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les neo-cons

Publié : 26 juin 2006
par chris
eloge de la nouvelle tendance a la mode de chez nous :arrow:
Et la France, dans tout ça ?


Sarkozy veut « mettre la France au travail ». Encore un. C’est le credo du Medef et des néocons du monde entier. Cela ne s’inscrit dans aucune logique. Il est même bel et bien prouvé que la productivité est moindre dans les pays où les horaires de travail sont plus longs (sauf, paraît-il, aux Etats-Unis, qui commencent vraiment à cumuler! Ils s’emmerdent donc tant que ça, chez eux ?).


Alors pourquoi ? Par IDEOLOGIE, purement et simplement.


Un peuple abruti au travail pour se maintenir à un niveau matériel «acceptable» n’a pas le ressort de penser à se révolter. S’il a tout : la maison, le bolide étincelant, le robot ménager intelligent, le home cinéma, le four micro-ondes et tout le bastringue, il va quand même pas aller se faire chier à se plaindre avec les gueux, qui, eux, n’ont rien de tout ça et encore moins, mais à qui la faute, hein?


Asservir la classe moyenne, stigmatiser les pauvres et profiter de tout le monde pour s’approprier toutes les richesses, voilà ce que la minorité de nantis veut faire de la planète. Les ficelles sont grosses ? Apparemment pas assez grosses, puisque il en est encore une majorité à se laisser bercer par les discours mensongers de ces escrocs.


Le Sarko, une fois de plus, annonce la couleur. « Mettre la France au travail ». Quoi ça? Il veut dire qu’on ne fout rien ? Tu ne te sens pas d’emblée insulté, toi qui rentres le soir, épuisé après une journée d’engatzes au bureau?


Et ceux à qui ils sont incapables de donner du travail, ces bouffis, ils vont les mettre au travail comment ? Commence par trouver du travail à tout le monde et après on avise pour voir s’il faut vraiment en faire plus pour que tout le monde vive dans la soie.


Et en faire plus, pourquoi ?


Pour faire grimper l’immobilier et faire travailler encore et encore les salariés qui veulent s’assurer un toit au-dessus de la tête ? Pour renoncer aux loisirs accessibles, aux réunions en famille ou entre amis, à la lecture, à toute culture?


Ah, bon, c’est CA la vie ?


Travailler pour QUI ?


Pour enrichir les riches?


Parce qu’on ne sera pas plus riches si on doit se payer la sécu, l’éducation des enfants, un toit décent, les transports et quelques maigres loisirs pour «se laver la tête».


La classe moyenne en Amérique bosse pour son « sam’suffit » à des kilomètres à vol d’oiseau de son « sam’suffit pas » - où elle trime jour après jour pour avoir, en plus du château, le garage rempli de 4x4, l’écran télé à cristaux liquides, le BBQ qui ne sera jamais allumé, la pizza surgelée achetée au supermarché du coin ouvert 24 heures sur 24 et où bossent des esclaves à qui il reste à peine le RMI pour survivre.


La classe moyenne en Amérique n’a plus le temps de s’informer et prend pour argent comptant la propagande assénée à longueur d’antenne. La classe moyenne est hypnotisée par les discours sur le patriotisme, les valeurs morales et religieuses, le Bien et le Mal et Terminator. Elle est coupée de la misère, enfermée dans son bunker capitonné, loin, très loin des réalités de la vie. Loin, très loin de l’armée de miséreux que la société capitaliste a créée pour assurer la pérennité du système.


Loin, très loin de l’Humanité.


La classe moyenne s’enferme entre quatre murs et voit le monde extérieur à travers une lucarne, que ce soit l'écran de la télé ou d’Internet, un écran pour chaque membre de la famille, des fois qu'ils voudraient se rapprocher inutilement et se regarder dans les yeux.


C’est ça que les libéraux rêvent pour nous? Nous couper du reste de l’humanité ?


Et on va les laisser faire, parce qu’on a un pois chiche à la place du cerveau (version optimiste)? Et qu’on nous terrorise avec les pseudo terroristes et tous ceux qui veulent venir égorger nos fils et nos compagnes ?


Mais si nous avons plus de biens matériels, il va bien falloir se protéger encore davantage de ceux que nous aurons contribué à exclure des richesses, non ? Et il va falloir payer très cher pour notre « sécurité », cela aux dépends de nos libertés et de notre tranquillité.


Ce n’est pas de la science-fiction, ni un délire galouzeaubrantesque: ceux qui regardent autour d’eux et qui s’informent le savent très bien. D’ailleurs, le processus est largement entamé. Toute la politique libérale n’a qu’un objectif : ficher, bunkériser, criminaliser, atomiser la société pour mieux museler toute opposition et tout élan solidaire. Tu bouges, je t'écrase, sale cafard.


Ne vaut-il pas mieux vivre ensemble, se parler et prendre du plaisir à se mélanger et se comprendre plutôt que de dresser des murs, mettre des barreaux et des chaînes à un cercueil doré ?


Les néo-cons cherchent à nous imposer définitivement la consommation, les heures de travail supplémentaires et la productivité comme valeurs universelles.


Le petit ministre candidat, en campagne présidentielle, le dit, il veut «décupler le travail supplémentaire » et propose que les heures supp’ soient totalement exonérées d’impôts et de charges sociales.


Ben voyons ! Encore les pauvres qui trinqueront et les patrons qui s’en mettront plein les fouilles. En plus, il n’a pas dit si les heures seraient payées à ceux qui les effectuent. Mais, y a pas de raison.


Selon un sondage Sofres-Le Figaro, le triste individu « inquiète » 55% des Français et en « rassure » 36%.


En voilà une nouvelle qu’elle est rafraîchissante. Me voilà un peu (oh, très peu) rassurée. Je le serai pleinement quand les mêmes Français diront la même chose des socio-libéraux, la madone des sondages en tête.


Si les sondages disent vrai, évidemment.


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petiot blog tres sympa , y en a meme un qu'y aime pas le groooooos raoult ,le pappy pervers :twisted:



Publié : 26 juin 2006
par Monolecte
Tu as programmé une sonnerie qui tinte dès qu'un nouvel article est référencé sur Rezo, ou quoi? :shock: :wink: :lol:

Publié : 26 juin 2006
par chris
ben , le chant d'un neo -con ,ca resonne tout de suite :lol:

surtout les petits lundi matins tranquilles 8)

quand ca tombe bien ,pas de raison de s'en priver :)

Publié : 26 juin 2006
par victorine83
Ben voyons ! Encore les pauvres qui trinqueront et les patrons qui s’en mettront plein les fouilles. En plus, il n’a pas dit si les heures seraient payées à ceux qui les effectuent. Mais, y a pas de raison.
En attendant, mes heures sup à moi... elles ne sont pas payées et c'est pas prévu qu'elles le soient.

Alors, il est gentil Sarko mais il faudrait qu'il pense à redescendre sur Terre.

Qu'il commence déjà à s'assurer si les CNE sont en mesure de pouvoir réclamer le paiement de leurs heures sup.
Le petit ministre candidat, en campagne présidentielle, le dit, il veut «décupler le travail supplémentaire » et propose que les heures supp’ soient totalement exonérées d’impôts et de charges sociales.
Pourquoi exonérer les heures sup d'impôts et de charges sociales quand on peut les avoir gratuitement ???

Publié : 26 juin 2006
par attentiondangertravail
Un peuple abruti au travail pour se maintenir à un niveau matériel «acceptable» n’a pas le ressort de penser à se révolter. S’il a tout : la maison, le bolide étincelant, le robot ménager intelligent, le home cinéma, le four micro-ondes et tout le bastringue, il va quand même pas aller se faire chier à se plaindre avec les gueux, qui, eux, n’ont rien de tout ça et encore moins, mais à qui la faute, hein?


Nous notre dernier Tract s'intitule "Les méritants et les gueux"
:lol: Bon à quand la révoltes des gueux :?:

BONNE PIOCHE DE CHRIS

Publié : 27 juin 2006
par ARAMIS2
Excellent post dégoté par Chris, tout y est et je me demande si la dame qui a écrit ce petit bonheur ne m'aurait pas, par hasard, entendu réfléchir tout au haut. Continue Chris, je me régale et s'il y a du rab je suis preneur. :wink: ARAMIS

Publié : 27 juin 2006
par chris
un peu de rab de ...neo-con ,suffit de demander :wink:

:arrow:
Le locataire de la place Beauvau a pris l'habitude d'intervenir dans le travail des journalistes.
Sarkozy, la main dans l'info


Par Olivier COSTEMALLE et Raphaël GARRIGOS et Cédric MATHIOT et Isabelle ROBERTS
mardi 27 juin 2006





ans quel pays le ministre de l'Intérieur peut-il exiger ­ et obtenir ­ la tête du directeur d'un grand hebdo sous prétexte qu'il a publié des photos qui déplaisent ? La Corée du Nord ? Le Turkménistan ? Cuba ? Pas besoin de chercher si loin : l'histoire se passe en France, où Nicolas Sarkozy, ulcéré par la publication, à la une de Paris Match, d'un cliché de son épouse en compagnie du publicitaire pour lequel elle l'avait quitté, a fait chuter Alain Genestar, le patron du magazine (lire ci-contre).

Et s'il n'y avait que Match ! Car le ministre de l'Intérieur entretient avec de nombreux médias des relations intimes, voire incestueuses. On ne compte plus ses interventions, discrètes ou directes, sur les rédactions. Il va même parfois jusqu'à s'en vanter. Dossier à charge.

Télévision

JT sous influence

Selon nos informations, Nicolas Sarkozy n'est pour rien dans le prochain passage Des Chiffres et des lettres de France 2 à France 3. Pour tout le reste, en revanche... Sarkozy et la télé, c'est un véritable roman d'amitié : coups de fils, conseils, pressions de la part du président de l'UMP mais aussi autocensure de la part des chaînes pour ne surtout pas lui déplaire.

Exemple en novembre 2005, lors de la crise des banlieues. Figurez-vous que nos chères télés, si promptes d'habitude à faire feu de toute insécurité et tsunami de toute eau, se sont soudainement montrées d'une prudence de Sioux. Très vite, France 3 ne donne plus le nombre de voitures brûlées, France 2 ne montre pas les pourtant télégéniques incendies d'autos et TF1 fait dans le positif à coups de reportages sur les initiatives en banlieue. Un oukase de Sarkozy ? Même pas. Il a simplement suffi que des élus tel le député UMP Jacques Myard fassent publiquement les gros yeux en accusant les médias d'être «instrumentalisés par les casseurs». Et Sarkozy là-dedans ? Oh, trois fois rien, il s'est juste contenté d'appeler personnellement Robert Namias et Arlette Chabot, patrons de l'info de TF1 et France 2, pour les remercier de leur prudence.

Sont-elles sourcilleuses, ces chaînes, et soucieuses d'équité... Le 6 novembre, 7 à 8 (TF1) saisit en caméra cachée une provocation policière envers des jeunes. Savon de Namias. Le dimanche suivant, 7 à 8 contrebalance avec les interviews de maires de banlieues chaudes... Le 8 novembre, dans Nous ne sommes pas des anges (Canal +), la représentante d'une association souligne la responsabilité de Sarkozy dans les émeutes en banlieues et fait le parallèle entre le couvre-feu de Villepin et celui de Papon en octobre 1961. Emoi à la direction de Canal +, qui exige «un autre point de vue». Ce sera, deux jours plus tard, celui d'un maire UMP... Officiellement, Nicolas Sarkozy n'est pas intervenu. Juste, il a fait demander la cassette au service de presse... Le 10 novembre, France 2 diffuse dans son JT les images du tabassage de jeunes par des flics. Ceux-ci sont suspendus. Arlette Chabot décide d'ôter le reportage du site web de France 2 : «Nous ne voulions pas tomber dans la surenchère [...] au risque d'envenimer les choses à la veille d'un week-end à risque». Le ministre de l'Intérieur peut dormir sur ses deux oreilles, Chabot veille.

Et puis Sarkozy passe à la télé. Il faut alors mettre les petits plats dans les grands. Quand il est invité du Grand Journal de Canal + de Michel Denisot début mars 2006, il accepte, mais à condition de figurer aux côtés de Denisot en Une de TV Mag, le supplément télé de la Socpresse (le groupe de presse de Dassault) distribué avec 42 quotidiens nationaux et régionaux et diffusé à près de cinq millions d'exemplaires. Commentaire d'un cadre de Canal : «Sarkozy n'en a rien à faire du Grand Journal, ce qui l'intéresse, c'est d'être sur la table du salon de 5 millions de personnes.» Ce n'est pas la première fois que Sarkozy prend ses aises avec la chaîne cryptée : quand en juin 2005, dans le plus grand secret, Canal + décide de mettre fin au contrat de Karl Zéro, celui-ci fait donner ses amis qui tenteront de faire plier Bertrand Méheut, PDG du groupe. Au premier rang des pro-Zéro : Sarkozy, qui appelle en personne.

Enfin, il y a Sarkozy le faiseur de stars. Le 7 mars, la veille d'un délicat voyage du ministre aux Antilles, TF1 annonce que le joker de PPDA sera désormais le journaliste noir et antillais Harry Roselmack. Un bien beau hasard n'arrivant jamais seul, Sarkozy était déjà au courant. Le 17 février, recevant place Beauvau le club Averroès, qui défend l'image des minorités dans les médias, le ministre de l'Intérieur et ami intime de Martin Bouygues, PDG de la maison mère de TF1, avait en effet annoncé la nouvelle : il y aura, cet été, un Noir au 20 heures. Mieux, selon certains témoins de la rencontre, Sarkozy aurait raconté avoir lui-même soufflé l'idée à Bouygues...

Radio

Conseil en recrutement

Le ministre de l'Intérieur garde aussi un oeil sur le recrutement des journalistes politiques. En février, le Canard enchaîné révèle que Jean-Pierre Elkabbach, directeur d'Europe 1 (filiale de Lagardère, tout comme Paris Match), a pris conseil auprès de Nicolas Sarkozy sur le choix d'un journaliste politique. «C'est normal, fanfaronne Sarkozy. J'ai été ministre de la Communication.» Et il ajoute : «Je les connais, les journalistes.» Elkabbach revendique sa «méthode» de recrutement, qui consiste, dit-il, à prendre l'avis des politiques, mais aussi de syndicalistes ou d'associations : «Je fais cela pour tous les services parce que je veux avoir les meilleurs... Je ne peux pas interdire aux politiques de me donner leur avis. Mais ensuite je décide à 100 % moi-même».

Presse, édition

Convocation

Pauvre Valérie Domain. Cette journaliste de Gala croyait pouvoir publier tranquillement une bio autorisée de Cécilia Sarkozy. Elle l'avait même rencontrée à plusieurs reprises. Mais le livre ne verra pas le jour, du moins sous sa forme initiale. Fin 2005, l'éditeur est convoqué place Beauvau par le ministre de l'Intérieur en personne. Menace de procès, intimidation : il comprend le message et remballe son ouvrage. Lequel sera transformé à la va-vite en roman à clé. Chez Prisma, propriétaire de Gala, on anticipe les soucis à venir en demandant désormais aux journalistes maison de soumettre leurs projets de livre à la direction.

Mais Nicolas Sarkozy ne peut pas convoquer au ministère tous les journalistes. Un homme de l'ombre, dans son cabinet, se charge de faire passer les messages non officiels aux rédactions. Pierre Charon a ainsi fait savoir à quelques journalistes que le fils cadet de François Hollande et Ségolène Royal avait été interpellé, en mai dernier, après une soirée arrosée. C'est lui aussi qui a agité la menace d'un procès dans les rédactions susceptibles de révéler l'identité de la journaliste du Figaro qui partageait la vie de Nicolas Sarkozy après sa rupture avec son épouse.

Mais c'est sans doute avec Paris Match que les interventions ont été les plus directes et les plus pressantes. Outre l'affaire de la Une de Cécilia, il y a eu le cas Noah. Dans un entretien à l'hebdomadaire, en décembre dernier, le chanteur-tennisman déclare : «Une chose est sûre : si jamais Sarkozy passe, je me casse !» Bizarre : le 15 décembre, lorsque l'hebdo arrive en kiosque avec la longue interview ­ titrée «Mes quatre vérités à la France» ­ dans laquelle Noah évoque notamment la crise des banlieues, la petite phrase a tout simplement disparu, comme le révèle le Canard. Sur ordre de Sarkozy ? Ou bien l'hebdo a-t-il décidé de s'autocensurer et de s'éviter, cette fois, les foudres du ministre de l'Intérieur et de son ami Arnaud Lagardère, propriétaire de Match ? A chacun sa version.

http://www.liberation.fr/page.php?Article=393503



© Libération

Publié : 27 juin 2006
par chris
et pour etre plus serieux ,comme quoi une rubrique neo-con ,c'est mondialiste :wink:

:arrow:
Chili : remise en cause du système libéral
La "révolte des pingouins" de ces dernières semaines [1] contre le système éducatif [2] a le mérite de révéler l’existence d’une société profondément inégalitaire. Un autre exemple de cet état de fait est le système de retraite basé sur les fonds de pension, qui est proche de la faillite [3].

Le Chili (après l’Argentine, avant que celle-ci ne "tombe en faillite") est le meilleur élève de la Banque Mondiale, du FMI et des économistes libéraux. Bien que faisant parti du Mercosur, il a signé un accord de libre échange avec les Etats-Unis. Dans le "nouveau visage" de l’Amérique Latine et ce "virage à gauche" comme l’appellent certains (avec Chavez et Morales), il se place à droite, rejoint par Lula, Kirchner et bientôt Garcia au Pérou. Car si ses indicateurs économiques sont au vert, au niveau social la situation est catastrophique, à côté d’une classe moyenne qui profite des réformes libérales, la majorité de la population vit dans des conditions peu réjouissantes. Le Chili a vécu dans les années 60, avec Salvador Allende, un processus politique de révolution socialiste démocratique, processus interrompu par le coup d’Etat militaire de Pinochet (et des Etats-Unis). Dès lors, comme en Argentine, parrallèlement aux assassinats, au niveau économique, les militaires ont appliqué une politique libérale de dérèglementations et de privatisations. "La ’révolution néo-libérale’ a divisé le pays en deux : d’un côté, les dirigeants politiques, l’armée et la bourgeoisie d’entreprise ; de l’autre, les exclus de la prospérité. En 1988, plus de la moitié des habitants du grand Santiago étaient (considérés) comme ’pauvres’, par ailleurs l’ultra-libéralisme a créé ses nouveaux déclassés : petits commercants, enseignants, employés" [4].

Seize ans après le "départ" de Pinochet, les successifs gouvernements de la Concertacion (démocratie chrétienne et parti socialiste) n’ont opéré aucun changement au modèle économique, se contentant de faire du "pinochétisme économique sans Pinochet" ! (Vayssière) Au niveau politique, le poids de la droite et de l’Eglise (donc des militaires) est toujours importants. En raison de son passé dictatorial, la société chilienne se caractérise par une recherche de consensus politique et une intolérance face au conflit. Les seuls à mener une résistance, liée à une question de survie, sont les mapuches (avec leur lot de prisonniers politiques).

Néanmoins, cette irruption des "pingouins" dans les rues et sur la scène politique s’inscrit dans un contexte de renouveau de conflits, avec en particulier comme le notait le quotidien La Nation, "la résurrection des groupes anarchistes et libertaires" [5].

Les pingouins, première génération post-dictature, et largement soutenus par la population, sont peut être en train d’ouvrir un autre chemin dans l’histoire du Chili. "Les chiliens avaient d’abord plébiscité les droits de l’homme (dans le retour à la "démocratie), en laissant pour plus tard la justice sociale...", écrivait Vayssière en 1991. Ce "plus tard" est peut être arrivé.
petit extrait de HNS a l'interet limité , puisque que l'evenement majeur en ce moment ,le big bang c'est l'election mexicaine de ...dimanche qui vient :twisted: :twisted:

on en entend peu parler malgré qu'on est a la veille d'un evenement majeur de la lutte des peuples a conquerir la citoyenneté !

le candidat chavezien ,le sieur obrador (je vous fait grace du lopez etc ) est la bas victime d'une campagne de calomnie dont on ne peut en france imaginer la teneur !!!!!!

dans un des plus grand pays du monde , un voisin des states ou l'information et la militance internet existe que peu , ou l'information est ultra liberalisée :D

faut imaginer ce que peut etre le pouvoir des lobbys de droite ,les rumeurs , les peurs sont exploitées au paroxisme de la debilité que l'on suppose dediée a l'electeur moyen .

mais ce qui est le plus etonnant ,c'est le peu d'echo hexagonal sur un mouvement de resistance de l'amerique latine d'une telle ampleur .

nos partis de gauche auraient ils des reserves quant a la reussite de politiques de gauche qui ne leur ressemblent guere :wink:

a part , menenchon a qui je rends honneur de s'etre battu pratiquement seul pour defendre la revolution venezuelienne a un moment ou ! j'ai vu peu de bruits a ce niveau la ailleurs ,dommage pour notre hexagone ou regne la division a defaut de vrai projet pour 2007 .

Une idée de néo-cons : le service civique obligatoire

Publié : 27 juin 2006
par superuser
De Sarkozy à Royal, on est dans le même bouillon :
Service civil obligatoire des jeunes (SCO) : «La production de lien social par la société civile peut-elle garantir une aliénation sociale efficace ?»

Le silence des pantoufles est parfois aussi inquiétant que le bruit des bottes. Bernard Lubat.

La volonté de la classe politique n’est plus, semble-t-il, de remédier aux problèmes politiques qui saisissent la société. Cette volonté s’incarne désormais dans une attitude morale qui charge le citoyen d’une somme de devoirs appelée «citoyenneté». Ainsi le SCO, ce service civil obligatoire remplaçant le service national, séduit la frange conservatrice de la population et de la classe politique, gauche et droite confondues.

En réponse aux révoltes de 2005 et 2006, voici «l’heureuse» obligation pour 750.000 jeunes chaque année, de servir la nation dans ses différents corps : social, environnement, collectivités, police, armée. Ce travail civique aurait, paraît-il, des vertus éducatives par du travail, des vertus hiérarchiques pour une «mixité sociale» ou utilement pacificatrices par la production de «lien social».

Mais transformant ces révoltes en sinistre affaire de discipline, les partis politiques maquillent par des postures morales et des réactions sécuritaires leur incapacité à se saisir des raisons socio-économiques qui déterminent ces révoltes et qui touchent en premier lieu, les jeunes dans leur désir d’avenir pourtant le plus conformiste qui soit.

A défaut de leur garantir un travail salarié qui permettrait de fonder un foyer et une famille, la patrie les oblige au service civil gratuit et à ses méthodes «pédagogiques». En utilisant la jeunesse pour une étanchéité sociale qui empêcherait toute contestation future, nos dirigeants prétendent «éduquer» la jeunesse par le travail, la soumettre à des méthodes comportementalistes et un encadrement autoritaire modernes, évitant toute confusion pédagogique avec des camps de rééducation par le travail, de sinistre mémoire.

Les révoltes sont perçues innocemment comme des actes gratuits, et non comme une réaction désespérée à l’oppression socioé-conomique qui sévit depuis nombre d’années et de manière toujours plus accrue. Les politiques montrent ici une dangereuse irresponsabilité en se défaisant de toute intelligence et toute intention d’intervenir sur les causes socioé-conomiques, une surdité arrogante face aux populations en souffrance creusant le fossé démocratique entre le sentiment d’abandon et la loi du bâton, un aveuglement politique réprimant le droit de manifester.

Des citoyens moins concernés, cédant à la fabrication de la peur et aux discours sécuritaires plutôt qu’à une intelligence des situations, n’en mesurent pas encore la portée antidémocratique, la violence politique et les conséquences prévisibles. Mais surtout, cette utilisation de la jeunesse en ressource humaine, l’usurpation du pouvoir de la société civile et ce façonnage de l’intervention civique font du SCO un acte politique grave.

Le SCO, en taisant les problèmes, couve et attise, par sa perversité, le feu de révoltes prochaines. Voici se profiler une escalade sans fin, opposant la classe politique et la jeunesse, laissant la voie libre aux débordements des deux côtés ainsi qu’à la dégradation continue des difficultés initiales.

Le SCO n’a qu’une vertu : elle est cosmétique, celle de donner bon teint à la classe politique qui entend rassurer les populations les plus protégées par la surenchère sécuritaire, faire baisser les chiffres du chômage, sans changer quoi que ce soit. Mais les effets secondaires de cet artifice sont bien plus redoutables.

• Obligé par ce nouveau devoir, ce n’est pas le citoyen libre de droit qui intervient. C’est une vaste main d’œuvre disponible et employable pour une «remédiation» sociale en période de grandes difficultés économiques, écologiques et politiques. Ce déplacement d’un état à un autre est la définition de l’«aliénation» : il remplace la figure du citoyen protégé par des droits civiques par cette figure utilitariste et conservatrice : le citoyen qui a des «devoirs». Alors que devant les problèmes socio-économiques qu’ils constatent ou rencontrent, les citoyens sont progressivement défaits de leurs droits, les plus jeunes de ces citoyens ont l’ordre moral, l’obligation civique, le devoir civil, de gérer les effets de ces problèmes, c’est à dire pallier les résultats sociaux de processus et (in)conséquences politiques.
Encadrés par différents services publics et associatifs, ces jeunes serviront la nation dans une sorte de patriotisme social en tant que «petites mains» affectées aux services d’intervention et d’urgence existantes et déjà prédéfinies. Avec l’ampleur grossissante de la tâche au fil des jours, ce sont de nouveaux Sisyphe que l’olympe politique force à rouler bêtement leur rocher écrasant du devoir civique face à une montagne de difficultés sociales toujours plus massive et abrupte, vierge de toute intervention politique.

• La profession politique impose par le SCO une division de la société civile par l’organisation même de ce travail social, entre jeune appelé et publics catégorisés, et entre les jeunes et le reste de la société civile. Outre le fait qu’elle enferme les jeunes dans des méthodes de travail, elle mise au nom de la citoyenneté sur la hiérarchie et l’obéissance des appelés, au lieu de rendre leur propre capacité d’initiative citoyenne : elle leur impose des méthodes de gestion sociale au lieu de modes d’interprétation politique de ces situations sociales. La classe politique forme à l’idée que le citoyen est exclusivement un jeune saisonnier, discipliné, au service de la gestion du social divisé en catégories de populations ou de territoires, ce que l’élu est en permanence. Le citoyen ne serait plus conçu comme l’élément d’un corps collectif, libre et autonome – la société civile – historiquement capable de s’associer, de créer et de faire respecter les droits des citoyens, cela à tout âge de la vie. On veut le jeune comme un animal domestiqué, obligé au travail, plutôt que les contraires : l’animal sauvage (l’incendiaire) ou l’animal politique (le créateur de droits civiques).

Depuis des années, des mesures et des suggestions politiques consistent à utiliser, pour des œuvres d’intérêt général prédéfinies, des populations disponibles, non occupées par un travail productif : les retraités, les chômeurs et les jeunes. Or les pratiques publiques et associatives d’intérêt général, travail social, éducation, soin, écologie, police, sont soumises aujourd’hui à des logiques de rentabilité et un management poussif qui ont des effets déplorables chez les professionnels et les bénévoles, sur leurs pratiques et les publics, et donc sur le corps social dans son ensemble. Avec des publics de plus en plus nombreux et dans des conditions difficiles d’exercice, la liste est longue des métiers en proie au désarroi. De plus, les services publics diminuent et des secteurs d’intervention sont confiés à des entreprises lucratives : sécurité, emploi, aide à domicile, etc.

Avec la mobilisation des jeunes, fournir en main d’œuvre servile des secteurs d’action sociale non lucratifs ne résoudra pas le problème, ni pour les professionnels, ni pour les publics, ni pour les jeunes, ni pour la société. De plus, un dispositif civique qui ne laisse pas de place à de l’éducation politique, à de l’humanité sensible et à du «jeu» démocratique conduit à la production de citoyens abrutis par cette standardisation civile, au traitement à la chaîne de catégories de «populations à problèmes» réaffirmant les stéréotypes discriminants, à une forme inouïe d’aliénations sociale et politique des citoyens.


Le projet du Service Civil par son caractère obligatoire, s’il prétend intégrer massivement, est une aliénation, c’est à dire, le contraire de l’autonomie propre au volontariat civil. L’exemple le plus fameux d’aliénation collective en France est cette propagande de l’insécurité qui amena en 2002 un peuple à avoir peur de lui même, à se voir comme un autre que l’on craint, un étranger comme l’ombre portée de ce qu’il est.
Face aux révoltes de 2005, des citoyens satisfaits par leur mode de vie ne comprennent pas ce fait pourtant simple : la pauvreté gagne un à un les échelons de la société et le désespoir de populations démunies accumulant le nombre de tentatives de dialogue et de promesses déçues, années après années, prend corps dans des révoltes spontanées. Ces citoyens aisés ne comprennent pas la légitimité de ces révoltes et n’en perçoivent que l’illégalité gratuite (brûler des voitures). Ils s’en remettent docilement à la profession politique qui projette des explications et des propositions erronées, entérine toujours plus de lois sécuritaires et oppressives. Ainsi le SCO.

Mais la société civile repose sur le libre volontariat et non sous la contrainte, sur le choix éthique et non sous la soumission morale, elle n’a de sens que par le respect et la création de droits et non par l’obéissance à des devoirs. L’autonomie est le choix des règles pour soi, la liberté de son engagement et de sa responsabilité, le pouvoir de répondre de ses actes et de ses conséquences, à re-connaître sa part d’humanité et d’inhumanité.

Autonome, le citoyen dispose de sa propre liberté d’intervention, d’interprétation politique, son expression critique, cela dans un lien collectif aux autres citoyens. En s’associant à d’autres citoyens, il s’éduque au jeu politique, et éventuellement au conflit qui crée du droit sans lequel il n’est pas de démocratie possible. A condition bien sûr de ne pas s’exposer à l’illégalité, mais de faire valoir la légitimité de ce droit, et aussi, à condition qu’il soit entendu par ses représentants.

En un mot, être citoyen, membre de la société civile, c’est être autonome, responsable de ses actes dans un cadre collectif, qui donne une autorité politique. C’est pourquoi, réprimant la révolte, le SCO est une remise en cause de ce principe fondamental qu’est la citoyenneté. Ceci est une mise en captivité de la société civile et la mise en scène spectaculaire de cette captivité. En obligeant la jeune population à la corvée au nom de la citoyenneté, la séparant des citoyens par un travail social, la détachant de la société civile par une discrimination de l’âge, le SCO ne peut en aucun cas conserver la prétention d’être civique ou civil, et donc d’être appelé comme tel.

Depuis que l’on n’ignore plus les monstruosités générées par le pouvoir comme l’esclavage, la colonisation ou la Shoah, on sait que la culture et l’instruction ne sont pas les garants absolus d’une civilisation sans barbarie. On sait aussi que la simple volonté de faire le bien au nom de la morale nationale ne garantit pas le bien des citoyens, que l’élection démocratique ne suffit pas à se prévenir de dictatures sanguinaires et que le zèle, la discipline et l’obéissance de la population peuvent la mener à commettre des crimes contre l’humanité.

Le moyen d’éviter la barbarie, le fascisme et autres dominations est une éducation politique des citoyens qui invite la société civile à préférer la démocratie, son exercice politique et sa dialectique permanente, à préférer l’éthique à la morale, à occuper la chose publique et agir en citoyen libre.

Et aujourd’hui ce manque d’éducation critique, d’action politique et de transmission historique des citoyens se fait cruellement sentir tant il est difficile de saisir la perversité d’un violent désir français de capitalisme positif, appelé libéralisme, au mépris de ses conséquences sociales, difficile de repérer des méthodes antipolitiques au sein même des organisations politiques et leurs conséquences sociales, et d’autant plus il est difficile de faire comprendre la perversité de ce service civil obligatoire.


Nous, membres de la société civile, gagnerions à répondre à cette mesure qui n’est que morale et utilitarisme honteux de la jeunesse. La jeunesse réclame notre protection face à ce projet destructeur de la société civile et de ses espoirs. Comment accepter que nos jeunes servent d’alibi aux politiques sécuritaires et irresponsables, comment tolérer que leur citoyenneté leur soit dictée ou que le droit au respect leur soit retiré ? Demain, qui sait si nos retraités ne seront pas obligés à leur tour de rendre service sous peine de perdre leur revenu de retraite ? Le seul changement que favorise ce SCO et qui pourrait encore en séduire quelques-uns est un bouleversement brutal des réseaux sociaux habituels de nos jeunes. Et certains d’entre nous fantasment encore sur cette idée de mixité sociale, ce lien social renouvelé, et frissonnent à l’efficacité d’une telle expérimentation, au spectacle rassurant que pourrait engendrer ce nouvel artifice national. Si nous fantasmons ainsi, c’est parce que nous sommes nous mêmes des touristes dans notre propre vie sociale, en retraite de notre propre vie politique, abonnés à mettre à jour nos clichés dans des fêtes de voisinage qui suffisent pour tout lien social.

Parce que nous avons oublié ce que la citoyenneté a de politique, ce que le conflit peut créer de droit et d’avenir, ce que le collectif a d’autonome et d’émancipateur, parce que nous ne montrons plus l’exemple d’une citoyenneté qui inspire le respect et protège ses enfants et ses droits, la révolte de cette jeunesse en pleine déshérence, ne sachant plus vers qui se tourner, part en fumée ou en prison. Parce que nous avons oublié tout cela, l’obligation d’un service civil national, le spectacle d’une jeunesse martyr, semblent à quelques uns d’entre nous, tolérable, odieusement préférable à tout changement.

Plus qu’une simple critique du SCO et le refus de sa mise en place, cet appel que la classe politique fait aux citoyens pourrait être pris à la lettre. On pourrait se mettre à réfléchir notre engagement politique, notre fabrication de liberté juridique, l’usage de nos droits contre l’oppression directe et indirecte que subit le lien politique aujourd’hui. Nous percevons aujourd’hui l’intérêt que peut avoir une éducation politique faite d’éclairages historique, économique, civique, et autres, cela du point de vue du citoyen. Transformer cette notion de service civil par un apprentissage civique de l’usage des droits et de la création de droits civiques, voilà qui sous certaines conditions donnerait lieu à un renouveau de la démocratie et un gage d’espoir. Face aux injustices flagrantes que nous connaissons, celles là même qui poussent nos dirigeants à contrefaire des valeurs républicaines essentielles, nous n’avons pas à rougir en rappelant à nos dirigeants qu’ils devaient jadis faciliter les conditions d’engagement civique et libre des citoyens. Cela vaudrait mieux qu’un SCO minable ou de chercher à nous fasciner par la gloriole politicienne des conseils de jeunes ou autres projets de démagogie participative.

Il est temps de rappeler haut et fort les principes d’une république qui a besoin en permanence de ses citoyens, et vice versa, à condition qu’ils soient libres, égaux en droit et puissent encore disposer d’eux mêmes.

A.J, du collectif "Pour une alternative au S.C.O."
arnojkr@yahoo.fr
Ceci est un autre texte que m'adressé Myriam Alderton sur le sujet. J'attend la prochaine occasion pour le publier visiblement sur ce site.

Publié : 27 juin 2006
par St-Dumortier
Bonjour,

Service .... Obligatoire,
Rien que le nom , on est déjà dans le ridicule.

En fait, c'est de la sarkonnerie primaire,

comme dans le projet de loi contre la délinquance des mineurs:
La punition, c'est .... une mise en situation de travail.

C'est sur qu'avec un boulot de merde sous payé, c'est une vrai punition, mais est ce la bonne méthode pour favoriser l'envie d'apprendre et de faire. ?

-"Attention, si t'es pas sage grand méchant sarko va te donner du travail ...."
-"Non NON , pas ça, je vais être sage !"
-"C'est bien et comme ça, si tu est sage quand tu seras grand tu pourras travailler ET payer des impôts !"
:shock: :shock: :shock: j'ai du rater quelque chose ... parceque là je comprends vraiment pas tout ....

enfin, je ne comprends pas .... si .....
je reste dans une logique,
non-psychopathe.

Publié : 27 juin 2006
par chris
en somme ,les neo-cons n'ont pas finit de faire parler d'eux :D

c'est une rubrique d'avenir que ja lancé la 8)

ouai ,de sarko a royal , pas de sursis pour la connerie .

le pire ,c'est qu'actuellement ,les jeunes ..s'engagent massivement ,la gendarmerie refusent des candidatures , meme la legion a hissé haut la barre pour le niveau de recrutement !

c'est dire lorsqu'on connait les contraintes du statut ,pas de permission avant un an minimum pour un candidat legio !

c'est pas les salaires qui ne sont interessants qu'au niveau officier superieur !

c'est bel et bien ,le chomage et la precarité ,la cause de cet interet soudain .

et les clowns de service qui nous font le coup du service obligado .

reflexion d'un ami ex militaire ...y sont fous ,y veulent professionnnaliser des jeunes delinquants potentiels en matiere d'armes ou quoi , c'est dire l'analyse d'un homme de terrain !

lui a ete dans la marine et se souviens en se marrant des gens qu'on sortait de taule pour faire l'arrimage des avions sur les portes zincs ,zavaient finit par former une maffia qui ..terrorisaient les officiers ,le gag !

le militaire d'aujourd'hui n'a plus grand chose a voir avec le disciplinaire ,on est rentré depuis longtemps dans la professionalisation ,des techniciens ,rien a voir avec des educateurs :roll:

ouai ,on a pas finit de se marrer avec sego !!!

porter plainte contre un gamin dans la precarité qui mene son combat politique dans l'entartrage n'a rien de glorieux ni de reluisant non plus ,beurk :twisted:

Publié : 27 juin 2006
par YVES780
On n'a pas fini de se marrer avec Ségo ?

Faut pas oublier Chirac et Jospin, les "vieux de la vieille" , qui ont bien envie de remettre ça !

Visiblement, on ne va pas manquer de candidats ! :lol: