Extrait de la conclusion de l'enquête :
Ainsi, nous avons constaté avec un certain étonnement que presque 22% des personnes interrogées se lanceraient dans une activité non salariée dans le secteur de l’humanitaire, du culturel ou du social s’ils en avaient les moyens. C’est plus d’une personne sur 5. C’est impressionnant et devrait nous faire réfléchir aux possibilités de développement du secteur non marchand de l’activité humaine.
1 personne sur 5 ? Je suis convaincue que cela est bien plus encore ! J'ai remarqué qu'au moins la moitié d'entre-nous étaient ou devenaient des militant-e-s de la cause humanitaire des précaires. Chacun à sa façon très particulière, certes parfois. C'est à dire par la colère, le dégoût, la révolte... Ou bien par l'engagement, l'action, les propositions... Ou la maladie, la dépression, l'abandon... avant de rebondir...