Etat de droit & Justice
Publié : 31 août 2006
Le 29 juillet 1992, les Altesses et autres Présidents des nations européennes, notamment « confirmaient leur attachement aux principes de liberté, de démocratie, du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales et de l’Etat de droit » et signaient le Traité sur l’Union.
La France aussi signa avant de s’empresser de revenir aux vieilles habitudes empruntées aux monarchies, démontrant ainsi que la République n’a de démocratique que le nom.
Que faire ?
Laisser faire ?
Rappel à l’article 16 de la Déclaration du 26 août 1789 : « Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution ».
Autrement dit, s’il était démontré que le Droit n’est pas appliqué par exemple par les Tribunaux français, alors la France n’aurait point de Constitution et le Pouvoir s’en trouverait illégitime.
Alors les exclus, les opprimés auraient devoir de Résister à l’oppression, un droit fondamental inscrit à l’article 2 de la Déclaration de 1789. Parmi les revendications légitimes, le Peuple Souverain pourrait exiger des Juges & des Tribunaux que ceux-ci n’aient de cesse que d’appliquer le Droit et non plus de se plier aux ordres des corrompus ?
Trouvera-t-il assez de force d’âme pour expliquer aux tyrans qu’ils sont « au Chômage » : car si le Politique se met aux ordres de la finance, qu’il nous dise au moins au nom de quel vote, quel référendum il cède si complaisamment ; le Peuple Souverain, c'est qui au juste ?
Rappel : le 14 février 2006 la Cour européenne des Droits de l’Homme déjugeait le Conseil constitutionnel et la Cour de cassation et disait pour Droit à peu près ceci « Non messieurs, votre Droit ne recherche pas l’Intérêt Général ! ».
Le TGI de Paris aura-t-il le courage dont fit preuve Louis XVI sur l’échafaud, celui de boire le vin jusqu’à la lie ?
La HALDE et 7 chômeurs sont, il est vrai, quantité bien négligeable, du point de vue des Corrompus, cela s’entend. Mais à partir de combien de condamnations par le Juge international, les corrompus appliqueront-ils en France le Droit dans l’Intérêt Général ?
La question est posée.
La France aussi signa avant de s’empresser de revenir aux vieilles habitudes empruntées aux monarchies, démontrant ainsi que la République n’a de démocratique que le nom.
Que faire ?
Laisser faire ?
Rappel à l’article 16 de la Déclaration du 26 août 1789 : « Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution ».
Autrement dit, s’il était démontré que le Droit n’est pas appliqué par exemple par les Tribunaux français, alors la France n’aurait point de Constitution et le Pouvoir s’en trouverait illégitime.
Alors les exclus, les opprimés auraient devoir de Résister à l’oppression, un droit fondamental inscrit à l’article 2 de la Déclaration de 1789. Parmi les revendications légitimes, le Peuple Souverain pourrait exiger des Juges & des Tribunaux que ceux-ci n’aient de cesse que d’appliquer le Droit et non plus de se plier aux ordres des corrompus ?
Trouvera-t-il assez de force d’âme pour expliquer aux tyrans qu’ils sont « au Chômage » : car si le Politique se met aux ordres de la finance, qu’il nous dise au moins au nom de quel vote, quel référendum il cède si complaisamment ; le Peuple Souverain, c'est qui au juste ?
Rappel : le 14 février 2006 la Cour européenne des Droits de l’Homme déjugeait le Conseil constitutionnel et la Cour de cassation et disait pour Droit à peu près ceci « Non messieurs, votre Droit ne recherche pas l’Intérêt Général ! ».
Le TGI de Paris aura-t-il le courage dont fit preuve Louis XVI sur l’échafaud, celui de boire le vin jusqu’à la lie ?
La HALDE et 7 chômeurs sont, il est vrai, quantité bien négligeable, du point de vue des Corrompus, cela s’entend. Mais à partir de combien de condamnations par le Juge international, les corrompus appliqueront-ils en France le Droit dans l’Intérêt Général ?
La question est posée.