PSA : le poids de la finance dans le chômage
Publié : 26 oct. 2011
face au facteur humain dans l'économie ultra-libérale :
PSA Peugeot-Citroën vient d'annoncer 800 suppressions de postes intérimaires en France (ces suppressions pourraient atteindrent 5.000 en Europe sur des profils "non productifs").
Incroyable ! Quand on s'aperçoit que le chiffre d'affaires total du groupe est en hausse de + 3 % à 13 milliards d'euros et que celui-ci vient de racheter ses actions sur les marchés pour un montant de 200 millions d'euros.
Et dans le même temps, il annonce qu'il va investir les prochaines années 200/250 millions d'euros par an pour augmenter ses capacités de production au Brésil (coût du travail moins onéreux qu'en France, obligation de créer de nouvelles chaînes de production pour répondre à la demande sans cesse croissante des nouveaux marchés émergeants : Chine, Inde, Brésil...), mais, aussi une forme indirecte de chantage économique, une manière de mettre la pression sur les pouvoirs publics pour imposer une nouvelle baisse du coût du travail réclamée depuis longtemps par le MEDEF et ses adhérents...
PSA Peugeot-Citroën vient d'annoncer 800 suppressions de postes intérimaires en France (ces suppressions pourraient atteindrent 5.000 en Europe sur des profils "non productifs").
Incroyable ! Quand on s'aperçoit que le chiffre d'affaires total du groupe est en hausse de + 3 % à 13 milliards d'euros et que celui-ci vient de racheter ses actions sur les marchés pour un montant de 200 millions d'euros.
Et dans le même temps, il annonce qu'il va investir les prochaines années 200/250 millions d'euros par an pour augmenter ses capacités de production au Brésil (coût du travail moins onéreux qu'en France, obligation de créer de nouvelles chaînes de production pour répondre à la demande sans cesse croissante des nouveaux marchés émergeants : Chine, Inde, Brésil...), mais, aussi une forme indirecte de chantage économique, une manière de mettre la pression sur les pouvoirs publics pour imposer une nouvelle baisse du coût du travail réclamée depuis longtemps par le MEDEF et ses adhérents...