Nîmes: il licencie son employée par texto!
Publié : 27 mars 2010
En février 2009, une jeune femme travaille aux halles de Nîmes pour le compte d'un artisan renommé. Jusqu'au jour où l'employée apprend son licenciement par le texto suivant : «Je n'ouvre plus aux halles», rapporte le Midi Libre.
Le message est clair et est suivi d'effet. Car sur son lieu de travail, la vendeuse constate que l'étal de l'artisan aux halles de Nîmes a été vidé et que l'électricité y est coupée.
A cette époque, l'employeur doit plusieurs mois de salaires à la jeune femme.
Les conséquences.
Elles sont importantes pour la vendeuse. En effet, en plus d'avoir perdu son travail elle se heurte au refus de son ex-employeur de lui délivrer les documents de licenciement, selon le Midi Libre.
En conséquence, elle ne peut pas s'inscrire aux Assedics et bénéficier des allocations chômage.
Mais cela ne s'arrête pas là.
L'artisan n'a pas répondu aux convocations du conseil des prud'hommes. Celui-ci l'a condamné en juin 2009 à verser à son ex-employée les salaires dûs sous astreinte de 30 euros par jour de retard. Cela n'a eu aucun effet sur ce patron.
Pour que la jeune femme retrouve ses droits, notamment vis à vis des Assedics, les prud'hommes doivent résilier son contrat.
Mais l'audience, prévue le 8 mars dernier a été annulée pour cause ... de neige. Elle est reportée au mois de juin prochain.
Source/: Le Post.fr
Le message est clair et est suivi d'effet. Car sur son lieu de travail, la vendeuse constate que l'étal de l'artisan aux halles de Nîmes a été vidé et que l'électricité y est coupée.
A cette époque, l'employeur doit plusieurs mois de salaires à la jeune femme.
Les conséquences.
Elles sont importantes pour la vendeuse. En effet, en plus d'avoir perdu son travail elle se heurte au refus de son ex-employeur de lui délivrer les documents de licenciement, selon le Midi Libre.
En conséquence, elle ne peut pas s'inscrire aux Assedics et bénéficier des allocations chômage.
Mais cela ne s'arrête pas là.
L'artisan n'a pas répondu aux convocations du conseil des prud'hommes. Celui-ci l'a condamné en juin 2009 à verser à son ex-employée les salaires dûs sous astreinte de 30 euros par jour de retard. Cela n'a eu aucun effet sur ce patron.
Pour que la jeune femme retrouve ses droits, notamment vis à vis des Assedics, les prud'hommes doivent résilier son contrat.
Mais l'audience, prévue le 8 mars dernier a été annulée pour cause ... de neige. Elle est reportée au mois de juin prochain.
Source/: Le Post.fr