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"Comment faire pour travailler plus longtemps", se demandent

Publié : 12 févr. 2010
par laurent
"Comment faire pour travailler plus longtemps", se demandent les seniors, (mais les autres aussi)

http://www.nicematin.com/ra/france/2398 ... or=RSS-120&

Re: "Comment faire pour travailler plus longtemps", se demandent

Publié : 12 févr. 2010
par sookie
c'est navrant et je vois pas comment cela pourrait s'arranger. Il n'y pas d'offres d'emplois et quand on en trouve ce sont des cdd à temps partiel au smic horaire. Bref tout va bien Mme la Marquise.

Chômage et retraite : comment assurer la soudure

Publié : 20 févr. 2010
par SAM57
Il importe d'actualiser la question déjà maintes fois évoquée de la soudure entre le moment où l'on se sépare de son employeur et celui où la protection sociale vient garantir un accompagnement jusqu'à l'obtention de la retraite à taux plein.

Ces temps-ci, le nombre de départs conventionnels explose, au rythme de 12.000 nouveaux dossiers chaque mois. Mais, parmi ces personnes désormais livrées à elles-mêmes, combien ont vraiment assimilé la nouvelle donne ? Cette dernière est en vigueur depuis exactement un an. Selon les termes de la convention Pôle Emploi du 19 février 2009, c'est à partir de 61 ans, et non plus de 60 ans, que la collectivité prend un chômeur en charge.

Le demandeur d'emploi est alors accompagné jusqu'à ce qu'il totalise les conditions de sa retraite à taux plein, c'est-à-dire 164 trimestres accumulés, au lieu de 160 dans le régime précédent. Si, avant 61 ans, un particulier a épuisé les trente-six mois d'indemnisation par les Assedic, il relève alors de l'allocation de solidarité spécifique, dont le montant s'élève à 15 euros par jour, ou 450 euros par mois.

" C'est pourquoi, explique Philippe Caré, les cadres qui s'en vont actuellement ont intérêt à réfléchir à trois fois avant de dire : oui, je m'en vais." S'ils ont moins de58 ans, ils devront impérativement retrouver un emploi. Mais même s'ils sont un peu plus âgés, ils ont intérêt à montrer qu'ils cherchent activement une solution.

Cette dernière ne passe pas forcément par un nouvel emploi salarié. Des formules de mi-temps peuvent être appréciées de certaines sociétés, voire d'associations. De même, certaines entreprises sont demandeuses de missions d'audit ou de consultants. Le statut d'autoentrepreneur mérite aussi d'être examiné, quitte à ce que le créateur y alloue une partie de ses indemnités de licenciement. L'important, c'est que la date butoir soit reculée d'autant. Ces périodes de reprise, même temporaires, ont la vertu de différer dans le temps la fin de la durée d'indemnisation de trente-six mois. Si bien que, de loin en loin, on peut ainsi arriver à soixante et un ans, voire au moment où on est assuré de partir à taux plein.

Cette discipline relève de l'équilibrisme, mais elle doit être intégrée par tous les salariés du privé, le seuil de la retraite à taux plein ne cessant de reculer, au rythme d'un trimestre par an.

http://www.lesechos.fr/patrimoine/retra ... oudure.htm

Re: bullshit

Publié : 20 févr. 2010
par superuser
Il oublie l'AER, "miraculée" pour 2010.

Au delà de l'avertissement dont je ne renie pas la pertinence,
c'est toujours le même discours rabaché sur le bricolage libéral : mi-temps ou auto-entrepreneur... marche ou crève !

Re: Chômage et retraite : comment assurer la soudure

Publié : 20 févr. 2010
par maguy
Cette dernière ne passe pas forcément par un nouvel emploi salarié. Des formules de mi-temps peuvent être appréciées de certaines sociétés, voire d'associations
J'adore ! :lol: :lol:

Bien sûr que des missions mi-temps non rémunérées seraient appréciées !