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Publicité à l'égard des entreprises françaises

Publié : 01 oct. 2006
par valerie
sous http://www.worldbusinesscompanies.com/

Plus les charges salariales augmentent, plus le pouvoir d'achat diminue. Ainsi la consommation s'altère et par delà la production. Si la Production baisse, alors les bénéfices s'amenuisent et les impôts avec. Moins d'impôts c'est plus de déficit et plus de déficit contraint le gouvernement à augmenter les taxes et les charges.
Ce théorème est bien plus qu'un paradoxe c'est une réalité assassine.

Les changements économiques intervenus au cours des dernières années mettent les PME, PMI en situation de danger extrême. Pour survivre il faut se développer, c'est à dire tirer de son activité les ressources nécessaires à sa croissance. Or les charges sociales et fiscales ainsi que les contraintes administratives en absorbent une partie beaucoup trop importante Ces charges grèvent la compétitivité des petites sociétés, par définition plus fragiles et sensibles à la concurrence déjà étendue de l'Europe.

La majorité des pays européens restent figés sur des concepts sociaux économiques vieux de 50 ans. Ceux ci étaient viables tant que les gouvernements controlaient directement leur économie et que la concurrence ne dépassait pas le cadre des frontières nationales.
Mais ce n'est plus le cas aujourd'hui.
Nous sommes déja suiveurs de l'Asie et de l'Amérique.
Notre situation ne pourra que s'aggraver tant que la France cherchera à protéger ses acquis. Or cela se fait au détriment des PME ,PMI, qui produisent la majorité des richesses.
Nos problèmes d'emploi sont directement liés à ce contexte. Il ne peut y avoir d'embauches sans croissance et de croissance sans ressources suffisantes. Nous allons vers une asphyxie lente qui durera tant que la France continuera à subordonner ses intérêts économiques à des intérêts de politique intérieure.
Il nous manque la volonté farouche de gagner.

L'état des finances publiques contraint les autorités à un gouvernement de rigueur, mais la spirale fiscale et sociale nourrit elle- même son propre déclin d'une économie fragilisée.
Trop d'impôts tuent l'impôt.
Dans ce contexte reconnu, qu'elle est donc l'alternative qui permettrait d'une part aux dirigeants, d'optimiser leur outil de travail !...
Ce constat nous a poussé comment améliorer et à trouver des solutions légales pour la compétitivité des petites sociétés, qui ne peuvent aux mieux que survivre.
Notre groupe, composé de juristes, fiscalistes, avocats spécialisés dans le droit des affaires, vous propose des solutions simples, rentables et sécurisantes.

APPLIQUEZ LE DROIT SOCIAL EUROPEEN. CELA PEUT CHANGER, LA FRANCE RECONNAIT OFFICIELLEMENT DEPUIS LE 6 MAI 2006 QUE LA SECU A PERDU SON MONOPOLE;
Vous êtes salarié, Commerçant, Artisan, Profession libérale, Patrons de PME, PMI.

ECONOMISEZ DES MILLIERS D'EUROS :

Réduisez vos charges obligatoires en toute légalité.
Depuis le 1er Juillet 1994, usant des dispositions des lois n°94-5 du 4 Janvier 1994, n°94-678 du 8 aout 1994 et n°2001-624 du 17 juillet 2001, transposant les Directives Européennes 92/49/CEE et 92/96/CEE qui sont applicables en France depuis le 1er juillet 1994, vous pouvez décider en toute légalité de transférer vos régimes obligatoires dans un autre pays de l'Union Européeenne plus favorable que la France.
Nos juristes peuvent vous aider à mettre en place cette alternative. Nous nous occupons de toutes les démarches nécessaires auprès des organismes agréés par l'Union Européenne.

Le modèle français en l'état actuel touche vraiment à sa fin!

Publié : 01 oct. 2006
par Monolecte
Franchement, Valérie, mise à part asséner tes vérités de haut, je ne vois pas bien ce que tu apportes au débat ici.

Tu veux voir disparaître les "charges"? Mais je doute que tu ais envie de payer les services financés par ces "charges" à leur juste valeur : 10 à 12 000€ pour un accouchement simple, rien que pour te donner une idée. Quant au vrai prix d'une année de scolarité pour ton gosse, je doute que tes revenus suffisent.
Tu peux espérer t'en tirer pas trop mal tant que tu es jeune, célibataire et en bonne santé, mais au moindre pépin, t'es bonne pour la fosse commune!

C'est ça le monde que tu appelles de tes voeux. Alors monte dans une machine à remonter le temps et retourne direct dans l'Angleterre victorienne, celle décrite avec tant de talent par Dickens!
Torpedo a écrit :Cette histoire de suppression de cotisations patronales pour les bas salaires a de plus en plus de mal à passer. Moins de cotisations patronales c'est moins d'argent pour le budget de l'Etat, moins d'argent pour l'hôpital public, pour l'école publique, pour les crèches, pour les retraites, pour la Sécu... Face à la dégradation du service public, chaque salarié devra donc dépenser plus pour les cliniques privées, les écoles privées et les cours de soutien, les mutuelles, les nounous, les médicaments non remboursées etc. Autrement dit, non seulement le patronat ne nous augmente pas les salaires mais qui plus est il nous ampute notre pouvoir d'achat. Il nous vole notre salaire. Sans compter que supprimer les cotisations patronales c'est encourager les patrons à ne pas augmenter les smicards. Quant aux créations d'emploi censées se multiplier tel des pains christiques, même la Cour des Comptes n'y croit pas.

GDF a fait un profit de 1,7 milliards d'euros ce trimestre (+44%). Pas mal pour une entreprise d'odieux privilégiés (tout le monde sait que chaque salarié de GDF est soumis à l'ISF. Les Français ont le droit de savoir). Suffisamment en tout cas pour attiser l'appétit des actionnaires. Et tant pis si là encore, la privatisation annoncée entraîne une augmentation des prix pour le consommateur. C'est encore du salaire qu'on nous vole...
Les voleurs de salaire

Publié : 01 oct. 2006
par tristesir
Les voilà les explications que je demandais sur une autre file de messages. Elle nous gâte la Valerie 8)
Ce constat nous a poussé comment améliorer et à trouver des solutions légales
Ils pourraient se relire tout de même. 8)
Moins d'impôts c'est plus de déficit et plus de déficit contraint le gouvernement à augmenter les taxes et les charges.
Ce théorème est bien plus qu'un paradoxe c'est une réalité assassine.
Les falsificateurs et les énonomistes aiment emprunter certains mots au vocabulaire des mathématiques et des sciences physiques pour faire croire que leur propos et arguments sont rigoureusement exacts.

Publié : 01 oct. 2006
par poussin006
c'est surtout que si on égalisait les cotisations salariales et les patronales ...
les patronales ont fondu comme neige au soleil à coup de loi fillon, exonérations..., les salariales ont augmenté.
Le coût financé par les cotisations fini par être entièrement supporté par les salariés.

D'ailleurs, une idée : si les chômeurs géraient l'unedic, à parité avec des travailleurs ? puisque le patronat cotise presque plus, il fait quoi là?