facteur d'integration on le sait bien .

Et neuf fois sur dix quand tu voit ou revoit les gens en question (ou en général) c'est desuite "t'a du boulot ?" , la relation sociale ne se contruit plus autour que de ça .

Et même quand tu rencontre quelqu'un avec qui tu veut vivre tres souvent la première question c'est "tu bosse ?' .

mais il y a aussi une autre forme de lacheté et de perversion c'est parfois certain chomeur qui retrouve un boulot stable (rare mais ça arrive) et qui se mette a cracher sur ce qu'il etait il y a encore tres peut de temp ...........un chomeur .

J'en connait également comme ça .

Et la on touche vraiment a l'égoïsme .

Peut-on être pauvre quand on a des amis ?

Publié : 23 août 2007
par Belette-Blues
Bonjour Jean-Claude,

Ton message m'a interpelé moi aussi.

Nous sommes un peu tous un peu en dehors du Système avec un grand S, et nous nous rendons compte que ça ne peut pas être pire, parfois.
Du reste, nous n'avons pas le monopole de la misère intellectuelle, (encore heureux) mais nous traversons la vie sous des regards accusateurs et dédaigneux, pour le peu qu'on ne fasse pas comme les autres (qui travaillent ou qui ont une vie "basique".)

Cela ne nous empêche pas d'exister, la pauvreté.
Cela nous empêche d'exister dans un monde d'avantages, mais chacun voit la richesse comme il veut...
Cela ne nous empêche pas non plus d'avoir des amis ! mais pour les garder, ne pas les laisser à l'écart..... (j'ai eu moi-même tendance à mettre des distances avec des personnes qui voulaient m'aider... on ne comprend pas toujours et on se dit que c'est de la pitié, à tort.)
Laisser une porte entrouverte.... :wink:

Le regard de l'autre et surtout le regard de notre compagne/compagnon nous est le plus stimulant.... or, si au quotidien, l'on se fait accabler (en plus, par sa belle-famille :evil: !!) il faut remettre les pendules à l'heure et regarder ce qui est le plus important, non ?!

La vie ne tient pas qu'à un porte-monnaie fleuri et la maison et des biens immobiliers, j'en suis intimement convaincue ; cela rend l'existence plus acceptable, mais au fond de nous, on se sentira toujours seul.... on n'est plus des cro-magnons, on est devenus malgré nous, des êtres individualistes...... :?

J'espère que cette "pauvreté" te fera rencontrer d'autres amis, plus solidaires et sincères.
:arrow: Sur ce Forum je pense que tu peux en trouver !

Bon courage et surtout te laisse pas traiter de "fégnant" impunément :? (grrrrrrrr!)

Publié : 23 août 2007
par tristesir
quand il ne vous critique pas indirectement alors qu'eux même etait dans la peine et le désaroi face a une situation difficile il n'y a pas si longtemp que cela .
C'est la double peine des exclus !! Exclu du monde du travail et exclu de la sphère sociale par effet "paria" (souvent intériorisé automatiquement).

Le système est bien fichu, au lieu de se révolter et demander des comptes, l'exclu se flagelle mentalement pour expier un crime qu'il aurait commis et se range ainsi dans le camp de ceux qui n'ont que mépris pour lui et finalement s'autodétruit bien souvent.

Ceci dit, le chômage permet de faire le tri parmi les gens pour savoir qui sont nos vrais amis et les autres, qui ne le sont pas, et qui ne l'ont jamais été, contrairement à ce qu'on s'était imaginé...

Pour ma part, je ne fréquente que des "borderline".
Des gens qui ne sont pas tout à fait à la marge mais qui ne sont pas intégrés totalement non plus.
Il y'a peu de gens dans mes relations amicales qui travaillent à plein temps.

Pour ma part, c'est le regard de la famille qui est le plus difficile à supporter parfois.

Un cercle vicieux

Publié : 23 août 2007
par Yves
Eh oui, l'exclusion conduit à toujours plus d'exclusion… incontestablement.

C’est un cercle vicieux redoutable, imparable. Si la "pauvreté" n'est pas obligatoirement synonyme de "destruction" des liens sociaux (familiaux, amicaux, amoureux…), elle ne les facilite pas dans une société - la nôtre - qui a fait de l'argent la pierre angulaire de la réussite.

Jamais le pognon ne s'est à ce point immiscé dans la vie de tous les jours, par le biais du Loto, de ces reportages TV sur la "vie des stars" (leurs vacances, leurs excentricités…), dans les informations économiques et financières (cours de la Bourse…) dont on nous abreuve, même dans les infos sportives (salaires des footballeurs, des pilotes de F1…).

Tout aujourd'hui est inféodé au Dieu Pognon et forcément ça structure (déstructure plutôt) les esprits.

Celui qui n'en a pas (ou peu) passe alors pour le pire des ringards, alors qu'il n'y a pas si longtemps, la marginalité économique (je pense notamment aux années 70 "Peace and Love") était un important facteur de liens sociaux, dans des communautés de gens qui aspiraient à vivre hors du système… et généralement avec peu de ressources financières.

Mais cette "utopie" est aujourd’hui agonisante.

Pire encore que la "marginalisation amicale" est la "marginalisation amoureuse". Celles et ceux qui vivent en couple (ou entretiennent une relation amoureuse équilibrée), alors qu'ils sont "pauvres", ne connaissent pas leur bonheur. Car celles et ceux qui sont seuls - et "pauvres" - peuvent le rester longtemps, très longtemps.

Si, avec quelques amis, on peut se contenter d'un verre, d'une bonne bouteille et d’un jeu de cartes pour entretenir la flamme de l'amitié, les vies de couple (et plus encore celles qui pourraient se construire) survivent rarement à la précarisation financière de l’un ou de l’autre.

Quand les plaisirs de la vie sont plus rares (sorties, vacances…), les perspectives bouchées et les contraintes plus nombreuses, pas facile d'entretenir la flamme… amoureuse ou de lui permettre de prendre.

Quelle solution alors ?

Devenir riche !:oops:

Plus sérieusement : À chacun la sienne pour briser la spirale de l'isolement.

Pour ma part, j'ai tenu à conserver tous les liens avec celles et ceux que je fréquente depuis des années. Et je me suis battu (vraiment) pour ça.

Il faut continuer à ALLER VERS LES AUTRES, coûte que coûte, vaille que vaille. Je sais, c'est dur parfois… souvent, mais comme PERSONNE NE VIENDRA À VOUS SPONTANÉMENT, vous n'avez pas d'autre choix.

L'engagement militant - dans Actuchomage notamment - m'y a incontestablement aidé, mais tout le monde ne peut - malheureusement - pas s'appuyer sur pareille (et enthousiasmante) expérience.

Il est certain qu'un autre monde reste à inventer car celui qui se profile à l'horizon n'est de ce point de vue (exclusion, pauvreté, isolement…) guère réjouissant.

Si quelqu'un à de bonnes recettes pour briser la spirale, faut pas hésiter, on est preneur !

Yves - Un animateur du site

Publié : 23 août 2007
par tristesir
Il est certain qu'un autre monde reste à inventer
Un nouveau monde est possible ;)

Publié : 23 août 2007
par maguy
Un nouveau monde est possible
Je crois qu'on sera bien obligés d'y arriver, et au forceps encore :evil:

Je reconnais avoir beaucoup de chance, j'ai décidé à l'âge de 28 ans, en toute sérénité, que décidément, je n'étais pas faite pour la vie en couple et cela dure depuis... 25 ans bientôt.

Le chômage de longue durée est une occasion de faire un tri sérieux, mais bon on ne choisit pas sa famille. :? et à part ma mère, il y a peu de compréhension, surtout que "je n'ai pas l'air pauvre" et ne parle pas constamment d'argent, même si cela mine et que je ne dors qu'avec des somnifères.

Mes amis sont pour la plupart allemands, donc loin ou virtuels. :lol:

C'est pourquoi je dis avoir de la chance car je n'ai jamais été très sociable, la plupart des gens m'ennuient, très peu sont intéressants, donc ils ne me manquent pas.
Il faut continuer à ALLER VERS LES AUTRES, coûte que coûte, vaille que vaille. Je sais, c'est dur parfois… souvent, mais comme PERSONNE NE VIENDRA À VOUS SPONTANÉMENT, vous n'avez pas d'autre choix.
Cà, c'est une chose que je me refuse de faire, ma grosse timidité je suppose. :P

Publié : 25 août 2007
par Christophe79
maguy a écrit : C'est pourquoi je dis avoir de la chance car je n'ai jamais été très sociable, la plupart des gens m'ennuient, très peu sont intéressants, donc ils ne me manquent pas.
Entièrement d'accord avec toi, les gens intéressants sont très rares.

Pour parler du sujet des amis, je suis au chomage depuis 1an, je vois toujours mes amis que j'ai connu à l'école et au sport ça se passe toujours très bien avec eux, certains sont au chomage, d'autres en interim, un autre a connu le chomage pendant 5ans.

Cependant les amis/collègues de mon ancien travail, j'ai arrêté de les fréquenter, les 3 derniers restaurants avec eux étaient d'un ennui pour moi... 90% de la discution concernait le travail car ils y bossent toujours et 10% restants c'est Sarkozy. Je n'ai quasiment rien dit pendant les repas et je me suis rendu compte que leurs intêrets dans la vie sont plus que limités, la seule chose qui leur fasse plaisir, c'est que tel collègue se fasse engueuler par le chef ou que Sarkozy fasse ci ou ça.

Publié : 25 août 2007
par tristesir
90% de la discution concernait le travail car ils y bossent toujours
Je crois que lorsqu'on connait peu des gens, la discussion se limite en général, au temps qu'il fait, qu'il fera, qu'il a fait et si cette conversation a lieu sur un lieu de travail, elle sera relative...au travail.

Il faut que les gens se connaissent mieux que cela pour qu'une conversation dépasse ces trivialités ou que quelqu'un ose aller au-delà, ce qui signifie, prendre le risque de parler de soi, de dire ce qu'on ressent, ce qu'on pense..ce qui peut s'avérer surement dangereux sur un lieu de travail.

Publié : 26 sept. 2007
par geneve
d'accord avec tout ça
d'accord avec le fait de virer ceux qui commencent à vous regarder de travers superuser
ect etc
d'accord aussi avec le fait que dans le milieu du spectacle par ex cela est plus ouvert bp plus ouvert
la scène ne te demande plus d'éprouver tes qualités d'intégration mais celles du jeu et de l 'amour de l' art
ce que tu peux partager avec tous

Publié : 26 sept. 2007
par tristesir
d'accord aussi avec le fait que dans le milieu du spectacle par ex cela est plus ouvert bp plus ouvert
Je ne connais pas ce milieu mais il me semble que plus encore qu'ailleurs, si c'est possible, il y'a beaucoup d'appelés et peu d'élus, donc la concurrence doit être rude et les sourires hypocrites la norme plus qu'ailleurs?