Campagne anti-radiations: on achève bien les chevaux
Publié : 29 août 2006
CAMPAGNE ANTI-RADIATIONS : on achève bien les chevaux.
Mr X était autrefois dans la police : licencié, il travaille ensuite plusieurs années dans la sécurité avant d’être licencié de nouveau, suite aux lois Sarkozy qui exigent un casier vierge pour travailler dans son secteur.
A cause d’un dysfonctionnement des ASSEDIC, Mr X met alors plusieurs mois à toucher ses ASSEDIC.Conséquence : il accumule des retards de loyer, qu’il ne réussira plus à combler par la suite.
Inscrit à l’ANPE, il n’y trouve aucune aide pour retrouver un nouvel emploi : en effet bien qu’il ait expliqué par courrier et en direct qu’il ne peut plus travailler dans la sécurité, celle-ci ne change pas son CODE Rom et persiste à lui envoyer des offres d’emploi auxquels il ne peut prétendre, ou à le convoquer pour des propositions de formation pour des qualifications qu’il a déjà.
Par contre le financement d’une formation d’agent de maintenance qu’il a trouvé par lui-même lui est refusé.
Au début du mois de juillet, MrX perd son logement : l’ANPE finit de lui enfoncer la tête sous l’eau en le radiant pour deux mois pour une absence à convocation qu’il n’a jamais reçue : pourtant une amie de Mr X a avancé l’argent pour lui ouvrir une boîte postale, puisqu’aucun service social n’a pu lui proposer de domiciliation administrative.
Cette boite postale a été communiquée à l’ANPE, qui cependant enverra les possibilités de recours relatives à la radiation à son ancienne adresse.
Visite collective à l’ANPE Armand Carrel : la directrice sera obligée de reconnaître que la radiation est injustifiée, que l’ANPE n’a de plus tenu aucun compte des projets professionnels de Mr X et lui a fait perdre un temps précieux dans sa recherche d’emploi et de formation.
Bien évidemment, il nous sera expliqué qu’il s’agit d’un cas exceptionnel : malheureusement pour la crédibilité de l’ANPE, une jeune précaire présente , elle aussi radiée d’office pour absence à une convocation collective lui prouve le contraire immédiatement.Et ce d’autant plus que cette personne a reçu deux avis de radiations : le sien et celui d’une autre personne, qui elle n’a donc pas été avertie de sa radiation et à qui l’on reprochera certainement de ne pas avoir répondu aux courriers
PERMANENCE SOS RADIATIONS AC Paris Tel : 01 40 09 27 49 Tous les mercredis de 15H à 18 heures au 23, bis rue Mathis Métro Crimée
Mr X était autrefois dans la police : licencié, il travaille ensuite plusieurs années dans la sécurité avant d’être licencié de nouveau, suite aux lois Sarkozy qui exigent un casier vierge pour travailler dans son secteur.
A cause d’un dysfonctionnement des ASSEDIC, Mr X met alors plusieurs mois à toucher ses ASSEDIC.Conséquence : il accumule des retards de loyer, qu’il ne réussira plus à combler par la suite.
Inscrit à l’ANPE, il n’y trouve aucune aide pour retrouver un nouvel emploi : en effet bien qu’il ait expliqué par courrier et en direct qu’il ne peut plus travailler dans la sécurité, celle-ci ne change pas son CODE Rom et persiste à lui envoyer des offres d’emploi auxquels il ne peut prétendre, ou à le convoquer pour des propositions de formation pour des qualifications qu’il a déjà.
Par contre le financement d’une formation d’agent de maintenance qu’il a trouvé par lui-même lui est refusé.
Au début du mois de juillet, MrX perd son logement : l’ANPE finit de lui enfoncer la tête sous l’eau en le radiant pour deux mois pour une absence à convocation qu’il n’a jamais reçue : pourtant une amie de Mr X a avancé l’argent pour lui ouvrir une boîte postale, puisqu’aucun service social n’a pu lui proposer de domiciliation administrative.
Cette boite postale a été communiquée à l’ANPE, qui cependant enverra les possibilités de recours relatives à la radiation à son ancienne adresse.
Visite collective à l’ANPE Armand Carrel : la directrice sera obligée de reconnaître que la radiation est injustifiée, que l’ANPE n’a de plus tenu aucun compte des projets professionnels de Mr X et lui a fait perdre un temps précieux dans sa recherche d’emploi et de formation.
Bien évidemment, il nous sera expliqué qu’il s’agit d’un cas exceptionnel : malheureusement pour la crédibilité de l’ANPE, une jeune précaire présente , elle aussi radiée d’office pour absence à une convocation collective lui prouve le contraire immédiatement.Et ce d’autant plus que cette personne a reçu deux avis de radiations : le sien et celui d’une autre personne, qui elle n’a donc pas été avertie de sa radiation et à qui l’on reprochera certainement de ne pas avoir répondu aux courriers
PERMANENCE SOS RADIATIONS AC Paris Tel : 01 40 09 27 49 Tous les mercredis de 15H à 18 heures au 23, bis rue Mathis Métro Crimée