rapport du CERC
Publié : 17 nov. 2006
http://www.lexpress.fr/info/infojour/re ... 31496&1837
"La principale source d'inégalité des revenus est l'instabilité et l'insécurité de l'emploi", écrivent-ils. "Si, pour une large partie de la population en âge de travailler, l'emploi est à temps plein et stable, une autre partie (les jeunes, les moins qualifiés, notamment) cumule instabilité de l'emploi et faible taux de rémunération."
Les auteurs soulignent au passage que le smic français est désormais inférieur au salaire minimum en Belgique, aux Pays-Bas, au Luxembourg et même en Irlande et au Royaume Uni.
"Plus que du relèvement du salaire minimum, dont les conséquences sur l'emploi peuvent être négatives, les politiques de lutte contre la pauvreté doivent se préoccuper d'accroître l'emploi continu et à temps plein", ajoutent-ils cependant.
Pour ceux qui restent exclus de l'emploi ou d'un emploi suffisant "se pose la question du niveau des minima sociaux, qui est faible", estiment-ils d'autre part.
Ils font valoir que d'autres pays européens ont retenu des niveaux de minima sociaux supérieurs en contrepartie d'une plus grande exigence à l'égard des bénéficiaires.
"La principale source d'inégalité des revenus est l'instabilité et l'insécurité de l'emploi", écrivent-ils. "Si, pour une large partie de la population en âge de travailler, l'emploi est à temps plein et stable, une autre partie (les jeunes, les moins qualifiés, notamment) cumule instabilité de l'emploi et faible taux de rémunération."
Les auteurs soulignent au passage que le smic français est désormais inférieur au salaire minimum en Belgique, aux Pays-Bas, au Luxembourg et même en Irlande et au Royaume Uni.
"Plus que du relèvement du salaire minimum, dont les conséquences sur l'emploi peuvent être négatives, les politiques de lutte contre la pauvreté doivent se préoccuper d'accroître l'emploi continu et à temps plein", ajoutent-ils cependant.
Pour ceux qui restent exclus de l'emploi ou d'un emploi suffisant "se pose la question du niveau des minima sociaux, qui est faible", estiment-ils d'autre part.
Ils font valoir que d'autres pays européens ont retenu des niveaux de minima sociaux supérieurs en contrepartie d'une plus grande exigence à l'égard des bénéficiaires.