Recherche de stage : je suis en colère !
Publié : 29 nov. 2011
Comme certains le savent ici, je suis depuis trois semaines suivi par AKSIS sous-traitant Pôle Emploi dans le cadre d'un module de "remobilisation vers l'emploi"...
J'ai décidé voyant mes difficultés à retrouver un emploi (et la mauvaise santé du marché du travail) de me positionner sur une demande de formation et j'ai fini par choisir parmi toutes celles proposées "Secrétaire/Assistant Médico-Social" (formation de 7 mois, rémunérée et correspondant en partie à mes diplômes et mon parcours professionnel).
La personne chargée de me "coacher" dans cette boite m'a demandé pour appuyer ma demande de trouver un stage dans une structure. Bille en tête, je me mets en recherche de celui-ci et parviens après une dizaine d'appels infructueux à décrocher (du moins le semblait-il) un stage dans un cabinet de radiologie.
Pour assurer ma prise et ne pas trop mettre de pression sur la responsable du personnel du cabinet, je prends la précaution de lui répondre à la question :"Avez-vous une date butoir pour ce stage ?" ; "On peut aller jusqu'en février 2012 pour trouver une fenêtre sur vos plannings !"
Ces "agapes" eurent lieu il y a une semaine et je raccroche avec la certitude d'avoir décroché le précieux sésame, "gage de ma bonne volonté"... j'en informe ma référente AKSIS qui paraît ravie de ma rapidité et mon autonomie.
Voyant les jours passer sans aucun appel, je décide ce matin de décrocher mon téléphone avec un vague mauvais pressentiment (je trouve étrange qu'il faille une semaine pour trouver cinq jours sur les plannings de quatre médecins avec un laps de temps de 3 mois !)
La responsable du personnel me répond d'un air contrit : "je suis désolée, le premier cabinet a déjà quelqu'un en stage !"
Pressentant une embrouille, j'essaie de garder mon calme et lui rétorque : "en fait vous me paraissez nettement moins sûre que lors de notre premier entretien !"
"Je dois en parler aux radiologues !" - Ce qui semble vouloir dire que depuis 7 jours elle ne l'a toujours pas fait et qui par conséquent contredit sa première réflexion (si elle n'a pas appelé les radiologues comment peut-elle savoir que le premier cabinet a déjà un stagiaire).
De plus, il me parait étrange d'évoquer que le 1er cabinet a déjà un stagiaire vu les trois mois disponibles pour trouver une date (laissés justement pour éviter ce type d'excuses bidon).
Même si un stagiaire se trouve déjà dans une structure, il suffirait de me positionner après la fin de son stage (qui ne peut excéder quatre semaines).
Et voilà ! Une semaine perdue par la faute d'une personne incorrecte. Celle-ci doit me rappeler tout à l'heure pour me donner "la réponse du 2nd cabinet".
Je ne sais quelle sera mon attitude, même si j'ai très envie de piquer une grosse colère...
Je l'a soupçonne d'avoir oublié et de n'avoir rien fait durant une semaine. "Redonnez-moi votre numéro de téléphone que je n'ai pas à le chercher !" voilà ce qu'elle m'a dit en me quittant.
UNE SEMAINE PERDUE DANS MES RECHERCHES... UNE !
J'ai décidé voyant mes difficultés à retrouver un emploi (et la mauvaise santé du marché du travail) de me positionner sur une demande de formation et j'ai fini par choisir parmi toutes celles proposées "Secrétaire/Assistant Médico-Social" (formation de 7 mois, rémunérée et correspondant en partie à mes diplômes et mon parcours professionnel).
La personne chargée de me "coacher" dans cette boite m'a demandé pour appuyer ma demande de trouver un stage dans une structure. Bille en tête, je me mets en recherche de celui-ci et parviens après une dizaine d'appels infructueux à décrocher (du moins le semblait-il) un stage dans un cabinet de radiologie.
Pour assurer ma prise et ne pas trop mettre de pression sur la responsable du personnel du cabinet, je prends la précaution de lui répondre à la question :"Avez-vous une date butoir pour ce stage ?" ; "On peut aller jusqu'en février 2012 pour trouver une fenêtre sur vos plannings !"
Ces "agapes" eurent lieu il y a une semaine et je raccroche avec la certitude d'avoir décroché le précieux sésame, "gage de ma bonne volonté"... j'en informe ma référente AKSIS qui paraît ravie de ma rapidité et mon autonomie.
Voyant les jours passer sans aucun appel, je décide ce matin de décrocher mon téléphone avec un vague mauvais pressentiment (je trouve étrange qu'il faille une semaine pour trouver cinq jours sur les plannings de quatre médecins avec un laps de temps de 3 mois !)
La responsable du personnel me répond d'un air contrit : "je suis désolée, le premier cabinet a déjà quelqu'un en stage !"
Pressentant une embrouille, j'essaie de garder mon calme et lui rétorque : "en fait vous me paraissez nettement moins sûre que lors de notre premier entretien !"
"Je dois en parler aux radiologues !" - Ce qui semble vouloir dire que depuis 7 jours elle ne l'a toujours pas fait et qui par conséquent contredit sa première réflexion (si elle n'a pas appelé les radiologues comment peut-elle savoir que le premier cabinet a déjà un stagiaire).
De plus, il me parait étrange d'évoquer que le 1er cabinet a déjà un stagiaire vu les trois mois disponibles pour trouver une date (laissés justement pour éviter ce type d'excuses bidon).
Même si un stagiaire se trouve déjà dans une structure, il suffirait de me positionner après la fin de son stage (qui ne peut excéder quatre semaines).
Et voilà ! Une semaine perdue par la faute d'une personne incorrecte. Celle-ci doit me rappeler tout à l'heure pour me donner "la réponse du 2nd cabinet".
Je ne sais quelle sera mon attitude, même si j'ai très envie de piquer une grosse colère...



Je l'a soupçonne d'avoir oublié et de n'avoir rien fait durant une semaine. "Redonnez-moi votre numéro de téléphone que je n'ai pas à le chercher !" voilà ce qu'elle m'a dit en me quittant.
UNE SEMAINE PERDUE DANS MES RECHERCHES... UNE !