ANPE : atelier de positionnement ?
Publié : 15 juin 2006
Bonjour,
Ayant dépassé les fatidiques 4 mois de chômage (d'affilée, bien entendu) au -delà desquels le service d'ordre de l'emploi se voit autorisé à me surveiller de près, je suis donc convoqué (vers la fin du mois prochain, c'est-à-dire à peu de chose près à l'échéance des 6 mois qui décident, sans me demander mon avis sur la question, qu"il est temps pour moi de changer de métier) à un "atelier de positionnement", sans doute pour déterminer si mes 30 ans d'expérience professionnelle me prédisposent plus naturellement à exercer la profession de peintre en bâtiment plutôt que celle de crêpier.
Je compte bien profiter de cette occasion pour observer de plus près les moeurs indigènes de ces êtres étranges dont la principale occupation consiste à empêcher un peu plus de tourner en rond ceux qui ont déjà bien du mal à le faire. Mais je souhaite aussi me garder de leurs (éventuelles) capacités de nuisance.
Je suis donc preneur de tout avis sur la question, en particulier si certains d'entre-vous on déjà fréquenté ce type d'"atelier".
Questions subsidiaires :
- Le bout de listing qui m'a été adressé mentionne sans autre forme de procès que "depuis [mon] inscription des propositions [m']ont été faites". Ce qui n'est, évidemment, pas le cas. De fait, "depuis mon inscription", je n'ai jamais plus, jusqu'à ce jour, entendu parler d'eux. Y'a-t'il lieu de réagir à cela ?
- Il indique aussi que le dit "atelier de positonnement" sera suivi d'un entretien individuel, ce qui est sans doute dans leur ordre logique - extra-terrestre - des choses.
Procèdent-ils "habituellement" ainsi, alors que le "bilan de [mes] démarches" dont parle encore leur "citation à comparaître" devrait pourtant déterminer l'opportunité de participer ou non à un "atelier de positionnemment" ? Si tant est que cela soit jamais opportun par ailleurs.
Voilà.
Vos lumières sur ces questions seront, s'il y a lieu, la bienvenue.
Ayant dépassé les fatidiques 4 mois de chômage (d'affilée, bien entendu) au -delà desquels le service d'ordre de l'emploi se voit autorisé à me surveiller de près, je suis donc convoqué (vers la fin du mois prochain, c'est-à-dire à peu de chose près à l'échéance des 6 mois qui décident, sans me demander mon avis sur la question, qu"il est temps pour moi de changer de métier) à un "atelier de positionnement", sans doute pour déterminer si mes 30 ans d'expérience professionnelle me prédisposent plus naturellement à exercer la profession de peintre en bâtiment plutôt que celle de crêpier.
Je compte bien profiter de cette occasion pour observer de plus près les moeurs indigènes de ces êtres étranges dont la principale occupation consiste à empêcher un peu plus de tourner en rond ceux qui ont déjà bien du mal à le faire. Mais je souhaite aussi me garder de leurs (éventuelles) capacités de nuisance.
Je suis donc preneur de tout avis sur la question, en particulier si certains d'entre-vous on déjà fréquenté ce type d'"atelier".
Questions subsidiaires :
- Le bout de listing qui m'a été adressé mentionne sans autre forme de procès que "depuis [mon] inscription des propositions [m']ont été faites". Ce qui n'est, évidemment, pas le cas. De fait, "depuis mon inscription", je n'ai jamais plus, jusqu'à ce jour, entendu parler d'eux. Y'a-t'il lieu de réagir à cela ?
- Il indique aussi que le dit "atelier de positonnement" sera suivi d'un entretien individuel, ce qui est sans doute dans leur ordre logique - extra-terrestre - des choses.
Procèdent-ils "habituellement" ainsi, alors que le "bilan de [mes] démarches" dont parle encore leur "citation à comparaître" devrait pourtant déterminer l'opportunité de participer ou non à un "atelier de positionnemment" ? Si tant est que cela soit jamais opportun par ailleurs.
Voilà.
Vos lumières sur ces questions seront, s'il y a lieu, la bienvenue.