INDEMNISATION ?
Publié : 03 avr. 2007
J'ai été licencié en cours de période d'essai le 29 décembre dernier.
A cette occasion j'ai découvert que l'indemnisation chômage est loin d'être systématique.
"Rejet de votre demande" m'a asséné l'Assedic. J'ai pourtant travaillé de manière continue depuis le 15 sép^tembrte 1999. Le problème c'est que j'ai démissionné de mon emploi le 30 janvier 2004 pour entrer dans une autre entreprise, puis une nouvelle fois le 30 septembre 2006. Malheureusement la greffe n'a pas pris dans cette dernière entreprise. 170 heures supplémentaire non payées en moins de trois mois, l'abus était manifeste. L'employeur a décidé de mettre un terme à notre remation si mal engagée...
L'Assedic s'appuie alors sur une circulaire de juillet 2006 qui stipule qu'on ne peut prétendre à une indemnisation chômage si on a travaillé moins de trois mois après une démission. En l'sepèce il me maqueit une semaine ou 35 heures. Si mes heures supplémentaires avaient été payées, je n'aurais pas eu ce problème.
A noter que par ailleurs cette disposition qui semble être dictée par le souici de lutter contre la fraude, constitue un frein considérable à la mobilité professionnelle.
Pour ce qui me concerne, après avoir fait attention aux dépenses courantes, et consommé les économies de près de 10 ans, la situation se dégrade rrapidement. Le premier rendez-vous avec un copnsultant de l'APËC n'a pu être convenu que le 22 février, soit près de 2 mois après la perte de mon emploi ! Les charges du foyer s'élèves à 1100 EUR pour le logement, et près de 400 EUR pour les impôts (Revenu & habitation). Nous avons touché au mois de mars 137 EUR d'APL. Mon épouse est dorénavant la seule source de revenus du ménage (2 enfants scolarisés). Charges : 1500 EUR mensuels. Revenus: 1390 EUR. Encore ne sommes nous pas en situation de nous nourrir, de nous vêtir, de nous chauffer et nous alimenter en eau.!!
Deux réflexions : Travailler plus poour gagner plus ? Un leurre si cela ne s'accompagne pas de règles contraignantes en direction des employeurs. Etat providence ? Ou est-il ? Nous avions heureusement quelques économies. Que dire de foyer beaucoup plus précaires, économiquement fragiles ?
Comment faire pour se déplacer, téléphoner, visiter, prospecter ?... Il ne me resta qu'attendre 121 jours, au délà desquels je pourrais seulement demander le réexamen de mon dossier.
D'autres internautes ont-ils vécu une situiation comparable vis à vis de l'Assedic, et comment y ont-ils fait face ?
Qu'en pensent les syndicalistes qui participanet à la gestion paritaire de l'Unedic ?
Excusez-moi d'avoir été un peu long. Merci d'avance pour vos commentaires...
A cette occasion j'ai découvert que l'indemnisation chômage est loin d'être systématique.
"Rejet de votre demande" m'a asséné l'Assedic. J'ai pourtant travaillé de manière continue depuis le 15 sép^tembrte 1999. Le problème c'est que j'ai démissionné de mon emploi le 30 janvier 2004 pour entrer dans une autre entreprise, puis une nouvelle fois le 30 septembre 2006. Malheureusement la greffe n'a pas pris dans cette dernière entreprise. 170 heures supplémentaire non payées en moins de trois mois, l'abus était manifeste. L'employeur a décidé de mettre un terme à notre remation si mal engagée...
L'Assedic s'appuie alors sur une circulaire de juillet 2006 qui stipule qu'on ne peut prétendre à une indemnisation chômage si on a travaillé moins de trois mois après une démission. En l'sepèce il me maqueit une semaine ou 35 heures. Si mes heures supplémentaires avaient été payées, je n'aurais pas eu ce problème.
A noter que par ailleurs cette disposition qui semble être dictée par le souici de lutter contre la fraude, constitue un frein considérable à la mobilité professionnelle.
Pour ce qui me concerne, après avoir fait attention aux dépenses courantes, et consommé les économies de près de 10 ans, la situation se dégrade rrapidement. Le premier rendez-vous avec un copnsultant de l'APËC n'a pu être convenu que le 22 février, soit près de 2 mois après la perte de mon emploi ! Les charges du foyer s'élèves à 1100 EUR pour le logement, et près de 400 EUR pour les impôts (Revenu & habitation). Nous avons touché au mois de mars 137 EUR d'APL. Mon épouse est dorénavant la seule source de revenus du ménage (2 enfants scolarisés). Charges : 1500 EUR mensuels. Revenus: 1390 EUR. Encore ne sommes nous pas en situation de nous nourrir, de nous vêtir, de nous chauffer et nous alimenter en eau.!!
Deux réflexions : Travailler plus poour gagner plus ? Un leurre si cela ne s'accompagne pas de règles contraignantes en direction des employeurs. Etat providence ? Ou est-il ? Nous avions heureusement quelques économies. Que dire de foyer beaucoup plus précaires, économiquement fragiles ?
Comment faire pour se déplacer, téléphoner, visiter, prospecter ?... Il ne me resta qu'attendre 121 jours, au délà desquels je pourrais seulement demander le réexamen de mon dossier.
D'autres internautes ont-ils vécu une situiation comparable vis à vis de l'Assedic, et comment y ont-ils fait face ?
Qu'en pensent les syndicalistes qui participanet à la gestion paritaire de l'Unedic ?
Excusez-moi d'avoir été un peu long. Merci d'avance pour vos commentaires...